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Hadj Amin Al-Husseini le nazi 2

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Présentation au sujet: "Hadj Amin Al-Husseini le nazi 2"— Transcription de la présentation:

1 Hadj Amin Al-Husseini le nazi 2
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2 Début novembre 1941, le Grand Mufti de Jérusalem, Haj Mohammad Amin al-Husseini, arrive à Berlin en provenance de Rome, où il a eu un entretien avec Mussolini. Le Duce se serait révélé être un « anti-sioniste » convaincu, disant notamment : « Les juifs n’ont pas de raison, historique, « raciale » ou autre, d’établir un Etat en Palestine… Si les Juifs y tiennent, ils n’ont qu’à fonder Tel-Aviv en Amérique… » A Berlin, où il est reçu par le Islamische Zentralinstitut et l’Assemblée des dirigeants musulmans d’Allemagne comme le « Führer du monde arabe… », le Grand Mufti a rendez-vous avec le chef de la SS, Himmler, et Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères, pour préparer la rencontre avec Hitler prévue pour la fin du mois.

3 Le 28 novembre 1941, à la Chancellerie du Reich, Hitler s’entretient avec le Grand Mufti en présence de Joachim von Ribbentrop, ministre des Affaire étrangères, et de Fritz Grobba, ancien ambassadeur en Arabie Saoudite et en Irak, ministre plénipotentiaire auprès des Etats arabes. Extraits du compte-rendu officiel de l’entretien (les notes sur cette rencontre sont prises par Paul-Otto Schmidt, interprète de conférences auprès du ministère des Affaires étrangères) : – Le Grand Mufti commence par remercier le Führer pour le grand honneur qu’il lui accorde en le recevant. Il souhaite profiter de l’occasion pour exprimer sa gratitude au Führer du Grand Reich que tout le monde arabe admire, pour la sympathie qu’il a toujours [!] démontrée à l’égard de la Cause arabe et, particulièrement de la Cause palestinienne [!!], et qu’il a clairement exposée dans ses déclarations publiques. Les pays arabes sont [dit-il] fermement convaincus que l’Allemagne va gagner la guerre et que la Cause arabe va prospérer. Les Arabes sont les amis naturels de l’Allemagne parce qu’ils ont les mêmes ennemis : les Anglais, les Juifs et le Communistes.

4 Ils sont donc disposés à coopérer de tout leur cœur avec l’Allemagne et sont prêts à participer à la guerre, non seulement négativement, en commettant des actes de sabotage ou en fomentant des révolutions, mais aussi positivement, en formant des Légions arabes.

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6 Les Arabes pourraient se révéler être des alliés précieux, pour des raisons géographiques mais aussi à cause des souffrances que leur ont infligées les Anglais et les Juifs. De plus, ils sont en relation étroite avec toutes les nations musulmanes, qu’ils pourraient inciter à une action commune. Une Légion arabe pourrait être facilement formée : un appel par le Grand Mufti en direction des pays arabes et des prisonniers arabes en Allemagne, de nationalité algérienne [ !], marocaine et tunisienne, et se lèverait un grand nombre de volontaires, décidés à se battre… Le monde Arabe est convaincu de la victoire de l’Allemagne, non seulement parce que le Reich a une grande armée, des soldats courageux et des chefs militaires de génie mais aussi parce que le Tout-Puissant ne peut donner la victoire à une cause injuste. Dans cette lutte, le but des Arabes est d’obtenir l’indépendance et l’unité de la Palestine, de la Syrie et de l’Irak. Ils ont pleine confiance en le Führer et attendent que sa main mette du baume sur les blessures qui leur ont été infligées par les ennemis de l’Allemagne.

7 Hadj Amin Al-Husseini et Hitler 1941

8 Le Grand Mufti évoque ensuite le lettre qu’il a reçue des Autorités allemandes, stipulant que l’Allemagne ne détient aucun territoire arabe, qu’elle reconnaît les aspirations des Arabes à l’indépendance et à la liberté, et qu’elle est partisan de l’élimination du Foyer national juif [et ajoute] qu’une déclaration publique en ce sens servirait utilement la propagande en direction des pays arabes. Elle les sortirait de leur léthargie momentanée… leur donnerait un nouveau courage… et faciliterait le travail du Grand Mufti : organiser et préparer secrètement les Arabes pour le moment où ils pourraient frapper. Dans le même temps, il pourrait assurer à l’Allemagne que les Arabes attendraient patiemment, et avec discipline, le bon moment, et ne frapperaient que sur ordre de Berlin. Pour ce qui est des évènements en Irak [en mars 1941, le Grand Mufti avait appuyé une tentative de coup d’Etat pro-allemand conduite par le premier ministre Rashid Ali al-Gaylani ; en juin 1941, les Anglais étaient intervenus à Bagdad et avaient renversé le « gouvernement provisoire » d’al-Gaylani ], le Grand Mufti déclare que les irakiens n’ont pas le moins du monde été incités par l’Allemagne à attaquer les Anglais mais ont, simplement, réagi à l’atteinte directe faite à leur honneur par les Anglais.

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10 Les Turcs, selon lui, accueilleraient avec faveur [
Les Turcs, selon lui, accueilleraient avec faveur [!] un gouvernement arabe dans les territoires voisins parce qu’ils préfèreraient un gouvernement arabe faible à un gouvernement européen fort et, de plus, étant eux-mêmes un nation de 7 millions [d’individus] ils n’auraient rien à craindre d’un million sept cent mille Arabes habitant la Syrie, la Transjordanie, la Palestine et l’Irak. De même, la France n’objecterait aucunement [!] au plan d’unification, ayant déjà concédé son indépendance à la Syrie dès 1936 et donné son accord au projet d’unification de l’Irak et de la Syrie [!!], sous l’égide du roi Faïçal, dès 1933. Dans ces conditions, il renouvelle sa requête : que le Führer fasse une déclaration publique de sorte que les Arabes ne perdent pas espoir, l’espoir qui est un puissant stimulant dans la vie des nations. Avec un tel espoir au cœur, les Arabes… accepteraient d’attendre… six mois ou un an. Mais s’ils ne sont pas ainsi encouragés… publiquement, il est à craindre que ce soient les Anglais qui en profitent.

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12 – Le Fûhrer répond que la position fondamentale de l’Allemagne sur ces questions est claire, comme l’a reconnu le Grand Mufti. L’Allemagne est engagée dans une lutte sans merci contre les Juifs. Cela implique, naturellement, une opposition active à l’établissement d’un Foyer national juif en Palestine, qui ne pourrait qu’être le centre d’exercice d’une influence destructive des intérêts juifs, sous forme d’Etat. L’Allemagne est aussi consciente que l’affirmation selon laquelle les Juifs y seraient des pionniers, des [agents] économiques est un mensonge. Le travail y est fait exclusivement par les Arabes, pas par les Juifs. L’Allemagne est résolue… à demander aux nations européennes, l’une après l’autre, de résoudre le problème juif et, au moment approprié, de lancer un appel semblable aux nations non européennes. L’Allemagne est, à présent, engagée dans une lutte à mort avec 2 citadelles du pouvoir Juif : la Grande-Bretagne et l’Union soviétique. Théoriquement, il y a une différence entre le capitalisme de l’Angleterre et le communisme de la Russie soviétique, mais en fait, dans les deux pays, les Juifs poursuivent un but commun. Cette lutte est décisive : sur le plan politique, le conflit est essentiellement entre l’Allemagne et l’Angleterre, mais sur le plan idéologique, c’est un conflit entre le National-Socialisme et les Juifs.

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14 Il va sans dire que l’Allemagne apportera une aide positive et pratique aux Arabes engagés dans la même lutte, parce que les promesses platoniques ne sont pas de mise dans une guerre pour la survie ou la destruction, dans laquelle les Juifs sont capables de mobiliser tout le pouvoir de l’Angleterre pour [atteindre] leurs objectifs. SOLDATS MUSULMANS

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16 L’aide à apporter aux Arabes devra être matérielle
L’aide à apporter aux Arabes devra être matérielle. Que la sympathie ne suffise pas a été clairement démontré par l’opération en Irak, où les circonstances n’ont pas permis d’apporter une aide effective et concrète. En dépit de toute sa sympathie, l’aide allemande n’a pas été suffisante, et l’Irak a été subjugué par les forces de l’Angleterre… le Gardien des Juifs. Le Grand Mufti ne mesure peut-être pas à quel point… la guerre en cours va aussi décider du sort du monde arabe. En conséquence, le Führer doit penser et parler froidement et délibérément, comme un homme rationnel et d’abord comme un soldat, comme le chef des forces allemandes et alliées [!]. Tout ce qui est de nature à aider dans cette lutte titanesque pour la cause commune, pour les Arabes aussi par conséquent, devra être fait. Cependant, tout ce qui peut contribuer à affaiblir la situation militaire doit être mis de côté, quelque impopulaire que cela soit.

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18 L’Allemagne est présentement engagée dans une suite de batailles très dures pour forcer le passage du Nord Caucase. Les principales difficultés tenant à l’approvisionnement [des troupes] … avec des lignes de chemin de fer et des routes détruites et l’hiver approchant. Si, à ce moment, le Führer devait soulever le problème de la Syrie, les éléments qui, en France, sont sous l’influence de de Gaulle, en seraient renforcés. Ils interpréteraient les déclarations du Führer comme [prouvant] l’intention de détruire l’empire colonial français, et inciteraient leurs compatriotes à faire cause commune avec les Anglais pour sauver ce qui pourrait l’être. Une déclaration allemande à propos de la Syrie serait comprise en France comme faisant référence aux colonies françaises en général. Cela provoquerait de nouveaux troubles en Europe de l’Ouest, une partie des forces armées allemandes serait immobilisée à l’Ouest et ne pourrait plus être détachée sur le front de l’Est.

19 Hadj Amin Al-Husseini en Irak 1941

20 Le Führer fait alors cette déclaration au Grand Mufti, en lui recommandant de la conserver dans le plus profond de son cœur : 1. Il (le Führer) va mener à son terme la bataille en vue de la destruction de l’empire judéo-communiste en Europe. 2. A un moment, qu’il n’est pas possible de fixer aujourd’hui mais qui, en tout état de cause, n’est pas éloigné, les armées allemandes vont… atteindre le Sud du Caucase. 3. Aussitôt que cela se sera produit, le Führer donnera l’assurance au monde arabe que l’heure de la libération a sonné. Le seul objectif de l’Allemagne sera alors la destruction de l’élément juif résidant dans la sphère arabe sous la protection du pouvoir anglais. A cette heure, le Grand Mufti sera le plus autorisé des porte-parole du monde arabe. Il lui appartiendra alors de déclencher les opérations arabes préparées en secret. Ce moment survenu, l’Allemagne pourra être indifférente aux réactions françaises… Une fois forcée par l’Allemagne la route vers l’Iran et l’Irak via Rostov, ce sera le commencement de la fin pour l’empire britannique. Il (le Führer) espère qu’il sera possible à l’Allemagne d’ouvrir la porte du Caucase vers le Moyen-Orient l’année qui vient. Pour le bien de leur cause commune, il vaudrait mieux pour l’Allemagne retarder la « Déclaration aux Arabes » de quelques mois, plutôt que se créer des difficultés qui l’empêcheraient de les aider.

21 Haj Amin al-Husseini et le collaborateur Nazi Mile Budak Sarajevo (1943)..

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23 Il (le Führer) mesure bien combien les Arabes attendent qu’il fasse une déclaration publique du genre de celle demandée par le Grand Mufti. Mais il lui demande de bien vouloir considérer que lui (le Führer), à la tête du Reich allemand depuis 5 longues années, n’a pas encore pu annoncer sa libération à sa propre patrie [!]. Il lui faut encore attendre pour faire cette annonce… Aussitôt que les chars et les avions allemands auront atteint le sud du Caucase, la déclaration publique demandée par le Grand Mufti pourra être faite au monde arabe. – Le Grand Mufti répond qu’à son avis, tout va se passer comme le Führer l’a exposé. Il est pleinement rassuré par les paroles du chef de l’Etat allemand… et en est satisfait. Il demande s’il ne serait cependant pas possible, au moins secrètement, d’avoir un agrément avec l’Allemagne du type de celui qu’il a esquissé… – Le Führer répond qu’il vient précisément de faire cette déclaration confidentielle au Grand Mufti. – Le Grand Mufti le remercie et conclut en disant qu’il prend congé du Führer avec confiance et plein de gratitude pour l’intérêt qu’il manifeste à l’égard de la Cause arabe…

24 Hadj Amin Al-Husseini 1970

25 Pourquoi Benjamin Netanyahu essaye de blanchir Hitler ?
Par Ali Abunimah, Electronic Intifada La tentative du Premier ministre israélien de blanchir Hitler et de jeter le blâme de l’Holocauste sur les Palestiniens signale une escalade majeure dans sa diabolisation des personnes vivant sous le régime militaire et colonial de son pays, et de son incitation à la violence à leur encontre. Elle comporte également une bonne dose de négationnisme quant à l’Holocauste. Dans un discours prononcé mardi devant le Congrès sioniste mondial à Jérusalem, M. Netanyahu a affirmé que ce serait Haj Amin al-Husseini qui aurait convaincu Hitler de perpétrer le meurtre de 6 millions de Juifs. Al-Husseini était le grand mufti de Jérusalem, la plus haute autorité cléricale traitant de questions religieuses relatives à la communauté musulmane et aux lieux saints durant les années 1920 et 1930, lorsque la Palestine était sous la domination britannique. Il avait été nommé à ce poste par Herbert Samuel, un sioniste déclaré qui était le premier haut-commissaire de la Palestine britannique. Dans la vidéo ci-dessus, Netanyahu affirme que al-Husseini « a joué un rôle central dans la fomentation de la solution finale. Il s’est rendu à Berlin en avion. Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs à l’époque, il ne voulait que les expulser. Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et lui a dit : « Si vous les expulser, ils vont tous venir ici ». « Alors, que dois-je faire avec eux ? » a-t-il demandé. « Brûlez-les ! » » Il n’existe absolument aucune trace de cette conversation, et Netanyahou ne fournit aucune preuve qu’elle ait jamais eu lieu.

26 Benjamin Netanyahu

27 Mahmoud Abbas

28 Le mufti a effectivement rencontré Hitler, une fois, mais leur conversation de 95 minutes a eu lieu le 28 novembre Husseini a alors tenté d’obtenir le soutien du Führer pour l’indépendance arabe, comme l’explique l’historien Philip Mattar dans son livre The mufti of Jerusalem. À ce moment-là, le plan hitlérien d’extermination des Juifs était déjà en bonne voie.

29 Haj Mohammad Amin al-Husseini

30 Depuis quelques jours, la toile ainsi que les médias s’enflamment suite aux déclarations islamophobes et révisionnistes de Benjamin Netanyahou. Le 1er Ministre israélien a déclaré qu' »Hitler ne voulait pas exterminer les juifs ». Alors que la Palestine explose, que « l’intifada des couteaux » bat son plein, Netanyahou n’a pas hésité à accuser l’ancien Mufti de Jérusalem d’être responsable de la mort de 6 millions de juifs lors d’un discours devant le 37e congrès sioniste. Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs à cette époque, il voulait expulser les Juifs. Et Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et lui a dit : « Si vous les expulsez, il vont tous venir ici (en Palestine) ». « Alors que devrais-je faire d’eux ? », a demandé Hitler. « Brûlez-les », lui a-t-il répondu. »

31 Des propos extrêmement graves qui ont rapidement provoqué un tollé en Israël et dans le monde entier. Le chef de l’opposition, Yitzhak Herzog, a accusé le Premier ministre de « distorsion dangereuse de l’histoire » tout en exigeant qu’il revienne sur ses propos. Pour Mahmoud Abbas, chef de l’Autorité Palestinienne, les israéliens utilisent « leur histoire, les actes criminels qui leur ont été infligés » pour « accuser Haj Amin al-Husseini au lieu d’Hitler ». A noter que les experts et historiens reconnus pour leurs travaux sur la Seconde Guerre Mondiale et l’Holocauste récusent ces accusations. Derrière ces propos, certains observateurs accusent le 1er Ministre israélien de vouloir déshumaniser le peuple palestinien, en l’accusant directement d’être à l’origine de la Shoah.

32 DES SOLDATS MUSULMANS

33 Publié par Jean Vercors le 22 octobre 2015
Le tabou absolu : la France a donné un passeport et a fait fuir le mufti de Jérusalem, criminel de guerre nazi Publié par Jean Vercors le 22 octobre 2015 Saviez-vous que la France a accordé un passeport au criminel de guerre nazi leader du monde arabe, le mufti Al Husseini de Jérusalem ? Non vous ne le saviez pas, c’est un des tabous bien gardés de la République.

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35 Saviez vous que la France a accordé un passeport Francais au criminel de guerre nazi leader du monde arabe le mufti al Husseini? Par Jean Vercors caché sous le nom de ma’ruf al Dawalibi, il aurrait du être être exécuté Après la guerre mais les francais l’ont laissé s’échapper de sa prison du caire en égypte. Haj Amin el Husseini , arrive en Irak en Il est un des leader de la grande révolte pronazie et anti-britannique en mai Suite à l’échec de l’insurrection, il fuit vers l’Allemagne et se joint à l’effort de guerre nazi contre les Alliés. Il conduit une campagne de propagande contre les alliés et spécialement contre les juifs sur les ondes de la radio allemande en arabe appelant les arabes et musulmans à abattre les juifs où qu’ils soient. En mai 1942, il collabore aux recrutements de musulmans des Balkans pour former la 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar. À l’issue de la guerre, Amin al-Husseini fut recherché par les Britanniques en tant que collaborateur et par les Yougoslaves en tant que criminel de guerre. Il trouva refuge dans la région de Constance où il fut « arrêté » le 15 mai 1945 par les troupes françaises. Le 19 mai, il fut transféré dans la région parisienne où il fut hébergé avec ses deux secrétaires dans une villa de Saint-Maur et ce dans des conditions très favorables. À titre d’exemple, il recevait ses repas d’un restaurant voisin et, plus tard, un cuisinier fut mis à sa disposition par la mosquée de Paris. La maison était placée sous la surveillance de la police judiciaire de la préfecture de police mais c’était le Quai d’Orsay qui déterminait les conditions de détention du mufti et la politique à adopter à son égard.

36 Protestation de la délégation Palestinienne Londres 1929

37 En octobre 1945, le mufti déménagea dans la villa « La Roseraie », à Bougival, puis il changea encore de lieu de résidence. Il pouvait recevoir librement ses invités, il était autorisé à se déplacer librement. À plusieurs reprises, la France refusa de répondre aux demandes d’extradition de la Grande-Bretagne et de la Yougoslavie. En septembre 1945, les autorités françaises prirent la décision de permettre au mufti d’aller dans un pays arabe et la diplomatie française effectua des démarches diplomatiques auprès de ces pays afin qu’ils exigent la libération du mufti. Craignant en effet les réactions des États-Unis et de la communauté juive, la France voulait que cette libération apparaisse comme la conséquence des pressions irrésistibles des pays arabes, pressions auxquelles la Grande-Bretagne n’aurait pu d’ailleurs elle-même résister si elle avait été dans la même situation. Finalement, après avoir réussi à déjouer les surveillances, le mufti réussit à quitter la France le 29 mai 1946 à 11 heures, en prenant un vol régulier de la compagnie américaine TWA d’Orly au Caire, muni d’un faux passeport et sous un nom d’emprunt Jean Vercors Rédaction Israël-flash

38 Protestation de la délégation Palestinienne Londres 1929

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42 Hadj Amin Al-Husseini Journal Berlin 1941 FIN TOUT DU NET


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