Méthode d’appréciation d’un projet

Présentation au sujet: "Méthode d’appréciation d’un projet"— Transcription de la présentation:

1 Méthode d’appréciation d’un projet
1 DTS Méthode d’appréciation DOCUMENT Méthode d’appréciation d’un projet Comment apprécier notre projet au regard des repères pour une démarche de développement de territoires solidaires ? DOCUMENT 1 : INTRODUCTION ET GUIDE D’UTILISATION

2 I - La méthode d’appréciation d’un projet
Cette méthode d’appréciation est l’un des supports d’accompagnement* des dynamiques régionales à l’œuvre au sein de COORACE pour promouvoir un développement de territoires solidaires (DTS). Elle est complémentaire au manuel de référence « Pour une démarche de développement de territoires solidaires » et à la plaquette de présentation « Contribuer au développement de territoires solidaires, des entreprises en mouvement ! », outils publiés en 2010 au terme de la recherche-action « Vita ». La méthode d’appréciation est constituée de trois documents : DOCUMENT 1 : le présent « guide d’utilisation » (fichier PowerPoint). DOCUMENT 2 : la « grille de questionnement » (fichier Word) DOCUMENT 3 : « l’outil de visualisation » (fichier Excel) * : élaboré à partir de la Fiche II-3 du Manuel de référence DTS, décembre 2010 – Eric Pallandre

3 I - La méthode d’appréciation d’un projet
Qu’entend-on par « projet » ? Cette notion s’entend au sens large du terme. La méthode peut s’appliquer à des projets en tant que tels, circonscrits dans le temps, l’espace, leurs contenus… Elle peut s’appliquer à des actions plus ciblées, ou à une pratique plus globale, à la mise en œuvre d’une démarche stratégique… Pourquoi appliquer cette méthode : La méthode est avant tout un outil de pilotage. Elle vise à permettre à une entreprise d’appréhender d’un point de vue global le positionnement de son projet au regard du développement de territoires solidaires. La méthode peut être utilisée : en amont, dans la conception et le montage d’un projet, durant la conduite d’un projet, dans une démarche d’amélioration continue au terme du projet, dans une logique d’évaluation a posteriori.

4 I - La méthode d’appréciation d’un projet
Dans quel cas l’utiliser ? Elle est un outil de dialogue. Elle peut être utilisée à l’interne (démarche de progrès), à l’externe (démarche partenariale), voire comme outil de négociation, de valorisation. L’objectif reste l’appréciation globale et transversale d’un projet : les questionnements visent à ouvrir le regard sur les pratiques de DTS, et non pas l’enfermement dans une grille d’évaluation normative.

5 I - La méthode d’appréciation d’un projet
Scénarios d’utilisation : Divers scénarios peuvent être envisagés. Il sont à choisir en fonction du contexte local ou régional et des objectifs de la démarche d’appréciation elle-même. Démarche interne, associant différentes parties prenantes (auto-appréciation). Démarche collective, regroupant plusieurs structures au sein d’un même espace. Démarche de co-appréciation entre structures différentes. Démarche individuelle ou collective accompagnée par une personne extérieure. Quelque soit le scénario, la méthode est conçue pour être utilisée collectivement, avec trois personnes au moins. Elle n’évite pas une certaine subjectivité. Elle s’appuie sur la responsabilité des utilisatrices et des utilisateurs et leur inscription dans une démarche volontaire de progrès.

6 II - Guide d’utilisation
Il s’agit de montrer en quoi on met en œuvre, on progresse ou on évolue dans la mise en œuvre des missions clefs et des principes d’action : on se questionne, on décrit, on argumente (commentaires, points forts, points faibles) ; on se positionne en apportant à chaque mission et principe une note de 1 à 5 ; on obtient un résultat visuel partagé. Pour mieux comprendre ce dont il s’agit, les trois pages suivantes illustrent les résultats obtenus.

7 II - Guide d’utilisation : illustration
Rappel des 3 missions clefs et des 8 principes d’action pour une démarche de Développement de territoires solidaires* Des fondements politiques 1 2 Une identité commune et plurielle 3 3 missions clefs 4 8 principes d’action complémentaires les unes des autres transversaux La création d’activités … La sécurisation des parcours … La coopération + La co-construction La transversalité + Le décloisonnement La vision stratégique + La prospective La participation des salariés + La représentation des salariés L’animation du territoire * Manuel de référence DTS, décembre 2010 – Partie I

8 II - Guide d’utilisation : illustration
Visualisation des missions clefs après utilisation de l’outil

9 II - Guide d’utilisation : illustration
Visualisation des principes d’action après utilisation de l’outil

10 II - Guide d’utilisation
Utilisation des documents 2 et 3 Document 2 « Word » : « Grille de questionnement », à compléter 1 - Une série de questions est proposée sur chacune des trois missions clefs et chacun des huit principes d’action transversaux. 2 - Les réponses aux questions appellent des commentaires (points forts, points faibles). Les utilisateurs et utilisatrices sont invités à formaliser ces commentaires. 3 - Toutes les questions n’appellent pas forcément une réponse… mais l’ensemble des réponses (commentaires, points forts / points faibles) permet d’attribuer une note sur chacune des missions et chacun des principes transversaux, de manière concertée. Un regard global sur les commentaires apportés sur chaque mission et principe d’action permet de leur attribuer une note de 1 à 5. L’affectation de la note n’est pas mathématique : pas de pondération, pas de moyenne. La note se discute au sein du groupe, elle est attribuée en fonction d’un regard sur l’ensemble des items.

11 II - Guide d’utilisation
Utilisation des documents 2 et 3 Document 3 « Excel » : « Outil de visualisation », à renseigner 4 - Les utilisateurs et utilisatrices sont invitées à reporter les notes qu’ils attribuent dans les tableaux Excel, onglets « notations ». Les graphiques se forment automatiquement (voir pages 8 et 9). 5 - Ces derniers peuvent être copiés et importés dans le document Word en remplacement des graphiques initiaux : les utilisateurs et utilisatrices disposent alors d’un document complet, imprimable et transférable.