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Publié parRémy Faivre Modifié depuis plus de 10 années
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Robinson crusoe Après le naufrage de son voilier sur les cÔtes d’une île déserte un homme se trouva seul dans cette île et y vécut de longues années sans jamais voir aucun de ses semblables .Cet homme était Robinson Crusoè. Il avait fort heureusement des outils ,des graines de semence des vêtements et toutes sortes de choses provenant du naufrage. Ainsi la vie lui fut rendue plus facile . Il fut tour à tour tailleur potier boulanger terrassier mais jamais un homme ne se présenta devant lui un jour il
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devait pourtant avoir cette joie et il raconta : Un matin , je distinguai sur le rivage jusqu ‘a six canots ; ils avaient du amener des hommes , des sauvages sans doute, qui étaient déjà a terre. au moyen d’une lunette d’approche , je vis qu ils étaient trente au moins , qu ils avaient allume un feu pour préparer leur festin , et qu’ils dansaient tout autour. Un moment après ,je les vis tirer d’un canot deux malheureux, pour les mettre en pièces et les manger . l’un des
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deux tomba bientôt a terre, assommé d’un coup de massue et à l‘instant, deux ou trois hommes se mirent à le découper . l’autre attendait son tour . Ce malheureux , se trouvant alors peu surveillé , se mit à courir avec une vitesse extraordinaire le long des sables, tout à fait de mon coté .trois hommes seulement le pour suivrent, mais il gagnait du terrain sur eux.il y avait dans le rivage, entre lui et mon château, une petite baie ou il devait être pris, à moins de la passer à la
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nage. Mais, quand il fut arrivé la ;il ne réfléchit en aucune façon
nage. Mais, quand il fut arrivé la ;il ne réfléchit en aucune façon .bien que la mer fut très haute et l’eau très profonde, il s’y jeta et gagna l’autre bord en trente brassées tout au plus, après quoi, il regagna la rive et se remit à courir .de ses trois ennemis, deux seulement continuèrent la poursuite. Alors, je descends précipitamment du rocher pour prendre mon fusil et, sans retard, je marche vers la mer .je me jette entre les poursuivants et le fugitifs et j’assomme le plus avancé d’un coup de
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crosse .l’autre s’arrête, hésite, puis ajuste une flèche à la corde de son arc.je le tue d’un coup de fusil. Quant au pauvre fugitif, il était si épouvanté de la détonation de mon fusil qu’il s’ arrêta de la détonation de mon mieux par mes gestes, et il finit par s’approcher , en
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s’agenouillant tous les dix pas
s’agenouillant tous les dix pas . arrivé près de moi , ,il se prosterna, et baisa la terre. Il prit un de mes pieds et et le posa sur sa tète ,pour me faie comprendre sans doute que je devenais son maitre et qu’ il s’engageait à me servir fidèlement. Alor out s je l’emmenai avec moi ,je lui donnai à boire et à manger . il en avait grand besoin aprèssa course forcée .après sa quoi ,je l’envoyai dormir sur un petit tas dépaille qui était dans un coin. L’homme que j’avais sauvé était un
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garçon solide ;de vignetant ans environ. il avait la peau très brune
garçon solide ;de vignetant ans environ . il avait la peau très brune. Après serte reposé, il vint à moi et fit ce qu’il put pour me montrer qu’il me remerciait .je lui parlai ,et je lui appris à me parler à son tour . je lui enseignai d’abord qu’il s’appellerait vendredi ,nom que je lui donnai à couse du jour ou il était tompé en mon pouvoir . je lui appris encore à me nommer maitre et à me répondre par oui ou non quand il le faudrait . trois ou quatre jour après ,je résolus de le détourner de son
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habitude DE MONGER DES HOMMES
habitude DE MONGER DES HOMMES . JE LE CONDUISIS DANC UN MATIN DANS LE POIS ET JE TIRAI SUR UN DES CHEVREAUX .LE PAUVRE VENDREDI TREMBLAIT COMME LA FEUILLE SANS SANGER DU COT2 DU CHEVREAU IL OUVRAIT ET REFERMAIT SA VESTE POUR VOIR S IL N ETAIT PAS BLESSE. JE LENVOYAI CHERCHER LE CHEVREAU ET PENDANT QU IL LE RAMASSAIT JE RECHERGEAI MON FUSIL SANS QU IL Y PRIT GARDE . JE
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LUI MONTRAI ALµORS UN PERROQUET QUE JE TUAI DU COUP
LUI MONTRAI ALµORS UN PERROQUET QUE JE TUAI DU COUP .LEMEME SOIR JE PREPARAI LE CHEVREAU ET JE LE FIS CUIRE .JE DO NNAI UNE PARTIE DE CETTE VIANDE BIENPREPAREE A MON ESCLAVE QUI LA MANGEA AVEC PLAISIR. C EST AINSI QUE PETIT A PETIT JE L HABITUAI A SE CONTENTER DE MES PLATS ET QU IL OUBLIA SES AUTRESHABITUDES HABITUDES DE MANGEUR D HOMMES . LES BEAUX JOURS VENUS JE ME DECIDAI UN MATIN A
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FAIRE UN TOUR LE LOG DES COTES DE MON ILE MAIS COMME J ALLAIS PARTIR VENDREDI REVINT VRES MOI EN COURANT IL PARAISSAIT TRES INQUIET. OH MAITRE MAUVAIS LABAS UN DEUX TROIS CANOTS EN EFFET JE DECOUVRIS BIENTOT VINGT ET UN SAUVAUVAGES QUI AVAIENT DEBARQUES ET SE PREPARAIENT A TUER TROIS PRISONNIERS QU IL AVAIENT FAITS DANS L INTENTION EVIDENT DE LES MANGER. Je dressai alors mon plan de
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