Les ressources forestières du Québec

Présentation au sujet: "Les ressources forestières du Québec"— Transcription de la présentation:

1 Les ressources forestières du Québec

2 Introduction Les forêts du Québec sont très exploitées par les compagnies forestières qui en font des pâtes et papiers ou autres produits. Cependant avant le commencement de l’exploitement de cette forêt, des questions sont posés par les citoyens québécois. Tout d’abord, ils se demandent à qui appartiennent les forêts québécoises, ensuite ils sont obsédés par la description des trois grands types de forêt du Québec et ils parlent beaucoup des modes d’aménagement particulier à chacun des types de forêts. Voyons ce que le ministre des ressources naturelles du Québec, nous a dire sur ce sujet tabou.

3 À qui appartiennent les forêts québécoises
Au Québec, la forêt est partagée entre trois grands propriétaires. Le gouvernement du Canada possède moins de 1% de toute cette vaste étendue. Il n’a fait acquisition que de 0,4%, tandis que le gouvernement du Québec en possède 91.8%. C’est presque la totalité du territoire. Il reste ensuite, les milliers de propriétaires privés qui se partagent près de 10% du territoire forestiers québécois.

4 Les 3 grands types de forêt
La forêt boréale La forêt boréale est principalement composée d’épinettes noires, de pins gris et de sapins. Pour se renouveler, elle se sert des feux de forêts, du vent ou des insectes qui peuvent en quelques mois, provoquer le rajeunissement de centaines et même de milliers d’hectares de forêt. Le feu aide à la régénération des forêts boréales. La chaleur favorise l’ouverture des cônes de pins gris, cela permettant de libérer les semences et de reconstituer le peuplement. Toutefois, si le feu est trop intense, il brûle l’humus et il rend le sol improductif.

5 Les 3 grands types de forêt (suite)
La forêt de feuillue Elle est au sud de l’Ontario et elle est typiquement composées d’arbres dont les âges et la hauteur sont variés. On y retrouve principalement des érables, des bouleaux, des frênes et des hêtres. Elle est rarement perturbée par le feu ou les insectes. Quand c’est le cas, on peut temporairement y voir apparaître certaine essence de feuillues, telles le peuplier et le bouleau blanc.

6 Les 3 grands types de forêt (suite)
La forêt mélangée Elle se situe entre la forêt boréale et la forêt de feuillue. Elle est dominée par le sapin, mais on y retrouve aussi toutes les espèces résineuses et la plupart des feuillues caractéristiques des forêts québécoises. Cette forêt se renouvelle souvent par le feu et par des épidémies d’insectes.

7 Les méthodes d’aménagement de la forêt
Chaque forêt exploitée a son mode de coupe et de réaménagement. La forêt boréale par exemple est exploitée avec protection de la régénération et des sols (CPRS). C’est-à-dire qu’elle est exploitée avec de la machinerie à technologie avancée, qui réussi à coupé seulement des arbres matures sélectionnés à une distance considérable de la trace laissée par la machinerie. Cette technique est exigée par le ministère des ressources naturelles, car elle permet aux jeunes pousses non écrasées, par la machinerie, de continuer de croître.

8 Les méthodes d’aménagement de la forêt (suite)
Dans les forêts de feuillues le même type d’exploitement est utilisé, mais cette fois-ci cela est pour donner de l’espace aux arbres non coupés, pour une meilleure croissance. Dans les deux cas, le reboisement est exigé, mais dans 80% des cas aucun reboisement n’est nécessaire, car la flore se reconstitue d’elle-même. Cependant à chaque année, des ingénieurs forestiers repassent sur les lieux de la coupe pour regarder si le reboisement naturel se fait bien, sinon l’entreprise qui a effectuée la coupe devra reboiser la forêt elle-même.

9 Conclusion Pour conclure, chacun des 3 grands types de forêts, appartenant à trois grands propriétaires, à son propre système de réaménagement et ses propres caractéristiques physiques qui les rendent unique et indispensable à l’économie québécoise. Dans un avenir rapproché, nous espérerons encore bonne entente entre le gouvernement québécois, et ces principes face aux coupes forestières, et les compagnies qui en font l’exploitement.