J. EL ANZAOUI. T. ADDAJOU, Y. AMOR, D. TOUIT, O. GHOUNDALE

Présentation au sujet: "J. EL ANZAOUI. T. ADDAJOU, Y. AMOR, D. TOUIT, O. GHOUNDALE"— Transcription de la présentation:

1 UN LYMPHANGIOME KYSTIQUE RETROPERITONEAL REVELE PAR DES COLIQUES NEPHRETIQUES
J. EL ANZAOUI. T. ADDAJOU, Y. AMOR, D. TOUIT, O. GHOUNDALE Service d’urologie Hopital Militaire Avicenne marrakech

2 INTRODUCTION Décrit pour la première fois par Satway en 1898 en sa localisation rétropéritonéale, le lymphangione kystique (LK) est une pathologie rare caractérisée par le développement d’une tumeur vasculaire bénigne issue des voies lymphatiques. Caractérise par son polymorphisme clinique, le LK se manifeste fréquemment par des complications compressives. À notre connaissance, les coliques néphrétiques n’ont jamais éte citées dans la littérature comme mode de révélation du LK. Nous faisons état de l’observation médicale d’une femme de 30 ans chez qui le LK s’est manifesté par des coliques néphrétiques récidivantes et dont l’évolution après traitement chirurgical s’est avérée favorable.

3 OBSERVATION Femme de30 ans Coliques nephrétiques récidivantes
Examen clinique sans particularité TDM abdominale : large masse retro péritonéale a paroi fine et contenu hydrique Dilatation des voies excrétrices droites et gauche Diagnostic retenu : LK Traitement : résection la plus complète possible Anapath : confirmation du diagnostic

4 DISCUSSION Localisation retropéritonéale est rare
Théorie malformative est la plus souvent évoquée Polymorphisme clinique : simple asthénie jusqu’à l’urgence chirurgicale : occlusion, choc septique Manifestation de coliques nephretiques n’a jamais été rapporté dans la littérature TDM et IRM : masse uni ou multiloculaire Traitement : resection coelioscopique ou ouverte, trans ou retroperitoneale Resection totale est rarement possible vue l’adherance au gros vaisseaux Anapath : tumeur bénigne faite de cellules endothéliales et lymphoidee

5 CONCLUSION Tumeur rare
L’expression par des manifestations compressives est la règle La compression urétérale n’a jamais été décrite dans la littérature Tumeur bénigne dont le traitement est chirurgical Risque de récidive puisque la résection complète est rarement possible

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