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Regional Food Security and Nutrition Working Group

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Présentation au sujet: "Regional Food Security and Nutrition Working Group"— Transcription de la présentation:

1 Regional Food Security and Nutrition Working Group
Food Security and Nutrition Update FAO - WFP 15 février 2017

2 Points saillants  Campagnes agropastorales Déplacements de population Marchés internationaux et en Afrique de l’Ouest et le Sahel Sécurité alimentaire dans la région

3 Campagne agropastorale 2016-2017
Poursuite de la campagne des cultures de contre- saison Poursuite des récoltes du riz sur les périmètres irrigués et sur les rizières en immersion Les conditions d’élevages se caractérisent par des pâturages encore assez bien fournis dans l’ensemble et le niveau de remplissage des points facilite encore un meilleur abreuvement des animaux

4 Situation acridienne: L’activité acridienne a diminué en Mauritanie
Situation acridienne (au 03 F2VRIER 2017) : Grâce aux opérations de lutte en cours et des température basses, les infestations du Criquet pèlerin ont diminué en janvier,

5 Déplacements de population
Gambie : Retour progressif des réfugiés et déplacés internes PDI : personnes Réfugiés gambiennes: moins personnes sur les réfugiés au Sénégal et en Guinée Bissau Crise Nigeria : PDI : personnes dont au Nigeria (UNHCR) Réfugiés nigérians : personnes dans les 3 pays voisins du bassin du lac Tchad: Niger, Tchad et Cameroun. Une légère baisse du nombre de réfugiés Crise post-électorale gambienne : La rétractation de Yaya Jammeh a déclenché une crise régionale qui a poussé plus de personnes à aller se réfugier au Sénégal et en Guinée Bissau. Il y’ aurait également personnes déplacées interne dans les régions de Gambie. Au 24 janvier 2017, avec le retour au calme certaines personnes ont déjà commencé à revenir ; cependant, environ personnes sont toujours réfugiées au Sénégal et en Guinée-Bissau (UNHCR). Mali : PDI : personnes Réfugiés maliens: personnes

6 Prix et marchés internationaux
L'Indice FAO des prix des produits alimentaires atteint son plus haut niveau depuis février 2015 L'indice FAO des prix des produits alimentaires en hausse de 2,1 pour cent par rapport à sa valeur révisée de décembre, et également en hausse de 16,4 pour cent par rapport à sa valeur à la même période l'année dernière. L'indice FAO des prix des céréales en hausse de 3,4 pour cent de plus qu'en décembre, c’est son plus haut niveau depuis six mois. Tendances sur les marchés internationaux : L'indice FAO des prix des produits alimentaires mesure la variation mensuelle des cours internationaux d'un panier de denrées alimentaires. Il est établi à partir de la moyenne des indices de prix de cinq catégories de produits, pondérés en fonction de la part moyenne à l'exportation de chacune des catégories pour la période La consommation alimentaire de la majorité des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel dépend en partie des importations des produits de base (en particulier le riz et le blé) dont les prix sont négociés sur les places internationales. L'Indice FAO des prix des produits alimentaires* s'est établi en moyenne à 173,8 points en janvier 2017, soit une hausse de 3,7 points (2,1 pour cent) par rapport à sa valeur révisée de décembre. Il atteint ainsi sa valeur la plus élevée depuis février 2015 et gagne pas moins de 24,5 points (16,4 pour cent) par rapport à sa valeur à la même période l'année dernière. Ce net rebond de la valeur de janvier est dû à une flambée des cours internationaux du sucre et à une forte augmentation des prix à l'exportation des céréales ainsi que des huiles végétales. Les marchés de la viande et des produits laitiers sont restés plus stables. En janvier, l'Indice FAO des prix des céréales était en moyenne de 147 points, soit 4,8 points (3,4 pour cent) de plus qu'en décembre; il marquait ainsi son plus haut niveau depuis six mois. Les cours internationaux de l'ensemble des principales céréales se sont renforcés en janvier. La hausse des cours du blé est surtout imputables aux craintes de conditions météorologiques défavorables aux récoltes en 2017 et à la réduction annoncée des emblavures de en blé d'hiver aux États-Unis. L'affermissement des prix du maïs répercute dans une large mesure la forte demande et les incertitudes pesant sur les récoltes en Amérique du Sud. Les prix internationaux du riz ont également augmenté, en raison de la prévision d'un retour sur le marché d'importants acheteurs, à laquelle s'ajoute la diminution des disponibilités exportables en Inde du fait des programmes d'achats publics en cours. » L’Indice FAO des prix des huiles végétales affiche une valeur moyenne de 186,3 points en janvier, soit une progression de 3,3 points (1,8 pour cent) par rapport à décembre, ce qui représente le troisième mois consécutif de hausse. Cette hausse est principalement imputable à l'huile de palme, dont les prix ont atteint leur niveau le plus haut depuis 30 mois, en raison de la persistance d'inquiétudes relatives à la lenteur de la reprise de la production en Asie du Sud-Est, du faible niveau des stocks mondiaux et d'une forte demande à l'importation. Les prix de l'huile de colza ont poursuivi leur hausse, alimentée par une perspective d'offre tendue en 2016‑2017, mais les prix de l'huile de soja ont diminué en raison d'estimations qui indiquent que les disponibilités mondiales devraient être abondantes, malgré des révisions à la baisse des récoltes de soja aux États-Unis et en Argentine. » L’Indice FAO des prix des produits laitiers était en moyenne de 193 points en janvier, comme en décembre.  Les prix ont globalement peu évolué, contrairement à ce qui a été observé au cours du second semestre de 2016 (l'indice avait bondi de 50 pour cent entre mai et décembre).  Les volumes échangés sont restés modérés du fait que le pic saisonnier de production passait de l'hémisphère Sud à l'hémisphère Nord et que les principaux acheteurs étaient nombreux à avoir assuré leurs approvisionnements au cours des mois précédents. » L'Indice FAO des prix de la viande* s'est établi en moyenne à 156,7 points en janvier. Il est resté pour l'essentiel inchangé par rapport à sa valeur révisée de décembre.  La hausse des cours de la viande bovine a été contrebalancée par une chute des prix de la viande ovine et un léger recul de ceux de la viande de porc et de la viande de volaille.  En Australie, la reconstitution du cheptel a réduit l'offre de viande bovine à l'exportation et a tiré les prix vers le haut. S'agissant de la viande ovine, les prix à l'exportation de l'Océanie ont chuté pour le troisième mois consécutif, en raison du pic saisonnier d'abattage et de l'augmentation de l'offre qui en découle. Les prix de la viande de volaille et de la viande de porc ont également enregistré leur troisième mois de baisse, le marché étant caractérisé par une offre mondiale globalement abondante et une demande stable. » L'Indice FAO des prix du sucre affichait une valeur moyenne de 288,5 points en janvier, en hausse de 26 points (9,9 pour cent) par rapport à décembre 2016. La forte hausse des prix internationaux du sucre en janvier est principalement due à la confirmation des prévisions selon lesquelles la production mondiale de sucre sera en retrait en 2016‑2017. Les perspectives moins optimistes concernant la croissance de la production de sucre sont largement imputables à la persistance du resserrement de l'offre dans certaines grandes régions productrices, notamment au Brésil, plus grand producteur et exportateur mondial de sucre, mais aussi en Inde, deuxième producteur, et en Thaïlande.

7 Production céréalière, utilisation et stock internationaux
: une offre mondiale abondante, à la faveur d'une production céréalière exceptionnelle Confirmant les perspectives d’une récolte record, les prévisions de la FAO concernant la production céréalière mondiale en 2016 ont été relevées et portées à 2,592 milliards de tonnes, soit 15 millions de tonnes (0,6 pour cent) de plus par rapport à décembre. La révision s'explique essentiellement par des moissons plus importantes que prévu en Australie et dans la Fédération de Russie ainsi que par les ajustements à la hausse de la production mondiale de maïs, qui tiennent essentiellement au relèvement des estimations concernant la Chine. Ces augmentations ont largement compensé la réduction des prévisions relatives à la production mondiale de riz, due à des récoltes moins abondantes annoncées en Chine, au Pakistan, aux États-Unis et au Viet Nam. Les premières perspectives concernant la production de céréales en 2017 font apparaître une situation mitigée. Les semis de blé d'hiver dans l’hémisphère Nord sont quasiment terminés. Aux États-Unis, les disponibilités abondantes et les prix relativement bas ont incité les agriculteurs à réduire les emblavures de blé d’hiver, qui accusent ainsi leur deuxième niveau le plus bas jamais enregistré. Cependant, les rendements pourraient être quelque peu limités par des conditions météorologiques moins bonnes que prévu. Les superficies de blé d’hiver du Canada sont également en diminution en raison essentiellement des prévisions de baisse des prix. En Europe, une météorologie clémente a favorisé les semis de blé d’hiver dans l’UE, mais les basses températures de janvier ont peut-être causé des dommages. Dans l’ensemble, les superficies ensemencées dans l’Union européenne devraient rester inchangées par rapport à l’année dernière. Les perspectives de production restent favorables dans la Fédération de Russie en raison d’une extension des superficies de blé d’hiver et de bonnes conditions de culture. La couverture neigeuse dans le sud de l’Ukraine, même si elle a été limitée, a néanmoins suscité quelques inquiétudes, mais les conditions s’avèrent globalement satisfaisantes, d’autant que les superficies emblavées auraient dépassé leur niveau de En Asie, l’augmentation des emblavures en Inde ainsi que des disponibilités en eau suffisantes pour l’irrigation devraient entraîner une petite hausse de la production en En revanche, une pluviométrie insuffisante pendant les semis et une disponibilité en eau réduite pour l’irrigation ont assombri les perspectives au Pakistan. En Chine, la poursuite des mesures vigoureuses d’incitation à la production mises en place par le Gouvernement dans le cadre du programme visant à assurer des prix d’achat minimum a encouragé les producteurs à augmenter modérément les superficies emblavées et stimulé les perspectives de production dans le pays. Dans l'hémisphère Sud, après les grandes sécheresses de l’année précédente, une météorologie qui s’annonce plus favorable devrait entraîner un rebond de la production céréalière dans les pays d'Afrique australe en En particulier, la production de maïs en Afrique du Sud devrait revenir à des niveaux proches de la moyenne, en raison d'une expansion attendue des superficies emblavées en maïs et d’un rattrapage des rendements. En Amérique du Sud, les premières estimations laissent apparaître un accroissement des cultures céréalières en Argentine et au Brésil, qui s’explique par des prix élevés sur les marchés locaux et des conditions météorologiques favorables. En Australie et en Indonésie, la production de riz devrait augmenter, tandis qu’une amélioration des conditions de culture pourrait stimuler les rendements dans des pays d'Amérique du Sud producteurs de riz, notamment le Brésil. Les semis ont progressé lentement au Viet Nam en raison des pluies excessives tombées sur les parties méridionales du pays. Sri Lanka a été confrontée à des problèmes plus graves car les cultures de paddy ont considérablement souffert de la faiblesse des précipitations et d'un approvisionnement en eau insuffisant pour l'irrigation. Les prévisions de la FAO concernant l'utilisation mondiale de céréales en ont été relevées de près de 3 millions de tonnes depuis décembre et portées à 2,567 milliards de tonnes, soit 2 pour cent de plus (50,4 millions de tonnes) que le niveau de L’ajustement à la hausse de ce mois-ci tient principalement à une augmentation de 2,2 millions de tonnes de l’utilisation du blé à des fins industrielles et alimentaires dans plusieurs pays. Si l’on ajoute à cela des niveaux d’utilisation des céréales secondaires légèrement supérieurs aux estimations précédentes, on constate que la révision a largement compensé la réduction de 1 million de tonnes de l’usage du riz à des fins non alimentaires. L'utilisation totale de blé est actuellement estimée à 736,5 millions de tonnes, soit 22 millions de tonnes (3,1 pour cent) de plus par rapport à Cette hausse s’explique en grande partie par une forte augmentation de l'utilisation du blé dans l'alimentation animale, du fait de l'abondance de blé de qualité médiocre dans les greniers. L'utilisation mondiale de céréales secondaires en devrait augmenter de 23,6 millions de tonnes (1,8 pour cent) et atteindre près de millions de tonnes. Le relèvement des prévisions est dû essentiellement à une plus grande utilisation de ces denrées dans l’alimentation animale aux États-Unis, qui fait suite à la récolte exceptionnelle de l'an dernier. Malgré l’ajustement à la baisse de ce mois-ci, la consommation mondiale de riz devrait rester en hausse de 1 pour cent par rapport à 2015‑2016 et atteindre 500 millions de tonnes, soutenue principalement par l’utilisation pour l’alimentation humaine. Les prévisions de la FAO concernant les stocks mondiaux de céréales à la fin des campagnes de 2017 ont été réévaluées de 11 millions de tonnes et portées à un niveau record de 681 millions de tonnes, soit 3 pour cent (20 millions de tonnes) de mieux par rapport à la campagne précédente. L'amélioration des perspectives de production a donné lieu à des ajustements à la hausse considérables des stocks de blé en Argentine, en Australie et au Brésil depuis décembre. Globalement, les estimations concernant les stocks mondiaux de céréales en ont été relevées de 6,5 millions de tonnes et atteignent un nouveau record de 245 millions de tonnes. Ainsi, les stocks de blé devraient dépasser les prévisions de de 8,3 pour cent (près de 19 millions de tonnes). Par rapport à l’année dernière à la même période, il est toujours prévu que l'augmentation soit concentrée en Chine, aux États-Unis et dans la Fédération de Russie. En ce qui concerne les céréales secondaires, et compte tenu du gonflement prévu des greniers de maïs en Chine, les prévisions de la FAO envisagent un rebond annuel de 0,7 pour cent (2 millions de tonnes) des stocks mondiaux, qui atteindraient ainsi leur deuxième niveau le plus élevé jamais enregistré. Par rapport à la campagne précédente, la plus forte augmentation est attendue aux États-Unis, où les stocks de céréales secondaires devraient atteindre un niveau record de 64 millions de tonnes, soit 32 pour cent de plus que leur niveau d'ouverture. Cependant, cette hausse devrait être partiellement compensée par des prélèvements importants en Chine et au Brésil en raison d'un recul de la production. Dans le cas de la Chine, la réduction des réserves sera d’autant plus forte que les autorités ont annoncé récemment des plans visant à diminuer les stocks de maïs du pays en favorisant une utilisation industrielle. Cela étant, cette mesure aura vraisemblablement un impact plus marqué sur les niveaux des stocks de la prochaine campagne. On estime actuellement que les stocks mondiaux de riz s’établiront à 170 millions de tonnes, en baisse de 0,6 pour cent par rapport à l’année dernière à la même époque et légèrement en dessous des prévisions de décembre. La dernière révision à la baisse est à mettre sur le compte de la Chine et des États-Unis, même si leurs réserves de riz sont encore à des niveaux records ou s’en approchent. Malgré des révisions à la hausse des prévisions relatives au commerce du blé, les échanges internationaux de céréales en devraient fléchir de 1,2 pour cent (4,7 millions de tonnes) par rapport à , pour s'établir à 391 millions de tonnes. Cette contraction s'expliquerait par une réduction de 5 pour cent (9 millions de tonnes) des échanges mondiaux de céréales secondaires, qui devraient chuter à 177 millions de tonnes, principalement en raison de la réduction des achats de maïs, d'orge et de sorgho de la Chine. En revanche, les estimations plus optimistes concernant les importations de l'Inde, du Brésil et du Viet Nam ont donné lieu à un relèvement (de 2,4 millions de tonnes) des prévisions de décembre du volume total des échanges de blé, lesquels atteindraient ainsi 171 millions de tonnes. À ce niveau, la production mondiale de blé serait encore supérieure de 1,7 pour cent (2,8 millions de tonnes) aux prévisions de et marquerait un nouveau record. L’augmentation serait essentiellement imputable à l'Inde, où le volume total des importations devrait atteindre 3,5 millions de tonnes, son plus haut niveau depuis dix ans. Pourtant, cette prévision pourrait être de nouveau relevée car la hausse persistante des prix locaux et la suppression récente des droits d'importation sur le blé devraient entraîner une augmentation des importations indiennes beaucoup plus importante que prévu. Des disponibilités à l’exportation plus abondantes et une demande plus vigoureuse de l’Asie devraient déboucher sur une reprise partielle du commerce mondial du riz pour l'année civile 2017, qui est actuellement estimé à 43 millions de tonnes, niveau légèrement supérieur aux estimations révisées (42 millions de tonnes) relatives à 2016.

8 TENDANCES SUR LES MARCHÉS EN AFRIQUE DE L’OUEST
Au cours du mois de janvier, les récoltes ont tiré à leur fin et la mise en marché du maïs, du riz, du mil et du sorgho s’est intensifiée; Les baisses de prix attendues se sont confirmées par endroits; Pour le maïs, un stockage massif et précoce a favorisé une relative stabilité des prix et même provoqué des légères hausses localisées (Mali); En janvier, la tendance générale de l’évolution des prix des céréales est, dans la bande sahélienne à la stabilité Au niveau des pays côtiers, on observe une forte chute du prix du maïs depuis fin 2016, après les fortes hausses de l’année précédente

9 TENDANCES SUR LES MARCHÉS EN AFRIQUE DE L’OUEST
Sorgho: les anticipations de très bonnes productions se confirment et les prix tendent à baisser dans les principaux pays producteurs de la sous-région. On note une amélioration de l’offre dans les pays tels que la Guinée, le Mali, le Sénégal alors que l’offre demeure relativement faible au Niger. (ROAC) Mil: Si le Sénégal et le Niger enregistrent des prix relativement élevés et en hausse par rapport au mois passé, le Mali et le Burkina Faso ont des prix nettement plus bas et stable par rapport au mois passé suivant des quantités variables sur les marchés. (ROAC)

10 TENDANCES SUR LES MARCHÉS EN AFRIQUE DE L’OUEST
Riz: la récolte également confirmée en nette hausse au niveau de la sous-région et particulièrement au Mali, n’a pas entrainé une baisse importante des prix car la demande reste soutenue et la mise en marché est très progressive, tandis que le prix du riz importé commence à légèrement augmenter.(ROAC) Tchad: Malgré les prix des céréales à la baisse, difficultés économiques et des services financiers Nigeria et Ghana: Forte inflation continue et hausse des prix des aliments soutenue

11 Situation alimentaire dans la région
Deux enquêtes actuellement en cours : EFSA Nigéria 4500 ménages (PDIs et Populations Hôtes) dans les états de Adamawa, Borno et Yobe L’enquête a débuté le 08 février 2017 (Il est prévu 10 jours de collecte) ENSAN Mali 9 910 ménages seront couverts à travers toutes les régions du pays 296 enquêteurs ont été formés à cet effet La collecte des données, planifiée pour 15 jours, a commencé le 07 février 2017

12 Planning Activités CH – 1er semestre 2017
Période Cycle d’analyse CH – Pays Côtiers 20 au 24 Février Cycle d’analyse CH – Nigeria 27 Février au 11 Mars Cycle d’analyse CH – Pays Sahel 6 au 11 Mars Consolidation régionale CH 15 au 21 Mars PREGEC 23 au 25 Mars RPCA 10 au 14 Avril

13 Recommandations au FSNWG
Continuer à suivre la situation de sécurité alimentaire et nutritionnelle, en particulier dans le bassin du lac Tchad Suivre la situation alimentaire du Nord du Nigéria : au Nord-Est (crise humanitaire) et au Nord-Ouest (flambée des prix) Faire le plaidoyer pour le financement et la mise en place des réponses dans les trois états du Nord Est (Borno, Yobe et Adamawa) Suivre la situation acridienne en Mauritanie et dans toute la bande sahélienne Suivre la situation en Gambie par rapport au contexte politique et déficit agricole

14 Merci de votre attention


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