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Publié parValentine Roux Modifié depuis plus de 8 années
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Aux catéchistes Repartir du Christ Avoir une familiarité avec lui L’écouter, apprendre de lui Sortir de soi et aller à la rencontre de l’autre Ne pas avoir peur d’aller avec Lui dans les périphéries
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Nous ne devons pas avoir peur d’être chrétiens et de vivre en chrétiens. Nous devons avoir ce courage d’aller et d’annoncer le Christ ressuscité car il est notre paix. Il a fait la paix par son amour, par son pardon, par son sang et par sa miséricorde.
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Quand l’Église reste fermée, elle tombe malade. L’Église doit sortir d’elle-même. Où ça ? Vers les périphéries existentielles, quelles qu’elles soient ! Jésus nous dit « Allez dans le monde entier ! Prêchez ! Rendez témoignage à l’Évangile. Mais que se passe-t-il si l’on sort de soi-même ? Il peut arriver ce qui peut arriver à toute personne qui sort de chez elle et qui va dans la rue : un accident. Mais je vous dis : je préfère mille fois une Église accidentée, exposée aux accidents, à une Église malade parce qu’elle ne sort pas. Allez dehors, sortez !
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Aujourd’hui encore devant tant de traits de ciel gris, nous avons besoin de voir la lumière de l’espérance et de donner nous-mêmes espérance. Garder la création, tout homme et toute femme, avec un regard de tendresse et d’amour, c’est ouvrir l’horizon de l’espérance, c’est ouvrir une trouée de lumière au milieu de tant de nuages, c’est porter la chaleur de l’espérance.
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Le chrétien n’est pas seul car il a de nombreux frères et sœurs qui, cachés dans le silence, dans leur vie familiale et professionnelle, au cœur de leurs problèmes et de leurs difficultés, de leurs joies et de leurs espérances, vivent leur foi chaque jour et portent au monde l’amour de Dieu.
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La tentation de laisser Dieu de côté, pour nous mettre nous-mêmes au centre guette toujours et l’expérience du péché blesse notre vie chrétienne, notre être d’enfant de dieu. C’est pourquoi nous ne devons pas nous laisser mener par un état d’esprit qui nous dit : Dieu ne sert à rien, il n’est pas important pour toi
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Le Seigneur qui a vécu humblement nous enseigne que tout n’est pas magique, que le triomphalisme n’est pas chrétien. La juste attitude du chrétien est de persévérer sur le chemin du Seigneur, jusqu’à la fin, tous les jours. Je ne dis pas recommencer à nouveau tous les jours : non, poursuivre le chemin. Un chemin avec des difficultés et avec tant de joies. Le chemin du Seigneur.
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Marie, femme de l’écoute, fais que nos oreilles s’ouvrent. Fais que nous sachions écouter la Parole de ton Fils Jésus, au milieu des paroles de ce monde. Fais que nous sachions écouter la réalité dans laquelle nous vivons Marie, femme de décision, illumine notre esprit et notre cœur, pour que nous sachions obéir à la Parole de ton Fils Jésus, sans hésitation. Donne-nous le courage de la décision Marie, femme de l’action, fais que nos mains et nos pieds se dirigent en hâte vers les autres, pour apporter la charité et l’amour de ton Fils Jésus, pour apporter au monde la Lumière de l’Évangile.
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Comme l’Église, souvenons-nous que c’est en soignant les blessures des personnes réfugiées ou déplacées est des victimes de trafic que nous mettons en pratique le commandement de la charité que Jésus nous a laissé, lorsqu’il s’est identifié à l’étranger, à celui qui souffre, à toutes les victimes innocentes de la violence et de l’exploitation
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Dans l’Église, mais aussi dans la société, un mot-clé duquel nous ne devons pas avoir peur est « solidarité », c’est-dire savoir se mettre à disposition de Dieu ce que nous savons, nos humbles capacités, car c’est seulement dans le partage, dans le don, que notre vie sera féconde, portera du fruit. Solidarité : un mot mal vu par l’esprit mondain
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Dieu n’est pas quelque chose de vague, notre Dieu n’est pas un Dieu « aérosol », il est concret, ce n’est pas une abstraction, mais il a un nom : « Dieu est amour ». Ce n’est pas un amour sentimental, émotif, mais l’amour du Père qui est à l’origine de toute vie, l’amour du Fils qui meure sur la croix et ressuscite, l’amour de l’Esprit qui renouvelle l’humanité et le monde.
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Nous devons aller à la rencontre et nous devons créer, avec notre foi, une culture de la rencontre, une culture de l’amitié, une culture où nous trouvons des frères, où nous pouvons parler aussi avec ceux qui ne pensent pas comme nous, avec ceux qui ont une autre foi, qui n’ont pas la même foi. Ils ont tous quelque chose en commun avec nous : ils sont l’image de Dieu.
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Nous aider les uns les autres : voilà ce que Jésus nous enseigne et c’est ce que je fais, et je le fais de tout cœur, parce que c’est mon devoir. Comme prêtre et comme évêque, je dois être à votre service. Mais c’est un devoir qui me vient de fond du cœur : je l’aime. J’aime cela et j’aime le faire parce que c’est ainsi que le Seigneur m’a enseigné. « Mais vous aussi, aidez-vous : aidez-vous toujours. Les uns et les autres. Et ainsi, en nous aidant, nous nous ferons du bien. »
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Maintenant nous allons faire cette cérémonie de nous laver les pieds et pensons, que chacun de nous pense : est-ce que je suis disposé, est-ce que je suis vraiment disposé à servir, à aider l’autre ? « Pensons seulement à cela. Et pensons que ce signe est une caresse de Jésus, que nous fait Jésus, parce que Jésus est venu justement pour cela : pour servir, pour nous aider »
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Suivre, accompagner le Christ, demeurer avec lui exige de « sortir », sortir. Sortir de soi-même, d’une manière de vivre la foi lasse et routinière, de la tentation de s’enfermer dans nos propres schémas qui finissent par refermer l’horizon de l’action créative de Dieu. « Dieu est sorti de lui-même pour venir au milieu de nous, il a planté sa tente parmi nous pour nous apporter sa miséricorde qui sauve et donne espérance »
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Suivons Jésus ! Nous accompagnons, nous suivons Jésus, mais surtout nous savons que lui nous accompagne et nous met sur ses épaules : ici se trouve notre joie, l’espérance que nous devons porter dans notre monde. Et de grâce ! Ne vous laissez pas voler l’espérance ! Ne vous laissez pas voler l’espérance ! Celle que Jésus nous donne
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En ce temps de crise, nous ne pouvons pas ne nous préoccuper que de nous- mêmes, nous enfermer dans la solitude, dans le découragement, dans un sentiment d’impuissance devant les problèmes. C’est un danger : nous nous enfermons dans paroisses, entre amis, dans nous mouvements, avec ceux quoi pensent comme nous… Ne vous enfermez pas, je vous prie.
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Quand l’Église perd le courage, alors entre une atmosphère de tiédeur.. la tiédeur fait se replier sur soi et les vrais problèmes commencent ; nous n’avons plus d’horizon, plus de courage, ni le courage de la prière vers le ciel, ni le courage d’annoncer l’Évangile… L’Église doit être courageuse ! Que le Seigneur nous donne à tous la grâce du courage et de la persévérance dans la prière
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