LES SEPT SCEAUX Leçon 5 pour le 2 février 2019.

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1 LES SEPT SCEAUX Leçon 5 pour le 2 février 2019

2 « Tu es digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux, car tu as été immolé et tu as acheté pour Dieu, par ton sang, des gens de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation ; tu as fait d’eux, pour notre Dieu, un royaume et des prêtres et ils régneront sur la terre » (Apocalypse 5.9,10) Étude de la semaine : Apocalypse , Lévitique , Ézéchiel 4.16, Deutéronome 32.43, 2 Timothée « Apocalypse 6 poursuit la scène des chapitres 4-5, qui décrivent Christ comme étant digne d’ouvrir le livre scellé, car, par sa vie victorieuse et sa mort, il a reconquis ce qui avait été perdu par Adam. Il est désormais prêt, en ouvrant les sceaux sur le livre, et à mener le plan du salut à son accomplissement ultime. La Pentecôte a marqué le début de la propagation de l’Evangile, par lequel Christ étend son royaume. Ainsi, l’ouverture des sceaux renvoie à la prédication de l’Evangile, et aux conséquences de son rejet. L’ouverture du septième et dernier sceau nous amène à la conclusion de l’histoire de ce monde. » (Guide d’étude de la Bible, p. 31.)

3 Guerres et rumeurs, faim, plaies, prêcher l'évangile
Le message des sceaux dessine l'histoire de l'Église depuis ses débuts jusqu'à la seconde venue. Ces sceaux suivent le même schéma historique décrit par Jésus dans Matthieu 24. MATTHIEU 24 APOCALYPSE 6 Premiers signes (4-14) Guerres et rumeurs, faim, plaies, prêcher l'évangile Prédication de l’évangile, épée, faim, pestes Les quatre cavaliers (6.1-8)) Période de tribulation (21-22) Grande tribulation Les âmes sous l'autel se plaignent de leurs tribulations Cinquième sceau ( ) Signes dans le ciel (29) Au soleil, la lune, les étoiles et les pouvoirs des cieux Signes dans le soleil, la lune, les étoiles et le ciel Sixième sceau ( ) Le Fils de l'homme apparaît (30) Signes dans le ciel, il y a des lamentations sur la terre Les gens se cachent de la colère de l'Agneau

4 Il avait une balance dans sa main
Être vivant Cheval Cavalier Il a été donné Période 1-2 Blanc Il avait un arc Une couronne 31-100 Premier 3-4 Rouge Il a reçu le pouvoir d'écarter toute paix de la terre Une grande épée Deuxième 5-6 Noir Troisième Il avait une balance dans sa main Instructions sur le prix de la nourrituree 7-8 Verdâtre Son nom était la mort et Hadès, le séjour des morts, le suivit Pouvoir sur ¼ de la terre, pour tuer avec l'épée, avec la faim, avec la mort et avec les bêtes de la terre Quatrième

5 (Guide d’étude de la Bible, p. 31.)
« Les événements des sept sceaux doivent être compris dans le cadre des malédictions vétérotestamentaires liées à l’alliance, spécifiées par les termes d’épée, de famines, de pestes et de bêtes sauvages (Lévitiques ). Ézéchiel (14.21) les appelle les quatre jugements terribles. C’étaient des jugements disciplinaires à travers lesquels Dieu, dans l’espoir de susciter un réveil spirituel chez son peuple, le châtiait quand il devenait infidèle à l’alliance. De la même manière, les quatre cavaliers sont le moyen dont Dieu se sert pour garder son peuple éveillé alors qu’il attend le retour de Jésus. » (Guide d’étude de la Bible, p. 31.)

6 Ce cheval symbolise l'église nouvellement fondée.
LE PREMIER SCEAU « Alors je vis un cheval blanc. Celui qui le montait tenait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » (Apocalypse 6.2) Lorsque le premier sceau est brisé, Jean voit un cheval (blanc), dont le cavalier brandit une arme à longue portée (arc) et en sort victorieux (couronne). Ce cheval symbolise l'église nouvellement fondée. Grâce au pouvoir qui lui a été donné à la Pentecôte, « et il partit en vainqueur et pour vaincre. » (Apocalypse 6.2) Trente ans seulement après la mort de Jésus, Paul pouvait dire que l’Évangile « … a été proclamée à toute création sous le ciel. » (Colossiens 1:23).

7 « Alors je vis un cheval blanc
« Alors je vis un cheval blanc. Celui qui le montait tenait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » (Apocalypse 6.2) « La scène du premier sceau décrit la propagation de l’Évangile, qui débuta avec puissance à la Pentecôte, quand Christ commença à étendre son royaume. Il y avait, et il y a encore, de nombreux territoires à gagner, et de nombreuses personnes doivent encore devenir disciples de Jésus, jusqu’à ce que la conquête ultime se réalise avec la venue de Christ en gloire. Prophétiquement, la scène du premier sceau correspond au message à l’église d’Éphèse, qui décrit la période apostolique du premier siècle au cours de laquelle l’Évangile s’est répandu rapidement à travers le monde (Colossiens 1.23). » (Guide d’étude de la Bible, p. 32.)

8 LE DEUXIÈME SCEAU « Alors un autre cheval s'avança, il était de couleur rouge. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'écarter toute paix de la terre, pour que les hommes se massacrent les uns les autres. On lui remit une grande épée. » (Apocalypse 6.4) Comme Jésus l'avait prédit, la prédication de l'Évangile a provoqué une forte résistance de la part des forces du mal (Matthieu 10.34). À partir du deuxième siècle, les autorités romaines ont durement persécuté le christianisme et versé le sang de nombreux martyrs. Les persécutions ont été particulièrement intenses pendant le règne de Dioclétien, Maximien, Galérius et Constance. Cette période a pris fin lorsque Constantin a finalement mis fin aux persécutions.

9 « Alors un autre cheval s'avança, il était de couleur rouge
« Alors un autre cheval s'avança, il était de couleur rouge. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'écarter toute paix de la terre, pour que les hommes se massacrent les uns les autres. On lui remit une grande épée. » (Apocalypse 6.4) « Le rouge est la couleur du sang. Le cavalier a une grande épée et il lui est donné d’ôter la paix de la terre, à la suite de quoi les gens s’entre-tuent. « Vous allez entendre parler de guerres et de rumeurs de guerres : gardez-vous de vous alarmer ; car cela doit arriver, mais ce n'est pas encore la fin. » (Matthieu 24.6) Le deuxième sceau décrit les conséquences du rejet de l’Évangile, qui a commencé au deuxième siècle. Alors que Christ mène une guerre spirituelle à travers la prédication de l’Évangile, les forces du mal opposent une grande résistance. Le cavalier ne tue pas : il ôte la paix de la terre. Par conséquent, la persécution s’ensuit inévitablement. (Voir Matthieu 10.34) » « Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. » (Matthieu Bible français courant) (Guide d’étude de la Bible, p. 33.)

10 LE TROISIÈME SCEAU « Quand il ouvrit le troisième sceau, j'entendis le troisième être vivant dire : Viens ! Alors je vis un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance à la main. Et j'entendis comme une voix au milieu des quatre êtres vivants ; elle disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d'orge pour un denier ; quant à l'huile et au vin, ne leur fais pas de mal ! » (Apocalypse 6.5-6) Tout comme le noir est le contraire du blanc, la pureté de l’Évangile du cheval blanc s'est corrompue au cours des années Acheter un kilo de blé pour le salaire d'une journée de travail a conduit les travailleurs à la faim et à la pauvreté. La Bible a été abandonnée et le peuple est resté affamé de la Parole de Dieu (manque de blé et d'orge). Mais Dieu a continué à offrir le salut par le Saint-Esprit (huile) et le sang de Jésus (vin).

11 « La scène du troisième sceau renvoie aux conséquences supplémentaires du rejet de l’Évangile, au début du quatrième siècle, alors que l’église gagnait en influence politique. Si le cheval blanc représente la prédication de l’Évangile, alors le cheval noir dénote l’absence de l’Évangile et le fait de se reposer sur des traditions humaines. Le grain dans la Bible symbolise la Parole de Dieu « la semence, c'est la parole de Dieu.» (Luc 8.11). Le rejet de l’Évangile a pour conséquence inévitable une famine de la Parole de Dieu, similaire à celle prophétisée par Amos (Amos ). (Guide d’étude de la Bible, p. 33.) « Les jours viennent — déclaration du Seigneur DIEU — où j'enverrai une famine dans le pays ; non pas une faim de pain ni une soif d'eau, mais la faim et la soif d'entendre les paroles du SEIGNEUR. Ils erreront alors d'une mer à l'autre, du nord à l'est ; ils rechercheront la parole du SEIGNEUR en titubant, et ils ne la trouveront pas. » (Amos ).

12 LE QUATRIÈME SCEAU « Alors je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom la Mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour tuer par l'épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre. » (Apocalypse 6.8) La couleur de ce cheval est la couleur d'un cadavre en décomposition. Il symbolise la mort spirituelle comme conséquence logique de l'abandon de la Bible et des principes de l'Évangile. Cette période est parallèle à celle représentée par l'église de Thyatire, une église spirituellement morte. Aux punitions des autres chevaux (l'épée et la faim) de nouvelles punitions sont ajoutées (tuer par la famine, la peste et les bêtes sauvages). Peut-être s'agit-il d'une tentative divine pour que l'église réagisse et abandonne son apostasie (Lévitique 26: 21-41).

13 (Guide d’étude de la Bible, p. 34.)
« La couleur du cheval dans le quatrième sceau est exprimée ici par le terme grec chloros, qui qualifie la couleur verdâtre d’un corps en décomposition. « Alors je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom la Mort, et le séjour des morts l'accompagnait.» La bonne nouvelle, c’est que la puissance de la mort et du séjour des morts est très limitée. (Apocalypse 6.8) Apocalypse […] N'aie pas peur ! C'est moi qui suis le premier et le dernier, le vivant. Je suis mort, mais je suis vivant à tout jamais, et j'ai les clefs de la mort et du séjour des morts. Ils ne reçoivent autorité que sur une partie (un quart) de la terre. Jésus nous assure qu’il a les clés de la mort et du séjour des morts (voir Apocalypse 1.18). » (Guide d’étude de la Bible, p. 34.)

14 « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et du témoignage qu'ils avaient porté.” (Apocalipsis 6.9) LE CINQUIÈME SCEAU Dans le temple, le sang des victimes était versé au pied de l'autel des holocaustes (Lévitique 4.25). Jean y voit symboliquement les personnes (âmes, voir 1 Rois ) qui sont mortes par les mains de l'église romaine à cause de leur foi. Ces martyrs sont considérés dignes (voir Apocalypse 3.4) et ils sont assurés que Dieu ne les oublie pas. Mais ils doivent attendre un moment jusqu'à ce que chaque cas soit jugé et que Christ vienne « récompenser chacun selon son œuvre » (Apocalypse 22.12). À ce moment-là, ils seront ressuscités et rejoindront « leurs compagnons de service et leurs frères ».

15 « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et du témoignage qu'ils avaient porté.” (Apocalipsis 6.9) Le passage sur les « âmes sous l’autel » ne traite pas de l’état des morts. Le cinquième sceau (Apo. 6:9-11) a souvent été utilisé à tort pour faire valoir un état de conscience après la mort. 1 Corinthiens Certains lecteurs supposent que les « âmes sous l’autel » représentent un état de conscience après la mort. Une interprétation littérale de ce passage serait contraire à la résurrection corporelle (1 Corinthiens , 53), à l’enseignement de Genèse 2.7, qui voit dans l’âme la personne tout entière, et aussi Ecclésiaste 9.5, qui indique qu’il n’y a aucune conscience après la mort. » 42 Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Semé périssable, on se réveille impérissable. 43 Semé dans le déshonneur, on se réveille dans la gloire. Semé dans la faiblesse, on se réveille dans la puissance. 44 Semé corps naturel, on se réveille corps spirituel. S'il y a un corps naturel, il y a aussi un corps spirituel. 53 Il faut en effet que le périssable revête l'impérissable, et que le mortel revête l'immortalité. Genèse 2.7 Ecclésiaste 9,5 Le SEIGNEUR Dieu façonna l'homme de la poussière de la terre ; il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et l'homme devint un être vivant. Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien ; pour eux il n'y a plus de salaire, puisque leur souvenir est oublié.

16 LE SIXIÈME SCEAU Apocalypse 6.12-14 Joël 2. 1, 10-11 Marc 13. 24-25
« Voici ce que je vis quand il ouvrit le sixième sceau : il y eut un grand tremblement de terre ; le soleil devint noir comme un sac de crin ; la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un grand vent laisse tomber ses figues. Le ciel se retira tel un livre qu'on roule, et toutes les montagnes et les îles furent enlevées de leur place.. » Joël 2. 1, 10-11 Marc 1 Sonnez de la trompe en Sion !  Lancez des acclamations dans ma montagne sacrée !  Que tous les habitants du pays tremblent !  Car le jour du SEIGNEUR vient, il est proche. 10-11 Devant lui, la terre s'agite, le ciel tremble, le soleil et la lune s'assombrissent, les étoiles perdent leur clarté. […] car le jour du SEIGNEUR est grand, il est très redoutable : qui pourra le supporter ? 24 Mais en ces jours-là, après cette détresse-là, le soleil s'obscurcira, la lune ne donnera plus sa clarté, 25 les étoiles tomberont du ciel, et les puissances qui sont dans les cieux seront ébranlées. 26 Alors on verra le Fils de l'homme venant sur les nuées avec beaucoup de puissance, avec gloire.

17 LE SIXIÈME SCEAU La terre tremble Le soleil s’éteint La lune rougit
« Voici ce que je vis quand il ouvrit le sixième sceau : (Apocalypse 6.12) On a, parfois, voulu voir, dans des phénomènes naturels violents au cours des siècles derniers, l’accomplissement échelonné dans le temps de ces signes décrits par Jean. Or : «Dans une vision fantastique, Jean voit se succéder l’ensemble des événements cosmiques touchant à la fin du temps. Pour marquer leur plénitude, ils portent sur sept éléments de l’univers des hommes : La terre tremble Le soleil s’éteint La lune rougit Les étoiles tombent Le ciel se retire, les montagnes se déplacent ainsi que les îles. Il n’y a plus aucun point fixe.  (Richard Lehmann, L’Apocalypse de Jean, Faculté adventiste de Théologie, Collonges-sous-Salève, décembre 2018, p. 173.)

18 La réponse à cette question se trouve au chapitre 7.
« Voici ce que je vis quand il ouvrit le sixième sceau. » (Apocalypse 6.12) « Aucun des points de repère permettant d’ordonner leur espace et leur temps ne subsiste. C’est le chaos absolu, l’insécurité totale, un retour à l’état du monde avant la création qui attend un acte de renouveau de la part de Dieu. La vision nous propulse comme dans un raccourci vers la fin de l’histoire. Le prophète Joël avait déjà annonce le jour de l’Éternel dans des thermes semblables (Joël 2. 1, 10-11). Et Jésus, dans son discours eschatologique, prophétise les mêmes phénomènes ( Marc ) »  Richard Lehmann, L’Apocalypse de Jean, Faculté adventiste de Théologie, Collonges-sous-Salève, décembre 2018, p. 173. « La vision n’annonce pas des événements successifs, mais un ensemble d’événements annonçant la venue de Dieu. » (Ibid., p. 173.) « La scène s’achève sur une question rhétorique posée par les méchants terrorisés : le grand jour de leur colère est venu, et qui pourrait tenir debout ? (Ap 6.17). » (Guide d’étude de la Bible, p. 36.) La réponse à cette question se trouve au chapitre 7.

19 Longtemps après, lorsque Jean fut plus étroitement lié au Christ par la communion dans ses souffrances, le Seigneur lui révéla la condition qu’il fallait remplir pour faire partie de son royaume. « Celui qui vaincra, dit-il, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. » (Apocalypse 3.21.) Le croyant qui vivra le plus près du Christ, c’est celui qui aura manifesté ouvertement son esprit de sacrifice dans l’amour, cet amour qui « ne se vante point, ne s’enfle point d’orgueil, [...] ne cherche point son intérêt, ne s’irrite point, [...] ne soupçonne point le mal ». (1 Corinthiens 13.4,5.) Cet amour pousse le disciple, comme il poussa le Maître lui-même, à tout donner, à vivre, à peiner et à se sacrifier même jusqu’à la mort pour le salut de l’humanité. (E. G. White, Conquérants pacifiques, p. 484.)

20 (E. G. White, Levez vos yeux en haut, p. 97.)
Malachie 3.2 « Quelqu'un pourra-t-il survivre lorsqu'il arrivera ? Quelqu'un restera-t-il debout lorsqu'il apparaîtra ? Il sera comme le feu qui affine le métal, comme le savon du blanchisseur. » JE PRIE « Ceux qui professent être les fils et les filles de Dieu devraient le représenter par leur caractère. ... Nous avons maintenant l’occasion d’édifier des caractères qui nous permettront d’entrer dans le royaume des cieux. […] Dieu nous a donné une loi, afin que nous puissions reconnaître les traits de caractère intolérables au ciel et nous en débarrasser. » (E. G. White, Levez vos yeux en haut, p. 97.)