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Gustave Courbet Peintre Français, Courbet
( ) Peintre Français, Courbet est un des peintres les plus puissants mais aussi les plus complexes du XIXe siècle.
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Buste en marbre de Gustave Courbet par Aimé-Jules Dalou en 1887
- Musée des Beaux-Arts de Besançon
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Après le dîner à Ornans __1848
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Refuge de cerfs en hiver - 1865
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Cribleuses de blé
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Jeunes demoiselles du village - 1850
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Paysans de Flagey, de retour de la foire, Ornans__1850
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Le Rêve _1855
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Portrait de P.-J. Proudhon - 1853
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Le Chateau d'Ornans _1855
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Juliette Courbet _1844
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Portrait du père de l’artiste, Regis Courbet _1840
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Paysanne_1855
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Portrait de la Comtesse Karoly _1865
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Autoportrait avec un chien noir_1842
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Les joueurs _1844
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Le studio du peintre _1855
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Moulin à papier de Ornans _1865
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Les casseurs de pierres_1849
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Nue sur le sable_1868
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L’homme blessé (portrait de l’artiste) _1844
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Un enterrement à Ornans
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Biographie Gustave Courbet ( juin 1819 à Ornans, Doubs à La Tour-de-Peilz en Suisse) est un peintre réaliste français, qui s'est engagé dans les mouvements démocratiques de son temps. Il a été l'un des élus de la Commune de Comme les anciens maîtres (et son ambition n’est-elle pas d’être le maître-peintre d’Ornans ?), Courbet enduit sa toile d’un fond sombre, presque noir, à partir duquel il remonte vers la clarté. Proudhon, le théoricien socialiste (et l’homme qu’il admira le plus) aurait voulu faire de lui un peintre prolétarien mais hormis les casseurs de pierre, pas d’ouvriers sur ses toiles et, somme toute, bien peu de paysans. Deux tableaux feront beaucoup parler de lui : L'enterrement à Ornans (1850) et L’Origine du monde (1866). Courbet n’hérite de personne, il n’aura pas de disciple. Très lié aux évènements de la Commune, Courbet est élu président de la commission des musées, et délégué aux Beaux-Arts. Ayant proposé le déplacement de la Colonne Vendôme, qui évoque les guerres napoléoniennes, aux Invalides, des jusqu'au-boutistes décident de l’abattre et non de la déboulonner. Bêtise, cabotinage, hâblerie, Courbet propose, puisqu’il a eu en premier l’idée d’enlever cette colonne de payer les frais de sa réparation. On le prend au mot. Lui qui fut riche (une toile importante de lui se vendait quinze mille francs, soit dix ans du salaire d’un ouvrier), le voilà acculé à la ruine, ses biens mis sous séquestre, ses toiles confisquées, le voilà déshonoré et il sera condamné à 6 mois de réclusion. Courbet s'exile en Suisse, à La Tour-de-Peilz, près de Vevey, où il meurt le 31 décembre 1877 d'une cirrhose du foie.
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montage: marcellus marcellus106100 sur le Web 28 juin 2007
Gustave Courbet photographié par Nadar
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