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DÉPARTEMENT DE CHIRURGIE ONCOLOGIQUE ET DE GYNÉCOLOGIE ONCOLOGIQUE

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1 DÉPARTEMENT DE CHIRURGIE ONCOLOGIQUE ET DE GYNÉCOLOGIE ONCOLOGIQUE
LE MÉLANOME MALIN DÉPARTEMENT DE CHIRURGIE ONCOLOGIQUE ET DE GYNÉCOLOGIE ONCOLOGIQUE

2 COMMENT RECONNAÎTRE UN MELANOME

3 Tumeur fréquente , en augmentation: environ 8000 cas en 2006
incidence x3 depuis 20 ans Touche tous les âges (à partir de la puberté) âge médian : 57 ans parmi les cancers les plus fréquents de l’adulte jeune

4 Environ 1500 morts par an (10 à 20% des patients)
Taux global de survie à 5 ans de 77% Grande malignité, peu accessible au traitement dans les formes métastatiques : Pas d’effet des traitements sur la mortalité (jusqu’à hier…)

5 Facteur pronostique principal (en l’absence de métastase)
=indice de Breslow (mesuré sur la pièce fixée) Taux de survie à 5 ans : 95% pour une indice <1mm 63-79 % entre 2 et 4mm 45% pour un indice >4mm.

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8 Dépend de la vitesse de croissance de la tumeur et du délai pour établir le diagnostic
Sur 590 patients/418 découvrent eux mêmes (ou leur entourage) leur lésion /172 sont diagnostiqués par le médecin (et ça ne suffit pas toujours)

9 La précocité du diagnostic dépend
Des patients : vigilance, inquiétudes, croyances Des médecins : sensibilisation et formation Des autorités de santé:campagnes d’information (prévention et le dépistage) Qui sont les patients qui meurent ? Tout ne dépend pas de vous

10 Qui est menacé ?

11 Pas les enfants (sauf exception naevus congénitaux géants)
Adulte :essentiellement sujets caucasoïdes (sauf certaines localisations) Groupe à risque

12 (il ne s’agit que de statistiques)
Sujets à risque (RR ≥ 2) Peau claire Cheveux blonds ou roux Naevus nombreux (>40) Antécédents de coup de soleil Antécédents de mélanome personnel ou familial Comportement :expositions solaires intenses (il ne s’agit que de statistiques)

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14 CARACTERISTIQUES CLINIQUES

15 Dans : 80% des cas survenue de novo (en peau saine) 20% des cas complication d’un grain de beauté Toutes localisations ( mêmes muqueuses et extra-cutanées) mais: Plutôt les membres inférieurs chez les femmes Plutôt le tronc chez les hommes (=> pas le soutien gorge)

16 Le diagnostic de mélanome est le plus souvent facile
Le diagnostic de mélanome est le plus souvent facile ... mais il existe des présentations inhabituelles ou atypiques. Le diagnostic sera d’autant plus difficile que le lésion est débutante (groupe à risque). Diagnostic clinique dans 70 à 80% des cas. (techniques d’aide(?) :dermatoscopie, analyse d’image… mais aussi croire en soi puis douter puis faire le bon choix)

17 4 formes anatomo-cliniques

18 Mélanome à extension superficielle(SSM)
60 à 70% Phase de croissance horizontale intra épidermique = tache noire à contours polycycliques de couleur inhomogène puis phase de croissance verticale(invasion du derme puis de l’hypoderme)=> lésion palpable

19 Peut comporter un nodule
Peut comporter des squames ou une zone kératosique (migration des cellules malignes dans la couche cornée) (Le patient peut encore avoir une lésion peu épaisse)

20 Mélanome nodulaire 15% des mélanomes
Absence de composante latérale intra épidermique (ou – de 3 crêtes) Nodule noir ou partiellement pigmenté parfois achromique ferme arrondi pouvant s’ulcérer, saigner Croissance rapide => indice de Breslow élevé => mauvais pronostic

21 Mélanom(s)e de Dubreuilh (LM)
Visage Sujet >50 ans Croissance horizontale lentigineuse lente (cellules M. isolée les unes des autres au niveau de la basale) Puis invasive tardive Lésion sans relief, nuances de noir Diagnostic histologique délicat au début (critères cytologiques) questions : où biopsier? le trt est-il urgent?

22 Mélanome lentigineux acral (ALM)
Lésions des extrémités « équivalent » du Dubreuilh phase horizontale puis verticale Diagnostic histologique difficile Pronostic souvent mauvais car diagnostic tardif La clinique prévaut

23 Il existe aussi: Des mélanomes des muqueuses Des mélanomes régressifs mais … qui peuvent métastaser Des mélanomes primitifs extra cutanés

24 Critères diagnostiques cliniques
Règle ABCDE 4signes d’examen et 1 signe d’interrogatoire Asymétrie Bords encochés Couleur inhomogène Diamètre > 6mm Extension (interrogatoire)

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26 limites s’applique difficilement aux lésions de petite taille
ne s’applique pas aux mélanomes nodulaires (Il ne s’agit que d’une aide)

27 Règle du « vilain petit canard »
Méthode cognitive visuelle de reconnaissance globale Lésion suspecte si perçue différente des autres naevus Intérêt chez le sujet qui a de nombreux naevus

28 « Lésions évidentes »

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32 y penser

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35 Plus difficile encore

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37 Y penser ???

38 Bénin ou malin ?

39 Pas très différent de ceci:

40 La règle (la mienne en tout cas)
lésion suspecte = exérèse Pas de Surveillance (Ne pas trop biopsier par excès et ne pas laisser passer de mélanome)

41 En pratique quoi faire ? 2 situations

42 Lésion suspecte: Lésion atypique ou modification d’un grain de beauté préexistant: Mélanome nodulaire ou à extension superficielle => biopsie excisionnelle à minima (en totalité) à visée diagnostique

43 Si lésion de grande taille:
mélanome de Dubreuilh ou mélanome acral voire ssm de grande taille Biopsie incisionnelle (partielle) possible Grandes réserves pour les lésions distales: La clinique

44 TRAITEMENT

45 PUIS REPRISE CHIRURGICALE
Vérifier l’absence : D’autre lésion suspecte De métastase (clinique+/- imagerie: echographie aire gangl., scan , PET scan) PUIS REPRISE CHIRURGICALE

46 Marges Breslow < 1mm => 1 cm Breslow de 1 à 2mm => 1 à 2 cm
Mélanome in situ => 0,5 cm Lentigo malin(Dubreuilh)=> 1 cm (si possible)

47 En plus Classifications
Traitement complémentaire IFN 2A (mélanome épais, intérêt modeste), autre protocole à venir Ganglion sentinelle (protocoles) SUIVI et SURVEILLANCE (risque de second mélanome)

48 Formes métastatiques Chirurgie
Radiochirurgie des métastases cérébrales (gamma knife) Chimiothérapies: Déticène (trt de référence) effet modeste Muphoran (méta cérébrales) Autres : témodal, cis platine , polychimiothérapie suite

49 Nouveautés : Biothérapies
Inhibiteur C kit Anti protéine kinase B RAF Mutée dans 80% des mélanomes Per os toxicité limitée Non disponible (plexxikon Roche) Ipilimumab (en ATU depuis sept) Améliore la survie Promoteur de l’immunité anti-tumorale (anti Ag4 lymphocytes T cytotoxiqes) Pas d’effet démontré sur lésions cérébrales Toxicité digestive et hépatique

50 CONCLUSION

51 Le diagnostic est le plus souvent:
simple possible à un stade où la lésion est peu épaisse Chez un adulte la modification ou l’apparition d’une lésion pigmentée non étiquetée doit conduire à un avis Les patients « à risque » doivent être informés et surveillés Délivrer des messages simples à vos patients et diagnostiquer plus tôt le premier mélanome (celui qui risque de tuer votre patient)

52 Surveillance dermatologique 1 fois/an (+/- selon état cutané, nombre de lésions pigmentées)
plus Auto-surveillance (tous les 3 mois) Informations sur les risques solaires


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