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Les échelles de gravité : une piste ?

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1 Les échelles de gravité : une piste ?
XEMES RENCONTRES DE L’INFORMATION MÉDICALE EN PSYCHIATRIE 16 SEPTEMBRE 2010 Les échelles de gravité : une piste ? Docteur Marylène MORDASINI, responsable du Pôle des Vosges Centrales CH RAVENEL

2 LA PROBLEMATIQUE Les contraintes actuelles, la loi HPST, la nécessaire rationalisation des soins souhaitée au fil des réorganisations, décrets, circulaires, impose une durée de l’hospitalisation temps plein en psychiatrie la plus courte possible   Bonne gestion des structures alternatives à l’hospitalisation Les psychiatres doivent adhérer à la logique du secteur, du parcours et de la continuité Dans certains cas, cependant, la modification des conditions d’hospitalisation contemporaine (hétérogénéité des populations, mobilité, diversité des soignants, allées et venues des patients, etc…) ne permet plus de créer les repères spatio-temporaux, mais aussi d’établir les relations qui pourraient permettre à un patient de se restructurer rapidement. Poursuite de l’hospitalisation dans le contexte d’une continuité et d’une stabilité des soins dans un même lieu qui va constituer le contenant spatial, affectif et relationnel qui conditionne l’évolution de la pathologie.

3 Les psychoses schizophréniques décompensées. Les troubles bipolaires
LES PATHOLOGIES CONCERNEES Les psychoses schizophréniques décompensées. Les troubles bipolaires Les mélancolies graves, délirantes ou non Les états limites Certaines pathologies du sujet âgé

4 COMMENT EVALUER LA GRAVITE DES TROUBLES REQUERANT UNE HOSPITALISATION DE MOYENNE DUREE ?
Les outils habituels dont nous disposons pour évaluer la symptomatologie et les caractéristiques de chaque patient ne nous permettent pas d’envisager la durée d’hospitalisation nécessaire à chaque situation. Les échelles d’évaluation bien connues des psychiatres et balayant non seulement l’ensemble de la pathologie psychiatrique mais aussi l’adaptation des patients au monde environnant pourraient constituer une piste à cet effet : elles tentent de mesurer également leurs capacités d’insertion ou de réinsertion sociale et éventuellement professionnelle, leurs relations avec les autres, la qualité des liens sociaux.

5 EVALUATION DES PATHOLOGIES
QUELQUES EXEMPLES D’ECHELLES D’EVALUATION EVALUATION DES PATHOLOGIES ECHELLE DE DEPRESSION MADRS ECHELLE DE DEPRESSION DE HAMILTON HAMD-21 PANSS (Positive and negative syndrome scale) ECHELLE DE MANIE DE P. BECH et O. RAFAELSEN -MAS

6 RETENTISSEMENT SUR LA VIE QUOTIDIENNE :
QUELQUES EXEMPLES L’INVENTAIRE D’ÉVÈNEMENTS DE VIE DE PAYKEL LES ACTIVITES INSTRUMENTALES DE LA VIE QUOTIDIENNE / IADL-E

7 CONCLUSION Sans avoir la prétention d’imaginer que l’utilisation de ces échelles résolve la question de l’évaluation de la gravité des troubles présentés par des patients atteints de pathologies sévères et/ou chroniques, celles-ci peuvent néanmoins constituer un outil qui complète l’approche clinique et oriente la marche à suivre pour le projet thérapeutique. Ceci se rapproche des indices de gravité tels que les défini le docteur WAGENAAR qui analyse les capacités du patient en terme de relations sociales, d’insertion, de réalisations d’activité et qui est également animé par le souci de la défense de nos pratiques face à une possible objectivation du soin.


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