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Gestion de Stocks & Achats

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Présentation au sujet: "Gestion de Stocks & Achats"— Transcription de la présentation:

1 Gestion de Stocks & Achats
Matthieu DESIDERIO Université de La Rochelle Master 2 – MCI – Semestre 3

2 Accès au cours en ligne Site internet Rubrique Formation > Université de La Rochelle > Gestion de Stocks et Achats (M2 MCI) Mot de passe de la page 8j6pM7Hx

3 Que va-t-on (essayer de) faire ? (1/3)
Semaine 38 : Accueil et généralités Présentations Programme du cours Gestion des stocks : les bases Semaine 39 : Achats / Approvisionnements Politique d’achat Gestion des approvisionnements Semaine 40 : Achats / Approvisionnements Réapprovisionnement d’un stock Exercices

4 Que va-t-on (essayer de) faire ? (2/3)
Semaine 41 : Achats / Approvisionnements Analyser un stock Gestion informatisée des stocks Semaine 42 : La gestion des magasins Rôle des magasins Généralités sur les entrepôts Semaine 43 : La gestion des magasins Les processus clés L’amélioration de la performance La gestion informatisée

5 Que va-t-on (essayer de) faire ? (3/3)
Semaine 45 : Le lean manufacturing Organiser le processus de livraison Définir les stratégies de stockage Semaine 46 : Achats à l’international et gestion des risques Une fonction stratégique et internationale Les pays émergents Les frontières culturelles Semaine 47 : Achats à l’international et gestion des risques Les contrats Le contrôle de l’exécution et des paiements L’amélioration de la performance des fournisseurs

6 Cours n° 5 : Achats / Approvisionnements. ::. Rôle des magasins. ::
Cours n° 5 : Achats / Approvisionnements .::. Rôle des magasins .::. Généralités sur les entrepôts .::. Les processus clés Vendredi 20 octobre 2017 Gestion de Stocks & Achats Matthieu DESIDERIO – Université de La Rochelle – Master 2 – Semestre 3

7 Entreposage L'entreposage est le fait d'entreposer (ou de stocker) des marchandises en grande quantité dans un entrepôt grâce à des palettiers parfois mobiles, au moyen d'un chariot élévateur. De nos jours, l'entreposage s'effectue partout avant l'arrivée chez le client (le destinataire) ; de grands entrepôts existent en périphérie des grandes villes, où sont centralisés différents produits avant envoi vers les magasins : on parle également de centrales d'achat. L'entreposage a un coût qui augmente de jour en jour, c'est pourquoi les marchandises, souvent sur palette, restent rarement plus d'une semaine dans les « chambres » de stockage. Source : Wikipedia,

8 Les bâtiments logistiques
Entrepôt : un bâtiment dans lequel les marchandises sont stockées plus de 24 heures. Ces entrepôts sont munis d’étagères (« racks ») pour le rangement des palettes ou des colis. Plateforme : un bâtiment dans lequel les marchandises sont stockées sur une durée de temps très limitée (moins de 24 h), dans le cadre d’une opération de dégroupage/groupage. Une plate-forme n’est pas équipée d’étagères, les marchandises restant sur le quai dans l’attente de leur prise en charge. Certains bâtiments logistiques sont pour partie des entrepôts, pour partie des plateformes. Ce cas est fréquent dans la grande distribution : les produits alimentaires secs sont entreposés alors que les produits frais sont traités dans la partie plate-forme du bâtiment. Source : DGITM, Ministère de la Transition écologique

9 Les acteurs de l’immobilier logistique
Les chargeurs, industriels ou distributeurs Les aménageurs Les promoteurs Les commercialisateurs L’utilisateur final de l’entrepôt construit est soit le chargeur, quand celui-ci réalise lui-même ses prestations logistiques, soit un prestataire mandaté par un chargeur. Ces prestataires, appelés également 3PL (Third Party Logistics) ou 4PL (Fourth Party Logistics) prennent en charge pour le compte d’autrui l’exécution de leurs prestations logistiques. Ils sont titulaires des autorisations d’exploiter.

10 Les critères de localisation des bâtiments logistiques
Les principaux critères examinés par les promoteurs pour la sélection d’un terrain sont : le bassin de consommation (l’importance de la population présente dans un rayon de 150 ou 200 kilomètres autour du terrain considéré est un critère important de choix), la qualité de la desserte en infrastructures (principalement routière, ferroviaire ou fluviale), le bassin d’emploi, d’autres critères comme la qualité du sol, la situation administrative, l’environnement industriel et tertiaire, la fiscalité locale et le prix du foncier.

11 Les rayons d’action des bâtiments logistiques
On distingue généralement sept grandes catégories de bâtiments logistiques. Source : Caractéristiques générales des grands types de bâtiments logistiques - conception : CETE Ouest

12 Trois grands types de réseau d’entrepôts
Il existe trois grands types de réseau d’entrepôts Le réseau en trompette est fortement utilisé dans le secteur de la grande distribution. Le fournisseur livre le centre de distribution, dont la vocation est de desservir un pays ou un continent entier. Ces centres de distribution sont souvent implantés près des ports car les produits manufacturés non alimentaires sont largement importés par voie maritime. Puis le centre de distribution approvisionne les plates-formes régionales, dont la vocation est de desservir les points de vente d’une ou plusieurs régions. Le réseau en entonnoir se rencontre chez les chargeurs, en amont des expéditions vers les clients ou en amont des sites des grands donneurs d’ordre de l’aéronautique ou de l’automobile. Ainsi, les marchandises sont acheminées des usines ou des fournisseurs vers des plates-formes de groupage-éclatement puis vers un site d’expédition ou vers une usine Le réseau de type messagerie ou« cross-docking » permet de consolider un ensemble de flux aux origines et destinations différentes : la plate-forme de groupage-dégroupage rassemble dans un premier temps les marchandises venant des différents points d’enlèvement, les trie en fonction des points de livraison, puis les expédie. Il convient de souligner qu’un chargeur peut utiliser plusieurs organisations logistiques différentes, donc plusieurs types de réseaux d’entrepôts différents, en fonction des contraintes particulières des produits. Ainsi, la grande distribution utilise le « crossdocking» pour les produits frais et un réseau en trompette pour les produits alimentaires secs ou les produits non alimentaires.

13 Les principales dimensions et l’organisation interne d’un bâtiment logistique
Dans le cadre des travaux menés sur l’immobilier logistique, une classification des bâtiments destinés aux activités de stockage et de distribution a été établie : entrepôts de classe A : entrepôts de haute fonctionnalité. Ils répondent, entre autres, aux critères suivants : hauteur supérieure à 9,3 m, aire de manœuvre d’une profondeur supérieure à 35 m, un quai pour 1000 m², résistance au sol de 5t/m², chauffage, système d’extinction ; entrepôts de classe B : entrepôts répondant aux standards modernes. Ils doivent notamment bénéficier d’une hauteur supérieure à 7,5 m, d’une aire de manœuvre d’une profondeur supérieure à 32 m, d’un quai pour 1500 m², d’une résistance au sol minimale de 3t/m² et d’un système d’extinction ; entrepôts de classe C : cette catégorie inclut tous les entrepôts qui ne relèvent pas des classes A ou B ; messagerie : locaux de distribution (groupage et dégroupage) de hauteur moyenne, avec des portes à quai en vis-à-vis sur toute la longueur du bâtiment ; entrepôts frigorifiques : entrepôts comprenant une isolation thermique et une source de froid qui leur permettent d’obtenir et de conserver une faible température (froid positif supérieur à 0 °C ou froid négatif inférieur à 0 °C). Source : Observatoire régional de l’immobilier d’entreprise (ORIE) Île-de-France

14 Les principales dimensions et l’organisation interne d’un bâtiment logistique
On estime qu’un entrepôt classique représente une capacité de stockage de 1,2 à 1,5 palette par m². La présence de racks dynamiques (chariots automatisés prélevant les palettes dans leur logement) permet d’augmenter cette capacité à 3 palettes par mètre carré. Les racks dynamiques permettent en effet de stocker sur des hauteurs beaucoup plus importantes et d’avoir des allées entre les racks beaucoup plus étroites. Les entrepôts sont classiquement organisés de la manière suivante : une zone de réception et d’expédition et une zone de stockage découpée en trois parties, les produits à forte, moyenne et basse rotation. Ces produits sont disposés dans l’entrepôt de manière à minimiser les déplacements des caristes. Une plate-forme de cross-docking, où les marchandises ne font que transiter, est quant à elle habituellement organisée en une zone de réception, une zone d’expédition et une zone de stock tampon entre les deux.

15 Les principales dimensions et l’organisation interne d’un bâtiment logistique

16 Les principales opérations réalisées dans un bâtiment logistique
Pour les entrepôts de stockage, les opérations physiques nécessitent principalement des préparateurs de commandes et des caristes. La chronologie des opérations est la suivante : réception et contrôle de marchandises ; mise en place de palettes dans la zone de stockage de l’entrepôt ; traitement des marchandises à la palette, au carton ou à l’unité (dans le cas d’un traitement à l’unité, un réapprovisionnement et une préparation de commandes sont nécessaires) ; « post manufacturing » : dans certains entrepôts, des opérations de finition de la marchandise (étiquetage, emballage, coloris...) sont réalisées ; chargement du véhicule. Pour une plate-forme de messagerie ou de « cross-docking », la marchandise est réceptionnée, triée puis rechargée. Les opérations physiques réalisées dans ce type d’entrepôt nécessitent des caristes et manutentionnaires (manipulant la marchandise en palettes ou en colis). Aucune tâche de préparation de commande n’y est réalisée.

17 Principaux pôles logistiques européens

18 Le rôle des magasins dans la maîtrise de la chaîne logistique
Les schémas de flux Schémas classiques : livraison en usine ou en stock déporté Les stocks consignés et magasins avancés fournisseurs (MAF) : prise de possession à l’utilisation L'organisation en plates-formes départ : plateformes de crossdockings placées à des points stratégiques Les schémas multi-plates-formes : schéma auquel aboutissent de nombreuses grandes structures qui cherchent à optimiser leur logistique.

19 Le rôle des magasins dans la maîtrise de la chaîne logistique
Les stratégies de stockage : définition du schéma de flux Familles logistiques et stratégies de stockage : Familles logistiques = regroupements d’articles aux mêmes caractéristiques (conditionnement, type, poids, …) Stratégie de stockage = quels chemins vont emprunter quelles familles ? => Utilisation d’un « Warehouse Management System » (WMS) Les stratégies de réception ou stratégies d'entrée Les stratégies de stockage Les stratégies de livraison ou stratégies de sortie => on cherche à optimiser chacun des flux de chaque famille logistique de la réception à la mise en stock, pendant la mise en stock et l’expédition

20 Le rôle des magasins dans la maîtrise de la chaîne logistique
Exemples de systèmes logistiques optimisés La Gestion Partagée des Approvisionnements (GPA) en grande distribution La GPA est une méthode entrant dans le cadre des techniques ECR (Efficient Consumer Response). Il s’agit d’une stratégie de réapprovisionnement continu. La gestion des approvisionnements vise à optimiser l’efficacité de la Supply Chain à l’aide de techniques logistiques tendant à diminuer les stocks tout en préservant le taux de service. L'optimisation de la Supply Chain s'inscrit dans une démarche de flux tirée par la demande (sortie des caisses, prévisions, état des stocks et journaux des mouvements, etc.). Les Magasins avancés fournisseurs (MAF) Source : Gestion des stocks et des magasins, F. MOCELLIN, Dunod

21 Généralités sur les entrepôts et magasins
La localisation de l'entrepôt ou du magasin La méthode du barycentre La méthode de centration Les zones de l'entrepôt et leur dimensionnement Le dimensionnement de la zone de réception Le dimensionnement de la zone de stockage Le dimensionnement de la zone de préparation des commandes Le dimensionnement de la zone d'expédition

22 La méthode du barycentre
Source : Gestion des stocks et des magasins, F. MOCELLIN, Dunod

23 La méthode de centration
Source : Gestion des stocks et des magasins, F. MOCELLIN, Dunod

24 Les moyens de stockage et de manutention
Les différents moyens de stockage : Palettiers Stockeurs dynamiques Stockeurs mobiles Rateliers / Cantilever Silos ou citernes Armoires rotatives Carroussel L'adaptabilité des moyens de stockage

25 Les moyens de stockage et de manutention
Les moyens de manutention Transpalette manuel Transpalette électrique Gerbeur à bras porteur Chariot élévateur à fourche frontale Chariot à mât rétractable Chariot à fourches tri-directionnelles Chariot à fourches bi-directionnelles Chariot préparateur Chariot combiné Transstockeur

26 Les zones de l’entrepôt et leurs dimensions
Source : Gestion des stocks et des magasins, F. MOCELLIN, Dunod

27 Cours disponible sur : www. mille407
Cours disponible sur : : rubrique « Formation » Matthieu DESIDERIO MILLE407 – Conseils et formations –


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