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Publié parDiane Lebrun Modifié depuis plus de 5 années
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Les épithéliums Epithélium (surface apicale) Lame basale
Noyaux Tissu sous-jacent Epithélium pseudostratifie cylindrique (Trachée) Epithélium simple squameux (pavimenteux) POUMONS Epithélium simple cubique (reins) Epithélium stratifie pavimenteux (œsophage) Epithélium simple cylindrique (Intestin)
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La Thyroïde
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Vue générale de la thyroïde
La thyroïde est une glande endocrine formée d'un ensemble d'unités sécrétantes de forme vésiculeuse. Ces vésicules, fléchées en 1 sont nombreuses et de taille variable. Elles sont séparées les unes des autres par du tissu conjonctif, fléché en 2, riche en vaisseaux sanguins. Une glande endocrine ne possède pas de canaux excréteurs. L'évacuation de l'hormone thyroïdienne se fait par voie sanguine.
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Vésicules thyroïdiennes
Chaque vésicule thyroïdienne est entourée, en 1, par un épithélium simple qui est un épithélium glandulaire. L'hormone qu'il sécrète s'accumule, en 2, à l'intérieur de la vésicule. C'est ce que l'on appelle la colloïde. De couleur rosée, elle a un aspect très homogène. Nous allons détailler l'épithélium glandulaire qui change de forme selon son état d'activité.
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Vésicule thyroïdienne
L'épithélium fléché en 1 est de forme cubique. Chaque cellule possède un noyau bien arrondi, entouré de très peu de cytoplasme. Les cellules cubiques sont celles qui forment l'hormone thyroïdienne. Elles captent donc dans le sang les différents acides aminés nécessaires, synthétisent l'hormone et la libèrent dans la vésicule où elle est stockée sous forme de colloïde. On observe bien, en 2, les cadres obturants
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L’intestin en coupe transversale
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Intestin grêle (Paroi de l'iléon) en coupe transversale
La paroi de l'iléon présente un relief caractéristique qui résulte d'abord, en 1, de soulèvements importants du conjonctif de la sous-muqueuse. Ceci forme les replis intestinaux ou valvules conniventes qui sont hérissées d'un grand nombre de digitations plus grêles, fléchées en 2. Ces petits soulèvements de la muqueuse portent le nom de villosités intestinales.
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Muqueuse de l'iléon Voici un détail de la muqueuse avec plusieurs villosités intestinales, en 1. Ces villosités de hauteur variable sont des soulèvements digitiformes du conjonctif de la muqueuse, recouvert par l'épithélium de surface. A leur base, en 2 existent des enfoncements dits "en doigt de gant" : ce sont les glandes de Lieberkühn, tubuleuses rectilignes. En 3, est fléchée la muscularis mucosae.
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Villosité intestinale
Une villosité intestinale est constituée en 1 d'un axe conjonctif ou chorion, très cellulaire recouvert d'un épithélium de revêtement où l'on reconnaît en 2, les entérocytes, avec une différenciation apicale en plateau strié et en 3, les cellules caliciformes qui synthétisent du mucus. En 4, est fléchée la membrane basale.
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Epithélium pseudostratifié respiratoire
Un épithélium simple particulier, de type pseudostratifié, se rencontre aussi dans la trachée. Nous avons l'impression de voir plusieurs couches de cellules. Mais la superposition des noyaux n'est pas régulière. En réalité, toutes les cellules touchent la membrane basale.
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Coupe de la peau
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Peau du doigt face palmaire
La peau face palmaire est recouverte en surface par un épiderme, fléché en 1, qui est de type kératinisé. Dans le derme, on distingue: en 2, le derme moyen, riche en fibres conjonctives et en 3, l'hypoderme qui apparait beaucoup plus clair, car il est riche en lobules graisseux. A la limite derme-hypoderme, se localisent, en 4, de nombreux amas rougeâtres: ce sont les glandes sudoripares que nous allons détailler.
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Couches cellulaires de l’ épiderme
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Epithélium épidermoïde
En 1, les cellules de l'assise basale sont cylindriques simples. En 2, elles deviennent polyédriques puis s'aplatissent en 3 pour devenir pavimenteuses dans les couches superficielles. Ces dernières cellules gardent leur noyau. Progressivement, les cellules se chargent de glycogène qui apparait clair sur une coloration habituelle. En 4, sont fléchées des enclaves glycogéniques.
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Glande sudoripare La partie sudoripare, vu sa forme pelotonnée, présente diverses incidences: en l, longitudinale; en 2, transversale; mais, le plus souvent même, oblique ou tangentielle comme en 3. Les incidences 1 et 2 montrent une lumière bordée par un épithélium cylindrique simple. Le canal sudorifère, noté en 4, est contourné dans sa portion initiale. Il se dirigera ensuite de façon plus rectiligne vers la surface de la peau.
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