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MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL

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Présentation au sujet: "MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL"— Transcription de la présentation:

1 MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL
DACHIR CELIA MAPAULA MELISSA

2 L’ATTENTION:UN MECANISME DE SELECTION UNIQUE
Selon James(1890) : l’attention serait la capacité à sélectionner un évènement ou une pensée et à la maintenir dans le champs de la conscience. = ATTENTION SELECTIVE Ainsi pour effectuer des traitements profonds nous ne pouvons laisser entrer dans notre système cognitif qu’une quantité limitée d’informations.

3 L’ATTENTION : PLUS QU’UN MECANISME DE SELECTION
Attention soutenue : permet le rehaussement de certaines informations+maintien pendant la réalisation d’une action. Attention divisée : peut-être répartie sur plusieurs tâches à réaliser de façon coordonnée. Attention exogène : peut-être capturés de façon automatique par une stimulation de l’environnement. Attention endogène : peut-être délibérément dirigée vers une stimulation singulière.

4 CONCEPTION DE L’ATTENTION DEVELOPPEE PAR VANZOMEREN ET BROUWER (1994)
Attention = état cognitif subdivisé en deux grands domaines : la sélectivité et l’intensité. LA SELECTIVITE : Attention sélective: capacité à se fixer sur une source de stimulation ou une activité cognitive Déplacement manifeste dans l’espace(overt) Déplacement implicite dans l’espace(covert) Attention divisée : capacité à répondre simultanément à plusieurs demandes L’INTENSITE : Alerte : réceptivité ou réaction aux stimuli Vigilance : attention soutenue = maintien du niveau d’activité pendant un temps prolongé.

5 ATTENTION:PROCESSUS SUPPORTES PAR DES RESEAUX NEURONAUX
1)Fractionnement de l’attention en différents systèmes, chacun de ces systèmes étant sous-tendu par des bases neuro-anatomiques différentes: Modèle de POSNER et PETERSON: Attention=trois systèmes inter-reliés entre eux et dépendants de réseaux neuronaux distincts. 2)Les mécanismes attentionnels dépendent d’un système: Rôle du lobe frontal dans l’activité cognitive de l’humain. Système frontal attention contrôle exécutif

6 DIFFERENTS RÔLES DE L’ATTENTION
Surmonter la limite des ressources lors de la réalisation de tâches demandant une certaine quantité de ressources attentionnelles. Intégrer des informations indépendantes. Contrôler le comportement via la prise de décision, rompant ainsi avec les comportements automatiques routiniers. Engendrer une réflexion, une concentration permettant d’aller plus loin dans le traitement de l’information. Contrôler l’accès à la mémoire de travail. Réguler l’accès à l’information dans ce système afin d’en optimiser le fonctionnement.

7 MÉMOIRE DE TRAVAIL COMME SYSTÈME DE CONTRÔLE ATTENTIONNEL
Rappel sur la mémoire de travail Baddeley(1986,2000): 3 systèmes: La boucle phonologique Le calepin visio-spatiale Buffer épisodique Administrateur central Fonctions du système attentionnel superviseur=fonctions de l’administrateur central: Coordination de deux tâches réalisées simultanément Changement des stratégies de récupération Attention sélective Activation des informations en mémoire à long terme.

8 MODELE DE NORMAN ET SHALLICE(1986):
Postulat: n’importe qui est capable de réaliser de nombreuses actions répétitives sans y prêter attention alors qu’un contrôle attentionnel est indispensable à la conduite des actions qui nécessitent l’inhibition d’un comportement dominant ou une planification. 3 composantes du modèles: Les schémas Le gestionnaire des conflits Le système attentionnel superviseur

9 MODELE DE NORMAN ET SHALLICE (SUITE):
Les schémas sont des unités de connaissances qui contrôlent les séquences d’action ou de pensées. Le gestionnaire des conflits contrôle les séquences d’actions activées pour une situation donnée. Il intervient dans la résolution de conflits en choisissant les schèmes d’action les plus pertinents. Le gestionnaire des conflits contrôle les séquences qui interviennent pour les activités automatiques, sans contrôle volontaire. Système attentionnel superviseur lorsque la résolution d’une situation demande une prise de décision, le SAS fait appel à des processus de contrôle volontaire, nécessaire à la plannification de situations complexes, moins routinière ou lorsqu’il y a une prise de risque jugée trop importante.

10 MODELE DE NORMAN ET SHALLICE (SUITE):
Séquence sur-apprise/routine géré par le gestionnaire de conflit:

11 MODELE DE NORMAN ET SHALLICE (SUITE):
Séquence nouvelle et complexe géré par le système attentionnel superviseur

12 Différents processus sous tendu par le système attentionnel superviseur.

13 MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL
A partir de données expérimentales il est possible de dégager des liens étroits entre mémoire de travail et processus attentionnels. Cependant les données cliniques tendent à remettre en questions les résultats expérimentaux. 1)Données expérimentales: Mémoire de travail et attention divisée: Le lien entre mémoire de travail et attention divisée a été mis en évidence grâce au paradigme de double tâche qui consiste à effectuer deux taches séparément dans un premier temps (condition simple) , puis simultanément (condition double). « Le raisonnement de Baddeley (1996) est le suivant: si l’administrateur central est bien un système de coordination des deux systèmes esclaves, alors l’affaiblissement de ses ressources devrait s’exprimer en condition double, au travers d’une incapacité à coordonner l’activité de la boucle phonologique et celle du calepin visuo-spatial. » Cette incapacité se traduit par diminution de la performance soit à une tâche, soit à l’autre, soit aux deux.

14 MEMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL (SUITE):
Mémoire de travail et attention sélective: De Fockert, Rees, Frith et Lavie (2001) prennent pour idée que: l’augmentation de la charge en mémoire de travail devrait se solder par une réduction des capacités des sujets à différencier les stimuli prioritaires des stimuli non prioritaires. Dans les tâches d’attention sélective cela se traduit par une plus grande difficulté à différencier les cibles et les distracteurs. Relations entre mécanismes de mémoire de travail spatiale et les mécanismes d’attention sélective spatiale: Smyth et Scholey (1994); Awh, Jonides et Reuter-Lorenz (1998).

15 MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL (SUITE):
Mémoire de travail et flexibilité attentionnelle: Hypothèse émise par Barouillet et Camos: la réalisation de tâches d’empans complexes, impliquant simultanément des opérations de stockage et de manipulation, est impossible grâce à une alternance rapide de l’attention entre les opérations de stockage et de traitement. Ce  « shifting » permettrait de rafraichir très régulièrement l’information à maintenir et en faciliterait la rétention.

16 MÉMOIRE DE TRAVAIL ET CONTRÔLE ATTENTIONNEL (SUITE):
Mémoire de travail et vigilance: Les études sur le maintien de l’information en mémoire de travail peuvent mettre en évidence la diminution de la vigilance. Un matériel visuel peu familier a un coût cognitif important et nécessite l’intervention de capacités exécutives pour maintenir le niveau de vigilance.

17 CAS CLINIQUE 2) Données cliniques:
Deux tests effectués sur une population saine et une population victime de traumatismes crâniens. Test Of Everyday Attention (TEA) Behavourial Assessment of the Dysexecutive Syndrome (BADS) Ces données cliniques montrent finalement qu’à des difficultés attentionnelles ne correspondent pas nécessairement des troubles du système attentionnel superviseur ou de l’administrateur central de la mémoire de travail.

18 CAS CLINIQUE Le cas RC: Signes: TCE grave
Patient vigilant et capable de soutenir son attention mémoire à court terme défaillante + volumineuse lésion frontale gauche Analyse cognitive des capacités de mémoire de travail et des capacités de supervision attentionnelle. Hypothèses: Performance aux tâches sensibles au dysfonctionnement du SAS ou de l’ AC Résultats : Atteinte sélective de l’ AC , incapacité de gérer les situations duelles en raison d’une diminution de ses ressources de traitement peu d’informations provenant des deux systèmes esclaves.

19 CAS CLINIQUE

20 CAS CLINIQUE

21 CAS CLINIQUE

22 CONCLUSION La notion de contrôle attentionnel est très délicate, on ne peut conclure à un déficit attentionnel uniquement à partir de données empiriques. En effet, on a pu constater des données cliniques qui ne corroborent pas les résultats empiriques. Les processus qui interviennent dans la mémoire de travail impliquent le contrôle attentionnel.


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