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Statistiques sur le cancer en
Ontario 2016
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Cette présentation contient un sous-ensemble des tableaux et figures qui se trouvent dans le rapport. D’autres tableaux et figures sont accessibles dans la version intégrale du rapport: Statistiques sur le cancer en Ontario 2016
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Incidence 2 Statistiques sur le cancer en Ontario 2016
Chapitre 2: Incidence
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Figure 2.1 – Tendance de l’incidence attribuée aux changements liés au risque de cancer, à l’accroissement de la population et au vieillissement, Ontario, Au cours des trois dernières décennies, le vieillissement et l’accroissement de la population ont contribué bien davantage aux nouveaux cas de cancer que les changements réellement survenus dans le risque de cancer et les pratiques de lutte contre le cancer. En 2016, on prévoit qu’environ 85 648 nouveaux cas de cancer seront diagnostiqués, ce qui représente une hausse de 188,9 % par rapport aux 29 649 cas diagnostiqués en 1981. Sur cette hausse de 188,9 %, 89,2 % seront attribuables au vieillissement de la population, 80,2 % à l’accroissement de la population, et seulement 19,5 % aux changements liés au risque de cancer et aux pratiques de lutte contre le cancer. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 2: Incidence
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Figure 2.2 – Incidence et taux normalisés selon l’âge, tous cancers confondus, Ontario, 1981–2016
La figure montre les chiffres annuels et les taux d’incidence normalisés selon l’âge (TINA), tous cancers confondus, à l’aide des règles du Centre international de recherche sur le cancer/de l’Association internationale des registres du cancer (CIRC/AIRC) permettant de recenser des cancers primitifs multiples et, pour les années plus récentes, à l’aide des règles du programme Surveillance, Epidemiology and End Results (SEER). La figure inclut également des chiffres et des taux prévus pour les années Les règles du SEER relatives aux cancers primitifs multiples ont été mises en œuvre pour les données de l’Ontario à partir de l’année de diagnostic 2010. Les taux et les chiffres obtenus avec les deux méthodes de dénombrement des cancers primitifs multiples sont présentés ici afin de montrer l’impact des nouvelles règles. Les règles du SEER sont plus libérales que celles de CIRC/AIRC quant à ce qui est considéré comme un nouveau cas primaire de cancer. Par conséquent, elles donnent des chiffres et des taux plus élevés. Pour l’incidence et les taux spécifiques selon l’âge par groupe d’âge, voir le tableau 2.2. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 2: Incidence
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Figure 2.7 – Répartition de l’incidence du cancer selon le groupe d’âge et le type de cancer, Ontario, 2010–2012 Entre 2010 et 2012, les cancers infantiles les plus communs étaient la leucémie (33,7 %) et les cancers du système nerveux central (SNC). Ces types de cancer comptaient pour plus de la moitié de tous les cancers chez les enfants âgés de 0 à 14 ans. Les lymphomes, les cancers des tissus mous et les neuroblastomes étaient aussi parmi les plus communs chez les enfants. Les cancers les plus communs chez les adolescents et les jeunes adultes (de 15 à 29 ans) étaient le cancer de la thyroïde (19,0 %), suivi du cancer du testicule, du lymphome de Hodgkin, du mélanome et du cancer du cerveau. Le cancer de la thyroïde et le cancer du sein féminin étaient les deux cancers les plus couramment diagnostiqués chez les personnes de 30 à 49 ans et représentaient plus d’un tiers de tous les cancers dans ces groupes d’âge. Parmi les personnes de 50 à 59 ans, le cancer du sein féminin (17,4 %) et le cancer de la prostate (12,3 %) étaient les plus communs. Le cancer de la prostate (17,8 %) était aussi le cancer le plus couramment diagnostiqué chez les personnes de 60 à 69 ans, suivi du cancer du poumon (13,5 %). Chez les personnes de 80 ans et plus, les cancers les plus couramment diagnostiqués étaient le cancer colorectal (16,9 %) et le cancer du poumon (15,3 %). Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 2: Incidence
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Figure 2.8 – Variation annuelle moyenne en pourcentage (VAMP) des taux d’incidence normalisés selon l’âge, selon le type de cancer et le sexe, Ontario, 2003–2012 Au cours de la période de 10 ans la plus récente de 2003 à 2012, la variation annuelle moyenne en pourcentage (VAMP) des taux d’incidence normalisés selon l’âge (TINA) chez les hommes : a diminué le plus pour les cancers de la prostate (2,3 % par année), du larynx (2,2 %) et de la vessie (1,0 %); a augmenté le plus pour les cancers de la thyroïde (7,9 %) et du foie (4,5 %) et pour le mélanome (2,3 %); est demeurée stable pour les cancers du poumon, de l’estomac et du cerveau et pour le myélome. Au cours de la période de 10 ans la plus récente de 2003 à 2012, la VAMP des TINA chez les femmes : a diminué le plus pour les cancers du larynx (2,9 %), de la vessie (2,3 %) et de l’ovaire (1,3 %); a augmenté le plus pour les cancers de la thyroïde (6,4 %), du foie (4,4 %) et de l’utérus (3,4 %); est demeurée stable pour les cancers de la cavité buccale et du pharynx, du cerveau, du col de l’utérus et de l’estomac, et pour le lymphome de Hodgkin. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 2: Incidence
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Figure 2.9 – Répartition des nouveaux cas selon le stade, selon le groupe d’âge, Ontario, 2010–2012
Entre 2010 et 2012, la majorité des nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués aux stades I ou II dans chaque groupe d’âge. La plus grande proportion de cancers stadifiés chez les personnes âgées de 69 ans ou moins ont été diagnostiqués au stade I. La proportion de cancers diagnostiqués au stade IV augmente avec l’âge. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 2: Incidence
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3 Mortalité Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 3: Mortalité
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Figure 3.1 – Mortalité et taux normalisés selon l’âge, tous cancers confondus, Ontario, 1981–2016
Bien que le nombre de décès par cancer augmente depuis 1981, le taux de mortalité normalisé selon l’âge (TMNA) pour tous les cancers a diminué entre 1981 et 2016 chez les deux sexes. Pour la mortalité et les taux spécifiques selon l’âge par groupe d’âge, voir le tableau 3.2. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 3: Mortalité
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est demeurée stable pour les cancers de la thyroïde et du pancréas.
Figure 3.6 – Variation annuelle moyenne en pourcentage (VAMP) des taux de mortalité, selon le type de cancer et le sexe, Ontario, 2003–2012 Au cours de la période de 10 ans la plus récente de 2003 à 2012, la variation annuelle moyenne en pourcentage (VAMP) des taux de mortalité normalisés selon l’âge chez les hommes : a diminué pour la plupart des types de cancer, y compris le lymphome de Hodgkin (4,2 % par an), le cancer du larynx (3,3 %) et le cancer du testicule (3,0 %); a augmenté pour le cancer du foie (3,1 %), le cancer du cerveau (1,7 %), le mélanome (1,2 %) et le cancer de l’œsophage (0,3 %); est demeurée stable pour les cancers de la thyroïde et du pancréas. Au cours de la période de 10 ans la plus récente de 2003 à 2012, la variation annuelle moyenne en pourcentage (VAMP) des taux de mortalité normalisés selon l’âge chez les femmes : a diminué pour la plupart des types de cancer, y compris le lymphome de Hodgkin (3,2 % par an), le cancer du col de l’utérus (3,0 %) et le cancer du sein (2,5 %); a augmenté pour le cancer du foie (2,4 %), le cancer du cerveau (2,0 %), le cancer de l’utérus (0,9 %) et le mélanome (0,6 %); est demeurée stable pour les cancers du pancréas, du poumon et du rein. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 3: Mortalité
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4 Survie relative Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 4: Survie relative
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Figure 4.1 – Ratios de survie relative (RSR), selon la durée de survie et le type de cancer, Ontario, Les ratios de survie relative entre 2008 et 2012, tous cancers confondus, sont de 76,8 % après 1 an, de 67,0 % après 3 ans et de 63,1 % après 5 ans. Comme pour la plupart des cancers individuels, la survie globale au cancer diminue le plus pendant la première année suivant le diagnostic et enregistre par la suite des diminutions progressivement plus faibles au fil de la période succédant au diagnostic. Entre 2008 et 2012, les observations suivantes ont été faites pour les 4 cancers les plus communs : Le cancer de la prostate enregistre le RSR le plus élevé pendant les 3 durées de survie. Le RSR après 1 an est de 97,5 %, et il n’existe pas de différence significative entre le RSR après 3 ans (95,8 %) et le RSR après 5 ans (95,2 %). Le taux de survie au cancer du sein chez les femmes baisse de 96,0 % après 1 an à 91,1 % après 3 ans, et ensuite à 87,2 % après 5 ans. Le taux de survie au cancer colorectal baisse encore davantage pendant la période succédant au diagnostic et enregistre un RSR de 80,5 % après 1 an, de 68,8 % après 3 ans et de 63,2 % après 5 ans. Le cancer du poumon indique le taux de survie relative le plus faible parmi les 4 cancers les plus communs. Le RSR s’établit à 40,8 % après 1 an, à 22,7 % après 3 ans et à 18,0 % après 5 ans. Non seulement le cancer du poumon indique-t-il les plus faibles ratios de survie pendant les trois périodes, mais il enregistre aussi la plus forte diminution de la survie entre 1 et 3 ans après le diagnostic, avec un écart de près de 20 %. Pour les ratios de survie relative après 5 ans selon le type de cancer et le sexe, voir le tableau 4.1 dans le rapport. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 4: Survie relative
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Figure 4.4 – Ratios de survie relative (RSR) après 3 ans, selon le stade et le type de cancer, Ontario, Dans le cas de tous les cancers pour lesquels on disposait de données sur les stades (prostate, sein [femmes], colorectal, poumon et col de l’utérus), le RSR après 3 ans était de 94,9 % pour les cas diagnostiqués au stade I. La survie baisse de façon non significative à 94,7 % pour les cas diagnostiqués au stade II, et de façon significative à 70,9 % pour les cas diagnostiqués au stade III et à 16,5 % pour les cas diagnostiqués au stade IV. Autrement dit, la probabilité de survivre 3 ans de plus diminue de moins de 6 % chez les personnes recevant le diagnostic au stade I ou II par rapport à leurs homologues parmi la population générale, mais elle baisse de près de 85 % chez celles qui reçoivent le diagnostic au stade IV. Bien que le stade atteint au moment du diagnostic constitue un facteur pronostique important pour la plupart des cancers, l’impact est moins prononcé dans le cas du cancer de la prostate. Le RSR après 3 ans pour le cancer de la prostate était supérieur à 100 % pour les stades I, II et III. Cela signifie que les hommes recevant un diagnostic de cancer de la prostate à ces stades avaient autant de chances (ou plus de chances) de survivre pendant 3 ans après le diagnostic, comparativement à des hommes de semblable constitution parmi la population générale. Cependant, pour le cancer de la prostate au stade IV, le taux de survie après 3 ans était de 54,7 % seulement. En ce qui concerne les autres cancers pour lesquels on disposait de données, les RSR après 3 ans étaient les suivants : Le RSR pour le cancer du sein est élevé chez les personnes ayant eu leur diagnostic au stade I (99,8 %) et au stade II (95,3 %), mais il chute à 83,7 % au stade III et à 40,9 % au stade IV. Le RSR du cancer colorectal accuse un écart considérable en baissant de 95,7 % au stade I à 19,6 % au stade IV. Le RSR du cancer du poumon affiche une baisse marquée à chaque stade : 73,6 % au stade I, 52,4 % au stade II, 24,2 % au stade III et 5,6 % au stade IV. Le RSR du cancer du col de l’utérus est élevé chez les personnes recevant le diagnostic au stade I (96,4 %) mais chute de près de 30 points de pourcentage à 69,8 % au stade II. Les RSR sont encore plus faibles pour les diagnostics établis au stade III (53,6 %) et au stade IV (19,8 %). Pour les ratios de survie relative après 5 ans selon le type de cancer et le sexe, voir le tableau 4.1 dans le rapport. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 4: Survie relative
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5 Prévalence Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 5: Prévalence
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Figure 5.2 – Répartition de la prévalence sur 10 ans, selon le sexe et le groupe d’âge, Ontario, le 1er janvier 2013 Entre les sexes, on remarque quelques différences notables dans la prévalence sur 10 ans : Bien que le groupe d’âge comptant le plus de cas prévalents chez les deux sexes soit celui des 60 à 69 ans, on constate un pourcentage supérieur de cas prévalents parmi les hommes (32,5 %) de ce groupe d’âge par rapport aux femmes (23,6 %). La probabilité de diagnostic des cas prévalents à un âge précoce est plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Chez les hommes, 6,1 % des cas prévalents sur 10 ans sont diagnostiqués avant l’âge de 40 ans. Chez les femmes, 10,1 % des cas sont diagnostiqués dans ce groupe d’âge. En outre, 33,2 % des cas sont diagnostiqués après l’âge de 70 ans chez les hommes, contre 27,0 % des cas chez les femmes. Cette différence est probablement attribuable à la forte prévalence du cancer du sein chez les femmes, vu que ce cancer indique une large répartition selon l’âge au moment du diagnostic, et à la forte prévalence du cancer de la prostate chez les hommes, car ce cancer est plus couramment diagnostiqué à un âge avancé. Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Chapitre 5: Prévalence
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Annexe : Tableaux Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Annexe : Tableaux
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Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Annexe : Tableaux
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Statistiques sur le cancer en Ontario 2016 Annexe : Tableaux
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