La Banque de données routières (BDR)

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1 La Banque de données routières (BDR)
Ir D. Masset, Directeur Ir Fr. Plumier, Attaché Beez, le 05 février 2015

2 Pourquoi une base de données ?
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3 fiables (complètes et à jour), couvrant l'ensemble du réseau,
Disposer de données fiables (complètes et à jour), couvrant l'ensemble du réseau, disponibles dans un environnement centralisé est indispensable pour permettre d'appliquer des modèles de décision (analyse des coûts, évolution de l'état du réseau routier, stratégie d'entretien, planification des interventions, …) mettre en place un outil de gestion opérationnelle permettant de faire face à des impératifs de gestion moderne et efficace. 3

4 Les données 4

5 A l’origine, la BDR est exclusivement un inventaire de données routières :
routes, de la constitution de la route, des paramètres administratifs de la route, des points marquants de la route, des équipements de la route, des mesures effectuées sur la route. 5

6 Les données  La route Numéro Libellé Bornage Nom de rues
Classification (RGG, RESI, Réseau structurant,…) Itinéraires européens Limitations de vitesse Photographies routières. 6

7 Les données  La constitution de la route
Géométrie Nombre de chaussées et de voies (principales et auxiliaires) Numérotation des chaussées et des voies Séparateur central Largeur Surface Type de revêtement Couche de roulement Les données  Les paramètres administratifs de la route Gestionnaire (District, Direction territoriale) Territoires traversés (Commune, Ancienne commune, Province, Arrondissement,…) Zones de Police Agglomérations 7

8 Les données  Les points marquants
Les échangeurs Les passages à niveaux Les annexes Les ouvrages d’art Les carrefours 8

9 Les données  Les équipements
Données « figées » + « à la demande » : Glissières de sécurité Murs antibruit Pistes cyclables Panneaux Via Secura Passages piétons Avaloirs Bassins d’orages … Infrastructure prévue pour les encodages mais ceux-ci non systématiques. 9

10 Les données  Les mesures
Classes de qualité des revêtements Données collectées et injectées par la DGO1-66 Arrachement, orniérage, uni longitudinal,… Etat des marquages Recensement de trafic 10

11 Les données  Les équipements électromécaniques
Stations météo Radars Bornes téléstrades Panneaux à messages variables Caméras L’éclairage Stations pèse-essieux Cabines d’alimentation Signaux d’affectation des voies … 11

12 Les classes de qualité des revêtements
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13 Consultation des classes de qualité et des moyennes hectométriques.
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14 L’application BDPQR (DGO1-66) injecte automatiquement dans BDR de nombreux paramètres :
L’adhérence SCRIM (CFT) Les unis longitudinaux (CP10, CP25 et CP40) L’indice global de sécurité L’indice global de confort L’orniérage TUS Les indices de réflexion … 14

15 Consultation des cartes de qualité
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16 Insérer un extrait du pdf
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17 Constatations 17

18 Interface vieillissante, peu conviviale et peu intuitive.
Pas ou peu d’interactions entre les nombreuses applications de la DGO1. Beaucoup de copies locales de données ou de bases de données annexes (doubles encodages / mises à jour compliquées). L’encodage de nouveaux types de données est difficile. Codification complexe. 18

19 Les requêtes et les représentations cartographiques sont impossibles.
La consultation et l’exploitation des données sont difficiles et limitées (longs tableaux peu lisibles, export sous Excel limité, pas d’outil de reporting généralisé,…). Les requêtes et les représentations cartographiques sont impossibles. 19

20 Besoins 20

21 Mise à disposition d’information globale partagée.
Evolution vers une architecture moderne proposant notamment : un environnement applicatif moderne, convivial, intuitif et simple d’utilisation, plusieurs systèmes de référencement, une intégration forte de la cartographie (consultation et édition), la possibilité d’intégrer des technologies innovantes, l’intégration et la consultation aisées de fichiers image et vidéo, des possibilités aisées de traitement des données, des outils de reporting performants et faciles d’utilisation. 21

22 Projets en cours 22

23 Mise à jour du filaire des routes Socle de données de référence
Mobile Mapping 23

24 Mise à jour du filaire des routes.
Donnée essentielle si on veut donner une place prioritaire à la cartographie dans le futur socle de données de référence. Tracé actuel obtenu par digitalisation des cartes IGN au 1/10 000 Mise à jour basée sur le PICC (volonté d’utiliser la cartographie de référence du SPW). 24

25 Socle de données de référence.
-> La création d’un référentiel unique de données, véritable épine dorsale de la communication en temps réel entre tous les logiciels de la DGO1 ou transversaux SPW, est incontournable. 25

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27 Création du référentiel unique + nouvelle interface.
« Ingéniérie des exigences » en cours: Collecte des besoins. Mise en évidence des manquements actuels. Identification des éventuelles adaptations à réaliser aux applications « métiers » afin de garantir une parfaite interopérabilité entre celles-ci et le socle de référence. [nouvelles FAP]. Récupération des données existantes et pertinentes de BDR. 27

28 Mobile Mapping. Piste pour palier à la difficulté de mobiliser du personnel pour alimenter le futur socle de données d’inventaires remis à jour. Projet pilote mené sur le District routier de Ciney. 28

29 La méthode utilisée s’est composée
d’une phase d’acquisition des données (caméra numérique + systèmes de positionnement). et d’une phase d’extraction à postériori. Inventaires de nombreux équipements (bornes, avaloirs, panneaux, glissières,…) [+ association à chaque objet d’une coordonnée XYZ, d’une BK+abscisse, d’une photo et d’attributs supplémentaires (ex : le numéro des panneaux de police). Cahier de charges en cours de rédaction pour généraliser la démarche à l’entièreté de la Région wallonne. 29

30 Merci pour votre attention !
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