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Publié parÉlodie Paris Modifié depuis plus de 7 années
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Les commotions cérébrales : le rôle des officiels
----- Christophe Alarie, Kinésiologue Spécialiste en gestion des commotions cérébrales Formation des officiels – Ski Québec Alpin –
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Transformer la gestion des commotions cérébrales
Mission personnelle
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Plan de la présentation
Mon expérience La commotion cérébrale en détail Les signes et symptômes Quoi faire en cas de commotion cérébrale ? Exemple
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Qu’est-ce qu’une commotion cérébrale ?
Une club de sports ou un école secondaire de 500 athlètes peut générer entre 50 et 60 commotions cérébrales par années
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Coups directs Coups indirects
En ski : Collision contre la pente, contre un objet, son ski Whiplash,, cou de lapin.
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Dans le monde réel
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Il n’y a pas de petite commotion cérébrale !
Conséquence de 1 commotion, conséquence de multiples commotions.
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Les casques, mêmes les meilleurs, ne réduisent pas l’incidence des commotions cérébrales. Ils protègent pour d’autres fonctions.
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Signes et symptômes de commotions
Maux de tête ou « pression dans la tête » Se sentir « sonnée » ou «sur un nuage» Sensation d’être au ralenti Nausées Étourdissement (trouble d’équilibre) Intolérance à la lumière ou au bruit Problème visuel Confusion ou perte de mémoire Problème de concentration Émotivité accrue / irritable (pleurs, colère) Fatigue ou baisse d’énergie Perturbation du sommeil Les symptômes varient beaucoup d’une personne à l’autre. Il n’est pas toujours nécessaire que les symptômes apparaissent sur le coup. Ils peuvent apparaitre dans les 24 à 48 heures après.
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Signes et Symptômes urgents
24 – 48 h Vomissements Convulsions Perte de connaissance Détérioration de l’état de conscience Mal de tête intense ou qui s’aggrave Confusion, désorientation ou irritabilité Vision double, pupilles différentes Trouble de la coordination (jambes molles) Difficulté à reconnaître les personnes ou les lieux Douleurs au cou Engourdissement, picotements ou sensation de brûlure Grave problème d’équilibre Somnolence excessive Changements inhabituels dans le comportement 10% qui sont une perte de connaissance Évaluation médicale d’urgence si les symptômes sont sévères ou progressifs.
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Quoi faire en cas de commotion cérébrale ?
Ce n’est pas toujours possible de voir ou d’identifier le coup qui mène à une commotion cérébrale. Si vous apercevez ou si un athlète rapporte un seul ou plusieurs symptômes de commotion cérébrale, veuillez aviser l’entraîneur responsable pour que cet athlète soit retiré de la course. Il est important d’impliquer toutes les personnes pouvant identifier la présence ou la progression d’une commotion cérébrale, incluant les athlètes et les parents. Points 3 : Bien noter que les symptômes peuvent apparaître dans les jours qui suivent.
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En cas de doute : ne prenez pas de risque !
Une commotion peut arriver aussi bien en pratique qu’en match. En fait, il y a plus souvent des commotions cérébrales en pratique puisqu’il y a plus de pratique que de matchs. ! Aussitôt qu’une commotion est soupçonnée, retirez l’athlète de la piste.
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Pourquoi doit-on arrêter l’athlète?
Une deuxième commotion survenant lorsque la première n’est pas complètement guérie peut créer des conséquences catastrophiques, irréversibles et même la mort. Plus tôt l’athlète peut commencer à se reposer et commencer la prise en charge, mieux sont les chances de guérir rapidement. Participer à une compétition, aussi importante qu’elle soit, ne vaut pas le risque pour son avenir. Points 3 : Bien noter que les symptômes peuvent apparaître dans les jours qui suivent.
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Procédure en cas de commotion cérébrale (ou doute)
1. Prenez les démarches nécessaires pour retirer l’athlète de la piste en cas de commotion ou de soupçon de commotion cérébrale. 2. Maintenir l’athlète hors de la compétition, le laisser en observation, documenter sa condition et l’évolution des symptômes. 3. S’il n’y a pas de symptômes d’urgence et que les symptômes évoluent bien (prochaines heures et journée), l’athlète peut commencer les premières étapes du protocole. * Consulter un médecin si les symptômes persistent plus de 7 jours. 4. Assurez-vous que l’entraîneur, ou vous-même, avisiez les parents responsables de l’athlète. Lui remettre les informations par rapport au protocole.
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Symptômes se résoudent en 3 – 4 jours.
Ex : Élodie, 14 ans. Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi X Repos complet (24h-72h) Retour progressif aux activités intellectuelles Symptômes se résoudent en 3 – 4 jours. Rapport d’incident La durée du repos peut varier d’une personne à l’autre
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Retour progressif à l’école et accommodements
Ex : Élodie, 14 ans. Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Retour progressif à l’école et accommodements Retrait des accomodements
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Retour progressif à l’activité physique
Ex : Élodie, 14 ans. Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Retour progressif à l’activité physique Retour au jeu Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 24 h
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X Ex : Élodie, 14 ans. Repos complet
Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi X Repos complet Retour progressif aux activités intellectuelles Retour progressif à l’école et accommodements Retour progressif à l’activité physique Retour au jeu
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Les officiels et les commotions
Culture du sport et culture de l’équipe Appliquer et supporter les règles de l’organisation Ex. Gérer les attentes des parents, gérer les attentes des joueurs. Éducation et protection Plaisir et réussite scolaire et sportive
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