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LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE NOMBRES

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1 LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE NOMBRES
CATALA Rémi 3°1 LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE NOMBRES Sommaire : 1/Introduction 2/Les nombres entiers naturels 3/Les nombres entiers relatifs 4/Les nombres décimaux 5/Les nombres rationnels, dont les fractions 6/Les nombres irrationnels 7/Les nombres réels 8/Les nombres complexes

2 1/INTRODUCTION Les ensembles de nombres sont "gigognes", on peut classer les nombres entiers naturels dans les nombres entiers relatifs qui sont eux-mêmes des nombres décimaux. Ceux-ci sont, à leur tour, des nombres rationnels qui sont enfin des nombres réels.

3 2/LES NOMBRES ENTIERS NATURELS
Les nombres entiers naturels sont des nombres d'une suite de premier terme 0 et tels qu'un terme est égal à la somme du précédent et de 1 : 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; ... ; 10 ; 11 ; ... ; 256 ; ... Il existe une infinité de nombres entiers naturels. Certains d'entre eux sont des nombres premiers, d'autres sont des nombres parfaits, d'autres encore sont des nombres palindromes et des couples d'entiers peuvent caractériser des nombres premiers entre eux ou des nombres amicaux.

4 A) Les nombres premiers
Les nombres premiers sont les nombres entiers qui ne sont divisibles que par 1 et par eux-mêmes. 2 ; 3 ; 5 ; 7 ; 11 ; 13 ; 17 ; 19 ; 23 ; 29 ; 31 ; 37 ; 41 ; 43 ; 47 ; 53 ; 59 ; 61 ; 67 ; 71 ; 73 ; 79 ; 83 ; 89 ; 97 sont les nombres premiers inférieurs à 100. Il existe une méthode pour savoir si un nombre est premier ou non, c'est le crible d'Ératosthène.

5 B) Les nombres parfaits
Les nombres parfaits sont des nombres entiers qui sont égaux à la somme de leurs diviseurs stricts. 6 = ; 28 = Entre 0 et , il n'existe que 4 nombres parfaits : 6 ; 28 ; 496 et Les Grecs découvrirent ces quatre premiers nombres parfaits.

6 C) Les nombres palindromes
Ce sont des nombres entiers qui se lisent indifféremment dans les deux sens. 101 ; 22 ; 3663 ; sont des nombres palindromes. D) Les nombres premiers entre eux Deux nombres entiers sont premiers entre eux s'ils n'ont pas d'autres diviseurs communs que 1. 7 et 13 n'ont que 1 comme diviseur commun donc 7 et 13 sont premiers entre eux. 12 et 32 ont plusieurs diviseurs communs : 1 ; 2 et 4 donc 12 et 32 ne sont pas premiers entre eux. 7 et 13 n'ont que 1 en diviseur commun donc 7 et 13 sont des Nombres premiers entre eux.

7 E) Les nombres amicaux (220 ; 284) est un couple de nombres amicaux car 284 est égal à la somme des diviseurs stricts de 220, et réciproquement. 284 = ; 220 = ( ; ) et ( ; ) sont d'autres couples de nombres amicaux découverts ou "redécouverts" respectivement par Fermat et Descartes. Le couple (1184 ; 1210) n'a été découvert qu'en 1866 par Niccolo Paganini à l'âge de 16 ans. Aujourd'hui, on a recherché par ordinateur de nouveaux couples et on en a trouvé plus de

8 3/LES NOMBRES ENTIERS RELATIFS
Les nombres entiers relatifs sont des nombres entiers précédés d'un signe (+ ou −) ou sans signe. 0 ; 258 ; ; −12 et −265 sont des nombres entiers relatifs. Les nombres entiers relatifs qui ont des signes + sont des entiers positifs. + 5 = 5 ; ; 0 ; ; 78 et 892 sont des entiers positifs. Les nombres entiers relatifs qui ont des signes − sont des entiers négatifs. − 25 ; − 5698 ; −3 ; 0 et −56 sont des entiers négatifs. -5, 9, -2

9 4/LES NOMBRES DÉCIMAUX Un nombre décimal est un nombre qui peut se mettre sous forme d'une fraction dont le dénominateur est une puissance de 10. 7,42 est un nombre décimal car 7,42 = 742/100 0 ; 15 ; 18,458 ; 9,05 ; 14,1 ; 478 et 896,24 sont des nombres décimaux. −56,27 est un nombre décimal relatif. C'est seulement en 1582 que le mathématicien flamand Simon Stevin proposa d'employer les nombres décimaux dans les calculs. Les écritures restèrent encore longtemps très diverses et ce n'est que le 10 décembre 1799 que l'on obtint un système métrique décimal.

10 B) Les dimensions de l'univers
A) Les puissances de 10 101 = 10 ; 10−1 = 0,1 ; 100 = 1. Les puissances de 10 permettent de simplifier l'écriture des grands nombres (en astronomie) ou des très petits nombres (en microbiologie...). Par exemple : = 2,83 × 1011 ; 0,00568 = 5,68 × 10−3. Astuce : 10² = 100 on a une puissance de deux donc on met deux zéros après le 1 B) Les dimensions de l'univers En prenant 1 m comme unité de base, étudions quelques ordres de grandeur : - 3 × 102 pour la hauteur de la tour Eiffel (320 m = 3,2 × 102 m) pour la distance Paris-Orléans ( m = 1,26 × 105 m) pour le diamètre de la Terre (1,3 × 107 m) pour le diamètre du Soleil (1,4 × 109 m) pour la distance Terre-Soleil (1,5 × 1011 m)

11 5/LES NOMBRES RATIONNELS, DONT LES FRACTIONS
Un nombre rationnel est un nombre qui peut s'écrire sous forme d'un rapport de deux nombres entiers. 5; 7/3; 15,26; 189/25; -1/6 sont des nombres rationnels . Les Babylonien utilisaient des fractions de dénominateur 60, 60²... Les Égyptiens n'utilisaient que des fractions de numérateur 1, à l'exception de la fraction 2⁄3. Les Grecs représentaient les nombres géométriquement, ils ont donc considéré les fractions comme des rapports de longueur, ce qui les a conduits aux nombres rationnels. Les Romains utilisent une notation où le dénominateur est au-dessus du numérateur, ce qui est très mal commode. Les Arabes jusqu'au Xème siècle ne considèrent pas les fractions comme des nombres, mais comme des opérateurs. Les Indiens commencent à superposer les numérateur et dénominateur. Vers 1150, un Arabe les sépare par une barre de fraction. Al-Kashi théorisera l'utilisation des fractions décimales (dont le dénominateur est une puissance de 10). On peut dire que c'est au XVIIème siècle que les fractions ont acquis leur forme d'aujourd'hui.

12 6/LES NOMBRES IRRATIONNELS
Les nombres irrationnels sont des nombres qui ne peuvent pas s'écrire sous forme de fraction de deux nombres entiers. √ 2 ; √ 3 et π sont des nombres irrationnels. On s'est aperçu dès l'Antiquité que certains nombres ne pouvaient pas s'écrire sous forme de fraction. En effet, les racines carrées et le nombre π sont connus depuis les Babyloniens . Evidemment, les symboles n'existent pas encore et on n'en connaît que des approximations. L'allemand Rudolph invente le symbole "√ " vers Le suisse Leonhard Euler vulgarise le symbole π vers 1750, après que William Jones l'ait utilisé en 1706.

13 7/LES NOMBRES RÉELS Les nombres réels sont ceux que l'on rencontre dans la vie courante. Ils sont composés des nombres rationnels donc des entiers naturels, des entiers relatifs, des décimaux, des fractions, mais aussi des nombres irrationnels 5, , , ,4 5, , ,03

14 8/LES NOMBRES COMPLEXES
Avec les nombres réels, il n'y a pas de nombre négatif qui ait une racine carrée. Un nombre i qui est tel que i² = −1 a longtemps été appelé "nombre impossible". Il est aujourd'hui dit imaginaire. Les nombres de la forme a + ib (où a et b sont des nombres réels) sont appelés nombres complexes. Ils sont composés de la somme d'un nombre réel et d'un nombre imaginaire. C'est l'italien Rafaele Bombelli qui les emploie en 1572 sans la notation actuelle, avec l'idée de √ −1. Le français D'Alembert leur donnera la forme générale a + b√ −1. Le suisse Euler introduira la notation a + ib et l'allemand Gauss en généralisera l'utilisation.

15 FIN Les nombres sont Lien :


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