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principes meneurs de la politique
Le Spectre Politique principes meneurs de la politique
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Caractéristiques Le spectre politique est une idée qui sert à classifier les partis politiques, les idéologies et même les personnes. On ne peut utiliser le spectre politique que de façon générale puisque les gens et les partis se situent rarement à gauche ou à droite sur toutes les questions. Plus une société devient polarisé, ou extrêmiste, plus le système risque de devenir instable, divisé et parfois violent.
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Historique des termes À l’assemblée nationale du pays d’origine, les gens qui préféraient conserver une monarchie forte s’assoyaient à droite. Les personnes plus ou moins ouverts au compromis s’assoyaient au centre. Les personnes qui s’intéressaient plus à la démocratie s’assoyaient à gauche.
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Visions du monde Toute personne voit le monde à travers un schéma explicateur, leur façon de représenter le monde, que l’on appèlle un paradigme. Notre façon de définir les rapports entre l’individu et la société en termes de besoins et de droits s’appèlle une idéologie.
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Le spectre
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le libéralisme • La politique démocratique ( élue)
• le pouvoir des citoyens • la nationalisation des entreprises par le gouvernement avec compensation (l’achat) • Le gouvernement répond aux besoins moraux, sociaux et économiques de la société. • Ceci vient du Révisionnisme (Bernstein ) qui a révisé la théorie de Marx ( trop violent ). Exemple : Gouvernements canadiens : • la sécurité de toutes personnes et la redistribution des revenus. On ajoute des programmes de redistribution tels la Loi sur l’assurance-chômage (1941) Allocation familiale (1944), les pensions de vieillesse ( 1951), et la loi sur l’assurance-santé (1957). Entreprises publiques telles Petro-Canada et Air Canada.
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Exemple : Gouvernements canadiens : 1950-1983
• Un état d’assistance-sociale. Contribution gouvernementale aux revenus familiaux : %, %. On voulait la sécurité de toutes personnes et la redistribution des revenus. On ajoute des programmes de redistribution tels la Loi sur l’assurance-chômage (1941) Allocation familiale (1944), les pensions de vieillesse ( 1951), et la loi sur l’assurance-santé (1957). Entreprises publiques telles Petro-Canada et Air Canada.
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le conservatisme aussi appellé le néoconservatisme ou néolibéralisme
Le marché détermine les prix, les salaires. • Le rôle du gouvernement est minime ( Il permet aux individus de déterminer leur sort.) • Pas de programmes sociaux ( Ils détruisent la motivation) • L’économie est dirigée par une “main invisible” quand on la laisse faire. Le gouvernement ne sait pas comment. Donc, il n’y a pas d’entreprises publiques ou d’encouragement financier par le gouvernement.
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Exemple : Gouvernement Républicain des É.-U.
• Une économie axée sur le marché. Programmes sociaux réduits, surtout dans le domaine de la santé. Secteur privé est très grand. Taux de chômage de 5%, comparativement à 10% au Canada. Réformes sociaux ( de Santé et d’éducation ) modestes. (ex. généraliser l’accès à l’école secondaire, 18 ans pour acheter les cigarettes)
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le centrisme • Un mélange du libéralisme et du conservatisme.
• Le gouvernement donne une certaine liberté aux entreprises. • Il redistribue, aussi, dans un moindre mesure, les ressources des individus.
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Exemple : Gouvernement Libéral de la N.-É.
• Une économie mixte. Elle aide les gens en besoin par les programmes sociaux, qui sont financés par les taxes. En même temps, elle permet aux entreprises de s’épanouir. Pas d’entreprises publiques (N.S. Power a été vendu). Mais, elle encourage l’investissement étranger ( Ex. de STORA qui a été offerte une période débutante sans taxes, de l’électricité subventionné et le droit de couper sur une grande partie des terres de la couronne pendant 100 ans.)
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le communisme • l’élimination de la propriété privée
• la mise en commun des biens, du capital • salaires égaux • existera quand les ouvriers prendront les moyens de production ( par la force ) • Dans la pratique, c’est un gouvernement autoritaire. Il est censé disparaître quand la classe ouvrière prend les moyens de production.
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Exemple : le Cuba ( Fidel Castro )
• Une économie planifiée et dirigée par le gouvernement. Il détient la plupart des industries. L’économie, qui dépend de l’agriculture et des échanges, est toujours en dépression. La perte d’aide soviétique n’a pas aidé cette situation.
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le faschisme • On ne croit pas dans l’égalité des peuples. ( s’inspire de Darwin) Les hommes sont malins. • Le libéralisme amène à l’anarchie. (On perd notre temps à discuter. Durant périodes de conflit, il faut tous suivre une direction claire) • L’individu vit pour, est contrôlé par et devient puissant comme partie de l’état. Tout le monde suit le Duce. Ce chef fait des alliances avec le capital.* • La démocratie nous parle bien, nous dit que nous avons du pouvoir. C’est un mensonge. • Pas de classes sociales. Il faut les réconcilier. Le vrai ennemi c’est l’autre nation! • Comment : discipline des individus, nation auto-suffisante, conquérir d’autres nations.
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le communisme existe-t-il toujours?
1947
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Gouvernements communistes
République populaire de Chine République socialiste du Viet Nam République démocratique populaire du Laos République populaire démocratique du Corée République du Cuba
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Et, le fascisme? Les partis fascistes ne sont pas très populaires
Aucun pays a un gouvernement fasciste de nos jours
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Le fascisme du passé Adolphe Hitler (l’Allemagne) - 1934-1945
Benito Mussolini (l’Italie) Francisco Franco (l’Espagne)
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Exemple : Benito Mussolini ( l’Italie : 1922-1939)
• L’état fasciste né dans le désordre politique ( partis gauche, centre et droite se battent constamment), la menace des syndicats aux capitalistes, la faiblesse économique après la guerre, et le désespoir généralisé du peuple.
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l’Anarchisme “…if the individual has the right to govern himself, all external government is tyranny." (Benjamin Tucker) Max Stirner disant que les gens doivent agir selon leur propre intérêts, goûts, moralité. Ainsi, on formerait une société par une “association d’égoïstes” rassemblés par un respect mutuel pour leur tyrannie indivuelle.
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