La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Regional Food Security and Nutrition Working Group

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Regional Food Security and Nutrition Working Group"— Transcription de la présentation:

1 Regional Food Security and Nutrition Working Group
Food Security and Nutrition Update FAO - WFP 13 juillet 2017

2 Points saillants  Campagne agropastorale 2017 – 2018 Marchés internationaux et en Afrique de l’Ouest Impact sur la sécurité alimentaire

3 Campagne agropastorale 2017 - 2018
Démarrage précoce de la saison des pluies. Retards observés dans certaines localités du Libéria et de la Sierra Leone Inondations : Côte d’Ivoire, Niger et Sénégal avec des pertes de vie humaines Amélioration de la situation pastorale dans les zones où les quantités de pluies tombées sont déjà satisfaisantes, occasionnant un début de régénération du couvert herbacé et le remplissage des points d’eau

4 DDS : Date de début de la saison DDF : Date de fin de la saison
La réunion restreinte du dispositif de prévention et de gestion des crises alimentaires (PREGEC) tenue à Praia (Cabo Verde) du 29 au 30 juin 2017 a lancé la campagne agricole 2017–2018, la préparation du suivi de l’hivernage et a également examiné des prévisions agro-météorologiques et climatiques. Les résultats de la rencontre indiquent que la campagne agropastorale 2017–2018 est marquée par un début de saison précoce sauf dans certaines localités du Libéria et de la Sierra Leone (Figure 1) où des retards sont observés. D’ores et déjà, les pluies diluviennes enregistrées par endroit, ont entraîné des inondations ayant occasionné des dégâts matériels importants et des pertes en vies humaines avec plus de 25 morts dont 11 en Côte d’Ivoire et 14 au Niger. La réunion confirme que la campagne agropastorale en cours pourrait être caractérisée par une pluviométrie globalement normale à excédentaire avec des risques de nombreuses séquences sèches pendant la phase d’installation des cultures. Par ailleurs, des niveaux d’eau équivalents à supérieurs à la moyenne sont également attendus dans la majeure partie des bassins fluviaux de la région, notamment dans les vallées du fleuve Sénégal et du fleuve Niger où des inondations risquent d’être observées. Les activités agricoles sont dominées par les préparatifs des champs pour la prochaine saison des pluies. Il s’agit précisément des apports de fumure organique, de débroussaillement des champs et de la révision du matériel aratoire pour le labour et les semis. Dans certaines localités, on observe une levée des semis. Au Niger, la situation agricole est marquée par l’installation progressive de la saison des pluies dans plusieurs régions du pays. Les précipitations observées dans plusieurs localités du pays ont favorisé le démarrage des semis, notamment du mil, dans les régions de Dosso, Maradi et Tillabéri, du sorgho dans quelques localités des régions de Dosso, Maradi et Tillabéri et ceux du niébé et de l’arachide dans la région de Dosso. Le stade phénologique du mil varie de la levée au tallage et les travaux de sarclage sont en cours. Afrique Verte Au Mali, les conditions d’élevage restent globalement moyennes dans le pays, excepté dans le Gourma des régions de Tombouctou et de Gao où elles sont mauvaises. Toutefois une légère amélioration est observée dans les zones où les quantités de pluies tombées sont déjà satisfaisantes, occasionnant un début de régénération du couvert herbacé. Au Burkina Faso, l’état d’embonpoint des animaux est assez bon dans l’ensemble et les marchés à bétail suffisamment fournis. LEGENDE DDS : Date de début de la saison DDF : Date de fin de la saison SSD : Séquence sèche en début de saison SSF : Séquence sèche en fin de saison CPS : cumul pluviométrique saisonnier

5 Pourcentage de pluviométrie par rapport à la normale entre le 1er mai et le 30 juin 2017
La réunion restreinte du dispositif de prévention et de gestion des crises alimentaires (PREGEC) tenue à Praia (Cabo Verde) du 29 au 30 juin 2017 a lancé la campagne agricole 2017–2018, la préparation du suivi de l’hivernage et a également examiné des prévisions agro-météorologiques et climatiques. Les résultats de la rencontre indiquent que la campagne agropastorale 2017–2018 est marquée par un début de saison précoce sauf dans certaines localités du Libéria et de la Sierra Leone (Figure 1) où des retards sont observés. D’ores et déjà, les pluies diluviennes enregistrées par endroit, ont entraîné des inondations ayant occasionné des dégâts matériels importants et des pertes en vies humaines avec plus de 25 morts dont 11 en Côte d’Ivoire et 14 au Niger. La réunion confirme que la campagne agropastorale en cours pourrait être caractérisée par une pluviométrie globalement normale à excédentaire avec des risques de nombreuses séquences sèches pendant la phase d’installation des cultures. Par ailleurs, des niveaux d’eau équivalents à supérieurs à la moyenne sont également attendus dans la majeure partie des bassins fluviaux de la région, notamment dans les vallées du fleuve Sénégal et du fleuve Niger où des inondations risquent d’être observées. Les activités agricoles sont dominées par les préparatifs des champs pour la prochaine saison des pluies. Il s’agit précisément des apports de fumure organique, de débroussaillement des champs et de la révision du matériel aratoire pour le labour et les semis. Dans certaines localités, on observe une levée des semis. Au Niger, la situation agricole est marquée par l’installation progressive de la saison des pluies dans plusieurs régions du pays. Les précipitations observées dans plusieurs localités du pays ont favorisé le démarrage des semis, notamment du mil, dans les régions de Dosso, Maradi et Tillabéri, du sorgho dans quelques localités des régions de Dosso, Maradi et Tillabéri et ceux du niébé et de l’arachide dans la région de Dosso. Le stade phénologique du mil varie de la levée au tallage et les travaux de sarclage sont en cours. Afrique Verte Au Mali, les conditions d’élevage restent globalement moyennes dans le pays, excepté dans le Gourma des régions de Tombouctou et de Gao où elles sont mauvaises. Toutefois une légère amélioration est observée dans les zones où les quantités de pluies tombées sont déjà satisfaisantes, occasionnant un début de régénération du couvert herbacé. Au Burkina Faso, l’état d’embonpoint des animaux est assez bon dans l’ensemble et les marchés à bétail suffisamment fournis.

6 La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda)
Continue d'être très préoccupant en Afrique en particulier sur le maïs La probabilité d’occurrence de la chenille légionnaire d’automne dans les pays de la région a été évalué selon les données de la FAO et les informations disponibles en fin juin 2017. Haute Modérée Faible Nulle Bénin Burkina Faso Côte d’Ivoire Ghana Niger Nigeria Togo Tchad Mali Gambie Guinée Guinée Bissau Sénégal Sierra Léone Liberia Mauritanie La chenille légionnaire d’automne menace la production agricole en Afrique  Menace pour l’agriculture au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Il s’agit de la Noctuelle Spodoptera frugiperda, Ce nuisible cause des dommages importants aux cultures, en particulier le maïs, et possède un grand potentiel de propagation et de dommages économiques. La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda), appelée Fall Armyworm (FAW) en Anglais, est un insecte ravageur qui se nourrit de plus de 80 espèces cultivées, causant des dommages à des céréales cultivées économiquement importantes telles que le maïs, riz, sorgho et aussi aux légumineuses et le coton. Il est originaire des régions tropicales et subtropicales d’Amérique, avec le papillon adulte capable de se déplacer plus de 100 km par nuit. Il pond ses œufs sur les plantes, dont les larves éclosent et commencent à se nourrir. Les infestations élevées peuvent conduire à des pertes importantes de rendement. Agriculteurs dans les Amériques ont géré le ravageur pendant de nombreuses années, mais à un coût élevé. FAW a été tout d’abord détecté en Afrique centrale et occidentale en début 2016 (Sao Tomé et Principe, Nigéria, Bénin et Togo) et à la fin 2016 et 2017 en Angola, Botswana, Burundi, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Éthiopie, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Namibie, Niger, Rwanda, Sierra Leone, Afrique du Sud, Tanzanie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe, et il est prévu d’aller plus loin. Bien qu’il soit trop tôt pour connaître l’impact à long terme sur la production agricole et sécurité alimentaire en Afrique, il a le potentiel de causer de graves dégâts et pertes de rendement. La FAO a pris des mesures immédiates pour aider les pays à répondre à la menace de FAW en Afrique. Une réunion de consultation s’est tenue à Harare, Zimbabwe (14-16 février 2017) avec des représentants du gouvernement et des intervenants d’Afrique australe à faire le point sur la situation actuelle et à appuyer les mesures d’urgence et réponse rapide. La FAO a entrepris une série d’actions rapides telles que le développement et le partage avec les pays d’un guide technique pour l’identification de la FAW, les protocoles pour évaluer le niveau d’infestation et des dommages et des recommandations sur les options de gestion, y compris l’appui aux gouvernements à l’élaboration de plans d’action.  Insérer un lien pour plus d’info Cabo Verde : La situation a évolué et une présence probable de la chenille légionnaire est signalée, des échantillons sont envoyés au Bénin pour confirmation.

7 Prix et marchés internationaux
L'indice FAO des prix des produits alimentaires continue d’augmenter L'Indice FAO des prix des produits alimentaires* s’est établi en moyenne à 175,2 points en juin 2017, soit une hausse de 2,5 points (1,4 pour cent) par rapport à sa valeur de mai et une hausse de 11 points (7 pour cent) par rapport à son niveau d’un an auparavant. Juin a marqué la deuxième hausse consécutive de l’indice. Celle-ci est principalement à mettre au compte de la hausse relativement importante des prix des produits laitiers et des céréales. Les cours de la viande se sont eux aussi raffermis mais ceux du sucre et des huiles végétales ont baissé. » En juin, l’Indice FAO des prix des céréales était en moyenne de 154,3 points, soit 6,2 points (4,2 pour cent) de plus qu’en mai. Il marquait ainsi son plus haut niveau depuis un an. Ce sont les cours du blé qui ont le plus augmenté, en grande partie du fait de la flambée des prix des blés riches en protéines, provoquée par la détérioration des conditions de culture aux États-Unis. La forte demande à l’importation a exercé une pression à la hausse sur les prix internationaux du riz. En revanche, le volume record des récoltes en Amérique du Sud a continué de peser sur les prix du maïs. » L’Indice FAO des prix des huiles végétales affiche une valeur moyenne de 162,1 points en juin, soit une diminution de 6,5 points (3,9 pour cent) par rapport à mai, lorsque les prix avaient connu un bref rebond. La baisse de l’indice est principalement à mettre au compte du fléchissement des prix des huiles de palme et de soja. Les cours internationaux de l’huile de palme ont baissé de 7 pour cent pour atteindre leur plus faible niveau depuis 10 mois, principalement en raison de perspectives de production favorables en Asie du Sud-Est. Les volumes record des récoltes en Amérique du Sud ont entraîné les disponibilités mondiales à la hausse, à quoi s’ajoutent des prévisions selon lesquelles la production mondiale atteindrait un niveau quasi record en , ce qui a eu pour effet de faire baisser les prix de l’huile de soja. La baisse des prix des huiles de colza et de tournesol a également contribué à la diminution globale de l’indice. » L’Indice FAO des prix des produits laitiers était en moyenne de 209 points en juin, ce qui représente une augmentation de 15,9 points (8,3 pour cent) par rapport à mai. Ce niveau est proche des valeurs les plus élevées de ces trois dernières années, mais reste inférieur de 24 pour cent au pic atteint en février Les prix de l’ensemble des produits laitiers qui composent l’indice ont augmenté, surtout ceux du beurre : ces derniers ont progressé de 51,2 points (14,1 pour cent) depuis mai pour atteindre un niveau record. Compte tenu du faible volume de produits laitiers disponibles à l’exportation dans l’ensemble des grands pays producteurs, les prix du beurre, du fromage, du lait écrémé en poudre et aussi du lait entier en poudre ont augmenté. » L'Indice FAO des prix de la viande* s'est établi en moyenne à 175,2 points en juin, soit 3,2 points (1,8 pour cent) de plus qu’en mai. Il s’agit du sixième mois consécutif de hausse modérée de l’indice. Le volume limité de l’offre à l’exportation en Océanie et le niveau élevé de la demande ont entraîné les prix des viandes bovines et ovines à la hausse au mois de juin, et la forte demande à l’importation a contribué au maintien des prix de la viande de porc. En revanche, les inquiétudes entourant la diffusion de la grippe aviaire en Europe, en Asie et en Afrique ont continué d’exercer une pression sur les cours de la viande de volaille. » L'Indice FAO des prix du sucre affichait une valeur moyenne de 197,3 points en juin, ce qui représente une diminution de près de 31 points (13,4 pour cent) par rapport à mai. Il s’agit de sa valeur la plus faible depuis 16 mois. Les prix internationaux du sucre n’ont cessé de baisser depuis février, en raison des abondantes disponibilités à l’exportation et en particulier sous l’effet du niveau élevé de l’offre au Brésil. La faiblesse de la demande à l’importation a continué d’exercer une pression à la baisse sur les cours du sucre, notamment en raison du ralentissement des achats effectués par la Chine (premier importateur mondial) suite à l’instauration de droits d’importation élevés. Indice FAO des prix : Hausse de 1,4% par rapport à mai 2017 et en hausse de 7% par rapport à sa valeur de juin 2016 Indice FAO des céréales : Hausse de 4,2% par rapport à mai 2017 soit son plus haut niveau depuis un an.

8 Prix et marchés internationaux
L’offre de céréales devrait rester abondante en L’offre mondiale de céréales devrait rester abondante en L’offre devrait être particulièrement abondante sur les marchés des principales céréales secondaires, compte tenu du volume record des récoltes de maïs en Amérique du Sud. Les disponibilités de blé devraient elles aussi être importantes, même si l’offre de blés riches en protéines risque de diminuer, compte tenu de la détérioration des perspectives de récolte aux États-Unis. D’après les estimations actuelles, la production de riz devrait légèrement augmenter, ce qui permettra à l’offre mondiale de bien se porter en 2017, même si celle-ci dépendra toujours dans une large mesure des conditions de culture dans les prochains mois. Le niveau de la production de céréales devrait rester élevé en 2017 tout en restant inférieur au niveau record de 2016 Les prévisions de la FAO concernant la production mondiale de céréales en 2017 ont été revues à la baisse (moins 1,2 million de tonnes) et tablent désormais sur millions de tonnes, soit 0,6 pour cent de moins que le niveau de La diminution en glissement mensuel reflète la baisse de la production mondiale d’orge et de blé, qui a surtout été observée dans l’Union européenne (UE). Le volume de la production mondiale de blé en 2017 devrait s’élever à 739,9 millions de tonnes, soit près de 3,3 millions de tonnes (0,4 pour cent) de moins que les estimations de juin. Cette révision à la baisse est presque entièrement à mettre au compte de la diminution du volume des récoltes dans l’UE et en Ukraine, où l’on s’attend à une baisse des rendements à cause du manque de précipitations observé dans ces régions. Le volume de la production mondiale de céréales secondaires devrait s’élever à millions de tonnes, ce qui représente une augmentation de 1,9 million de tonnes par rapport aux prévisions de juin. Cette révision à la hausse est principalement le fait de l’amélioration des perspectives de production mondiale de maïs, qui s’explique par des dynamiques observées dans deux régions : aux États-Unis, les superficies ensemencées seront plus grandes que prévu, et en Afrique du Sud, les conditions météorologiques s’améliorent. Ces révisions à la hausse ont plus que compensé la révision à la baisse de la production d’orge et de maïs dans l’UE, qui s’explique par le climat sec qui sévit ces derniers temps dans la région. Les prévisions concernant le volume de la production mondiale de riz en 2017 tablent désormais sur 502,9 millions de tonnes, ce qui représente une augmentation de 0,6 pour cent par rapport au niveau record atteint en 2016 et une légère augmentation par rapport aux prévisions de juin. Cette modeste révision à la hausse se fonde sur des prévisions qui anticipent une légère augmentation des superficies ensemencées en Asie et une augmentation des rendements en Amérique du Sud. Ces dynamiques ont été en partie contrebalancées par la révision à la baisse des estimations concernant les États-Unis d’une part, où des inondations ont provoqué des dommages et où l’on s’attend à une baisse des prix, et le Viet Nam d’autre part, où les conditions météorologiques sont défavorables. L’utilisation de céréales devrait légèrement augmenter en , mais pas assez pour que les stocks mondiaux s’en ressentent L’utilisation mondiale de céréales devrait augmenter de 0,5 pour cent en glissement annuel en pour atteindre millions de tonnes. La diminution de l’utilisation de céréales fourragères devrait faire baisser l’utilisation globale de blé en , mais l’utilisation globale de maïs devrait augmenter de 2,1 pour cent et la consommation de riz devrait s’accroître de 1,2 pour cent. Compte tenu de la faible augmentation prévue de l’utilisation mondiale de céréales, les stocks mondiaux de céréales devraient continuer de progresser pour atteindre un nouveau niveau record d’environ 704 millions de tonnes, soit une valeur légèrement supérieure aux prévisions du mois dernier. Ce seront sans doute les stocks mondiaux de blé qui augmenteront le plus : ils devraient atteindre le niveau record de 256 millions de tonnes, soit une augmentation de 3,5 pour cent par rapport à leurs niveaux d’ouverture, déjà élevés. Le rapport stocks de blé-utilisation de blé devrait ainsi demeurer stable en , à environ 34 pour cent. Les échanges mondiaux de céréales, notamment de blé, devraient diminuer en La FAO a revu à la hausse ses prévisions concernant les échanges mondiaux de céréales pour (395 millions de tonnes, soit une augmentation de 4 millions de tonnes par rapport au mois dernier), mais on s’attend néanmoins à ce que les échanges diminuent de 2,3 millions de tonnes (0,6 pour cent) par rapport au volume estimé de Les échanges mondiaux de blé devraient diminuer de 1,4 pour cent pour s’établir à près de 172 millions de tonnes en , principalement du fait des prévisions selon lesquelles le Maroc et l’Inde réduiront leurs importations. Les dernières prévisions sont légèrement supérieures à celles du mois dernier. Le volume des échanges mondiaux de céréales secondaires en devrait s’établir à environ 178,8 millions de tonnes, soit un niveau proche de celui estimé pour Les exportations de maïs et d’orge devraient légèrement augmenter, ce qui devrait compenser la diminution, probable, des exportations de sorgho. Les dernières prévisions sont supérieures de 3 millions de tonnes à celles du mois dernier, principalement du fait des prévisions tablant sur une augmentation des volumes importés par le Canada, l’Égypte et l’UE. Le volume des échanges mondiaux de riz au cours de l’année civile 2018 devrait s’établir à 44,4 millions de tonnes, soit une valeur proche des prévisions révisées pour 2017 (44,2 millions de tonnes). Les perspectives d’une croissance de la demande en 2018 sont en partie contrebalancées par les prévisions tablant sur une offre plus abondante en Asie, qui pourrait permettre au Bangladesh, à l’Indonésie et à Sri Lanka de réduire leurs importations. Le niveau de la production de céréales devrait rester élevé en 2017 tout en restant inférieur au niveau record de 2016 L’utilisation de céréales devrait légèrement augmenter en , mais pas assez pour que les stocks mondiaux s’en ressentent Les échanges mondiaux de céréales, notamment de blé, devraient diminuer en

9 TENDANCES SUR LES MARCHÉS EN AFRIQUE DE L’OUEST

10 TENDANCES SUR LES MARCHÉS EN AFRIQUE DE L’OUEST

11 Situation alimentaire dans la région
Conclusions du Pregec restreint (Cap Vert, Juin 2107) Sur la base des projections de mars, à l’aide du CH pour la période de soudure couvrant juin à août: Près de 13.8 millions de personnes sont en insécurité alimentaire et nutritionnelle (phases 3 à 5). Parmi ces personnes, 1.6 million sont en phase urgence réparties principalement au Mali, au Niger, au nord du Nigéria, au Sénégal et au Tchad. Parmi les populations en insécurité alimentaire au Nigeria, personnes localisées dans l’Etat de Borno ont en état de famine.

12 Situation alimentaire dans la région
Evaluations en cours CFSVA Cameroun Collecte des données terminée. Analyse des données en cours. ( ménages) CFSVA Benin Le lancement officiel a eu lieu le jeudi 6 juillet Départ des enquêteurs est prévu pour vendredi 14 juillet. ( ménages) CFSVA Liberia Mobilisation des ressources.

13 Recommandations au FSNWG
Continuer à suivre la situation de sécurité alimentaire et nutritionnelle, en particulier dans le bassin du Lac Tchad, au nord du Mali, en Centrafrique, au Burkina Faso, en Mauritanie, au Sénégal et au Tchad. Suivre la situation alimentaire du Nord du Nigéria : au Nord-Est (crise humanitaire) et au Nord-Ouest (flambée des prix). Faire le plaidoyer pour le financement et la mise en place des réponses dans les trois états du Nord Est (Borno, Yobe et Adamawa).

14 Merci de votre attention


Télécharger ppt "Regional Food Security and Nutrition Working Group"

Présentations similaires


Annonces Google