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ACTIVITE PHYSIQUE EFFETS ET BIENFAITS SUR LA SANTE Références : rapport INSERM 2008 Activité Physique Contexte et effets sur la santé.

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1 ACTIVITE PHYSIQUE EFFETS ET BIENFAITS SUR LA SANTE Références : rapport INSERM 2008 Activité Physique Contexte et effets sur la santé

2  Conditions de vie actuelles (profession, transports, loisirs) à l’origine d’un accroissement de la sédentarité  La sédentarité est à l’origine de près de 10% des morts prématurées dans le monde* INTRODUCTION *Eff ect of physical inactivity on major non-communicable diseases worldwide: an analysis of burden of disease and life expectancy I-Min Lee, Eric J Shiroma, Felipe Lobelo, Pekka Puska, Steven N Blair, Peter T Katzmarzyk,www.thelancet.com, July 18, 2012

3  AP ( d’intensité modérée 3h/semaine ou élevée 20 min 3/semaine) : réduction du risque de mortalité de 30% (étude prospective menée sur 250.000 personnes, 2007)  Bénéfices chez personnes augmentant leur niveau d’AP  Perte lors de la cessation d’activité L’activité physique régulière diminue la mortalité

4  Qualité de vie (=satisfaction du sujet par rapport à sa vie quotidienne : autonomie, image et estime de soi, symptômes physiques, état psychologique, sexualité, relations sociales, problèmes matériels, loisirs) améliorée par AP  SURTOUT dans  maladies chroniques, handicap, personnes âgées, femmes, adolescents L’AP d’intensité modérée contribue au bien-être et à la qualité de vie

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6  Fonction musculaire essentielle  maintien vie relationnelle et autonomie fonctionnelle  équilibre métabolique (sans lequel survenue de maladies métaboliques)  Les contraintes mécaniques modifient de manière bénéfique le système musculaire, vasculaire, nerveux, hormonal (GH, stéroïdes, testostérone, insuline…) L’AP conditionne la fonction musculaire

7 AP par les contraintes mécaniques induit la formation du tissu osseux lors de la croissance (évolution taille et morphologie) puis contribue au ralentissement de la perte osseuse (masse, densité, résistance)  Pratique intensive peut entraîner des risques ostéo-articulaires L’AP contribue à l’acquisition et au maintien du capital osseux (mais pas dans n’importe quelles conditions)

8 L’AP entraîne des effets variables sur le système immunitaire

9  L’AP protège des lésions cérébrales et favorise la récupération des performances comportementales et/ou motrices  Retarde la survenue et ralentit la progression des altérations cognitives dues à l’âge et de la maladie d’Alzheimer  Mécanismes : augmentation angiogenèse, cellules de soutien et de nutrition cérébrales, neurogenèse, équilibre ionique et glycémique, action sur excitabilité cérébrale L’AP contribue au bon fonctionnement du cerveau

10  Relation inverse entre AP et taux de mortalité prématurée par maladies cardiovasculaires. AP prévient leur survenue et limite leur conséquence (coronaropathie : diminution mortalité de 30%, AOMI, AVC)  Diminue survenue de Diabète Type 2 de 60% des intolérants au glucose, limite prise médicamenteuse et les complications  Diminution TA de 10mmHg  Diminution TG, LDL, augmentation HDL cholestérol  Augmentation de la masse maigre et diminution de la masse grasse  Facilite le sevrage tabagique  Diminue l’hypercoagulabilité et inflammation intervenant dans athérome L’AP est la meilleure prévention des maladies cardiovasculaires et constitue un élément important de leur traitement

11 Travail plurihebdomadaire de faible intensité bénéfique et sans risque

12  Diminution de l’ apparition de la BPCO Diminution de nombre d’hospitalisation et de la mortalité dues aux maladies respiratoires Limite le cercle vicieux du déconditionnement respiratoire L’AP est un traitement à part entière de la BPCO

13 AP quotidienne associée à limitation du gain de poids au fil des années AP favorise la perte de poids (associée à un régime alimentaire) et le maintien du poids après amaigrissement initial chez obèses (grâce à maintien de la masse maigre) Diminution de la mortalité et amélioration bien-être chez patients corpulents avec bonnes fonctions CV La pratique régulière d’AP et sportive permet de limiter le gain de poids et participe à son contrôle

14  Le risque de décès par cancer est diminué chez les personnes actives (/ non actifs)  Diminution du risque d’apparition cancer colorectal de 40 à 50%, et de cancer du sein de 30 à 40%, cancer poumon 20% +- cancer prostate, endomètre, ovaire, estomac  Prévention du risque de récidive de 20 à 50% L’AP réduit le risque de développer un cancer du sein ou du colon

15  Améliore solidité ligaments, tendons, os  Diminution retentissement fonctionnel et douleurs dans lombalgies, fibromyalgie, spondylarthropathies  Arthrose : bienfait d’AP modérée, mais sursollicitations favorise dégradation cartilagineuse L’AP régulière agit dans la prévention et le traitement des maladies ostéo-articulaires et dégénératives

16  Risque potentiel de blessures variable en fonction pratique, du niveau du sportif  Lésions aigües : GRAVES ( Traumas Crâniens, Blessés Médullaires ), COMMUNES (fractures, luxations et entorses, lésions musculaires), + RARES (organes sensoriels et viscéraux)  Surmenage : tendinopathies, fractures de fatigue, apophysoses de croissance…  Nécessité de respecter capacités de chaque individu = maintien d’une bonne condition physique avant de pratiquer sport de manière intensive + protections L’AP pratiquée de façon excessive augmente les risque de traumatisme

17  AP modérée de loisir réduit anxiété (d’état chez patients plus anxieux, post exercice chez les autres) et le niveau de dépression  Mécanismes psychologiques et neurohormonaux  Même si compétition = facteur de stress L’AP est un facteur d’équilibre de la santé mentale

18  améliore état de santé perçu (Physique, psychique et social)  Moyen de lutte contre surpoids, et désinvestissement scolaire et social  Canalise agressivité, développe attention et habilités cognitives et sociales  Risques physiques et psychologiques lors pratiques intensives de compétition (stress, échecs diminuant estime de soi)  Continuum entre pratique durant enfance et à l’âge adulte L’APS est un facteur de développement chez l’enfant et l’adolescent mais comporte également des risques

19  Pratique F<H dès le plus jeune âge  Adolescence : niveau le plus bas d’AP (associé à sous estimation des compétences).  Adulte : dépenses énergétiques F moins importantes que H  Grossesse : AP régulière modérée bénéfique sur contrôle poids, et complications accouchement  Ménopause : AP en charge régulière pendant la vie (+ alimentation riche en Ca vit D) a contribué à limiter perte masse osseuse (ostéoporose et conséquences)  AP où MG faible (endurance et contrôle du poids) => troubles du cycle (retard pubertaire et perte osseuse) L’APS présente des effets spécifiques aux différents âges de la vie d’une femme

20  Performances physiques : limite sarcopénie, incapacités fonctionnelles et risque de chutes  Performances cognitives et santé mentale : capacité de réaction, mémoire, raisonnement => Bien être, qualité de vie L’AP d’intensité modérée intervient de manière très positive sur la santé des personnes âgées Mécanismes : stimulation du système nerveux, cardiorespiratoire et sociale

21  Adulte jeune: AP aérobie  intensité modérée 30 minutes 5j/7  ou élevée 20 minutes 3j/semaine Renforcement musculaire  8 à10 exercices sollicitant principaux groupes musculaires * 12 répétitions 2j/7  Adulte de plus de 65 ans et patient de plus de 50 ans atteint de maladie chronique A adapter de manière individuelle Activité aérobie et de Musculation : idem + exercices de souplesse : minimum 10 minutes 2j/7 + exercices d’équilibre Tout au long de la vie Recommandation générales pour l’adulte


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