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DEFINITIONS .
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BACTERIEMIE SRIS ou SIRS SEPSIS SEPSIS SEVERE CHOC SEPTIQUE
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SEPSIS ASSOCIE A UNE DYSFONCTION D’ORGANE
SEPSIS SEVERE SEPSIS ASSOCIE A UNE DYSFONCTION D’ORGANE
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SIGNES CLINIQUES
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TERRAINS A RISQUE Immunodéprimés, éthyliques, diabétiques
Manœuvres et traitements invasifs: sondes, KT, ponctions… Hospitalisations longues= infections nosocomiales
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ETAT BACTERIEMIQUE = Hyperthermie ou hypothermie<36° frissons
=Moment propice aux hémocultures t°>38.5° ou frissons Peut être rapidement et spontanément résolutif ou évoluer vers l’état de choc septique
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ETAT DE CHOC SEPTIQUE Chute tensionelle (connaître les chiffres antérieurs) Tachycardie (compensation initiale de l’hypovolémie)> 90mn Polypnée (FR>20mn) Désaturation (SaO2<95%) si hypoxie non compensée par la polypnée
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Marbrures= hypoperfusion cutannée= mécanisme d’épargne circulatoire
; Marbrures= hypoperfusion cutannée= mécanisme d’épargne circulatoire Troubles de la conscience= hypoperfusion cérébrale Parfois syndrome hémorragique (purpura, CIVD) Aucun symptôme spécifique, pas plus que pour la
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PARACLINIQUE HYPERLEUCOCYTOSE OU LEUCOPENIE (BGN)
Acidose métabolique (ph< 7.38, HCO3-< 22mmol/l, BE -,lactates > 2mmol/l) PCR>10mg/l, PCT<0.5µg/l Paramètres témoignant d’une souffrance viscérale secondaire(transas,urée,créat…)
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BACTERIOLOGIE Hémocultures aerobies et anaerobies: précoces 2 dans la première heure puis en fonction de la clinique Recherche du foyer infectieux primitif: CBU Broncho-aspirations,LBA par fibroscopie, CBC inutiles (germes bucaux) Prélèvements cutanés: plaies chirurgicales, point d’entrée des KT, escarres? Prélèvements per opératoires Mise en culture des KT,(sonde urinaire non) Ponction articulaires, d’abcès, pleurales…
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TRAITEMENT
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MODALITES DU REMPLISSAGE
A la phase initiale :systématique, l’objectif recommandé est une PAM>65mmHg. Si le pronostic vital est engagé(PAD<40), recours aux amines immédiats Si le remplissage doit être poursuivi, il doit être monitoré :PVC, PICCO…( risque d’OAP)
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PLACE DE LA TRANSFUSION
Si anémie: un taux de 8 à 9d/dl doit être visé Si déficit en facteurs de la coagulation le plasma peut être employé
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REACTIONS INFLAMATOIRES COMPLEXES
RESULTATS: VASODILATATION AUGMENTATION DE LA PERMEABILITE CAPILLAIRE ACTIVATION DE LA COOAGULATION LIBERATION DE SUBSTANCES NOCICEPTIVES
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OUTILS D’EVALUATION HEMODYNAMIQUE EN REANIMATION
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CATHETER ARTERIEL PERIPHERIQUE
Donne la TA en continu(PAS et PAD) Permet les prélèvements sanguins
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LA PA DIASTOLIQUE Si PA diastolique< 40mmHg=vasoplégie= recours aux amines
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PRESSION ARTERIELLE DIFFERENCIELLE
= PRESSION PULSEE PAS-PAD si pincée remplissage ou inotropes positifs en cas de défaillance cardiaque
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PRESSION ARTERIELLE MOYENNE
PAM = reflet de la perfusion des organes Constitue une cible à atteindre à elle seule, 65mmHg environ plus chez l’hypertendu PAM= 1/3PAS + 2/3 PAD
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VARIATION DE LA PRESSION PULSEE
=DELTA PP Variation de la pression pulsée en fonction des cycles respiratoires chez le patient intubé, ventilé, sédaté
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PICCO NECESSITE: KT artériel spécifique dans l’artère fémorale VVC
Entrée du poids, taille, PVC du patient dans le moniteur
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PRINCIPE Etalonnage par thermodilution
Mesure en continue de la pression dans l’artère fémorale Analyse du contour de l’onde de pouls
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DONNEES FOURNIES Débit cardiaque en continu= index cardiaque= IC
Valeur des résistances artérielles systémiques= tonus vasculaire RVS Volume télédiastolique global= VTDG=reflet du remplissage Eau pulmonaire extravasculaire=EPEV=reflet d’un oedème pulmonaire … Importance des valeurs indexées au poids et à la taile
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MOYENS SIMPLES Epreuve de remplissage vasculaire
Epreuve de levée des jambes Permettent de savoir si le patient est hypovolémique
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DIAPORAMA DISPONIBLE SUR
« reamartigues » Cours infirmiers
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