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Publié parAgathe Chagnon Modifié depuis plus de 8 années
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1 LE CANCER : Facteurs de risque, Prévention, dépistage
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2 Facteurs de risque héréditaires
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3 Facteurs de risque héréditaires Cancer médullaire de la thyroïde Cancer des cellules C de la thyroïde, augmentation de la calcitonine et hyperparathyroïdie Polypose adenomateuse familiale : Polypes multiples du côlon associés à plusieurs cancers coliques Syndrome de Gardner Polypes multiples du côlon associés à des cancers des os, des tissus mous et des tissus endocriniens Syndrome de Turcot Polypes multiples du côlon associés à une tumeur du cerveau Syndrome de Lynch : ou encore syndrome HNPCC (Hereditary Non-Polyposis Colorectal Cancer) Cancer colorectal associé à quelques rares polypes mais surtout à d’autres cancers (endomètre, ovaire, intestin grêle, estomac, voies biliaires, voies urinaires).
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4 Facteurs de risque personnels
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5 GENRE (Chiffres 2012) 200.35085.255 1/3 aura un cancer 1/5 décèdera d’un cancer 154.00463.123 1/4 aura un cancer 1/10 décèdera d’un cancer Nb Nvx Cas Décès Risque cumulé H F Incidence Chez l’Homme + 31 % de Risque Mortalité chez l’Homme + 36 % de Risque
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6 AGE Incidence (80/50 ans) Hommes = 5,5 Femmes = 2,4
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7 PROFESSION Rapports des taux de mortalité des hommes travailleurs manuels / non manuels âgés de 45 à 59 ans en France
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8 GEOGRAPHIE Mortalité Femmes = + 40% de Risque Mortalité Hommes = + 60% de Risque
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9 Prédispositions génétiques par mutation des gènes BRCA 1 ou BRCA 2 Gènes découverts en 1994 dans les cancers héréditaires du sein et de l’ovaire En France, 32.000 femmes sont porteuses de ces gènes Gènes présents dans 13 % des familles explorées Transmission sur un mode dominant par la mère ou le père Si présent chez la femme, 1 risque sur 2 de transmettre le gène Augmentation du risque de cancer de l’ovaire Risque de récidive de cancer du sein (délai de 10 à 15 ans)
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10 Prédispositions génétiques par mutation des gènes BRCA 1 ou BRCA 2 Augmentation du risque de cancers du sein (et de l’ovaire) Sein : 40 à 85 % (10 % dans population générale) Ovaire : 10 à 63 % (1 % dans population générale) Survenue plus précoce du cancer 43 ans au lieu de 60 ans en général Cancer plus agressif donc nécessité de dépistage plus précoce
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11 Cancers du sein Recherche de mutation génétique familiale nécessitant une consultation génétique Facteurs familiaux 3 cas de cancers chez des parents du 1 er et 2 ème degré 2 cancers du sein dans la famille dont 1 bilatéral dont 1 avant 40 ans dont 1 chez un homme Facteurs personnels 2 cancers dont 1 de l’ovaire 1 cancer du sein avant 35 ans 1 cancer du sein médullaire 1 cancer de l’ovaire avant 60 ans
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12 Facteurs de risque personnels Mutations génétiques Mutation des gènes P53 et CHEK (Maladie de Li-Fraumeni) Tumeurs malignes graves et multiples (sarcomes) chez les enfants ou adultes jeunes Mutation du gêne ATM ( Ataxie-Télangiectasies) Cancers associés à troubles moteurs et oculaires avec lésions vasculaires de la conjonctive Mutation du gène PTEN (Syndrome de Cowden) Cancers du côlon et de la thyroïde avec multiples lésions bénignes disséminées (Hamartomes) Mutation du gène LKB1 (ou STK11) : Syndrome de Peutz- Jeghers Cancers colorectaux, de l’ovaire et du testicule avec papules pigmentées de la peau
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13 Facteurs de risque Externes
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14 Facteurs de risque de cancers Fréquence et décès (%)
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15 LE TABAC : 18,2 % Responsable de 78.000 décès par an, dont 47.000 par cancer Parmi les 148.378 décès par cancer, 30 % sont imputables au tabac En 10 ans, risque de décès diminué de moitié chez l’Homme, mais multiplié par 4 chez la Femme Espérance de vie réduite de 10 à 15 ans Importance de la durée et de l’intensité de l’intoxication En France, 28,2 % de fumeurs réguliers Cancers multiples Par contact direct : Poumons, Cavité buccale, pharynx, larynx, cavité nasale, sinus, œsophage, estomac Par voie sanguine : foie, pancréas, rein, vessie, col utérin, sein, leucémie myéloïde Fumée de tabac : 7.000 produits chimiques toxiques et irritants 70 d’entre eux sont cancérigènes (benzène, arsenic, chrome, chlorure de vinyle, …)
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16 LE TABAC : 18,2 % Cancer du poumon : Représente 20 % de l’ensemble des décès par cancer 80 % des décès sont dus au tabac 40 % des décès surviennent avant 65 ans (40 % chez l’Homme et 44 % chez les Femmes) Survie moyenne : 14 % à 5 ans – 9 % à 10 ans Interactions avec d’autres risques Consommation d’alcool : Cancers : Bouche, pharynx, larynx, oesophage Risque multiplié par 13 Amiante : cancers broncho-pulmonaires (4%) Majoration du risque avec tabac : X 50 Rayonnements ionisants (Médicaux ou Radon) Cancers du poumon : Majoration du risque par le tabac
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17 LE TABAC : 18,2 % Tabagisme passif 1.100 décès dont 150 par cancer du poumon Risques liés à la durée et à l’intensité de l’exposition Cancers du poumon: Risque augmenté de 20 à 30 % chez les non fumeurs 20 à 30 % chez les conjoints 12 à 19 % sur les lieux du travail Cancers du sinus : risque doublé par le tabac Risques cardio-vasculaires et vasculaires cérébraux Chez femme enceinte et fœtus Fausse couche, accouchement prématuré, retard de développement, petit poids de naissance Chez l’enfant Augmentation des infections rhino-pharyngées, otites Aggravation de l’asthme Mort subite du nourrisson (X 5)
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18 L’ALCOOL : 8,1 % L’alcool est un cancérogène avéré. Responsable de 15.000 décès par cancer, soit 9,5 % des décès par cancer 2 ème cause de mortalité évitable après le cancer Responsable de 11 % des cancers chez l’Homme et de 4,5 % des cancers chez la Femme Cancers induits : voies aéro-digestives supérieures, œsophage, foie, sein, côlon-rectum C’est la quantité d’alcool pur dans la boisson qui expose au risque : > 62.3 g chez Homme et < 14.4 g chez la Femme Diminution du risque de cancer des VADS, 10 ans après arrêt Disparition du risque, 20 ans après arrêt du de l’alcool et du tabac.
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19 L’ALCOOL : 8,1 % FACTEURS AGGRAVANTS Consommation de tabac Alcool et tabac ont des effets synergiques L’alcool amplifie et multiplie les risques cancérogènes du tabac Risque plus important de cancers des voies aéro-digestives supérieures (VADS) Troubles enzymatiques Certains individus métabolise l’alcool selon une activité enzymatique augmentée ou diminuée. Un des produits résultant du métabolisme de l’alcool est l’acétaldéhyde qui est un cancérogène. Ces individus ont un risque plus important de cancer des VADS. Inégalités sociales Risque augmenté chez les moins diplômés Sur-risque alcool/cancer de 30 % chez les chômeurs entre 35 et 59 ans
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20 LES AGENTS INFECTIEUX : 3,3 % Helicobacter pylori Papilloma virus Virus Epstein Barr Virus Hépatite B et C Estomac Col utérin – Anus – Pharynx Lymphome de Burkitt Foie
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21 L’ACTIVITE PHYSIQUE : 2,8 % Constat : Activité physique insuffisante responsable de : – 18 % des cancers du côlon chez l’Homme – Chez la femme : Cancers du côlon (20 %), du sein (21 %) et de l’endomètre (26%) – Risque de mortalité par cancer significativement plus faible chez les individus actifs Effet bénéfique de l’activité physique pour la prévention des maladies chroniques (cardio-vasculaires, surpoids, obésité, cancers, mais aussi diabète, ostéoporose) L’activité physique diminue le risque de cancer du côlon Estimée à 17 % tous sexes confondus Identique pour les personnes en activité professionnelle (15 %) et de loisirs (14 à 20 %) Pas d’effet sur le cancer du rectum
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22 L’ACTIVITE PHYSIQUE : 2,8 % Diminution du risque de cancer du sein Réduction de 20 % pour les femmes les plus actives Effet protecteur de 3 % chez les femmes en post ménopause Diminution du risque de cancer de l’endomètre Réduction de 21 % chez les femmes les plus actives Autres localisations de cancers Quelques publications sur un effet réducteur sur les cancers du poumon, pancréas, prostate, ovaire : travaux à confirmer Activité physique, surpoids et risque de cancer Effet protecteur indirect sur les cancers liés au surpoids et à l’obésité : (œsophage, endomètre, rein, côlon, sein en post menopause, pancréas, vésicule biliaire) Effet défavorable des activités sédentaires (ordinateur, télévision) qui augmentent la prise de poids.
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23 L’ACTIVITE PHYSIQUE : 2,8 % Bénéfices de l’activité physique pendant les soins en cancérologie Amélioration de la qualité de vie Retrouvée pour tous les types de cancer Pendant et après le traitement Diminution de l’anxiété, de la dépression, améliore le sommeil, sensation de bien être Effet sur la survie globale Réduction de 18 % de la mortalité globale si activité physique pratiquée avant le diagnostic Réduction de 41 % de la mortalité si activité physique pratiquée après le diagnostic Réduction de 34 % du risque de décès par cancer du sein Réduction du taux de récidives (24 %)
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24 L’ACTIVITE PHYSIQUE : 2,8 % Mécanismes d’action de l’activité physique Rôle bénéfique sur la réduction du poids et de l’adiposité abdominale Réduction du taux plasmatique d’insuline qui est augmentée dans le surpoids et l’obésité, et qui favorise la prolifération cellulaire Pour le cancer du côlon : Accélération du transit intestinal réduisant le contact avec la muqueuse des cancérogènes d’origine alimentaire Pour le cancer du sein et de l’endomètre ; diminution du taux des oestrogènes et stimulation de l’immunité (augmentation du nombre et de l’activité des macrophages et des lymphocytes) ACTIVITE PHYSIQUE QUOTIDIENNE : 20 à 30 minutes
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25 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE : 2,7 % SURPOIDS - OBESITE Risque Relatif de Cancer en fonction de l’IMC (Indice masse corporelle)
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26 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE : 2,7 % Augmentation du risque Surpoids – Obésité 2.300 décès par cancer France : 32% Surpoids 17% Obésité 55% Œsophage 52% Endomètre 31% Rein 15% Côlon Rectum 14% Pancréas 8% Sein Boissons alcoolisées H : 20% - F : 7% 42 % entre 65-75 ans 168% Bouche Pharynx Larynx 28% Œsophage 10% Sein 10% Foie 9% Côlon Rectum Viandes rouges - Charcuterie29% Côlon Rectum Aliments salésEstomac Betacarotène en complément alimentaire Poumons
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27 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE : 2,2 % Facteurs protecteurs FruitsBouche Pharynx Larynx Œsophage Estomac Poumons LégumesBouche Pharynx Larynx Œsophage Estomac FibresCôlon Rectum AllaitementSein
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28 TRAITEMENTS HORMONAUX : 2 % ESTROGENE SEULEndomètre Ovaire Sein (peut être) ESTROGENE COMBINE A UN PROGESTATIF Sein Endomètre RISQUE AUGMENTE DE CANCER
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29 TRAITEMENTS HORMONAUX : 2 % TROUBLES DE LA MENOPAUSE Arrêt brutal de sécrétion des estrogènes par les ovaires : Troubles du climatère : bouffées de chaleur, sudation nocturne, douleurs articulaires, sècheresse et atrophie vaginale Perte de la masse osseuse : ostéoporose et risques de fractures Si troubles importants, Prescription d’un Traitement Hormonal de la Ménopause (THM) associant estrogène et progestatif qui améliore les symptômes du climatère et prévient l’ostéoporose et les fractures.
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30 TRAITEMENTS HORMONAUX : 2 %. Traitement hormonal de la ménopause : (THM) Avant mise en traitement, bilan clinique et gynécologique complet avec contre-indication si cancers du sein ou de l’endomètre Evaluation annuelle du traitement en prenant en compte le bénéfice/risque Contre indication du THM si antécédents thromboemboliques ou hémorragies génitales Pas de prescription d’estrogène seul (majore le risque de cancer de l’endomètre et de l’ovaire) Choisir une association de progestatif micronisé Limiter l’intensité et la durée du traitement au minimum Remplacer le traitement oral par des estrogènes transdermiques
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31 CANCERS LIES A L’ENVIRONNEMENT : 1,5 % Exposition aux UV – Soleil : 1,5 % Mélanome Cancers cutanés Pollution atmosphérique : Diesel, charbon, bois 0,1 % Poumon Radon Poumon
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32 CANCERS D’ORIGINE PROFESSIONNELLE : 1,5 % AmianteMésotheliome, Poumon Amines aromatiquesVessie ArsenicPoumon, Vessie, Peau BenzèneLeucémie CadmiumPoumon Chlorure de vinyleAngiosarcome hépatique et Hépatocarcinome ChromeNez et Sinus, Poumon FormaldéhydeNasopharynx
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33 CANCERS D’ORIGINE PROFESSIONNELLE : 1,5 % Hydrocarbures, Goudron, BitumeLarynx, Poumon, Vessie Huiles minéralesPeau Industries du caoutchoucVessie, Leucémie NickelNez et Sinus, Poumon Pesticides arsenicauxFoie, Peau, Poumon Organochlorés, organophosphorésLymphome malin non hodgkinien PeinturesPoumon, Vessie Poussières de bois et du cuirNez et sinus Rayons X, Rayons gammaLeucémie, Sein, Poumon, Vessie, Rein, Os, Thyroïde SilicePoumon TrichloéthylèneRein
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34 CANCERS ET POLLUANTS : 1.2 % CANCERIGENES LINDANE PESTICIDES A BASE D’ARSENIC Interdits en France GLYPHOSPHATE Herbicide (Roundup de Monsando) Lymphome malin non Hodgkinien Tumeurs chez la souris MALATHION : InsecticideLymphome malin non Hodgkinien Cancer de la prostate DIAZINON : Insecticide Interdit en France Lymphome malin non Hodgkinien, leucémies et cancer du poumon CANCERIGENES PROBABLESCHEZ LA SOURIS TETRACHLORVINPHOS Interdit en France Tumeurs du foie, du rein et de la rate chez la souris PARATHION Interdit en France Tumeurs du poumon et lymphomes chez la souris
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35 DEPISTAGE DES CANCERS
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36 POURQUOI DEPISTER ? Pour dépister des lésions dont le traitement sera : plus efficace moins lourd ou moins mutilant (cancer du sein) moins coûteux soit Le dépistage de tous les cancers est illusoire et coûteux
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37 Déficits d’information Histoire naturelle du cancer Fréquence et pronostic Test de méthodologie Bénéfices et résultats du dépistage Actions sur les freins et les obstacles Actions sur les Populations défavorisées COMMENT ? Le déni de la maladie Confusion entre dépistage et diagnostic précoce L’angoisse du cancer Obstacles et défis du dépistage
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