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Publié parEvrard Bouchet Modifié depuis plus de 10 années
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Balade de Bilbao à Bayonne par la côte Le LABOURD/LAPURDI
BILBOKO BAIONARAT Euskal Kostaldea Bizkai Gipuzko eta Lapurdiko probintzia goxuak Ingana zitzaiela luzaz itsasuak Balade de Bilbao à Bayonne par la côte Le LABOURD/LAPURDI Ciboure/Ziburu et St Jean de Luz Donibane Lohitzun
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CIBOURE : Cité des corsaires et des artistes, Ciboure est un lieu incontournable de la côte basque. Ses pittoresques façades à colombages, ses ruelles étroites, son joli port classé premier port thonier d'Europe et son fort font de la petite soeur de Saint-Jean-de-Luz une ville charmante. Consciente de ses atouts, Ciboure se tourne résolument vers le tourisme et la plaisance. FORT DE SOCOA : Edifié au XIIe siècle, il se présente comme une gigantesque tour circulaire d'allure médiévale. La digue de protection, construite à la fin du XVIIe siècle, a été décidée par Vauban. Située aux portes de l'Espagne, ouverte sur l'océan, Saint-Jean-de-Luz a toujours eu un rôle historique et a été très tôt le domaine des pêcheurs, dont elle protégeait les bateaux. La commune a plusieurs fois connu les assauts de la nature, si bien que de la ville historique, il ne subsiste qu'une partie. D'où la construction, au début du XIXe siècle, de digues constituant un "seuil de garantie". LE PORT : Charmant et pittoresque, le port a été construit au XIIe siècle, lorsque l'ensablement du fleuve l'Adour réduisit considérablement les activités du port de Bayonne. Les maisons qui longent ses quais sont de style labourdin. Zorionak
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Église de Ciboure Ciboure son nom basque est Ziburu, une contraction de zubi buru 'bout du pont'. Ciboure est effectivement située au débouché du pont sur la Nivelle. Siboro était l'ancien nom de la ville, tout du moins jusqu'en 1692 Les armoiries de Ciboure ont été approuvées par le Conseil Municipal en 1992, ces armoiries se retrouvent sur la vieille fontaine à Ciboure classée monument historique et datant de Elles correspondent à une légère adaptation des règles d’héraldique par souci d’esthétisme (ajout du marron pour le tronc du chêne et bateaux). L’arbre est un chêne de sinople (vert) fruité de glands d’or (jaune) dont le tronc est au naturel (marron). Le chêne représente la force, les traditions la mémoire. Il a été repris ensuite dans plusieurs armoiries du Pays Basque. Le cheval d’argent (blanc) sur une mer d’azur (bleue) est le signe de la vitesse, la légèreté du commandement. Le cheval était un animal royal. La vocation maritime de Ciboure se retrouve dans les deux vaisseaux dits d’accompagnement sur les armoiries.
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Plage de Socoa vue sur FORT DE SOCOA
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Port de plaisance Ciboure
Quai Ravel et Église
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Maison des Glycines Ciboure
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Quai et maison Maurice Ravel Phare de Ciboure et vue sur la Rhune
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Port de plaisance Ciboure
Quai Ravel et Église
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Entrée du port et phare de St Jean de Luz
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Rive droite de la Nivelle/Urdazuri
Vue sur Ciboure et tour de Bordagain
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Cygne sur la Nivelle/Urdazuri
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Port et Eglise de St Jean de Luz/Donibane Lohitzun
Aux portes de l'Espagne, Saint-Jean-de-Luz, Donibane Lohitzun en Basque, a su préserver son authenticité, tout en alliant les attraits d'une station touristique réputée à ceux d'un port de pêche au riche passé historique. La baie est une anse de sable fin baignée du bleu de l'océan avec, pour toile de fond, la montagne de la Rhune. Le port, un ravissement pour les yeux avec ses chalutiers bleus, rouges, verts. La vieille ville témoigne de l'aventure maritime de Saint-Jean-de-Luz depuis la nuit des temps, cité de marins intrépides, corsaires, pêcheurs de baleines et de morues. Certains édifices tels, le château de Lohobiague, dit Maison de Louis XIV car le Roi Soleil y séjourna lors de son mariage avec l'Infante Marie-Thérèse en 1660, la Maison de l'Infante qui reflète son profil rose dans les eaux bleues du port, l'Église Saint-Jean Baptiste, La Place Louis XIV avec son kiosque à musique, ses platanes en tonnelle et sa ceinture de façades blanches et rouges constituent quelques étapes inoubliables. Saint Jean de Luz séduit par son art de vivre car elle sait recevoir et partager, par la multitudes d'activités proposées, sans oublier ses fêtes, mémorables au Pays Basque.
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Port St Jean de Luz/Ciboure
Au XVe siècle, les pêcheurs basques du port de St Jean de Luz explorèrent les premiers les bancs de Terre-Neuve et la pêche à la morue jointe à celle de la baleine accrurent considérablement la prospérité de Saint-Jean-de-Luz, leur port d’attache. Du XVIème au XVIIIème siècle, la ville devint un nid de corsaires qui combattaient pour le compte du roi de France. L'enrichissement du port et l'afflux de population furent tels qu'il en résulta l'urbanisation de Ciboure (en Basque Zubiburu) quartier détaché d'Urrugne et finalement érigé en commune indépendante situé au delà du pont qui le reliait jadis à Saint-Jean-de-Luz (le couvent des Recollets fut implanté sur son tracé pour apaiser les relations entre les deux communautés, souvent rivales). En 1713, le traité d’Utrecht abandonnant Terre-Neuve à la Grande-Bretagne porta un coup funeste à Saint-Jean-de-Luz. A la fin du siècle, la baleine ayant disparu du golf de Gascogne et l'océan ayant rompu les barres de Socoa et de Sainte-Barbe, qui protégeaient la baie, le port et une partie de la ville se trouvèrent ruinés. Ce fut la décadence ; pêcheurs et gens de mer émigrèrent en masse, la ville perdit l'essentiel de ses habitants. L'année 1789 fut marquée, en particulier, par une terrible tempête qui détruisit tout un quartier de la ville ("La barre") et submergea le couvent des Ursulines. Port St Jean de Luz/Ciboure Vue sur la Rhune
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Kiosque place Louis XIV
Au XIXe siècle, les digues, souvent détruites dans le passé, furent reconstruites afin de maintenir définitivement la sécurité du port et de la ville. Les voyages de Napoléon III dans la région puis l'engouement de la bonne société pour la Côte Basque débouchèrent à cette époque, avec l'arrivée du chemin de fer, sur un grand essor touristique. Suite à l'édification de ses trois digues (Socoa, l'Artha, et Sainte-Barbe), Saint-Jean-de-Luz ne fut plus systématiquement envahie par les eaux lors des grandes tempêtes, comme cela avait été régulièrement le cas auparavant. Cassant les gros rouleaux venus de l'océan, ces digues contribuèrent, dès le début du développement des bains de mer, à faire de Saint-Jean-de-Luz un lieu de villégiature très prisé des familles.
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Rue Gambetta et Eglise St-Jean-Baptiste
Blason de la ville Blasonnement: Ces armes parlantes adoptées au début de l'année 1992 évoquent le passé de Saint-Jean-de-Luz : le navire trois-mâts sur fond bleu à la coque noire et aux gréements de même couleur, voguant à pleines voiles blanches, rappelle l'activité maritime qui fit la richesse de la ville à partir du XVe siècle. le lion d'or sur fond rouge, coiffé d'une couronne de vicomte, et la crosse episcopale évoquent quatre siècles de l'histoire de la ville : la baronnie de Saint-Jean-de-Luz, possession du vicomte du Labourd, fut donnée en 1160 au chapitre des chanoines de Bayonne ; en 1570 la ville racheta son indépendance, le titre de baron étant dès lors porté par le maire (ou bayle).
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Maison Louis XIV
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Port et maison de l’Infante
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Port et vue sur Ciboure
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Bordagain Ciboure vue sur St Jean de Luz
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Baie de St Jean de Luz
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Plage et vue sur Ste Barbe
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Digues de l’Artha et de Ste Barbe
Entrée de la baie Digues de l’Artha et de Ste Barbe
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Plage sous la neige
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Plage et Fort de Socoa sous la neige
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Port de St Jean de Luz/Ciboure sous la neige
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Port et Eglise sous la neige
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Port de St Jean de Luz/Ciboure sous la neige
Maison de l’Infante
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Port de St Jean de Luz/Ciboure sous la neige
Maison de l’Infante
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Ste Barbe vue sur la Baie et la Rhune
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La Jetée et la Plage
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De la Jetée vue sur Bordagain
et phare entrée du port
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Digues de Socoa-Artha Vu de la plage
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Ste Barbe vue sur la Baie et la Rhune
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Pile d’Assiettes Ste Barbe
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Digues de Socoa-Artha-Ste Barbe
Vue sur le Jaïzquibel
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Digues de Socoa-Artha-Ste Barbe
Vue sur le Jaïzquibel
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vue sur la Baie de St Jean de Luz
Petir train de la Rhune vue sur la Baie de St Jean de Luz
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Notre prochaine étape visite du Labourd côtier à Biarritz/Miarritze
Lapurdi izenaren jatorria « Lau-ur » da, izan ere, bere lurretatik lau ibai isurtzen baitira : Aturri, Errobi, Urdazuri eta Bidasoa. Bere eremua 859 km2-koa da, 41 herrik osatzen dute. Nahiz eta mendeetan hiri nagusia Uztaritze izan, gaur egun Baiona da. Le Labourd, Lapurdi en langue basque, venant de lau + ur « quatre eaux. », est la province du Pays-Basque située entre quatre rivières qui sont Aturri ( l'Adour ), Errobi ( la Nive ), Urdazuri ( la Nivelle )et Bidasoa ( la Bidasoa ). D'une superficie de 859 km2, elle est constituée de 41 communes et sa capitale, durant de nombreux siècles, fut Ustaritz, peu à peu supplantée par la ville épiscopale de Bayonne. Les terres du Labourd, limitées au nord par l‘Adour, sont géographiquement et historiquement liées à la mer. C'est, en partie, un territoire arraché à l'océan par l'accumulation de grands dépôts quaternaires, où s'installèrent les Vascons. Après une période d'occupation romaine superficielle, ils parviendront à constituer ce duché de Vasconie qui fut pratiquement indépendant et dont l'un des derniers porteurs du titre, Eudes, lutta contre les Sarrasins, lors de la fameuse bataille de Poitiers. La mer a joué un rôle primordial dans l'évolution historique de cette région. C'est par elle qu'arrivèrent les pirates normands. Ces célèbres vikings s'établirent durant presque un siècle à Bayonne et y laissèrent une partie de leur expérience et de leur connaissance dans cet art de la navigation qui fit la renommée des basques par la suite. Armes du Labourd Elles sont composées d'une part d'un lion représentant les anciens vicomtes du Labourd, et d'autre part d'une fleur de lys symbolisant l'annexion à la France, en 1450 par le roi de France Charles VII. Armoirie du Labourd/Lapurdi Notre prochaine étape visite du Labourd côtier à Biarritz/Miarritze Gero arte
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Kiosque place Louis XIV
NERE EKIALDEAN (Benito.Lertxundi) Urdina itsasoari irailak eman zion, Eta itasoak nerekin kaio bat egin zuen, Orobat itsaso den kaioa. Ortzimugaren bila doan treineruarekin batera, Helmugarik gabeko ekitaldira abiatzen naiz, Eta arraunen uherak bezala, Hiltzen eta birjaiotzen natzaio Hegaldi bakoitzari, Ezaugarririk utzi gabe, Ez baitira loturak baino. Ilunabarretan, harrabots antzuetatik Iheska doazenekin elkartzen aniz, Eta zalantzan diren kezkatiek Itxaropenez elikatzen naute. Bere bihotzean, mugagabetasunarekin Batzen nauen hazia daramat, Eta egunsenti berriak pizten ditu Nere ekialdean. NERE EKIALDEAN Septembre octroya à la mer son bleu,et la mer fit de moi une mouette qui est aussi mer. Près de la traînière lancée à l’assaut de l’horizon,je me lance dans une aventure sans frontière. Et à l’image du sillage des rames,je meurs et je renais,à chaque envol. Sans laisser de symboles qui ne seraient que des attaches. Au crépuscule,je retrouve ceux qui fuient les tapages stériles. Et les inquiets qui doutent,me remplissent d’espérance. Je porte dans mon cœur,la semence qui me relie à l’infini,et fait naître des aubes nouvelles en mon orient. Et quand la nuit me recueille en son sein,en écoutant la voix du silence,il pleut dans mes yeux car ils sont emplis de l’amertume de ceux qui n’ont pas obtenu compassion. Kiosque place Louis XIV
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