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Mesures générales d’hygiène
Joseph HAJJAR, Béatrice CROZE, Nadine OVANESSIAN Service d’hygiène et d’épidémiologie Centre hospitalier de Valence
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Tenue professionnelle
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Objectifs Remplacer la tenue de ville
Protéger le professionnel et le patient vis à vis du risque infectieux
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Principes généraux Tenue de base
Blouse / Tunique et pantalon Chaussures Compléments en fonction du niveau de risque infectieux Charlotte, masque, lunette de protection Tablier de protection ou sur-blouse Gants Spécificités pour le BO ou lors d’acte de niveau d’asepsie chirurgicale
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Caractéristiques du vêtement
Sobriété et confort Identification du professionnel Ergonomie Manches courtes et sans revers Poches (le moins possible) droites, plaquées Fermeture par bouton pression Couleur par catégorie professionnelle et/ou par secteur
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Caractéristiques du vêtement
Changement quotidien et chaque fois que macroscopiquement souillé Entretien exclusivement par la blanchisserie de l’établissement Textile Soit polyester-coton (65% - 35%) Soit non-tissé
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Caractéristiques du vêtement
Deux situations à discuter Prise des repas Sensation de froid Sous-vêtements Gilets et vestes spécifiques
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Caractéristiques des chaussures
Confortables Silencieuses Antidérapantes Fermées sur le dessus Facilement nettoyables Dédiées pour le bloc opératoire Non nominatives
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Bloc opératoire Objectif supplémentaire de limiter l’émission de particules Tunique avec manches courtes resserrées, rentrée dans le pantalon avec bas des jambes resserrés) Coiffe couvrant au minimum l’ensemble des cheveux, assurant une protection maximale du visage et du cou (cagoule) Masque « chirurgical » posé de façon occlusive pour le nez et pour la bouche avec protection oculaire (visière ou lunettes de protection) Sarrau stérile pour l’équipe stérile et tout acte de niveau d’asepsie chirurgical
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Incontournables Cheveux courts ou attachés
Ongles courts sans vernis ni faux ongles Pas de bijoux sur les mains Y compris montre et alliance Pas d’effets personnels Poches vidées avant d’envoyer la tenue en blanchisserie Hygiène des mains avant de mettre et après avoir enlever la tenue
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Recommandations de la SRLF
Port de masque et de lunettes (ou masque à visière) imposé en cas de soins exposant à un risque de projection ou d’aérosolisation de liquides biologiques (Accord fort) Port de sur-chaussures inutile en réanimation (Accord fort), ainsi que l’usage systématique à l’entrée dans la chambre de sur-blouses ou tabliers, masques et charlottes par le personnel soignant et les intervenants extérieurs (accord fort)
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Recommandations de la SFAR
L’équipe d’anesthésie doit appliquer les mesures recommandées pour toute personne entrant en salle d’opération et pendant toute la durée de l’intervention Tenue adaptée Calot et masque adéquats Déplacements limités
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Hygiène des mains
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Principes généraux La main, outil de travail du professionnel, un agent de contamination Présence transitoire et permanente de germes L’hygiène adaptée des mains, une mesure incontournable Friction avec un gel ou une solution hydro-alcoolique Lavage des mains avec un savon doux liquide Lavage des mains avec un savon antiseptique Désinfection chirurgicale des mains par friction Lavage chirurgical des mains
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Efficacité Lavage des mains Lavage des mains
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Ignace Philippe SEMMELWEIS
« Il a indiqué du premier coup les moyens prophylactiques que l’on doit prendre contre l’infection avec une telle précision que l’antisepsie moderne n’a rien eu à ajouter aux règles qu’il avait prescrites ». Professeur Widal – In : Louis Destouches. La vie et l’œuvre de Philippe Ignace SEMMELWEIS. Thèse pour le doctorat d’état en médecine, Paris, 1924.
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PHA (gel ou solution) Produits à séchage rapide spécifiques pour la désinfection des mains Associant alcool, émollient, et parfois un autre antiseptique Friction sans rinçage sur des mains sèches, propres et non poudrées Plus rapide, plus efficace, mieux tolérée
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Efficacité Pittet
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Efficacité Pittet
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Efficacité Friction avec un PHA Empreintes de mains après
Lavage simple Lavage antiseptique Friction Photos de l’institut d’hygiène de Strasbourg - Professeur Bientz
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PHA (gel ou solution) Avant et après un contact direct avec un malade et son environnement immédiat Entre deux soins à des patients différents ou un même patient Avant et après des soins à des patients en isolement protecteur ou septique Avant un geste aseptique ou invasif
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PHA (gel ou solution) Conditions d’utilisation Préférer le lavage si
Manches courtes Absence de bijoux (y compris montre et alliance) Ongles courts, sans vernis et faux ongles Préférer le lavage si Mains visuellement souillées Mains humides Mains poudrées
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Recommandations SRLF Friction méthode à privilégier pour le contrôle de l’IN (Accord fort) Friction à utiliser en réanimation pédiatrique et néonatale après avoir vérifié l’activité sur le rotavirus (Accord fort) Pas de lavage des mains avant si absence de souillure (Accord fort) Systématiquement après tout contact avec le patient ou son environnement immédiat, avant tout contact avec un malade, indépendamment du port de gants (Accord fort) Crème réparatrice entre les activités de soins lors des périodes de repos ou en fin de poste (Accord fort)
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Recommandations SRLF Réaliser une fois / an un audit clinique de l’hygiène des mains (désinfection par friction ou lavage) (Accord fort), en particulier après l’introduction d’une nouvelle procédure (Accord faible) Lorsqu’un audit n’est pas réalisable, il est recommandé de mesurer et de suivre la consommation des produits rapportée au nombre de soignants (solution hydro-alcoolique, gants) (Accord faible)… …indicateur national ICSHA !
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antiseptiques hydro-alcooliques (induction, réveil, urgence)
Recommandations SFAR L’hygiène des mains Lavage et désinfection par friction intérêt des solutions antiseptiques hydro-alcooliques (induction, réveil, urgence)
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Port des gants
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Principes généraux Une des précautions standard
Un moyen fondamental dans la prévention des IN Une barrière de protection efficace vis-à-vis des risques chimiques, physiques et biologiques Un élément contribuant à l’asepsie Savoir mettre des gants, savoir les enlever
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Choix du gant Un type de gant pour Choix éclairé
Une utilisation précise Une catégorie professionnelle Choix éclairé Geste à effectuer Qualité de barrière attendue (protection bactériologique, chimique, physique) Nature du matériau Qualité du gant
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Normes des gants à usage médical
Novembre 2006 NF EN ISO 21171 - Détermination de la poudre en surface Février 2001 EN détection des trous Étanchéité du gant Février 2001 EN propriétés physiques Résistance du gant (rupture, soudure) Définition des tailles longueur, largeur Février 2001 EN évaluation biologique Tolérance Taux de protéines totales contenues dans les gants en latex Contrôle de la teneur en endotoxines, absence de talc Présence de latex et de poudre Caractère hypoallergénique
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Gant à usage médical non réutilisable
Gants de chirurgie stériles De forme anatomique Manchettes longues possibles Technique Gants d’examen ou de soins stériles ou non De forme anatomique ou non
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Composition du gant A partir de caoutchouc naturel (latex)
Gants de chirurgie Gants d’examen ou gants de soins A partir de caoutchouc synthétique (néoprène ou nitrile) A partir de matières plastiques (vinyle, polyuréthane, polyéthylène) Gants de soins, gants de ménage
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Confort d’utilisation du gant
Ajustabilité à la main Souplesse Dextérité Enfilage facile Résistance de la manchette
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Gant réutilisable Gant de ménage Equipement de protection individuelle
Taille Manchettes longues possibles Nominatif Nettoyable Equipement de protection individuelle Risques mécaniques, chimiques, thermiques, radioactifs
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Normes des autres gants
EN 388 – risques mécaniques (gants de ménage) EN 374 – risques chimiques et biologiques EN 421 – risques radioactifs EN 511 – risques thermiques (froid) EN 407 – risques thermiques (chaud)
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En pratique Gant stériles de chirurgie Gants stériles
Gants non stériles Gants réutilisables - Intervention chirurgicale - Geste invasif - Actes médicaux de diagnostic, thérapeutiques - Geste invasif, soins de confort - Présence de liquides biologiques - Manipulation de linge sale, des déchets, du matériel souillé -Tâches d‘entretien et de nettoyage, - Manipulation des containers de déchets, linge Effet barrière Résistant Confort gestuel Résistant +/- Confort gestuel +/- Épais Emballage individuel En vrac dans des boîtes distributrices Coût très élevé Coût élevé Coût variable Coût faible
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Port inadapté de gant (insuffisant ou excessif)
Redoutable vecteur d’infection manu-portée pour la personne soignée Absence de sécurité pour le personnel Un gant non enlevé = Une main non lavée Insuffisant ou excessif
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Incontournables du port de gant
Avoir des mains propres et bien sèches, ongles courts, pas de vernis, ni bijou, … Protéger toute lésion cutanée par des pansements Porter un gant adapté à sa morphologie Changer de gants Entre chaque patient Entre chaque soin de niveau différent de risque pour un même patient En cas d’interruption du soin En cas de gant perforé En cas de faute d’asepsie
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Incontournables du port de gant
Ne jamais laver ou désinfecter un gant réutilisable Limiter la durée du port de gants Ne pas faire de réserve de gants dans la poche Ôter le gant dès la fin du soin Éliminer les gants après utilisation Réaliser une hygiène des mains Porter une double paire de gants pour certains actes chirurgicaux
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Risques liés au port de gants
Distinguer L’irritation de contact Réaction physico chimique localisée Les réactions allergiques Réponse du système immunitaire à un allergène Protéines du latex, Additifs chimiques
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Risques liés au port de gants
Conduite à tenir définie Pharmacie, médecin du travail, services économiques Avis du spécialiste Kit « sans latex »
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Recommandations SRLF Gants non stériles pour tout contact exposant à des liquides biologiques, la peau lésée et les muqueuses (Accord fort) Ils ne doivent pas être poudrés (Accord fort) Ils son retirés entre chaque soin chez un même malade (Accord faible) Les gants stériles doivent être utilisés uniquement pour la réalisation de procédures invasives nécessitant une asepsie (Accord fort)
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Environnement
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Conditions techniques de fonctionnement relatives à la réanimation
Locaux distribués en 3 zones Zone d’accueil (filtre) en amont des zones technique et d’hospitalisation Contrôle des flux Entrée séparée (visiteurs / patients, professionnels, approvisionnements) Sas permettant aux visiteurs de revêtir une tenue de service Pas de différenciation circuit propre / sale (enfermer le sale et protéger le propre) Vestiaires du personnel (avec sanitaires) et autres locaux reliés à la zone filtre et aux 2 autres zones
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Conditions techniques de fonctionnement relatives à la réanimation
Locaux distribués en 3 zones Zone d’hospitalisation Couloir de circulation propre à la zone Large d’au moins 2,5m et pas de saillie Poste central Chambres à 1 seul lit
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Conditions techniques de fonctionnement relatives à la réanimation
Chambres à 1 seul lit Double vitrage emprisonnant des stores Porte d‘accès de 1,2m 2 points d’eau (lavage des mains, toilette du patient) Ventilation (6 vol/h) + climatisation, T° 22°C à 26°C Paillasse pour la préparation des soins (fond du plan relevé en arrondi de 10 cm) et éléments suspendus et mobiles Matériaux inaltérable, lisse, non poreux, sans joint Facilité du nettoyage, résistance aux DD
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Conditions techniques de fonctionnement relatives à la réanimation
Locaux distribués en 3 zones Zone technique (porte d’accès large de 1,2m) Espaces de rangement Local pharmacie Office alimentaire (patients) Espace nettoyage et décontamination Local ménage Locaux linge propre et sale
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Conditions techniques de fonctionnement relatives à la réanimation
Dispositions générales (hygiène) Revêtements des sols et muraux Faux-plafonds des chambres
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Recommandations de la SRLF
Architecture Accord fort Accès séparés non recommandés Vide lave-bassin par sous-unité Accord faible Organisation en 3 zones filtre recommandée Renouvellement de l’air 6 à 10 fois/h Pas de consensus Accès séparés propre / sale Nombre de points d’eau dans la chambre
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Recommandations de la SRLF
Environnement proche du malade (équipement médical et mobilier) nettoyé et désinfecté au moins 1/j (accord fort) Contrôles microbiologiques de surfaces inutiles en routine (Accord fort) Contrôle de l’eau chaude sanitaire (légionelles) 1/an (réglementaire) Contrôle de filtration 1/an et en continue de la surpression, si chambre avec traitement d’air (Accord fort)
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Bloc opératoire Permettre un entretien adapté des surfaces planes et verticales Revêtements lisses (sols, murs), non poreux, remontant le long du mur (en arrondi) et supportant un entretien avec des détergents désinfectants Plastique (polychlorure de vinyle) en lés soudés Résine (polyuréthane) Equipements mobiles pour vider la salle d’opération en fin de journée opératoire et faciliter son nettoyage Aucun stockage de matériel en salle d’opération
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Bloc opératoire Permettre un entretien adapté du mobilier et des matériels médicaux chirurgicaux Matériaux supportant les détergents désinfectants Mise en place des tunnels de lavage Matériel réservé au bloc opératoire Prévoir des portes à commande par cellule pour les accès principaux Prévoir des postes de lavage de mains adaptés
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Bloc opératoire Séparer les entrées des différents flux (personnel, matériel, patient) = SAS Patient (transfert) Personnel (vestiaire) Matériel (décartonnage) Séparer les différents flux circulant Conteneurs fermés pour transporter les matériels contaminés (déchets, matériel chirurgical, etc.) Limiter l’ouverture des portes
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Bloc opératoire
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Références Recommandations des experts de la SRLF, janvier Prévention de la transmission croisée en réanimation. Réanim 2002;11:250-6 ou Décret n° du 5 avril 2002 relatif aux conditions techniques de fonctionnement auxquels doivent satisfaire les établissements de santé pour pratiquer les activités de réanimation, de soins intensifs et de surveillance continu et modifiant le code de la santé publique CHU Saint Etienne. La culture du gant. Juin 2002 CTIN. 100 Recommandations pour la surveillance et la prévention des IN. 1999 C-CLIN Paris-Nord. Les gants à l’hôpital: un choix éclairé. Octobre 1998 CCLIN Sud-ouest. Recommandations pour une bonne tenue vestimentaire adaptée des personnels soignants en milieu hospitalier. 1998
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