La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Chapitre III L’œil. Rappels anatomiques 8 mm 12 mm chiffres variables d’un individu à l’autre, comme toutes les autres valeurs données dans la suite.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Chapitre III L’œil. Rappels anatomiques 8 mm 12 mm chiffres variables d’un individu à l’autre, comme toutes les autres valeurs données dans la suite."— Transcription de la présentation:

1 Chapitre III L’œil

2 Rappels anatomiques 8 mm 12 mm chiffres variables d’un individu à l’autre, comme toutes les autres valeurs données dans la suite

3

4 L’œil comporte trois tuniques : - la sclérotique, qui se prolonge par la cornée - la choroïde, qui donne également les corps ciliaires et l’iris - la rétine, qui se prolonge par le nerf optique - la rétine, qui se prolonge par le nerf optique.

5

6 Les dioptres de l’œil Ils sont au nombre de quatre, et ils constituent des interfaces entre cinq milieux d’indice de réfraction différents : dioptresmilieux transparents - air (n = 1) 1- dioptre cornéen antérieur - cornée (n = 1,37) 2- dioptre cornéen postérieur - humeur aqueuse (n = 1,33) 3- dioptre cristallinien antérieur - cristallin n = 1,42) 4 dioptre cristallinien postérieur - humeur vitrée (n = 1,33)

7 1 1,37 1,33 1,42 1,33 cristallin cornée

8 Les rayons de courbure et les puissances des 4 dioptres (valeurs moyennes et approximatives) sont les suivants : dioptre 1 2 3 4 R (mm) + 7,8+ 6,5+ 10 - 6 P (d)+ 48,3 - 6,1 + 8+ 14

9 Notes : 1° les 4 dioptres n’ayant pas le même sommet, la puissance totale de l’œil ne peut pas résulter de la somme algébrique des 4 puissances (64,2 dioptries, mais on verra, à propos de l’œil réduit, que la puissance totale est de l’ordre de 60 dioptries seulement)

10 2° deux dioptres ont des puissances qui ne sont pas en rapport avec le signe de leur rayon de courbure en raison de l’inversion des indices de réfraction (1er indice supérieur au 2ème) par rapport à la situation classique d’un dioptre (n1 < n2) : le dioptre cornéen postérieur (le seul dioptre divergent de l’œil) et le dioptre cristallinien postérieur (convergent malgré un rayon négatif)

11 Les rayons de courbure et les puissances des 4 dioptres (valeurs moyennes et approximatives) sont les suivants : dioptre 1 2 3 4 R (mm) + 7,8+ 6,5+ 10 - 6 P (d)+ 48,3 - 6,1 + 8+ 14

12 L’œil réduit S’ S C F’ 5,6 mm 17 mm 2 mm n 1 = 1 n 2 = 1,337

13 Le sommet de l’œil réduit (S) se situe 2 mm en arrière de la face avant de la cornée (S’). Sa puissance est : D = (n2 - n1) / r = (1,337 - 1) / 5,6.10-3 ≈ 60 d La distance focale du dioptre est telle qu’un objet situé à l’infini se projette sur la rétine (vision nette à l’infini sans accommodation pour l’œil normal)

14 L’accommodation Pour la vision de près, la puissance de l’œil doit augmenter afin de permettre la projection nette sur la rétine d’un objet qui n’est plus à l’infini Dans ce but, le cristallin peut se déformer dans le sens d’un accroissement de sa convergence, et du fait de son hétérogénéité de structure, sa courbure antérieure se déforme plus que sa courbure postérieure

15 Par exemple : rayon du dioptre antérieur rayon du dioptre postérieur 10 mm- 6 mm au repos 10 mm - 6 mm 6 mm- 5,5 mm accommodation 6 mm- 5,5 mm Pour cet exemple la puissance du cristallin augmente d’environ 9 d, et la puissance totale de l’œil passe de 60 à 69 d

16 Punctum remotum et punctum proximum Ces deux points délimitent la zone de vision nette, le PR correspondant à la vision au repos et le PP à la vision au maximum d’accommodation possible (en fonction des capacités de l’œil, et notamment de la souplesse du cristallin qui varie avec l’âge du sujet)

17 Pour un sujet normal (avec une capacité d’accom- modation de 10 dioptries), des valeurs typiques sont : ∞ PR à - ∞ (proximité du PR = 1 / - ∞ = 0 d) PP à - 10 cm (proximité du PP = 1 / - 0,1 = - 10 d)

18 Le parcours d’accommodation Il représente la longueur du segment qui relie le PR au PP. Dans le cas du sujet normal vu plus haut, on peut écrire (en convertissant les longueurs en dioptries) : A = 0 - ( - 10 ) = 10 d

19 Cette valeur est fortement dépendante de l’âge comme le montre le petit tableau suivant : âge10 ans 20 ans 30 ans 40 ans50 ans 70 ans A (d) 14 10 74,5 1 0,25 PP (cm) - 7 -10 - 14-22 -100 -400

20 La presbytie Elle caractérise la perte d’accommodation inévitable avec l‘âge. On considère qu’une personne souffre de presbytie lorsqu’elle ne peut plus voir nettement à moins de 30 cm (position typique de lecture), et qu’elle est par ailleurs normale (PR à l’infini). Pour cette distance de 30 cm, le parcours d’accommodation serait de : A = 0 - ( 1 / - 0,3 ) = 3,33 d ce qui place l’âge de début de la presbytie entre 40 et 50 ans


Télécharger ppt "Chapitre III L’œil. Rappels anatomiques 8 mm 12 mm chiffres variables d’un individu à l’autre, comme toutes les autres valeurs données dans la suite."

Présentations similaires


Annonces Google