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Chapitre Trois: Gagner Sa Vie au 19 ième Siècle

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Présentation au sujet: "Chapitre Trois: Gagner Sa Vie au 19 ième Siècle"— Transcription de la présentation:

1 Chapitre Trois: Gagner Sa Vie au 19 ième Siècle

2 L’économie de consommation:
les gens utilisent de l’argent pour acheter ce dont ils ont besoin. Le chauffage de la maison L’habitation Les vêtements Les divertissements 2. L’économie de subsistance: produisant la plupart de ce dont ils avaient besoin pour leur propre consommation.

3 Cont…. Pendant le 19 ième siècle, les terreneuviens vivaient, pour la plupart, dans l’environnement de subsistance. Ils étaient plus autosuffisants et plus indépendents aujourd’hui. Ils produisaient la majorité de se qu’ils avaient besoin.

4 Regarde “Quest for the Sea”
Responsabilités des familles pour préparer le poisson Les Hommes Les Femmes Les Enfants 3 à 4 voyages aux lieu de pêche Travaille très tard du soir, à tacher, raclant et gratter le poisson Les ouvrir et les vides Doivent finir de les préparer Travaillent au jardin Porter de l’eau, cuisiner pour des hommes qui doivent manger entre les voyages, et apporter des bouilloires du thé aux femmes qui travaillent de les pêcher. S’occupent des bébés Agitent des branches pour chasser les hordes de mouches autour du possin

5 L’occupation principale du 19ième siècle était la pêche au morue.
Trois types de pêche pratiqués étaient: La pêche côtière La pêche au Labrador La pêche sur les bancs travaillaient dans des petits bateaux et pêchaient près des côtes Commençaient à pêcher à l’aube et continuaient pendant toute la journée Attrapaient la morue avec de hameçons ( capelan, du ahreng, du maquereau, du calmar et des crustacés) On accrochait des appâts que l’on abaissait sur des lignes plombées Si la morue était abondante, les hommes revenaient plusieurs fois par jour. Le travail continuait sur le rivage où on vidait, coupait salait et faisait sêcher la morue

6 Sêcher et Saler le poisson
Pour finir la préparation de la morue, on devait l’étendre sur des galets ou sur des plates – formes en bois appelées des vigneaux pour qu’elle sèche. Quand s’était ensoleillé et venteux, le poisson sèchait vite mais lorsqu’il pleuvait, il fallait rentrer le poisson ou le couvrir pour éviter qu’il se perde. Regarde au tableau s’appelle “Les Responsabilitées d’hommes…”

7 La Pêche au Labrador C’est une pêche saisonnière pratiquée par les non – résidents du Labrador. Chaque été, des milliers de Terre-Neuviens se rendaient au nord pour pêcher le long des côtes du Labrador. Ces visiteurs saisonnières devaient, comme les Labradoriens, survivre avec très peu de services médicaux et des stocks limit♪0s de nourriture et d’équipement. Ces visiteurs arrivaient au mois de juin (le voyage prendrait environ une semaine) et retournaient au mois de septembre ou octobre. Les gens qui partaient cers le Labrador se représentaient en deux groupes: 1. Les Stationnaires – qui travaillaient à partir du ravage, salaient et faisaient sécher le poisson chez eux. 2. Le Flotteur – restait vers différents sites de pêche. Ils salaient fortement leur poisson car ils ne pouvaient pas le faire sécher avant leur retour à Terre – Neuve.

8 Le tranchage du poisson – c’est – à – dire qu’on lui occupait le tête, on enlèvait les intestines et l’arête centrale puis on le lavait. Une brouette à main – pouvait concentrer jusqu’à deux quintaux de poisson (un quintal est égal à 51 kilogrammes)

9 La Pêche sur les bancs Des grands bateaux appelés des goélettes transportaient des équipages et des doris sur les bancs (les Grand Bancs, le banc de Rose Blanche, et le banc de Saint – Pierre)

10 Les Grands bancs

11 Le banc de Rose Blanche

12 Chaque matin des équipes de deux hommes mettaient leur doris à l’eau
Chaque matin des équipes de deux hommes mettaient leur doris à l’eau. Ils s’éloignnaient de la goélette pour pêcher, utilisant de longues lignes dont les hameçons étaient boëtés. 1914, était l’apogée de la pêche sur les bancs de Terre – Neuve.

13 Les doris

14 des longues lignes dont les hameçons étaient boëtés.

15 Des risques pêcher loins du ravage
Lutter contre des vents de tempête et naviger dans le brouillard. Les équipages des doris courraient toujours les risques de se faire renverser par d’autres bateaux ou de ne plus trouver la goélette. Les conditions de vie étaient penibles et les hommes passaient parfois un mois dans un éspace réduit avec très peu d’eau pour se laver.

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17 Mode de Vie À la fin des années 1800, la pêche sur les bancs était devenue une des principales industries dans la peninsule Burin et le long des côtes sud et sud-ouest. L’impact économique et social étaient immense. La saison de pêche s’est allongée, commençant plus tôt au printemps et continuait plus tard à l’automne. Par conséquent, les hommes avaient moins de temps pour couper du bois pour le chauffage et puisque les femmes étaient très occupées à préparer le poisson en été, elles avaient moins de temps pout travailler dans le potager. Alors, les familles ont commencé à acheter du charbon pour ce chauffer.

18 Les Marchands de poisson
Les marchands ont souvents été décrits comme des villains qui se sont enrichi aux dépens des pêcheurs et de leur famille. Le système de paiement en nature premettait aux marchands de fixer le prix du poisson ainsi que le prix des produits dans leur magasins. Dans beaucoup de petites communautés, il n’y avait qu’un seule marchand, alors les pêcheurs ne pouvaient pas nocier un meilleur prix pour leur poisson ou pour les marchandises. Il est bien connu que certains marchands faisaient payer des marchandises trop cher, ne payaient les poisson à sa juste valeur et refusaient souvent le credit.

19 Le système de paiement en nature ou
le troc C’est un système où il n’y avait pas d’échange d’argent. Le pêcheur recevait un crédit pour son poisson et sa famille pouvait trouver des articles ou des marchandises essentiels comme la nourriture ou les vêtements.

20 La chasse aux phoques

21 Les Chasseurs de Phoques
La chasse au phoque devenait une des grandes industries à la fin du 19ième siècle. Aujourd’hui, l’industrie du phoque est très petite par rapport. En 1844, on a tué environ phoques, ce qui représentait plus d’un tiers de toutes les explorations de Terre – Neuve. Dans les années 1860, on a introduit les bateaux à vapeur et la flotte a rapidement diminué.

22 Il y avait deux branches dans l’industrie commerciale du phoque:
La chasse depuis la terre – on pouivait trouver des phoques le long des côtes surtout s’il y avait beaucoup de glace. 2. La chasse au large – l’activité principale, était celle des bateaux au large des côtes du nord – est de Terre – Neuve et du Labrador (le Front ) et dans le golfe de St. Laurent (le golfe)

23 L’industrie commerciale du phoque
On chassait les phoques pour la nourriture, les vêtements et l’huile. Au milieu de 19 ième siècle, l’huile représentait 84 % de l’exploration des produits à base des phoque. On utilisait l’huile pour les lampes, pour lubrifier les machines, pour adoucir les textiles et elle entrait aussi dans la compostition de la peinture, des explosives et de la margarine. Les phoques donnaient naissane à des petits à la fin du mois de fevrier. La chasse au phoque commenciat pendant les premières semaines de mars. Les jeunes sonts devenus la principales cible de cette industrie. De plus, les jeunes donnaient une huile de meilleure qualité.

24 Gaffes – des longs bâtons avec des points de fer que les hommes utilisaient pour tuer des phoques.

25 L’Habillage des Phoques – c’est la pratique qui consiste à enlever les peaux avec une grosse épaisseur de graisse blanche encore attaché

26 Les dépeçage des phoques – quand les peaux étaient ramenées au ports, des hommes étaient employés pour enlever la graisse de la peau. Ils pouvaient dégraisser environ 450 jeunes phoques en une journée de travail de 10 heures.

27 Le désastre du Southern Cross en 1914
Le Southern Cross était un bateau à vapeur en bois qui pratiquait la chasse depuis 13 ans. Le 13 mars 1914, il a rencontré des phoques au golfe de St. Laurent. Le 31 mars, il a fait face à une tempête de neige qui a duré toute la journée et toute la nuit. Son dernier contact a été reçu à Cape Pine.. Aucun des 173 membres de l’équipage n’a survécu.

28 Les Trappeurs

29 Les Trappeurs Le mode de vie traditionnel des peuples autochtones a changé pendant les années 1800. Le changement d’une économie d’autosuffisance à celle de la capture des animaux pour leur fourrue Les Innus et les Inuits connaissaient des périodes difficiles et mourraient de faim quand il y avait moins d’animaux à piéger. Dnas les années 1830, la Compagnie de la Baie D’Hudson, s’est agrandie au Labrador trè rapidement avec des postes dans plusieurs communautés comme Rigolet et North West River. Les Inuits n’échangeaient que dans les missions moraviennes plus au nord, sur la côte. Il n’y avait jamais d;argent échangé mais les Moraviens offraient des services aux Inuits comme l’éducation et les seins de santé pour les fourrures des Inuits.

30 Michael Kearney – le constructeur naval le plus réputé

31 Michael Kearney (1811 – 1885) Il a peut - être été le constructeur naval le plus réputé de Terre – Neuve. Né à Ferryland, Kearney venait d’un des plus anciennes familles irlandaises de Terre – Neuve Ses bateaux étaient réputés pour leur solidité, leur vitesse et leur beauté. Connaissait par des gens comme “ uine homme du peuple” il a été élu à l’Assemblée en 1865. Au début du 20ième siècle, l’industrie de la pêche dominait plus l’économie de Terre – Neuve.


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