Microéconomie I.

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1 Microéconomie I

2 Chapitre I : Fondement de la théorie du choix du consommateur

3 Section I : Notions élémentaires de la théorie. du choix
Section I : Notions élémentaires de la théorie du choix du consommateur.

4 Sommaire Le consommateur Les besoins économiques Les biens économiques
Les paniers de consommation L’ensemble de consommation Utilité Probléme du choix du consommateur

5 Introduction :

6 Définition de la science économique:
La science économique est l’administration des ressources rares. Définition 2: La science économique est l’étude du comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens à usage alternatif. Définition 3: La science est l’étude des rapports sociaux qui s’établissent entre les sociétés.

7 la science Économique Microéconomié : Macroéconomié :
La microéconomie (ou micro-économie) est la branche de l'économie qui « analyse les comportements des individus ou des entreprises et leurs choix dans le domaine de la production, de la consommation, de la fixation des prix et des revenus. Elle est le champ privilégié de la théorie néo-classique » La macroéconomie est l'approche théorique qui étudie l'économie à travers les relations existantes entre les grands agrégats économiques, le revenu, l'investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation, etc

8 Qu’est-ce que la macroéconomie ?
L’analyse microéconomique est une discipline de la science économique qui étudie le comportement des agents économiques (le consommateur et le producteur). Consommation : Comment choisir ce qu’on achète. Production : Comment choisir ce qu’on produit.

9 Le consommateur : Est un agent économique dont la mission principale est de consommer (acheter des biens et services), grâce à son revenu pour satisfaire ses besoin.

10 Les besoins économiques :
Le besoin économique est un besoin qui peut être satisfait par l’acquisition et la consommation d’un bien rare lors d’une transaction marchante. Avoir envie d’une pomme, d’un vêtement, d’un ordinateur sont des besoins économiques. L’analyse microéconomique suppose que la satisfaction de tout besoin économique exprimé par un bien dont le seul mode d’acquisition est l’achat libre et volontaire sur un marché.

11 Les biens économiques :
Un bien économique est bien échangeable (on peut le vendre / l’acheter) sur un marché, il à un prix qu’on doit payer. Les biens économiques offerts sur le marché par les firmes sont « demandés » par les consommateurs contre paiement « d’un prix ». Bien libre : est un bien disponible en quantité illimitée, son prix est égale à zéro (prix = 0 : n’est pas un bien économique).

12 Bien indésirable : est un bien que le consommateur ne souhaiterait pas consommer.
Bien divisible : bien dont on peut consommer la quantité qu’on désir. Exemple : « Pizza », « canette »... Je suis pas obligé de consommer toute la canette.

13 Les paniers de consommation :
Le consommateur fait son choix dans l’ensemble des options qui lui sont ouvertes, c’est-à-dire l’ensemble de toutes les combinaisons possible de quantités de biens de consommation. Chacune des combinaisons des biens consommés est appelée un panier de consommation.

14 L’ensemble de consommation :
L’ensemble des paniers de biens que le consommateur peut se procurer est appelé « ensemble de consommation ». La théorie microéconomique fait usuellement l’hypothèse que cet ensemble n’est pas limité. Il intègre tous les paniers composés de quantités positives ou nulles des différents biens disponibles.

15 L’ Utilité : L’objectif de tout consommateur rationnel est de maximiser son utilité. Le terme utilité ne doit pas être entendu au sens restreint de ce qui est utilitaire (c’est-à-dire pratique). Au contraire il s’agit du sens le plus large qu’on puisse donner à ce mot.

16 Est utile toute consommation qui est perçue par le consommateur comme lui procurant du plaisir ou lui évitant des peines ou des efforts. L’utilité traduit donc la sensation de bien-être et de plaisir que l’individu obtient par la consommation d’un bien ou d’un service. En microéconomie, l’inspiration néo-classique, l’utilité d’un bien ou d’un service varié d’une personne à l’autre c’est-à-dire subjective.

17 Probléme du choix du consommateur :
Le problème du consommateur est donc de choisir quelles quantités acheter des différents biens disponibles en fonction de ses goût, ses préférences et compte tenu de la contrainte de son budget afin d’obtenir le maximum de satisfaction possible. Le choix économique est un choix désiré que pour l’obtenir on doit renoncer à un autre choix.

18 Nous somme obligé de faire des choix, parce que en vit dans un contexte de rareté, nous devons faire des choix, c.-à-d. trouver un équilibre entre les besoins et les ressources. La rareté impose des choix : L’obligation des choix. Coût d’opportunité.

19 Valeur de sacrifice = Coût d’opportunité.
Coût d’opportunité = Correspond à la valeur (gain monétaire / plaisir) de l’opportunité sacrifiée. C’est la base des choix des agents économiques. Démarche : Quelle est l’opportunité sacrifiée ? À quoi j’ai renoncé ? Calculer la valeur de l’opportunité sacrifiée. Combien j’aurais pu gagner avec l’opportunité sacrifiée ?

20 Gain (choix) > Coût d’opportunité Bon choix.
Remarque : Le coût d’opportunité correspond à la valeur de la meilleure opportunité sacrifiée (Max gain/plaisir). Gain (choix) > Coût d’opportunité Bon choix. Gain (choix) < Coût d’opportunité Mauvais choix. Le coût d’opportunité est subjectif (personnel) puisque le coût d’opportunité varie d’un individu à un autre.

21 Supposons que le déplacement par taxi coût 10 Dh et 3 Dh pour le bus.
Exemple : Supposons que pour vous aller à la faculté vous avez le choix entre deux moyens de transports : taxi et bus. Supposons que la durée du trajet est identique quelque soit avec taxi ou le bus (10 min pour les 2). Supposons que le déplacement par taxi coût 10 Dh et 3 Dh pour le bus. Supposons que vous avez choisissez le taxi.

22 Quel est son coût d’opportunitée ?
Question : Quel est son coût d’opportunitée ? Pour répondre à cette question on à besoin de deux questions plus détaillés : A quoi j’ai renoncé ? (connaitre la décision non choisi). Qu’est-ce que j’aurai pu gagner avec l’option sacrifiée.

23 En choisissaient Taxi on à renonce au bus.
Réponse : En choisissaient Taxi on à renonce au bus. En prenant le bus j’aurai économisé 7 Dh(10 – 3 = 7). La valeur du gain auquel j’ai renoncé = 7 Dh. Le coût d’opportunité = 7 Dh.

24 Choix entre plusieurs options :
Le cout d’opportunité d’une option = la valeur de satisfaction en terme de gain de la meilleur option sacrifiée celle qui a la valeur maximale. Supposons que j’ai choisi de produire des ordinateurs dont la valeur unitaire (de chaque PC) = 5 000,00 Dh. En faisons ce choix j’ai renoncé à la production d’autres bien et service comme : Voiture, prix = 50 000,00 Dh. Imprimante , prix = 4 000,00 Dh. Chemise , prix = 400,00 Dh.

25 Quel est le coût d’opportunité de l’ordinateur ?
Question : Quel est le coût d’opportunité de l’ordinateur ? Réponse : 1. On choisissant la production des ordinateurs, j’ai renoncé à la production des : voitures, imprimante, chemise. 2. J’aurais pu gagner Avec: Voiture 50 000,00 Dh. Imprimante 4 000,00 Dh. Chemise 400,00 Dh. 3. La meilleure option sacrifiée dans l’exemple c’est la voiture : Donc le gain maximale auquel j’ai renoncé = gain associé à la voiture. Coût d’opportunité des ordinateurs = 50 000,00 Dh.

26  Ici le producteur rationnel choisi la production des voitures car celle-ci à le coût d’opportunité le plus faible. Bref  : Pour faire le meilleur choix  il faut minimiser le coût d’opportunité ça veut dire je dois toujours faire le sacrifice le plus faible.

27 شكراً