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PRESENTATION D’ARCCATALOGUE

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2 PRESENTATION D’ARCCATALOGUE

3 De manière similaire à l'explorateur de fichier de Windows, le catalogue des données se présente sous la forme d'une arborescence. Il est composé d'un certain nombre de connexions (locales ou distantes) vers des disques, des répertoires ou des bases de données. Chaque connexion constitue une arborescence qui permet à l'utilisateur d'accéder aux sources de données et aux fichiers. Vous pouvez faire glisser des sources de données du catalogue vers l'application ArcMap™ afin de les afficher ou les faire glisser vers l'application ArctoolBox™ afin de les utiliser en tant que paramètre d'un traitement.

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5 Actuellement, il n'existe pas de format de données propre aux Systèmes d'information Géographique.
Chaque éditeur de logiciels SIG a développé son propre format de données. ArcGIS est capable de supporter tous les formats de données développés par ESRI : les fichiers de formes, les couvertures, les grilles et les géodatabases. Les grands formats de données CAO/ DAO (DXF, DGN, DWG) ainsi qu'un grand nombre de formats de données image sont également supportés. Ainsi, vous pouvez travailler sur des données de sources multiples sans avoir besoin de convertir vos données en un seul et unique format.

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7 Le fichier de formes permet le stockage de la géométrie et des données attributaires des entités géographiques. La géométrie d’une entité est enregistrée en tant que forme composée d’un ensemble de coordonnées vectorielles (point, ligne, polygone).

8 Format : Les trois fichiers créés par ArcView se distinguent par les extensions suivantes : .shp— stocke la géométrie des entités (forme et coordonnées). .shx— stocke l’index de la géométrie des entités. .dbf— fichier dBase stockant les données attributaires des entités. ArcView crée quatre autres fichiers d’index destinés à accélérer l’analyse et l’interrogation des données. Les formats de fichiers .sbn et .sbx servent à indexer les données spatiales ; .ain et .aix servent à indexer les données attributaires. Si votre couche possède un système de coordonnées défini, l'information spatiale est stockée dans un fichier .prj.

9 Conventions suivies pour nommer les fichiers de formes
ArcView donne automatiquement l’extension .shp à tout nouveau fichier de formes. Si l’on prend un fichier de formes nommé Zones, le thème s’appellera Zones.shp, et les autres fichiers seront nommés Zones.shx, Zones.dbf, Zones.sbn, Zones.sbx, Zones.ain et Zones.aix.

10 Classes d'entités simples
Un fichier de formes ne peut stocker qu'un seul type d'entités : des points, des lignes ou des polygones. Toutefois un même objet peut être stocké sous deux formes dans deux fichiers de formes différents. Par exemple, une rivière peut être représentée sous forme d'une entité linéaire dans un fichier de formes et sous forme d'une entité surfacique représentant le lit majeur dans un second fichier de formes. Le fichier de formes ne permet pas de stocker des informations de topologie. Les attributs Les attributs sont stockés dans un fichier au format Dbase portant le même nom que le fichier contenant les données spatiales, mais auquel est attribué l'extension .dbf.

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12 La couverture est l'un des formats vectoriels natifs d'ArcInfo
La couverture est l'un des formats vectoriels natifs d'ArcInfo. Ce format est composé d'un répertoire contenant les fichiers stockant les informations spatales et attributaires associées aux entités d'une zone géographique précise. Les couvertures peuvent être modifiées uniquement dans ArcMap avec une licence ArcInfo workstation.

13 Un jeu de classes Une couverture se comporte comme un jeu de classes d'entités contenant une ou plusieurs classes d'entités. Par exemple, une couverture représentant l'utilisation du sol peut stocker à la fois des entités surfaciques représentant les zones d'occupation et des entités linéaires représentant les limites des zones d'occupation du sol. Les polygones et les lignes possèdent des tables attributaires séparées mais partagent des éléments géométriques. Il est aussi possible de stocker dans une même couverture des points et des lignes (et leurs attributs). Cependant ils ne partageront pas leur géométrie. Par contre, il n'est pas possible dans une même couverture de stocker à la fois des points et des polygones.

14 Structure topologique
Contrairement aux fichiers de formes, les couvertures stockent les informations de topologie (longueur, surface, périmètre, relations d'adjacence et de connectivité) dans une table. Par exemple, une couverture contenant une classe d'entités linéaires possède des attributs de longueur et de connectivité définis dans un fichier portant l'extension .aat. Les classes d'entités surfaciques stockeront les informations de surface et de périmètre dans un fichier .pat. Les couvertures contenant à la fois des entités linéaires et surfaciques stockeront les informations d'adjacence dans un fichier .aat.

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16 Classe d'entités: Une classe d'entités (en anglais Feature class) est un ensemble d'entités de même type (point, ligne, polygone, annotation, ...). Une classe d'entité possède une table attributaire dans laquelle sont stockés les attributs de chaque entité. Jeu de classes d'entités: Un jeu de données d'entités (en anglais Feature DataSet) est un ensemble de classes d'entités. Cet ensemble permet, avec ArcMap, de gérer des relations topologiques entre les entités des différentes classes. Toutes les classes d'entités d'un jeu de classes sont stockées dans la même référence spatiale. Celle-ci est définie lors de la création du jeu de classes.

17 Les fichiers de formes ArcView:
Les fichiers de formes ArcView contiennent un seul type d'entités (points, lignes ou polygones). Ils apparaissent donc sous la forme d'une classe d'entités. Les couvertures ArcInfo: Les couvertures ArcInfo contiennent plusieurs types d'entités (nodes, arcs, polygons, regions, annotations, ...) qui ont des relations topologiques. Elles apparaissent donc sous la forme d'un jeu de classes.

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19 La géodatabase est le format natif de toutes les applications ArcGIS
La géodatabase est le format natif de toutes les applications ArcGIS. Elle stocke les données ponctuelles, linéaires ou surfaciques dans des tables SGBDR telles que Access ou Oracle. ArcEditor et ArcInfo peuvent créer, mettre à jour ou supprimer des géodatabases ArcSDE (stockées sous Oracle) et les classes d'entités issues de géodatabases personnelles. ArcView peut créer, mettre à jour ou supprimer des entités provenant de géodatabases personnelles, utiliser des entités provenant d'une géodatabase ArcSDE en vue de faire des requêtes, des jointures ou des liens mais n’a aucune fonction de création, d'édition et de suppression.

20 Stocker des jeux de classes d'entités
Chaque classe d'entités issue de géodatabases ne peut stocker que des entités de type simples, mais vous pouvez facilement les regrouper en jeux de classes d'entités tant qu'elles sont exprimées dans le même système de coordonnées. Les géodatabases Le terme de géodatabase renvoi à un système de stockage des données. Deux systèmes physiques permettent d'implémenter une géodatabase : les géodatabases personnelles et les géodatabases ArcSDE.

21 La géodatabase personnelle gère des projets à petite échelle et est stockée dans des fichiers .mdb. Vous n'avez besoin d'aucun autre logiciel pour créer ou gérer ce type de géodatabase. Les géodatabases ArcSDE permettent de stocker et de gérer de grandes bases de données et sont stockées dans un des formats de SGBDR supportés (Oracle par exemple). Ces géodatabases nécessitent une interface entre les logiciels bureautiques et le SGBDR que vous avez choisi. Au regard de ces nécessités physiques, vous pouvez effectuer les mêmes opérations d'affichage, d'interrogation et d'analyse sur les deux types de géodatabases.

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23 Les Geodatabases contiennent des jeux de classes d'entités et des classes d'entités. Les classes d'entités peuvent être stockées dans un jeu de données d'entités ou en dehors d'un jeu d'entités. Un jeu de classes ne peut pas contenir un autre jeu de classes.

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25 Les différents types de structures qu’il est possible de créer :
Les géodatabases personnelles : En choisissant de créer cette structure, vous aller seulement créer un fichier au format *.mdb dans lequel vous aurez ensuite la possibilité de créer des classes d’entités, des jeux de classes d’entités et/ou des tables. - Les fichiers de formes : Vous allez également pouvoir créer des fichiers de formes au format *.shp. Vous devrez ensuite choisir le type d’entités que contiendra ce fichier puis éventuellement un système de coordonnées.

26 Les couches : Vous avez la possibilité de créer, depuis ArcCatalog, des fichiers de couche à partir d’un autre fichier existant. Une fois la couche créée, vous aurez la possibilité de modifier toutes ses propriétés via le menu contextuel. Les groupes de couches : Vous allez également dans ArcCatalog pouvoir regrouper vos couches en groupes de couches. - Les tables au format *.dbf

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28 Les fichiers CAO/DAO: Les fichiers AutoCAD (*.DXF ou *.DWG) et les fichiers MicroStation (*.DGN) apparaissent sous la forme d'un jeu de classe. Les grilles et les images: Les données raster apparaissent dans le catalogue sous la forme d'un ensemble de bandes. Pour les GRID, les données sont stockées sur une seule bande. En revanche pour les autres types d'images plusieurs bandes peuvent être proposées. La liste des codes contenus dans chaque bande peut être visualisée à l'aide de l'onglet Aperçu et de l'option Table. Les tables: Les tables INFO, dBase ainsi que les tables des Géodatabases peuvent être affichées dans ArcCatalog. Pour consulter leur contenu, utilisez l'onglet Aperçu et l'option Table.

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30 Votre base de données géographique peut contenir des données provenant de fichiers de CAO. ArcGIS supporte des fichiers au format DXF, DWG et DGN. Vous pouvez afficher et interroger vos données telles qu'elles existent dans votre fichier de départ. Pour modifier les données spatiales ou attributaires, il est nécessaire de convertir ces données en couvertures ou en classes d'entités géodatabase.

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32 Une table d'événement peut être un fichier texte ou un fichier tabulaire supporté par ArcGIS contenant des informations de localisation concernant un jeu d'événement ou des points que vous souhaitez utiliser comme couche ArcMap. De la table à une classe d'entités ponctuelles Une table d'événement peut présenter des champs contenant des coordonnées x,y correspondant à la position exacte des points. On peut obtenir ces coordonnées en lisant une carte, en mesurant des positions sur une vue, en effectuant des levés de terrain ou en utilisant un GPS (Global Positioning System). Les données localisées permettent de représenter sur une carte des données correspondant à des positions géographiques, mais qui ne sont pas dans un format de données spatiales. Ces données peuvent provenir de fichiers INFO, dBASE, ou des tables provenant de géodatabases. A partir des couples de coordonnées, ArcGIS est capable de créer des points.

33 De la table à une classe d'entités linéaires
Vous pouvez obtenir les informations associées à une route ou à une voie particulière. Les itinéraires possèdent un système de mesure linéaire défini par l’utilisateur, système qui est indépendant du système de coordonnées géographiques. Les trajets de bus peuvent être mesurés en minutes, les autoroutes en kilomètres, etc. Vous pouvez utiliser les mesures de distance stockées dans une table d'événement pour créer une représentation spatiale (point ou ligne) de manière à représenter ces mesures. Pour ce faire, les mesures contenues dans la table doivent posséder le même système de référence que les entités existantes.

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35 Les images peuvent être composées d'une ou de plusieurs couches d'information numérique et peuvent être géoréférencées ou non. Les images géoréférencées peuvent être affichées avec d'autres couches dans ArcMap tandis que les images non géoréférencées sont généralement utilisées comme support cartographique ou comme images liées. Tous ces types d'images peuvent être manipulés avec ArcCatalog et peuvent se voir associer des métadonnées. Les formats d'image communément supportés par les modules d'ArcGIS sont BIL, BIP, BMP, GIF, IMG, JPG, LAN, SID et TIF. Un jeu de données image peut être simple (une couche) ou multiple (un jeu de plusieurs couches).

36 Image simple Une image simple est une image composée d'une seule bande d'information, cas par exemple, des photographies noir et blanc ou des documents numérisés. Composite Les images en couleurs (images satellitaires ou fichiers graphiques par exemple) peuvent comporter plus d’une bande. Chaque bande est affectée à une valeur RVB (rouge, vert ou bleu) et affichée dans la couleur correspondante. La combinaison des valeurs RVB donne les couleurs affichées.

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38 Images comme couche de géoréférencement
Les images sous ArcGIS peuvent avoir plusieurs utilités. Certaines, telles que les photographies aériennes, les images satellitaires ou les images scannées peuvent être géoréférencées, c'est à dire posséder des informations de localisation. Vous pouvez organiser les images géoréférencées en catalogue. Un catalogue permet d'afficher un ensemble de fichiers images sous forme d'une seule image. Les catalogues d’images contiennent généralement des images juxtaposées qui couvrent une large zone géographique (exemple : un département, un fleuve, une agglomération ...).

39 Les images en tant qu'attributs
Tous les jeux de données images ne sont pas géoréférencées. Si une image ne posséde pas d'information de géoréférencement, elle peut être utilisée comme attribut d’une entité vectorielle. Vous pouvez par exemple associer à une parcelle cadastrale, une image du bâtiment correspondant.

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41 ArcCatalog est l'application qui permet d'accéder à l'ensemble des données et des documents cartographiques de votre Système d'Information Géographique. L'application propose une visualisation uniformisée des données présentes en local ou à distance (disques partagés, serveur de données géographiques ArcSDE ou Internet). Vos données se présentent sous la forme d'un catalogue dans lequel vous pouvez naviguer. Ainsi, chaque source de données peut être Copiée, Renommée, Supprimée ou Modifiée (Champs, sous-types, domaines, relations, ...).

42 Par défaut, ArcCatalog permet de gérer :
- les sources de données géographiques (Géodatabases, Couvertures, fichiers de formes, AutoCAD,...) - les sources de données tabulaires (Géodatabase, Dbase, INFO, Access, Excel, SQLServer, Oracle ...) - les sources de données raster (TIF, JPEG, PNG, Erdas, MrSID, ER Mapper, Grid, BIL, BIP, BSQ, … ) - les fichiers de couches - les documents ArcMap™ - les types de fichiers ajoutés par l'utilisateur

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44 Vous pouvez créer une image miniature pour chaque source de données, pour chaque fichier de couche et pour chaque document ArcMap™ . Ces images miniatures permettent de visualiser rapidement le contenu des sources de données, des fichiers de couches ou encore de retrouver facilement une carte réalisée avec ArcMap. Afficher les images miniatures: Pour visualiser toutes les images miniatures des sources de données présentes dans un répertoire ou dans une base de données, vous devez vous placer sur l'onglet Contenu et cliquer sur le bouton Miniature.

45 Pour créer une image miniature:
Vous devez afficher votre source de données à l'aide de l'onglet Aperçu puis cliquez sur le bouton Créer une image miniature. Remarques: Par défaut, les documents (*.mxd) et les modèles (*.mxt) d'ArcMap™ sont enregistrés avec leur image miniature associée. Vous n'avez donc pas à la créer pour ce type de fichier. L'option permettant de désactiver la sauvegarde automatique de l'image miniature avec le document ArcMap™ se trouve dans le menu Fichier -> Propriétés de la carte d' ArcMap™ . La création d'une miniature entraîne systématiquement la création du fichier XML de métadonnées (dans lequel est stocké l'image miniature).

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47 Vous disposez de trois modes de visualisation pour vos sources de données. Trois onglets permettent de passer d'un mode à l'autre : - L'onglet Contenu permet d'afficher le contenu d'un répertoire ou d'une Géodatabase. Quatre options de présentation peuvent être utilisées : Grandes icônes, Liste, Détails et Miniature. -L'onglet Aperçu permet de visualiser les données géographiques (option Géographie) ou les données tabulaires (option Table) de la source de données sélectionnée. - L'onglet Métadonnées permet de consulter les métadonnées associées à la source de données sélectionnée dans le catalogue. Par défaut, lorsque les métadonnées de votre source de données n'existent pas, elles sont automatiquement générées. Ce comportement peut être modifié dans les options d'ArcCatalog™ .

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49 Un catalogue est constitué de connexions
Un catalogue est constitué de connexions. Ces connexions permettent d'accéder à des bases de données, des disques ou des répertoires. Connexion d'un disque ou d'un répertoire: Afin d'accéder rapidement à un disque ou à un répertoire local ou distant, vous pouvez créer une connexion. Pour cela, cliquez sur le bouton Connexion à un dossier puis indiquez le chemin d'accès au disque ou au répertoire. Déconnexion d'un disque ou d'un répertoire: Pour supprimer une connexion dans le catalogue, Sélectionner la connexion à supprimer, puis cliquez sur le bouton Déconnexion d'un dossier .

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51 Connexion à une base de données OLE DB:
ArcGIS™ vous permet d'accéder à des tables stockées dans des SGBD externes (Excel, Oracle, SQL Server, ...). Pour cela, vous devez créer une connexion vers cette base de données en cliquant sur la commande Connexions aux bases de données puis en double-cliquant sur la commande Ajouter Connexion OLE DB. Vous devez ensuite choisir le type de pilote de base de données à utiliser (par exemple: Microsoft OLE DB Provider for ODBC Drivers) puis les caractéristiques de connexion (nom de la connexion, fichier de la base de données, … ). En ce qui concerne les fichiers Microsoft Access (97 ou supérieure), aucune connexion n'est nécessaire. Les bases de données Microsoft Access apparaissent directement dans le catalogue de données.

52 Connexion à une base de données ArcSDE:
ArcGIS™ vous permet d'accéder à des tables ou des classes d'entités stockées sur un serveur ArcSDE. ArcSDE permet de stocker et de gérer des données géographiques dans un SGBDR professionnel (Oracle, SQL Server, IBM DB2, Informix ou Sybase). Pour cela, vous devez créer une connexion vers cette base de données en cliquant sur la commande Connexions aux bases de données puis en double-cliquant sur la commande Ajouter Connexion SDE. Vous devez ensuite définir les caractéristiques de la connexion au serveur ArcSDE (nom du serveur, nom de l'instance ArcSDE, nom de l'utilisateur et mot de passe de l'utilisateur). Une fois créée, la connexion fait partie de votre catalogue. Ainsi, les caractéristiques d'une connexion sont conservées entre deux sessions ArcCatalog™ . Pour supprimer une connexion du catalogue, sélectionner cette dernière puis exécuter la commande Fichier > Supprimer.

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54 Le catalogue affiche différents formats de données
Le catalogue affiche différents formats de données. Ces formats correspondent à différents types de fichiers. Vous pouvez contrôler les formats de fichiers à afficher dans l'arborescence du catalogue. Pour cela, vous devez exécuter la commande Outils > Options. L'onglet Général permet de choisir les types de fichiers à afficher dans le catalogue parmi ceux prédéfinis dans ArcCatalog (fichiers de formes, couvertures, données raster, fichiers de couche, ...) ou parmi ceux spécifiés par l'utilisateur (AML, Avenue, Word, Excel, ...) dans l'onglet Types de fichiers.

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56 Afficher d'autres types de fichier dans le catalogue:
L'onglet Types de fichiers de la commande Outils > Options permet de spécifier de nouveaux types de fichiers à afficher dans le catalogue. Par exemple, vous pourriez demander l'affichage des fichiers de projets d'ArcView™ 3.2 (fichiers APR). Pour cela, vous cliquez sur le bouton Nouveau Type afin de définir l'extension des fichiers, la description du type de fichiers et l'icône à associer à ces fichiers. Vous pouvez ainsi ajouter autant de types de fichier que vous le souhaitez. Lorsque le type de fichier est associé à une application (par exemple Microsoft Word pour les fichiers *.doc), cette association est conservée dans ArcCatalog™ . Ainsi, vous pouvez double-cliquer sur le fichier dans votre catalogue pour l'ouvrir dans l'application correspondante.

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