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Syndrome des Ovaires Polymicrokystiques Annie Druet-Cabanac.

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1 Syndrome des Ovaires Polymicrokystiques Annie Druet-Cabanac

2 INTRODUCTION  Décrit la 1e ̀ re fois en 1935 par Stein et Leventhal  Le syndrome des ovaires polymicrokystiques (SOPMK) est la cause la plus fréquente de troubles de l’ovulation, d’infécondité et d’hyperandrogénie chez la femme.  8,7 a ̀ 17,8 % des femmes en âge de procréer et de 11,9 a ̀ 17,8 % selon les critères Rotterdam  Un diagnostic précoce lors de l’adolescence permet le dépistage et surtout la prévention du syndrome métabolique souvent associe.

3 INTRODUCTION  La majorite SOPMK est meconnue en l’absence d’une recherche systematique (68 %)  En plus du traitement des sympto ̂ mes specifiques, la prise en charge du SOPMK necessite une education et un suivi a ̀ long terme, souvent negliges.  La physiopathologie de ce syndrome, maintenant mieux connue, continue de faire l’objet de nombreuses etudes avec actuellement un intere ̂ t pour sa composante genetique.

4 HISTOIRE NATURELLE DU SOPMK

5 PHYSIOPATHOLOGIE  L’hyperandrogenie d’origine ovarienne apparai ̂ t de plus en plus comme l’element fondateur du SOPMK et serait egalement impliquee dans les troubles de la folliculogene ̀ se, responsables de la oligoanovulation dans ce syndrome.  L’hyperinsulinisme, s’integrant dans le syndrome metabolique, ne serait dons pas le facteur causal, mais un element aggravant le SOPMK. Sa presence n’est ni necessaire, ni suffisante pour la constitution d’un SOPMK.  Les facteurs physiopathologiques predisposant au SOPMK sont encore mal connus.

6 PHYSIOPATHOLOGIE  HYPERANDROGENIE  L’augmentation de la synthe ̀ se et de la secretion des androge ̀ nes par les ovaires est une caracteristique essentielle du SOPMK.  Elle est le reflet d’un fonctionnement excessif des cellules thecales ovariennes du a ̀ l’action combinee de divers facteurs soit extra ou intraovariens soit genetiques.  Mais la physiopathologie de l’hyperandrogenie reste encore a ̀ preciser.

7 PHYSIOPATHOLOGIE  HYPERANDROGENIE  Aucun des facteurs extraovariens (LH, Insuline) et intraovariens (Inhibines, dysregulation intrinse ̀ que des cellules thecales) ne semble e ̂ tre implique dans le phenome ̀ ne primitif responsable de la production excessive d’androge ̀ nes ovariens.  Il semble que l’hypersecretion basale d’androge ̀ nes dans les cellules thecales soit en partie due a ̀ une activite accrue des promoteurs des ge ̀ nes de certaines enzymes impliquees dans le biosynthe ̀ se des androge ̀ nes et/ou a ̀ une stabilite exageree des acides ribonucleiques (ARN) messagers codes par ces ge ̀ nes.

8 PHYSIOPATHOLOGIE  HYPERANDROGENIE  FACTEURS EXTRAOVARIENS  LH (Luteinizing hormone): elle stimule directement la secretion des androge ̀ nes ovariens par les cellules thecales. L’hypertonie de la LH serait due a ̀ une alteration du retrocontro ̂ le negatif, secondaire a ̀ l’action de l’exce ̀ s d’androge ̀ nes sur l’axe hypothalamohypophysaire.  INSULINE: l’hyperinsulinemie est un facteur extraovarien aggravant l’hyperandrogenie d’origine ovarienne.

9 PHYSIOPATHOLOGIE  HYPERANDROGENIE  FACTEURS EXTRAOVARIENS  INSULINE: l’hyperinsulinemie est un facteur extraovarien aggravant l’hyperandrogenie d’origine ovarienne. Les mecanismes pouvant e ̂ tre impliques sont: Stimulation directe de la production d’androgènes par les cellules thécales en stimulant la synthe ̀ se et/ou l’activite d’enzymes impliques dans la steroi ̈ dogene ̀ se ovarienne (17 α- hydroxylase, 17-20 lyase...) Inhibition de la synthe ̀ se hepatique de la sex hormone binding globuline (SHBG), entrainant une augmentation de la fraction libre bioactive des androge ̀ nes dans l’organisme Stimulation de la secretion de LH par les cellules gonadotropes Inhibition de la synthe ̀ se hepatique d’insulin-like growth factor binding proteins (IGFBP)-1 qui conduit a ̀ l’augmentation des formes libres et actives d’IGF capables de stimuler la steroi ̈ dogene ̀ se ovarienne.

10 PHYSIOPATHOLOGIE  TROUBLE DE LA FOLLICULOGENESE  EXCES DE CROISSANCE FOLLICULAIRE PRECOCE  Cet exce ̀ s de follicules de la classe 1 a ̀ 5 est en partie responsable par la secretion des androge ̀ nes ovariens ayant un effet trophique  DEFAUT DE SELECTION DU FOLLICULE DOMINANT: 2 mecanismes sont evoques  Action prematuree de la LH: l’Acquisition prematuree du recepteur LH par les cellules de la granulosa entraine une differenciation luteale prematuree des cellules de la granulosa provoquant un arre ̂ t de leur multiplication, une stagnation de la croissance folliculaire et une alteration du processus de selection du follicule dominant. L’acquisition precoce des recepteurs de la LH pourrait e ̂ tre induite par les androge ̀ nes et/ou l’insuline.  Defaut d’action de la FSH (Follicle stimulating hormone) par l’absence d’elevation intercyclique des taux de FSH due a ̀ l’anovulation et a ̀ inhibition de l’action de la FSH par un exce ̀ s local d’inhibiteurs comme IGFBP-4 et AMH (Anti- mullerian hormone)

11 PHYSIOPATHOLOGIE  TROUBLE DE LA FOLLICULOGENESE  EXCES DE CROISSANCE FOLLICULAIRE PRECOCE  Cet exce ̀ s de follicules de la classe 1 a ̀ 5 est en partie responsable par la secretion des androge ̀ nes ovariens ayant un effet trophique  OVOCYTE  Il semble e ̂ tre lui aussi un acteur majeur dans le trouble de la folliculogene ̀ se. Les arguments sont:  Diminution de la synthe ̀ se et de la secretion du GDF-9 (growth differentiation factor-9) par les ovocytes  Ovocytes de moins bonne qualite en FIV

12 PHYSIOPATHOLOGIE  TROUBLE DE LA FOLLICULOGENESE  DEFAUT DE SELECTION DU FOLLICULE DOMINANT: 2 mecanismes sont evoques  Action prematuree de la LH: l’Acquisition prematuree du recepteur LH par les cellules de la granulosa entraine une differenciation luteale prematuree des cellules de la granulosa provoquant un arre ̂ t de leur multiplication, une stagnation de la croissance folliculaire et une alteration du processus de selection du follicule dominant. L’acquisition precoce des recepteurs de la LH pourrait e ̂ tre induite par les androge ̀ nes et/ou l’insuline.  Defaut d’action de la FSH (Follicle stimulating hormone) par l’absence d’elevation intercyclique des taux de FSH due a ̀ l’anovulation et a ̀ inhibition de l’action de la FSH par un exce ̀ s local d’inhibiteurs comme IGFBP-4 et AMH (Anti-mullerian hormone)

13 GENETIQUE  L’existence d’une composante genetique est fondee sur des analyses de groupements  de cas familiaux: 35 % des me ̀ res et 40 % des sœurs ont SOPMK  L’existence d’un phenotype masculin: calvitie a ̀ un jeune a ̂ ge, elevation SDHEA, intolerance au glucose, IR...  Les etudes sugge ̀ rent un trait hereditaire dominant de faible penetrance et d’expressivite variable.

14 GENETIQUE  A ce jour, aucun des nombreux ge ̀ nes candidats testes est responsable du SOPMK (enzymes de la steroi ̈ dogene ̀ se ovariennes ou proteines impliquees dans les mecanismes d’insulinoresistance ou ge ̀ nes codant pour les cytokines inflammatoires..):  CYP 17, CYP11A, CYP 21, recepteur aux androge ̀ nes, SHBG, recepteur de l’insuline, insuline, proteines IRS-1 et 2 (insuline receptor substrate), follistatine, calpai ̈ ne-10, recepteur TNF (tumor necrosis factor), recepteur active par les PPAR-γ (proliferateurs de peroxisomes), aldehyde deshydrogenase 6, retinol deshydrogenase 2, et le facteur de transcription GATA-6,...... E. Deligeoroglou, Gynecological Endocrinology 2009;25(9):603-609  Actuellement, les etudes s’interessent a ̀ une region chromosomique particulie ̀ re, le locus 19p13.2.

15 GENETIQUE  Mais actuellement, on conside ̀ re que le SOPMK est une maladie multigenique et multifactorielle:  Influence de l’environnement :  Prevalence identique selon l’origine ethnique vivant au me ̂ me endroit et me ̂ me condition  Impact durant la croissance intra-uterine: exposition intra-uterine a ̀ un exce ̀ s d’androge ̀ nes pourrait conduire au developpement de l’hyperandrogenie et dysfonctionnement ovarien tard dans la vie malgre la normalisation des taux d’androge ̀ nes apre ̀ s la naissance Restriction croissance intra-uterine qui predisposerait a ̀ IR E. Deligeoroglou, Gynecological Endocrinology 2009;25(9):603-609

16 DIAGNOSTIC  CONSENSUS DE ROTTERDAM 2003  Oligo et/ou anovulation  Hyperandrogenie clinique et/ou biologique  Aspect echographique d’ovaires polymicrokystiques:  D’au moins 12 follicules de 2 a ̀ 9 mm de diame ̀ tre par ovaire  Et/ou de volumes ovariens superieurs a ̀ 10 ml par ovaire 2 crite ̀ res sur 3 sont suffisants pour retenir le diagnostic

17 DIAGNOSTIC  HYPERANDROGENIE CLINIQUE  HIRSUTISME: 75 % des cas  Pilosite faite de poils durs et pigmentes, excessive et developpee dans des territoires masculins (visage, thorax, dos, ligne blanche, creux inguinaux, faces internes et posterieures des cuisses).  Il peut e ̂ tre evalue par le score de Ferriman et Gallwey

18 DIAGNOSTIC Interprétation du Valeur du score Normal: < 8 Leger: 8 a ̀ 16 Modere : 17 a ̀ 25 Seve ̀ re : > 25 S'il est superieur a ̀ 15 une cause organique est suspectee et les bilans biologiques sont necessaires Mais Score subjectif SCORE FERRIMAN

19 DIAGNOSTIQUE  HYPERANDROGENIE CLINIQUE  ACNE ET SEBORRHEE: 40 %  L’acne doit e ̂ tre inflammatoire, seve ̀ re, a ̀ topographie masculine et toucher au moins deux sites differents.  ALOPECIE ANDROGENIQUE: alopecie du vertex qui peut e ̂ tre partiel a ̀ comple ̀ te  SIGNES DE VIRILISATION sont exceptionnels dans le SOPMK et doivent faire rechercher une etiologie tumorale. (morphotype masculin, raucite de la voix, hypertrophie musculaire, hypertrophie clitoridienne et des grandes le ̀ vres, micromastie )

20 DIAGNOSTIQUE  OLIGOANOVULATION  Elle s’exprime par des troubles du cycle menstruel qui peuvent e ̂ tre d’installation precoce, de ̀ s les premiers cycles:  cycles longs (35 a ̀ 45 jours)  spaniomenorrhee ( ≤ 8 episodes de re ̀ gles par an)  Amenorrhee secondaire  Amenorrhee primaire, moins frequent  Elle est egalement source d’infertilite par dysovulation (realisation de menothermes et/ou dosage de progesterone en deuxie ̀ me partie du cycle) si cycles reguliers.

21 DIAGNOSTIQUE  CRITERES ECHOGRAPHIQUES  Augmentation du volume ovarien volume > 10cm3 /ovaire = surface > 5,5 cm2 / ovaire Et/ou  Echostructure contenant plus de 12 images anechoge ̀ nes (follicules ) de 2 a ̀ 9 mm par ovaire.  Les crite ̀ res secondaires : distribution peripherique des follicules, hyperechogenicite du stroma et hypertrophie du stroma

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23 DIAGNOSTIQUE  AUTRES ANOMALIES  Obésité  La raison de la forte prévalence n’est pas encore  30 a ̀ 70 % des cas élucidée  Répartition graisse viscérale  Syndrome métabolique: au moins 3 crite ̀ res  Tour de taille > 88 cm  Triglycérides ≥ 1,5 g/l  HDL–C<0,5g/l  PA≥130/≥85MMhg  Intolérance aux hydrates de carbone voire diabète de type 2 (glycémie AJ ≥ 1,10 g/dl)

24 DIAGNOSTIQUE  AUTRES ANOMALIES  Insulinoresistance (26 a ̀ 70 % selon les etudes)  Diagnostic clinique: Acanthosis nigricans Surcharge ponderale ou obesite avec repartition androi ̈ de des graisses avec un tour de taille superieur a ̀ 80 cm  Evaluation biologique: difficile Diminution de la SHBG Clamp euglycemique hyperinsulinique ? Simple dosage de glycemie et d ’insulinemie a ̀ jeun (10 mUI/ml si poids normal, 15 si obe ̀ se et 20-30 si IR) Rapport Glycemie/Insulinemie < 4,5 (valide si SOPK obe ̀ se, avec VPP de 87%)

25 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS  HYPERCORTICISME  Signes cliniques:  Hyperandrogenie, tr du cycle  obesite avec repartition faciotronculaire des graisses  Buffalo-neck  Vergetures abdominales et thoraciques larges et pourpres  Fragilite cutanee et capillaire  Erythrose faciale  HTA  Echographie: ovaires multifolliculaires  Diagnostic par dosage du CLU/24 heures avec creatinurie

26 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS  TUMEURS OVARIENNES  Elles sont tre ̀ s rares et le plus souvent benignes ou de faible malignite  Frequence: 1 sur 300 ou 1000 des cas d’HA  Signes cliniques:  Hyperandrogenie marquee avec signes de virilisation (morphotype masculin, raucite de la voix, hypertrophie musculaire, hypertrophie clitoridienne et des grandes le ̀ vres, micromastie )  Tr du cycle  Echographie: ovaires multifolliculaires avec recherche d’une T.ovarienne voire IRM ou catheterisme des veines ovariennes  Diagnostic repose sur testosterone > 1,5 ng/ml

27 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS  TUMEUR SURRENALIENNE  Elles sont tre ̀ s rares et souvent malignes (corticosurrenalome)  Incidence: 1 a ̀ 2 /1 000 000  Signes cliniques:  Hyperandrogenie marquee avec signes de virilisation seve ̀ re  Tableau hypercorticisme  Tr du cycle  Echographie: ovaires multifolliculaires  Diagnostic repose sur SDHEA > 20 μmol/l puis TDM surrenale

28 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS  HYPERPROLACTINEMIES  Toutes les causes d’hyperPRL provoquent:  Hypogonadisme hypogonadotrope fonctionnel responsable d’une oligoanovulation avec troubles du cycle (spaniomenorrhee a ̀ l’amenorrhee)  Hyperandrogenie moderee par stimulation des androge ̀ nes surrenaliens (SDHEA)  Echographie: ovaires multifolliculaires  Diagnostic par existence d’une galactorrhee et par dosage de PRL

29 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS  CAUSES IATROGENES  Prise de steroi ̈ des anabolisants  Progestatifs de synthe ̀ se ayant des effets androgeniques  Certains neurotropes comme acide valproi ̈ que

30 RISQUES A MOYEN TERME DU SOPMK  INFERTILITE par oligoanovulation dans 25 % des cas  FAUSSES COUCHES SPONTANEES:  risque est multiplie par 3 (30–50%).  SOPMK est diagnostique chez 40-80 % des femmes ayant des FC repetees.  Les mécanismes physiopathologiques evoques sont:  Elévation prématurée de la LH qui induit une luteinisation precoce  Hyperinsulinémie, hyperandrogenie  Hypofibrinolyse par l’action du PAI (inhibiteur de l’activateur plasminogène)  Altération qualité endométriale ou qualité ovocytaire

31 RISQUES A MOYEN TERME DU SOPMK  RISQUES OBSTETRICAUX  Risque de diabe ̀ te gestationnel surtout chez les obe ̀ ses  20 a ̀ 40% des cas  HTA gravidique (OR:3,67) et pre-eclampsie (OR:3,47) dont le mecanisme reste inconnu  Accouchement premature: prevalence de 13,3 % contre 5,4 %

32 RISQUES A LONG TERME DU SOPMK  RISQUES METABOLIQUES  DIABETE DE TYPE 2  La prevalence d’intolerance aux hydrates de carbone est de 31,5 % et de diabe ̀ te de 7,5 %  L’obesite est un facteur de risque de diabe ̀ te, ainsi que des ATCD familiaux de SOPMK  DYSLIPIDEMIES  L’hyperinsulinisme semble e ̂ tre implique dans les perturbations lipidiques: LDL ↑ HDL ↓ Triglycerides ↑  PATHOLOGIES CARDIOVASCULAIRES  On observe de ̀ s 30 ans, une augmentation de l’epaisseur de l’intima carotidien  Augmentation du risque d’HTA  Risque X par 7 d’atteinte coronarienne et IDM

33 RISQUES A LONG TERME DU SOPMK  CANCERS GYNECOLOGIQUES  CANCER DE L’ENDOMETRE  Risque multiplie par 2,6 - 3  Augmentation du risque adenocarcinome endometrial due a ̀ l’hyperoestrogenie relative secondaire a ̀ l’anovulation, Hypersecretion LH et hyperinsulinemie  La prevention de ce risque recommande un traitement sequentiel de progestatif pour regulariser les saignements  CANCER DE L’OVAIRE  Augmentation du risque RR = 2,5  CANCER DU SEIN  Pas d’augmentation significative

34 TRAITEMENT  QUELS SONT LES OBJECTIFS THERAPEUTIQUES ? Supprimer l ’hyperandrogénie, l’hyperinsulinémie et corriger les troubles du cycle

35 TRAITEMENT  REGLES HYGIENODIETETIQUES  PERTE DE POIDS Essentielle  Reduit l’insulinoresistance, ameliore le cycle menstruel et diminue le risque cardiovasculaire)  Une perte de poids de > 5% chez SOPK = ↓ BMI ↓ rapport T/H ↓ volume ovarien et nombre de follicules Restaure un cycle ovulatoire (55%) Regularite des cycles (66%) Augmente le taux de grossesse spontanee

36 TRAITEMENTS  HYPERANDROGENIE  Pilules Estro-prostatiques  Acetate de cyprotérone  Autres


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