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Publié parJacqueline Martineau Modifié depuis plus de 7 années
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Une approche pour les 3H-5H (7ans-9ans)
Comment lier textes bibliques, prière et vie quotidienne en catéchèse ? Une approche pour les 3H-5H (7ans-9ans)
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Mais pourquoi le lien est si difficile à nouer ?
Parce que la motivation varie Coutume familiale Convention sociale Référence : Parce que c’est «l’école» Contrat didactique Comportement propre au contexte Référence :
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Mais aussi et surtout Parce que vivre avec les autres demande de «jouer un rôle». Parce que savoir «jouer ses rôles» fait partie du développement psychique. Références :
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Grandir : devenir soi-même et aussi devenir un autre
L’enfant L’adulte Mon self intime Mes rapports affectifs Les autres Mon self le plus intime Mes rapports à moi-même Mon self public Les rapports que j’ai aux autres Les rapports des autres envers moi Référence :
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L’enjeu du 3H-5H Le passage à l’âge de RAISON Le besoin de NORMES
Référence : Le besoin de NORMES Référence : Le besoin d’AUTOMIE Référence : Le besoin de SECURITE Référence :
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Age de raison et récits bibliques
Le vrai réel et le faux imaginaire Référence : La question du vrai mythe La question de l’appropriation du sens
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Prière : entre autonomie et sécurité
L’évaporation du «Bon Dieu sur son nuage». Référence ; Tension entre une conception naïve d’un Dieu surveillant mais rassurant et un Dieu personnel mais plus insaisissable dans son altérité Incompréhension plus vive de ne pas être exaucé_e pour des demandes comprises comme légitimes
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Ce qu’un discours dénonce un autre discours le valorise.
Normes et vie quotidienne chrétienne Référence : Conscience grandissante du clivage entre vie chrétienne et société environnante Consumérisme Superficialisme Ce qu’un discours dénonce un autre discours le valorise.
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Reprendre les bases, mais autrement…
Questionner les paradoxes apparents entre les paroles et les actes de Jésus Discuter des paraboles rabbiniques à la manière de Jésus
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Prier c’est d’abord dire ce que je pense vraiment à quelqu’un qui m’écoute vraiment
La prière est une relation entre au moins deux personnes. La prière liturgique à une raison d’être collective que n’a pas la prière personnelle.
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Chrétien aujourd’hui : un code de conduite ou une manière d’être ?
Fondamentalement, les limites morales de notre société laïcisée ne sont pas si différentes des limites morales du christianisme… Se définir par sa différence, c’est facile, mais ça ne mène pas forcément très loin…
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Principes d’un scénario pédagogique 3H-5H
Attirer l’attention sur les divergences dans les textes bibliques autour d’une même thématique (travailler sur les textes) Encourager les enfants à formuler leurs propres avis à propos de ces divergences (lier le texte et l’individu) Inviter l’enfant à illustrer son avis par des exemples concrets de sa vie (travailler sur la vie quotidienne) Souligner la validité chrétienne des réponses diversifiées (lier vie quotidienne et appartenance ecclésiale) En tenant compte de cette diversité, demander aux enfants de réaliser un projet commun qui leur corresponde et dans lequel Jésus peut s’y retrouver (renforcer le lien entre relations aux autres et prière)
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Positionnement théologique lié à la démarche catéchétique
C’est pourquoi tous les clercs, en premier lieu les prêtres du Christ, et tous ceux qui s’adonnent légitimement, comme diacres ou catéchistes, au ministère de la parole, doivent, par une lecture sacrée assidue et par une étude approfondie, s’attacher aux Écritures, de peur que l’un d’eux ne devienne « un vain prédicateur de la Parole de Dieu au-dehors, lui qui ne l’écouterait pas au-dedans de lui », alors qu’il doit faire part aux fidèles qui lui sont confiés, spécialement au cours de la sainte liturgie, des richesses sans mesure de la parole divine. (Dei Verbum, 25) Pour découvrir l’intention des hagiographes, on doit, entre autres choses, considérer aussi les « genres littéraires ». Car c’est de façon bien différente que la vérité se propose et s’exprime en des textes diversement historiques, ou prophétiques, ou poétiques, ou même en d’autres genres d’expression. Il faut, en conséquence, que l’interprète cherche le sens que l’hagiographe, en des circonstances déterminées, dans les conditions de son temps et de sa culture, employant les genres littéraires alors en usage, entendait exprimer et a, de fait, exprimé. En effet, pour vraiment découvrir ce que l’auteur sacré a voulu affirmer par écrit, il faut faire minutieusement attention soit aux manières natives de sentir, de parler ou de raconter courantes au temps de l’hagiographe, soit à celles qu’on utilisait à cette époque dans les rapports humains . Cependant, puisque la Sainte Écriture doit être lue et interprétée à la lumière du même Esprit que celui qui la fit rédiger, il ne faut pas, pour découvrir exactement le sens des textes sacrés, porter une moindre attention au contenu et à l’unité de toute l’Écriture, eu égard à la Tradition vivante de toute l’Église et à l’analogie de la foi. Il appartient aux exégètes de s’efforcer, suivant ces règles, de pénétrer et d’exposer plus profondément le sens de la Sainte Écriture, afin que, par leurs études en quelque sorte préalables, mûrisse le jugement de l’Église. (Dei Verbum, 12) LA FOI ET LA RAISON sont comme les deux ailes qui permettent à l'esprit humain de s'élever vers la contemplation de la vérité. C'est Dieu qui a mis au cœur de l'homme le désir de connaître la vérité et, au terme, de Le connaître lui-même afin que, Le connaissant et L'aimant, il puisse atteindre la pleine vérité sur lui-même (cf. Ex 33, 18; Ps 27 [26], 8-9; 63 [62], 2-3; Jn 14, 8; 1 Jn 3, 2). (Fides et Ration, intro)
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