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Satellite Identification électronique des animaux

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Présentation au sujet: "Satellite Identification électronique des animaux"— Transcription de la présentation:

1 Satellite Identification électronique des animaux
17ème Journées 3R Jeudi 9 décembre 2010

2 Une technique au service des éleveurs et de la filière
Satellite Identification électronique des animaux Une technique au service des éleveurs et de la filière 17ème Journées 3R Jeudi 9 décembre 2010

3 3R 2010 – identification électronique
Satellite Identification électronique des bovins Programme 1 Introduction S. Duroy (IE) 10h40 2 Les grands principes de l’identification électronique M. Dang (IE) 10h45 3 Valorisations en élevage 11h05 Film (13 mn) Valorisations en élevage (complément) A. Bazire (EDE Bretagne) Questions – Réponses 4 Valorisations pour l’aval de la filière 11h45 Film (17 mn) 5 Conclusion 12h20 3R 2010 – identification électronique

4 2 - Les grands principes de l’Identification électronique des bovins
Marion DANG – Institut de l’Elevage 3R 2010 – identification électronique

5 Principe général Identifiant Lecteur Identification à distance et sans contact par ondes radio L’identification électronique est une technologie d’identification à distance et sans contact entre un identifiant et un appareil de lecture. L’identifiant contient une puce électronique. Le lecteur utilise les ondes radio pour communiquer avec l’identifiant. La puce électronique ne contient que le numéro national de l’animal : le code pays est codé sur 3 chiffres (250 pour la France – FR), le numéro national de l’animal est codé sur 12 positions (calé à droite, et précédé de 2 zéros pour les numéros nationaux à 10 chiffres des bovins français). Il s’agit du même numéro que celui marqué sur la boucle. La différence avec de la lecture visuelle ou code-barres est qu’on s’affranchit de la lecture visuelle directe, par exemple, la boucle électronique est lisible même si elle est sale. La RFID permet de s’affranchir de retranscription manuelle, de diminuer le nombre d’erreurs, de gagner du temps et d’automatiser des tâches. Les films apporteront des précisions sur ces valorisations.  Pas de lecture visuelle, pas de visée précise (type code-barres), pas de retranscription manuelle, pas d’erreur de lecture  Fiabilité, Gain de temps, automatisation de tâche… 3R 2010 – identification électronique

6 3R 2010 – identification électronique
L’identifiant – boucle auriculaire TRANSPONDEUR Puce + = FR Antenne 0900 Transpondeurs conformes aux normes ISO 11784 : structure de l’information 11785 : communication puce  lecteur La boucle électronique est identique à la boucle auriculaire conventionnelle à la différence près qu’elle contient un transpondeur. Un transpondeur est composé d’une antenne, le fil de cuivre bobiné, et d’une puce, qui est le petit carré noir. Les transpondeurs utilisés en identification électronique officielle sont tous conformes aux normes ISO et qui définissent la structure de l’information contenue dans la puce, et le modalités de communication entre la puce et le lecteur. 3R 2010 – identification électronique

7 3R 2010 – identification électronique
Boucle auriculaire - Caractéristiques 2 types de puces - HDX FDX Dispositif Passif Pas d’énergie embarquée Garantit la pérennité de l’identification (IPG) Ondes radio basse fréquence Ne contient que le n° national (en lecture seule) FR 0900 Caractéristiques : Il existe de types de puces reconnues par les normes ISO, les FDX (full duplex) et HDX (half duplex). Leur différence s’exprime dans la manière de communiquer avec le lecteur. L’identifiant électronique fonctionne en système passif. L’identifiant n’a pas n’énergie propre c’est à dire qu’il n’a pas de batterie intégrée ce qui lui garantit une durée de vie illimitée adaptée à l’identification pérenne généralisée. Les boucles électroniques ont besoin de l’énergie du lecteur pour fonctionner, et n’émettent des ondes basse fréquence que lorsqu'elles se trouvent dans le champ magnétique du lecteur. C’est à ce moment là qu’elle émettent l’information, c‘est à dire le numéro d ‘identifiant national de l’animal. Le dispositif fonctionne en lecture seule c’est à dire que la puce est uniquement disponible à la lecture. On va détailler ces deux derniers points dans les diapos suivantes. Pour info, il existe d’autres types de supports utilisés en Id. animale : Insert (équins et carnivores domestiques) Bolus ruminants (Espagne) Autres supports utilisés en identification animale Insert Bolus 3R 2010 – identification électronique

8 Boucle auriculaire - Transpondeur
Propriétés des gammes de fréquence SENSIBILITÉ BF HF UHF Eau, tissus biologiques  Environnement métallique Basse fréquence adaptée à l’identification animale Distance de lecture  Transfert de donnée Il existe plusieurs gammes de fréquences RFID: -la basse-fréquence, -la haute fréquence -et la ultra-haute fréquence. Pourquoi utiliser la BF en identification animale? L’utilisation de la basse-fréquence en identification animale est dictée par l’environnement et les modes d’utilisation. La basse-fréquence est peu sensible à l’environnement métallique et adaptée à l’utilisation en milieu liquide. La basse-fréquence n’est pas perturbée par la présence d’organismes vivants. Les HF et UHF ne pourraient pas être utilisée en identification animale car elles sont sensibles aux tissus biologiques. Il faudrait alors placer le lecteur au contact de la boucle pour lire le numéro d‘identification. 3R 2010 – identification électronique

9 Ultra Haute Fréquence (UHF)
Boucle auriculaire - Caractéristiques Les différentes gammes de fréquence Basse Fréquence (BF) ,2 kHz Identification animale, traçabilité des objets, containers, crochets chaîne d’abattage… Haute Fréquence (HF) 13,56 MHz contrôle d’accès, titre de transport… Ultra Haute Fréquence (UHF) 860 à 960 MHz - 2,45 GHz Grande distribution, identification de palettes, télépéage… Les ondes basse-fréquence ont une fréquence comprise entre ,2 kHz. Elles sont utilisées pour l’identification animale, la traçabilité des objets (par exemple les livres), ou la traçabilité des containers. Les ondes hautes-fréquences ont une fréquence de 13,56 MHz. Ce sont les ondes utilisées pour les contrôles d’accès (à un bâtiment par exemple) ou encore les titres de transport comme le pass Navigo à paris. Enfin les UHF ont une fréquence qui peut aller jusqu’à 2,45GHz. Ce sont les ondes utilisées en grande distribution , pour l’utilisation des palettes ou au télépéage. 3R 2010 – identification électronique

10 3R 2010 – identification électronique
Transpondeur - Lecture / lecture-écriture ? Pourquoi ne pas enregistrer dans la puce les infos du passeport, le carnet sanitaire… ? Lecture-écriture Données de référence qui renseigne ? qui corrige les anomalies ? qui est responsable ? Contraintes d’écriture basse fréquence = faible débit > maintenir l’animal dans le champ du lecteur Gestion des droits données sanitaires (par ex) Lecture seule Infos complémentaires interrogation des bases de données de référence On nous demande souvent si les informations du passeport et du carnet sanitaire sont présentes dans la puce. Enregistrer toutes ces informations dans la puce impliquerait qu’elle soit en lecture/écriture, c’est à dire qu’on puisse inscrire des informations dans la puce après la lecture. La lecture/écriture pose quelques questions: -quelles sont les données de référence, qui les renseignes, qui corrige les anomalies? -la BF a un faible débit de transfert d’information. Il faudrait contenir l’animal plus longtemps devant le lecteur pour pouvoir y inscrire des données. -comment gérer les droits d’accès aux infos contenues dans la puce? Par exemple, carnet sanitaire est-il accessible à tous les détenteurs Le choix de la lecture seule résout toutes ces questions. La seule contrainte est d’aller chercher les infos complémentaires dans des bases de données de référence. A l’avenir, la lecture-écriture pourra être une méthode intéressante pour gérer les données de service, ou toute donnée non-officielle (labels de qualité par exemple). En pratique, la lecture seule permet à l’utilisateur de lire le numéro sur un animal en mouvement, de s’affranchir de l’immobilisation de l’animal. 3R 2010 – identification électronique

11 La Lecture Portable ou Fixe Animaux à l’arrêt ou en mouvement
Distance de lecture Jusqu’à 30 cm en portable Jusqu’à 90 cm en fixe  Pas de repérage à grande distance Il existe plusieurs types de lecteurs, des fixes et des mobiles. Avec un lecteur fixe, la lecture se fait lorsque l’animal se situe à proximité de l’antenne du lecteur. La distance de lecture avec un lecteur fixe peut aller jusqu’à 90 cm. Avec un lecteur portable, l’utilisateur doit s’approcher à proximité de la boucle auriculaire pour pouvoir lire enregistrer et transférer le numéro. La distance de lecture avec un lecteur mobile peut aller jusqu’à 30 cm. La lecture à distance permet à l’utilisateur une plus grande sécurité dans son travail, car il n’a pas à attraper l’oreille de l’animal pour lire la boucle. Il est impossible de repérer un animal à grande distance, par exemple dans un pré. La distance de lecture est variable en fonction du lecteur et du transpondeur : taille des antennes, nb de bobinage de cuivre, qualité de la puce, du lecteur, de l’environnement… Satellite 3R – 9 décembre 2010

12 Conditions de lecture Animal proche du lecteur
< Distances de lecture limitées Un seul animal dans le champ de lecture < Pas d’ANTICOLLISION avec les normes iso 11784/85  Maîtrise de la contention indispensable OU Certaines conditions de lecture doivent être mises en place pour garantir la lecture: l’animal doit être proche du lecteur compte tenu des distances de lecture limitées Un seul animal à la fois doit passer dans le champ de lecture. Les normes ISO 11784/11785 ne permettent pas de gérer la lecture de plusieurs animaux à la fois. Pour garantir la lecture, il est nécessaire d’individualiser les lectures grâce à une contention adaptée. La contention est un moyen de s’assurer que l’animal se positionne dans le champ du lecteur. Par exemple il est nécessaire d’éviter les couloirs de contention trop larges. Impacts : circulation des animaux, aménagement des bâtiments, salle de traite, …. Satellite 3R – 9 décembre 2010

13 3R 2010 – identification électronique
Normes et interopérabilité ISO : communication puce / lecteur , 2 technologies de puce reconnues FDX-B = Full Duplex énergie donnée Échange synchrone HDX = Half Duplex énergie donnée Échange asynchrone Intéropérabilité = capacité d’un dispositif à fonctionner avec d’autres L’identification électronique animale est régie par les normes ISO qui définit les paramètres technologiques de fonctionnement du lecteur et du transpondeur : la fréquence, la durée d’activation, comment lire un transpondeur FDX/HDX La norme ISO définit le contenu et la codification de l’information contenue dans le transpondeur. La conformité du matériel à des normes internationales garantit l’interopérabilité entre les lecteurs et les transpondeurs sur le territoire national, en Europe et à l’échelle internationale.  Un lecteur ISO lit indifféremment les 2 types de puces 3R 2010 – identification électronique

14 Normes et interopérabilité
ISO : Structure de l’information contenu dans la puce (64 bits) 237 = combinaisons de numéro d’identification pour chaque pays 1 2 à 4 5 à 9 10 à 15 16 17 à 26 27 à 64 domaine animal compteur remplacement code espèce pour EU champs réservés pages additionnelles code pays ISO n° national identification 04 00 250 ISO : Affichage et communication des infos par les lecteurs Principe : affichage et communication de la trame complète + horodatage facultatif c-à-d toutes les infos de la norme : Interopérabilité = capacité d’un dispositif à fonctionner avec d’autres 3R 2010 – identification électronique

15 Merci de votre attention
9 décembre

16 3 – Les valorisations en élevage
Alain BAZIRE – EDE de Bretagne Sébastien DUROY – Institut de l’Elevage 3R 2010 – identification électronique

17 Simplifier les notifications
Mouvements en lot Base de donnée Régionale 1 – Lecture des n° grâce au lecteur fixe 1 3 – Notification vers la base régionale (via réseau téléphonique) 3 Réseau téléphonique (3G, EDGE, GPRS) 2 – Transfert instantané des n° vers le smartphone (en bluetooth) 2 Bluetooth Equipement : couloir ou cage de contention, Lecteur fixe, Smartphone Une application en 3 temps : Simplifier les notifications de mouvements en lot (entrée/sortie) au chargement ou au déchargement. Cette application nécessite un système de contention (cage ou couloir), un lecteur fixe et un smartphone. Application qui combine diverses technologie sans-fil, mise en œuvre dans le cadre du projet Ouet > Qui se déroule en 3 temps : 1- lecture 2 – transfert instantané 3 –notification via réseau téléphonique 2 approches logicielles possibles : Au préalable appairage lecteur / smartphone Première approche : On rentre dans l’application et la réception des nuémros s’effectuer de comparable à une saisie (au même moment dans l’application) lorsqu’on active le champ N° national Autre approche : La lecture génère une liste dans un fichier d’attente Puis la liste peut être affecté à différents événéments Affectation de la liste à un événement 3R 2010 – identification électronique

18 3R 2010 – identification électronique
Simplifier les notifications Mouvements en lot Intérêts Sécurité L’opérateur reste à distance de l’animal Simplicité, fiabilité, rapidité Pas de retranscription, pas de sélection dans une liste Portabilité maximum L’éleveur n’utilise que son smartphone Le volontariat limite l’application aux mouvements de sortie Fort intérêt de la part des engraisseurs et des opérateurs aval Cette application présente de nombreux intérêts : Sécurité de l’opérateur, Simplicité, fiabilité, pas de retranscription, pas de sélection, Bref pas d’erreur, Portabilité maximum (pas d’encombrement / aux autres outils portables), il suffit simplement d’avoir son téléphone portable (smartphone) sur soi. Dans le cadre des projets, seules les notifications de sortie ont pu être testées. Cette application pourrait valoriser pleinement son potentiel en cas de généralisation et servir notamment pour gérer les entrées et en particulier, pour les engraisseurs spécialisés et les opérateurs de l’aval 3R 2010 – identification électronique

19 Trier automatiquement (complément)
Adaptation d’un couloir de contention mobile Position centrale de l’éleveur Parc Rassemblement P3 P1 P2 couloir Parallèlement au système de tri prototype (vu dans le film) mis en place à la station de Mauron, nous avons également suivi un essai en élevage visant à adapter un couloir de contention mobile. Au delà de l’équipement, il est intéressant dans cet essai de s’arrêter sur l’organisation du chantier, la place de l’éleveur et les facilités d’organisation permises par l’automate de tri. Schéma de principe : Il faut noter la position centrale de l’éleveur : qui peut intervenir sur tous les animaux (les pousser si besoin) dans le couloir en U, Et dont la fonction principale sera de gérer l’arrivée des animaux dans le système de tri, Les opérations suivantes (fermeture, pesée, ouverture des portes) sont automatisées. Voyons ça en images… Tâche principale de l’éleveur  Gérer le flux d’arrivée des animaux 3R 2010 – identification électronique

20 Titre du diaporama, nom de la manifestation...
Les prises de vue ont été prises un jour de démonstration (à l’occasion d’une pesée) où il y avait beaucoup de personnes (pas les meilleurs conditions par rapport à la tranquillité des animaux) et les parcs de tri n’avaient pas tous été installés. Il s’agit d’un éleveur en plein air intégral. Commentez pendant le déroulement du film : On voit sur cette vue large le parc de rassemblement, la position du dispositif de tri, les parcs de tri on peut voir ensuite la gestion de l’arrivée des animaux par l’éleveur, l’utilisation de la télécommande qui permet de fermer la porte derrière l’animal une fois qu’il est rentré dans la cage (puis de la rouvrir une fois que celui-ci en est sorti) - Le chantier de tri peut être associé à la pesée. Le poids peut constituer un critère de tri, et tout autre critère peut également servir au tri et dans cas il faut charger une liste au préalable dans le boîtier de contrôle, Titre du diaporama, nom de la manifestation...

21 3R 2010 – identification électronique
Trier automatiquement (complément) Adaptation d’un couloir de contention mobile Dispositif semi-automatique Pas de cellule de détection de présence, c’est l’éleveur qui réinitialise le cycle de pesée/tri au moyen de la télécommande Intérêts Réduit le nombre de personnes sur le chantier de tri Améliore le confort de travail Permet un gain de temps important Impact sur l’organisation des bâtiments, circulation des animaux Confort de travail : limite les manipulations 3R 2010 – identification électronique

22 Merci de votre attention
9 décembre

23 3R 2010 – identification électronique
Boucles et Automates DAL, DAC, compteurs à laits, Robots, système de tri Nouveaux équipements Exiger des lecteurs ISO (« full ISO »), compatibles avec les 2 types de puces hdx et fdx Pas de rebouclage en cas d’achat Solution pérenne avec l’évolution du marché 3R 2010 – identification électronique

24 3R 2010 – identification électronique
Boucles et Automates DAL, DAC, compteurs à laits, Robots, système de tri Equipements existants Vérifier la compatibilité auprès de l’installateur Définir le modèle de boucle adapté, hdx ou fdx Adapter l’équipement si nécessaire Déplacement ou changement de lecteur Commander les boucles à l’EDE/GDS 3R 2010 – identification électronique

25 4 – Les valorisations pour l’aval de la filière
3R 2010 – identification électronique

26 3R 2010 – identification électronique
Conclusion Projets pilotes, effet déclencheur Appropriation de la technologie par les utilisateurs Développement de nouvelles applications et nouveaux services Des points d’amélioration, axes de travail Faciliter l’intégrations des dispositifs de lecture Ergonomie des outils Interfaces logicielles Meilleure communication entre les outils et les logiciels Définir des standards d’échanges de données On nous demande souvent si les informations du passeport et du carnet sanitaire sont présentes dans la puce. Enregistrer toutes ces informations dans la puce impliquerait qu’elle soit en lecture/écriture, c’est à dire qu’on puisse inscrire des informations dans la puce après la lecture. La lecture/écriture pose quelques questions: -quelles sont les données de référence, qui les renseignes, qui corrige les anomalies? -la BF a un faible débit de transfert d’information. Il faudrait contenir l’animal plus longtemps devant le lecteur pour pouvoir y inscrire des données. -comment gérer les droits d’accès aux infos contenues dans la puce? Par exemple, carnet sanitaire est-il accessible à tous les détenteurs Le choix de la lecture seule résout toutes ces questions. La seule contrainte est d’aller chercher les infos complémentaires dans des bases de données de référence. A l’avenir, la lecture-écriture pourra être une méthode intéressante pour gérer les données de service, ou toute donnée non-officielle (labels de qualité par exemple). En pratique, la lecture seule permet à l’utilisateur de lire le numéro sur un animal en mouvement, de s’affranchir de l’immobilisation de l’animal. 3R 2010 – identification électronique

27 3R 2010 – identification électronique
Conclusion Prochaine étape, déploiement à grande échelle Conditions pas encore réunies aujourd’hui Décision de filière Plaquette de communication Vidéos Rapport des projets pilotes Bientôt … listes des automates compatibles avec les boucles officielles On nous demande souvent si les informations du passeport et du carnet sanitaire sont présentes dans la puce. Enregistrer toutes ces informations dans la puce impliquerait qu’elle soit en lecture/écriture, c’est à dire qu’on puisse inscrire des informations dans la puce après la lecture. La lecture/écriture pose quelques questions: -quelles sont les données de référence, qui les renseignes, qui corrige les anomalies? -la BF a un faible débit de transfert d’information. Il faudrait contenir l’animal plus longtemps devant le lecteur pour pouvoir y inscrire des données. -comment gérer les droits d’accès aux infos contenues dans la puce? Par exemple, carnet sanitaire est-il accessible à tous les détenteurs Le choix de la lecture seule résout toutes ces questions. La seule contrainte est d’aller chercher les infos complémentaires dans des bases de données de référence. A l’avenir, la lecture-écriture pourra être une méthode intéressante pour gérer les données de service, ou toute donnée non-officielle (labels de qualité par exemple). En pratique, la lecture seule permet à l’utilisateur de lire le numéro sur un animal en mouvement, de s’affranchir de l’immobilisation de l’animal. 3R 2010 – identification électronique


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