Histoire de la croûte bretonne

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1 Histoire de la croûte bretonne
Paul Le breton Eugénie Herno (on a tous les deux des origines bretonnes et on est pas peu fiers)

2 Sr (fils) Rb père Minéraux Composition chimique Pyroxènes
(SiAl2O3)2Ca(Fe, Mg, Al) Amphiboles (Si8Al2O22)(Mg,Fe)4(Al,Ca2)Na(OH)2 Feldspath calco-sodique (plagioclase) Si3AlO8Na - Si3AlO8Ca Mica noir (biotite) K(Mg,Fe)3[Si3AlO10(OH)2] Feldspath potassique (orthose) Si3AlO8K Mica blanc (muscovite) KAl2[Si3AlO10(OH)2] Sr (fils) Rb père

3 Plagioclase (contient Sr)
Biotite (contient Rb) Observation du granite G1 en LPA (X40)

4 Granite 1 Y= 87Sr/86Sr X= 87Rb/86 Sr

5 Granite 2 avant correction
Y= 87Sr/86Sr X= 87Rb/86Sr

6 Granite 2 après correction (échantillon 5)

7 Comparaison des granites G1 et G2
Coefficient directeur de la droite Age absolue (à 18 Ma d ’années près) Roche issue de G1 0,0047 330 donc [ ] Roche issue de G2 0,0044 309 [ ] Roche G2 après correction 0,0045 316 [ ] Comparaison des granites G1 et G2

8 Conclusion On a pu dater les deux granites G1 et G2 car ils contiennent des éléments radioactifs qui se désintegrent au fil du temps et nous servent de chronomètre. 87Rb87Sr Après correction on constate que l’âge des deux granites se chevauchent si on tient compte de la méthode. La formation des deux granites bretons semblent donc provenir d’un même épisode magmatique ou ont une date de formation très proche. L’incertitude de la méthode ne nous permet pas de conclure de manière tranchée. On aurait aimé aller vérifier en Bretagne…