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DOUBLE LOCALISATION D'UN LMNH GASTRIQUE ET RECTAL CHEZ UN PATIENT SUIVI POUR CANCER DU CAVUM: A PROPOS D'UN CAS M.Dahiri, A.Ahallat, N.El Bahaoui, A.Bougtab,

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1 DOUBLE LOCALISATION D'UN LMNH GASTRIQUE ET RECTAL CHEZ UN PATIENT SUIVI POUR CANCER DU CAVUM: A PROPOS D'UN CAS M.Dahiri, A.Ahallat, N.El Bahaoui, A.Bougtab, S.Benamr, A.Souadka, R.Mohsine Service de chirurgie carcinologique digestive, institut national d’oncologie Rabat

2 Introduction Le lymphome B diffus à grandes cellules (LDGCB) est le plus fréquent des lymphomes non hodgkiniens. Il est aussi celui pour lequel les taux de guérison sont le plus élevé grâce à la polychimiothérapie associée à l’anticorps monoclonal anti-CD20 rituximab Objectif Rapporter un cas d’une double localisation d’un LMNH à grandes cellules B et relater sa prise en charge.

3 Observation Il s’agit d’un patient âgé de 50 ans, suivi pour cancer du cavum sous RCC, il a été admis pour syndrome occlusif sur invagination tumorale iléocaecale, le malade a bénéficié d’une iléostomie de décharge. Dans le cadre du bilan, une colonoscopie avec une endoscopie digestive haute ont objectivé une double localisation tumorale rectocolique et gastrique. La biopsie était en faveur d’un lymphome malin non hodghkinien à grande cellules B rectocolique et gastrique. Après discussion en RCP, le patient a été mis sous chimiothérapie.

4 Résultats  Le lymphome B diffus à grandes cellules (LBDGC) doit être traité avec une intention curative, même chez les patients âgés Le bilan initial est primordial et doit être complet car de lui dépend l’intensité du traitement de première ligne Le traitement de première ligne consiste en l’association de rituximab avec une polychimiothérapie comportant notamment cyclophosphamide, adriamycine et prednisone Lors du traitement de première ligne, la place de l’autogreffe reste controversée et est réservée aux patients jeunes porteurs d’une maladie de mauvais pronostic, considérés comme à très haut risque de rechute. L’adjonction de méthotrexate doit être prise en considération chez le malade présentant un risque élevé de rechute cérébrale La tomographie à émission de positrons (TEP) est un outil indispensable lors du bilan initial et de l’évaluation post-thérapeutique En cas de rechute, l’autogreffe de cellules souches constitue la seule chance de guérison des malades de moins de 60 ans. Pour ces malades, les résultats de l’allogreffe sont prometteurs

5 Conclusion Dans l’ensemble, le traitement d’un lymphome diffus à grandes cellules B est bien codifié : diagnostic, extension, traitement approprié selon les facteurs de risque, évaluation du traitement, si rémission : surveillance, si rechute : nouveau traitement après évaluation, consolidation avec autogreffe dans la population la plus jeune, surveillance.


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