Parc national du Canada des prairies.

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1 Parc national du Canada des prairies.
Par: Léanne Couture

2  La végétation Le parc protège quelques-uns des derniers vestiges de la prairie mixte originale d’Amérique du Nord. Il constitue le seul lieu protégé du genre. Les espèces végétales qui dominent dans la prairie sont le pâturin annuel, l’agrophyle de l’Ouest , le boutelou gracieux, le rosier de Woods, la potentille frutescente, la symphorine occidentale et l’armoise argentée. L’armoise argentée

3 Sur les pentes érodées poussent le génévrier commun déprimé, le sarcobatus vermiculatus, le raisin d’ours, le phlox de Hood et le tripalis purpurea. On trouve aussi des poches de communautés spécialisées, comme de la végétation saline ou des plantes de marais de plaine inondable et certains secteurs recèlent des communautés d’arbres, de broussailles et de graminées. Comme dans beaucoup d’écosystèmes, le feu et le broutage jouent un rôle important puisqu’ils assurent le maintien et le renouvellement des prairies.

4 Faune Le parc a une faune diverse et abondante. Les colonies de chiens de prairies vivant le long de la vallée de la rivière des Français sont les seules au Canada qui peuvent être observées dans leur habitat naturel. Les autres mammifères présents dans le parc incluent le cerf-mulet, le cerf de virginie, le coyote, le spermophile de Richardson, l’écureuil terrestre, le blaireau, la mouffette et le lynx roux.

5 ll n’existe nulle part ailleurs autant de structures de passage de la faune de types aussi divers ou de données connexes sur la répartition, le déplacement et l’écologie de la faune. En plus de posséder des structures de passage de la faune exceptionnellement diversifiées (5 conceptions différentes) aménagées pendant deux périodes distinctes (structures récentes construites en 1997 et structures plus anciennes, au milieu des années 1980), la recherche sur l’atténuation de Banff comprend le programme de surveillance à l’année le plus long du monde et le plus d’information sur l’utilisation de structures de passage par la faune.

6 La promotion d'activités favorisant la compréhension et l'appréciation du public comprend l'interprétation et la diffusion externe visant à renseigner le public sur l'importance des aires patrimoniales nationales, à augmenter la sensibilisation, la compréhension et l'appréciation à l’égard des réseaux d'aires patrimoniales, et à obtenir un appui en faveur des valeurs de conservation du patrimoine de l'Agence. Entre autres activités particulières, mentionnons la mise en valeur du patrimoine sur place et de diffusion externe.

7 Cette activité de programme comprend également le travail de relations avec les médias et les cérémonies organisées par Parcs Canada lors de la création de nouveaux parcs nationaux et aires marines nationales de conservation du Canada, de même que lors du dévoilement de plaques commémoratives de la Commission des lieux et monuments historiques du Canada.

8 Les niveaux de gaz carbonique dans notre atmosphère peuvent doubler au cours du siècle. La température moyenne de la Terre peut s'accroître de plus de 50°C. Le taux du changement de la température augmente en s'approchant des régions polaires. Par conséquent, comme pays nordique, le Canada est particulièrement vulnérable. Le résultat de ce changement de température ne sera pas tout simplement un climat plus modéré. Il se produira plutôt des dérangements importants dans les écosystèmes qui s'étaient adaptés au climat existant.

9 Les changements de température dans plusieurs de nos parcs nationaux pourraient être équivalents au double de la moyenne du globe. Les précipitations sont plus difficiles à modéliser que la température. Toutefois, nous pouvons émettre certaines hypothèses. Des températures plus chaudes, particulièrement en hiver, signifient moins de chutes de neige et une accumulation réduite de neige. Ce qui provoque par conséquent un niveau plus bas de l'eau souterraine et des lacs et un débit moindre des cours d'eau.

10 Les espèces en péril La prairie est une zone semi-aride où l'humidité suffit à la croissance de différentes herbes, mais non à celle de forêts. La sécheresse est chose courante dans les Prairies, et la faune et la flore de cet écosystème canadien unique en son genre ont développé des stratégies d'adaptation à cet environnement.

11 Les herbes sont la forme de végétation qui domine dans les prairies, car elle est bien adaptée aux cycles de sécheresse. Bien que ce paysage semble vide, ouvert sur un horizon « infini », il ne faut pas s'y tromper. À y regarder de plus près, on découvre tout un monde riche, varié et passionnant de formes spéciales de vie végétale et animale

12 …La fin… (resourse: