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FINANCE ORGANISATIONNELLE Par PR. Jules Roger FEUDJO

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1 FINANCE ORGANISATIONNELLE Par PR. Jules Roger FEUDJO
Pr. FEUDJO

2 Chapitre 3 : les autres théories constructives de la FO
La théorie du contrat incomplet (TCI a. Hypotheses de base: - Rationalité limitée de Simon -L’absence de confiance dans la négociation des clauses contractuelles b. Les fondateurs et l’idée de la théorie : GROSSMAN et HART (1986), HART et MOORE (1988), Cette théorie est fondée sur le fait qu’il est impossible de contractualiser complètement le comportement futur des partenaires. Car aucune partie n’est capable de vérifier ex-post l’état réel de certaines variables. Pr. FEUDJO

3 1. La théorie du contrat incomplet (TCI) (suite)
c. Les raisons de l’incomplétude des contrats : - Les défaillances institutionnelles ; l’information imparfaite (asymétrie informationnelle, ou avantage informationnel du dirigeant); Les coûts de transactions induits par la nécessité des clauses contractuelles. Pr. FEUDJO

4 1. La théorie du contrat incomplet (TCI) (suite)
d. Les formes d’opportunismes dues à l’incomplétude du contrat L’opportunisme ex-ante (avant la passation du contrat) : cet opportunisme est rendu possible par l’asymétrie d’information entre les patries, ce qui conduit au problème dit de sélection adverse (une partie s’arrange à tromper l’autre avant la signature du contrat). L’opportunisme ex-post (pendant l’exécution du contrat), cet opportunisme conduit au problème dit de risque moral (moral hazard). Pr. FEUDJO

5 2. La théorie des incitations (TI)
2.1. L’homme et son idée Chester Barnard (1938) a été probablement le premier à s’intéresser aux équipes dirigeantes et donc, à définir une théorie des incitations dans les organisations. Pour cet auteur, l’offre des incitations adéquates est la tâche la plus « ardue » et la plus importante dans l’existence des organisations. L’entreprise étant définie comme un réseau de contrats complexes, ces contrats doivent être incitatifs pour chaque partie prenante. Il faut donc définir des incitations adéquates, ou un système d’incitation optimal pour encourager et stimuler l’effort de ces parties prenantes. Pr. FEUDJO

6 2. La théorie des incitations (TI) (suite)
2.2. Description de la théorie: La théorie des incitations peut être décrite comme l’étude de l’élaboration de règles et d’institutions qui conduisent les agents économiques à exercer des niveaux d’effort élevés et à transmettre correctement toute information privée qu’ils possèdent et qui est socialement pertinente. Pr. FEUDJO

7 2. La théorie des incitations (TI) (suite)
2.3. Les différentes PP à inciter: Actionnaires ; Personnels ; Clients ; Syndicats ; Institutions financières ; Fournisseurs ; Etat et organisations sociales non syndicales ; Comités d’entreprises et agences de notations ; Etc. Pr. FEUDJO

8 3. La Théorie de l’Enracinement du dirigeant (TE)
3.1. Les fondateurs et leur idée La théorie de l’enracinement ou du retranchement du dirigeant (TE/R) a été développée par deux auteurs américains, Shleifer et Vishny (1989). cette théorie montre que les dirigeants ont toujours la possibilité de contourner les mécanismes organisationnels et institutionnels prévus par la TA, en vu de réduire leurs délinquances managériales. Elle explique également pourquoi des formes organisationnelles inefficientes continuent d’exister sur des marchés supposés concurrentiels. Pr. FEUDJO

9 3.2. Approche de définition de l’enracinement
L’enracinement du dirigeant entendu comme stratégie mise sur pied pour se rendre indispensable (B. Pigé, 1998) ou pour s’affranchir de la tutelle de son conseil d’administration afin de réduire son risque de révocation et accroître son pouvoir discrétionnaire (P.G. Berger, E. Ofek et D.L. Yermack (1997), J.P. Pichard-Stamford (2000)). C’est aussi une technique pour évincer d’éventuels concurrents et rendre son remplacement onéreux pour l’organisation à laquelle on appartient (A. Shleifer et R.W. Vishny (1989) l’assimilent à un l’excès de pouvoir du dirigeant sur les autres partenaires de l’entreprise Pr. FEUDJO

10 3.3. Les types d’enracinement
Enracinement légitime: il est dit légitime s’il est issu d’un accroissement de la rentabilité (M. Paquerot, 1996) ou lorsqu’il a des effets positifs sur cette dernière (J.P. Pichard-Stamford, 2000). Enracinement opportuniste : il est dit opportuniste lorsqu’il est issu d’un pouvoir illégitime ou lorsqu’il déprécie la rentabilité de l’entreprise ou lorsqu’il est fait au dépend de l’intérêt de l’entreprise. Pr. FEUDJO

11 3.3. Les stratégies d’enracinement
Manipulation des comptes présentés aux actionnaires, Nomination des administrateurs complices, Multiplication des croisements de mandats ou verrouiller la structure du capital, Multiplication des liens inter conseils, Signature des contrats implicites avec les partenaires, qui feront automatiquement le chantage au CA, au cas où il se propose de limoger le dirigeant, L’utilisation du slack organisationnel à des fins personnels. Adoption des stratégies de croissance complexe Pr. FEUDJO

12 4. La théorie de la dépendance envers les ressources
Les auteurs et leur idée Cette théorie a été développée par Pfeffer et Salancik; Dans cette théorie, l’entreprise est vue comme une entité socialement dépendante de son environnement. Pour survivre, elle doit être efficace dans la gestion des intérêts des groupes dont-elle dépend pour leurs ressources et leur soutien. Pr. FEUDJO

13 Procédures Les organisations doivent identifier et internaliser les contraintes de leur environnement, notamment en impliquant les propriétaires de ces sources de ressources dans la gestion et l’administration de l’entreprise. Exemple pratique issu d’une étude empirique Pfeffer et salancik observent d’ailleurs dans leur étude sur les établissements hospitaliers aux USA que : plus les hôpitaux avaient des besoins de financement importants, plus la probabilité qu’ils aient nommé dans leur conseil d’administration des représentants des milieux bancaire, était élevée. Pr. FEUDJO

14 Quelques cas à discuter
Cas du Japon Cas du Cameroun: Au Cameroun, 40% des entreprises n’investissement pas pour manquent de ressources financières durables. Les 60% qui investissent classent les difficultés d’accès aux ressources financières parmi les problèmes les plus récurrents. Que font-elles pour solutionner ce problème? Implication des banques dans la gouvernance ou dans le capital ? Implication des membres du gouvernement (influence politique, couverture contre les dérives diverses)? Pr. FEUDJO

15 5. La théorie des firmes spécifiques
1) la théorie de la firme A 2) la théorie de la firme J Pr. FEUDJO


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