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Publié parmohamed boukryen Modifié depuis plus de 5 années
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1- Adaptation Dispositifs d’adaptation Un stub est un tronçon de ligne de longueur s que l’on branche en dérivation sur la ligne principale à une distance d de la charge ZgZg eiei Zr Zc 1. Adaptation par stub s d
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2- Adaptation Dispositifs d’adaptation Objectif du stub : placer en un point de la ligne d’impédance réelle adaptée une impédance purement imaginaire compensant celle de la charge stub en série stub en parallèle stub en court-circuit stub en circuit ouvert
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3- Adaptation Dispositifs d’adaptation 120 MHz Exemple d’adaptation par stub en série 130 MHz 140 MHz 150 MHz 160 MHz 170 MHz On veut alimenter par une ligne 75 ohms un amplificateur. La mesure de l’impédance d’entrée de cet amplificateur, une fois normalisée à 75 ohms montre les variations en fréquence suivante. Or on veut travailler à 120 MHz et non 150 MHz.
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4- Adaptation Dispositifs d’adaptation Emplacement du stub On sait que quand on connecte une ligne 75 ohms à cet amplificateur, les lieux de l’impédance le long de cette ligne sont donnés par le cercle passant par le point d’impédance de la charge. 120 MHz
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5- Adaptation Dispositifs d’adaptation Pour trouver un point où la partie réelle de l’impédance est égale à celle de la ligne, on cherche les intersections avec le cercle r=1 La distance parcourue vers le générateur à partir de la charge jusqu’à la première intersection est l’emplacement idéal du stub. 120 MHz
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6- Adaptation Dispositifs d’adaptation Au point trouvé, on sait que l’impédance normalisée de la ligne est 1+ju 120 MHz Taille du stub donne la valeur de u
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7- Adaptation Dispositifs d’adaptation Un stub étant d’impédance purement réactive ses lieux décrivent le cercle extérieur de l’abaque. Il faut alors trouver la longueur nécessaire de stub pour compenser la partie imaginaire de la ligne. 120 MHz CCCO -u
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8- Adaptation Dispositifs d’adaptation On peut alors utiliser soit un stub en court-circuit (longueur donnée par la courbe verte) ou en circuit ouvert (courbe rouge). On a donc maintenant une impédance d’entrée égale à la somme des deux impédances soit z=1 (impédance de la ligne) 120 MHz -u
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9- Adaptation Dispositifs d’adaptation ZgZg eiei Zr Zc s1s1 d1d1 d s2s2 d2d2 Zr, Zc, d1 et d2 connus Adaptation double stubs en parallèle court-circuités
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10- Adaptation Dispositifs d’adaptation Comme on est en stub parallèle, il faut raisonner en admittance. On place alors l’impédance réduite de la charge dont on déduit directement l’admittance. z charge y charge
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11- Adaptation Dispositifs d’adaptation De la charge on se déplace vers le générateur de d1. On trouve alors le cercle des admittances cste+jb1 z charge y charge d1/ y3y3
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12- Adaptation Dispositifs d’adaptation On sait aussi qu’on veut arriver à une admittance réelle de 1 au final. On prend le cercle 1+jb que l’on fait tourner de d2 vers la charge. d2/
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13- Adaptation Dispositifs d’adaptation On trouve deux solutions pour l’admittance du premier stub : y(s1) = y4 – y3 y’(s1) = y4b – y3 admittances purement imaginaires que l’on reporte sur le pourtour de l’abaque pour trouver la longueur du premier stub. y3y3 y4y4 y4b B1 B2 s1/ CC
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14- Adaptation Dispositifs d’adaptation Les admittances y5 et y5b sont trouvées par rotation de d2 des précédentes. On compense ces parties imaginaires par les points C1 ou C2 ce qui donne la longueur de s2 y4y4 y4b C1 CC y5b y5y5 d2/ C2 s2/
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e ZRZR ZGZG YBYB ZAZA Z A : impédance imaginaire pure pour compenser la partie imaginaire de Z G. Z A = -X G. Y B : admittance imaginaire pure pour ramener à ses bornes une impédance réelle égale à R G. l 15- Adaptation Dispositifs d’adaptation II.11.e. Adaptation par réseau d’impédances
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