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Regional Food Security and Nutrition Working Group

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Présentation au sujet: "Regional Food Security and Nutrition Working Group"— Transcription de la présentation:

1 Regional Food Security and Nutrition Working Group
Food Security Update FAO - WFP 25 Juillet 2019

2 Regional Food Security & Nutrition
Points saillants  Prévisions climatiques et état des précipitations Perspectives de la campagne 2019/2020 au Sahel et en AFO Tendances sur les Marchés Internationaux Tendances sur les Marchés de l’Afrique de l’Ouest Impact sur la sécurité alimentaire Regional Food Security & Nutrition Working Group

3 Regional Food Security & Nutrition
Situation de la saison pluvieuse 2019 Anomalies des précipitation Jusqu’au 10 Juillet, 2019 Anomalies du NDVI du 18 juin – 04 Juillet, 2019 Regional Food Security & Nutrition Working Group La saison est marquée par des déficits accumulés depuis Avril-Mai et des retards du démarrage des pluies à l’Ouest de la région. Des conditions plus sèches que la moyenne se poursuivent à l’Ouest de la Région sur le Sénégal, la Gambie, la Mauritanie et la Guinée Bissau et également sur l’Ouest de la Guinée, le Centre du Mali, le nord de la Sierra Leone, le Libéria et le centre de la Côte d’Ivoire. Les déficits pluviométriques dans la Région ont un impact négatif sur la croissance et la dynamique de la végétation. Des retards importants dans le développement de la couverture végétale sont observés dans une grande partie de la région, en particulier dans le SE du Sénégal, en Gambie, en Guinée Bissau et dans l’Ouest du Mali.

4 Regional Food Security & Nutrition
Situation de la saison pluvieuse 2019 Prévisions saisonnières PRESASS Prévisions saisonnières ECMWF, Juillet 2019 Prévisions à court terme du 20 au 31 Juillet Dérivés des prévisions NCEP et ajustés aux données historiques de CHIRPS Regional Food Security & Nutrition Working Group Les prévisions les plus récentes du ECMWF (juillet) indiquent des conditions plus sèches que la moyenne dans la région Sénégal-Gambie-Mauritanie pouvant s'étendre vers l'est dans d'autres zones sahéliennes. Les prévisions à court terme jusqu'à la fin du mois de juillet indiquent une sécheresse persistante dans les régions les plus occidentales, sur le Sénégal, la Gambie, la Mauritanie et la Guinée Bissau. Les prévisions saisonnières pour la mi-saison 2019, laissent présager des conditions plus sèches que la moyenne dans la région Sénégal-Gambie-Mauritanie, tandis que le début de la saison a été retardé et plus sec que d'habitude. . 1- Il faut rappeler que selon les prévisions du PRESASS… 2- La misse à jour de ces prévisions au mois de juillet par l’ECMWF indique que la zone déficitaire 3- Les prévisions à court termes confirme cette tendance …

5 Regional Food Security & Nutrition
Perspectives de la campagne 2019/2020 au Sahel et en AFO Un démarrage précoce des semis et des pluies diluviennes ayant occasionné des inondations causant d’importants dégâts sur des biens ainsi que des pertes en vies humaines ont été enregistrés notamment au Mali (15) et au Niger (45) ont marqué le début de la campagne agropastorale En perspectives, la saison pluvieuse pourrait connaître des séquences sèches relativement longues dans la majeure partie de la bande exceptée dans la façade ouest de l’atlantique allant de la Mauritanie au Libéria. Par ailleurs, les déplacements de populations enregistrés en raison de la dégradation de la situation sécuritaire pourraient occasionner une baisse des emblavures dans les zones de conflits. La situation acridienne est calme pour l’instant mais la présence des Chenilles Légionnaires d’Automne(CLA) demeure une menace réelle pour la sécurité alimentaire Sur le plan pastoral, les restrictions de mobilité occasionnent de fortes concentrations d’animaux anormalement élevées. En ce début de cette campagne, le développement du tapis herbacé est encore faible, mais pourrait s’améliorer au fur et à mesure de l’installation de la saison pluvieuse. Regional Food Security & Nutrition Working Group Sur le plan pastoral, les restrictions de mobilité occasionnent de fortes concentrations d’animaux anormalement élevées. Ce qui accentue la pression sur les ressources partagées et leur dégradation. En ce début de cette campagne, le développement du tapis herbacé est encore faible, mais pourrait s’améliorer au fur et à mesure de l’installation de la saison pluvieuse.

6 Tendances sur les Marchés Internationaux
L’Indice FAO des prix des produits alimentaires reste au même niveau que l’année dernière, mais les sous-indices évoluent Regional Food Security & Nutrition Working Group L'indice FAO des prix des produits alimentaires mesure la variation mensuelle des cours internationaux d'un panier de denrées alimentaires. Il est établi à partir de la moyenne des indices de prix de cinq catégories de produits, pondérés en fonction de la part moyenne à l'exportation de chacune des catégories pour la période Pour plus d'informations (dans toutes les langues), veuillez consulter le dossier spécial publié dans l’édition de novembre 2013 des Perspectives de l’alimentation. Une version plus développée de l'article, contenant plus de détails techniques est disponible uniquement en anglais. Dates de sortie mensuelle pour 2019 : 10 janvier, 7 février, 7 mars, 4 avril, 9 mai, 6 juin, 4 juillet, 1 août, 5 septembre, 3 octobre, 7 novembre, 5 décembre. L’Indice FAO des prix des produits alimentaires reste au même niveau que l’année dernière, mais les sous-indices évoluent. » L’Indice FAO des prix des aliments* s’est établi en moyenne à 173 points en juin 2019, niveau à peine en retrait (−0,3 pour cent) par rapport à mai et très proche de celui de juin La baisse des prix des produits laitiers et des huiles végétales compense amplement la hausse des prix des céréales, du sucre et de la viande, ce qui met un terme à près de cinq mois de hausse ininterrompue de la valeur globale de l’Indice. » L’Indice FAO des prix des céréales a grimpé à 173,2 points en moyenne en juin, soit 6,7 pour cent (près de 11 points) de plus qu’en mai et 3,8 pour cent de progression annuelle. La dernière hausse de la valeur de l’Indice est imputable à une forte poussée des cours du maïs à l’exportation, pour le troisième mois consécutif, qui s’explique principalement par le resserrement prévu des disponibilités exportables aux États-Unis, premier producteur et exportateur mondial de maïs. Les prix internationaux du blé ont rebondi après deux mois consécutifs de repli, en partie en raison d’incertitudes liées à la production; les retombées de la hausse des cours du maïs ont également contribué à cette progression. En revanche, les prix internationaux du riz ont continué à stagner jusqu’à juin, la faible demande de riz Indica et Japonica ayant contrebalancé les effets haussiers imputables à une nouvelle appréciation du baht thaïlandais et à une forte demande de riz Basmati. » L’Indice FAO des prix des huiles végétales était en moyenne de 125,5 points en juin, soit une baisse de 2,0 points (1,6 pour cent) en glissement mensuel, et il a ainsi atteint son niveau le plus bas depuis décembre 2018. Ce repli est principalement dû à l’affaiblissement des cours des huiles de palme et de soja; les cours de l’huile de tournesol et de l’huile de colza ont quant à eux très légèrement progressé. Les cours internationaux de l’huile de palme ont continué à chuter, à la fois sous l’effet du ralentissement de la demande mondiale à l’importation et de la hausse saisonnière de la production prévue dans les principaux pays exportateurs. Les prix de l’huile de soja ont accusé un léger retrait en raison des mornes perspectives d’exportation, dans un contexte de disponibilités mondiales abondantes. En revanche, les cours de l’huile de tournesol et de l’huile de colza ont légèrement progressé, respectivement en raison de la forte demande continue à l’importation et de nouvelles craintes quant aux conditions agricoles défavorables dans les principaux pays producteurs. » L’Indice FAO des prix des produits laitiers s’est établi en moyenne à 199,2 points en juin, soit une chute de 26,9 points (11,9 pour cent) par rapport à mai; il accuse ainsi son premier recul mensuel depuis cinq mois, mais n’en reste pas moins supérieur de 9,4 pour cent à son niveau du début de l’année. En juin, les cours des quatre catégories de produits laitiers qui composent l’Indice ont baissé, les reculs les plus importants ayant été enregistrés pour les prix du fromage et du beurre. Le fléchissement des prix au mois de juin a été provoqué par l’accroissement des disponibilités à l’exportation et la faiblesse de la demande à l’importation. » L’Indice FAO des prix de la viande* s’est établi en moyenne à 176,0 points en juin, soit une hausse de 2,6 points (1,5 pour cent) par rapport à sa valeur révisée de mai; la progression modérée en glissement mensuel observée ces cinq derniers mois se poursuit donc. En juin, les cours des viandes d’ovins, de porcins et de volaille ont tous progressé en raison d’une forte demande à l’importation, en particulier dans les pays d’Asie de l’Est, où l’épidémie de peste porcine africaine continue à limiter la production intérieure. La demande mondiale à l’importation de viande bovine reste également vigoureuse, mais les cours sont restés stables en raison de disponibilités exportables plus abondantes en Océanie. » L’Indice FAO des prix du sucre s’est hissé en moyenne à 183,3 points en juin, soit 7,4 points (4,2 pour cent) de mieux par rapport à mai. Les prix internationaux du sucre ont largement subi l’influence des variations de la monnaie brésilienne (le real), qui s’est raffermie face au dollar des États‑Unis. Un real plus fort soutien les prix du sucre, car il a un effet sur l’offre brésilienne de sucre sur le marché international. En effet, les producteurs préfèrent transformer la canne à sucre en éthanol, afin de le vendre localement, plutôt que d’exporter le sucre à un prix inférieur. La baisse des exportations enregistrée dans l’Union européenne a également contribué à soutenir les cours mondiaux du sucre. L’Indice FAO des prix des aliments* est en léger recul (-0,3%)en juin 2019 par rapport à mai et tres proche de celui de Juin 2018 L’Indice FAO des prix des céréales a augmente de 6,7% en juin, par rapport a mai soit 3,8 pour cent de progression annuelle

7 Marchés Internationaux (suite)
La production mondiale de céréales en 2019 devrait s’établir à 2,685 milliards de tonnes, soit une hausse de 1,2 pour cent par rapport à 2018 Regional Food Security & Nutrition Working Group Les prévisions concernant la production mondiale de céréales en 2019 s’établissent à 2,685 milliards de tonnes, niveau quasiment identique à celui du rapport précédent (juin), soit une hausse de 1,2 pour cent par rapport à Cette croissance en glissement annuel est essentiellement imputable à la hausse de la production de blé, qui devrait s’établir, selon les prévisions actuelles, à près de 771 millions de tonnes, soit une hausse de 5,6 pour cent par rapport au niveau de l’année dernière. Les dernières prévisions concernant la production mondiale de blé ont été revues à la hausse pour l’Inde, où les rendements exceptionnels attendus devraient stimuler la production et la porter à un niveau record. En revanche, les prévisions de la FAO concernant la production mondiale de céréales secondaires en 2019, qui devrait s’établir à 1,398 milliard de tonnes, sont en léger recul par rapport à 2018, car la baisse de la production mondiale de maïs devrait contrebalancer largement la hausse de la production d’orge. La majeure partie de ce recul de la production de maïs devrait concerner les États-Unis, où un printemps anormalement pluvieux a retardé les semis, ce qui devrait affecter les rendements. La production globale de maïs pâtira en outre des perspectives de récoltes moins bonnes en Chine, ainsi qu’en Afrique de l’Est et en Afrique australe, que la reprise attendue en Argentine serait loin de suffire à compenser. Les prévisions de la FAO concernant la production mondiale de riz (équivalent usiné) s’établissent à 516 millions de tonnes, soit un niveau quasiment identique à celui de juin et proche du niveau élevé de l’année dernière à la même période. Les baisses de production en glissement annuel qui sont prévues en Chine, au Brésil et aux États-Unis devraient être compensées par des hausses en Inde et en Thaïlande. L’utilisation mondiale de céréales en devrait très légèrement progresser par rapport à juin et, selon les prévisions actuelles, dépasser les 2,708 milliards de tonnes, soit une hausse de 1,0 pour cent par rapport à L’utilisation totale de blé devrait s’établir à 758 millions de tonnes, soit une hausse de 1,5 pour cent par rapport à , qui s’explique principalement par l’augmentation prévue de l’utilisation alimentaire. En revanche, la croissance en glissement annuel de la consommation totale de céréales secondaires a été à nouveau abaissée et s’établit à présent à seulement 0,6 pour cent, car l’utilisation globale de maïs a été revue à la baisse ce mois-ci dans plusieurs pays, principalement au Brésil et au Mexique. L’utilisation mondiale de riz en devrait s’établir à 518 millions de tonnes, soit une hausse de 1,4 pour cent par rapport à , à mettre en grande partie sur le compte de la consommation alimentaire en Asie et en Afrique. Les prévisions concernant les stocks mondiaux de céréales à la clôture des campagnes se terminant en 2020 ont été légèrement revues à la baisse depuis juin et s’établissent maintenant à 828 millions de tonnes, soit 27 millions de tonnes (ou 3,2 pour cent) de moins que les niveaux d’ouverture, ce recul étant principalement imputable au maïs. Les stocks totaux de céréales secondaires devraient reculer de 9,1 pour cent et s’établir à 371 millions de tonnes en Ce recul concernerait notamment les stocks de maïs, qui seraient ramenés à 311 millions de tonnes, soit une chute de pas moins de 12,4 pour cent (44 millions de tonnes) par rapport à leurs niveaux d’ouverture, essentiellement concentrée en Chine et aux États-Unis. À l’inverse, les stocks mondiaux de blé devraient progresser de 4,5 pour cent (12 millions de tonnes) en , sous l’effet du gonflement des greniers en Chine, dans l’Union européenne et en Fédération de Russie. En revanche, depuis le précédent rapport, la FAO a abaissé de 400 000 tonnes ses prévisions concernant les stocks mondiaux de riz en , qui s’établissent à présent à 179 millions de tonnes, en raison d’ajustements à la baisse des stocks aux Philippines et aux États-Unis. Les dernières prévisions indiquent que les stocks totaux de riz devraient baisser de 1,1 pour cent par rapport à leur niveau record d’ouverture. Globalement, le rapport stocks‑utilisation des céréales en devrait rester à un niveau relativement élevé de 29,6 pour cent, mais celui des céréales secondaires devrait se contracter pour atteindre 24,7 pour cent, soit son plus bas niveau depuis six ans. Les prévisions concernant les échanges mondiaux de céréales en ont été légèrement revues à la hausse par rapport au mois de juin et portées à 415 millions de tonnes, soit une hausse de 2 pour cent (8,3 millions de tonnes) par rapport à Cette augmentation prévue s’explique principalement par un rebond des échanges de blé qui devrait être important: ceux-ci devraient progresser de 3,9 pour cent par rapport à leur faible niveau de , en raison d’une potentielle hausse des exportations de l’Australie, de l’Union européenne et de la Fédération de Russie. Les échanges mondiaux de céréales secondaires devraient rester proches des niveaux estimés pour 2018‑2019, mais les importations de maïs de l’Union européenne devraient nettement reculer en glissement annuel, sous l’effet d’importants reports de la campagne En ce qui concerne les exportations de maïs, le resserrement des disponibilités aux États-Unis cette saison devrait être largement compensé par une offre abondante en Amérique du Sud. Il est toujours prévu qu’en 2019 les échanges mondiaux de riz se contractent de pas moins de 3,1 pour cent, mais les prévisions provisoires de la FAO indiquent que les échanges de riz pourraient rebondir en 2020 et atteindre le record historique de 48,9 millions de tonnes. L’utilisation mondiale de céréales en devrait légèrement progresser et dépasser les 2,708 milliards de tonnes, soit 1,0% de hausse par rapport à Les  stocks mondiaux de céréales s’établissent à 828 millions de tonnes, soit une baisse de 27 millions de tonnes. Les échanges céréales en Juin sont portées à 415 millions de tonnes, soit une hausse de 2 pour cent (8,3 millions de tonnes) par rapport à

8 Marchés Internationaux (perspectives)
Malgré le rebond du prix de blé et l’augmentation des prix du mais, les prix des denrées alimentaires connaissent un léger recul par rapport a Mai et très proche du niveau de Juin Cela est due a la stabilité du prix du riz et a la baisse des prix de l’huile végétale, des produits laitiers et du sucre . Et en dépit d’un resserrement de l’offre de céréales en principalement dû à une baisse de la production de maïs, l’approvisionnement de marchés internationaux demeure acceptable et le commerce de céréales est en progression le commerce de blé devrait rebondir de 3,9%  par rapport à , d’une hausse des exportations vers plusieurs pays, en particulier en Afrique et en Asie, en Australie ,en Russie et l’union européenne le commerce mondial de riz devrait quant à lui baisser de 3,1% en 2019, Pour l'ensemble de la région ouest africaine, les importations 19/20 devraient être supérieures à la moyenne et supérieures à l'année précédente( Voir tableau ci-dessous). Regional Food Security & Nutrition Working Group Situation satisfaisante sur les marchés des céréales en Les premières tendances indiquent que la production de blé devrait croître en 2019 Selon les dernières prévisions de la FAO pour 2018, la production mondiale de céréales devrait s’établir à 2,611 milliards de tonnes, soit une légère hausse par rapport aux estimations de décembre, qui s’explique par les révisions à la hausse pour le maïs, le blé et le riz. La production mondiale de riz devrait progresser de 1,6 pour cent pour s’établir à 514 millions de tonnes, soit une hausse de 1,2 million de tonnes par rapport aux prévisions antérieures. Cette révision s’explique principalement par l’amélioration des rendements en Chine. En outre, comme les superficies plantées sont plus étendues que prévu, les estimations concernant la production pour le Pakistan ont été relevées alors que les prévisions de production pour les Philippines ont été revues à la baisse en raison des pertes causées par la dépression tropicale Usman et de la perspective d’un temps plus sec. Malgré les révisions à la hausse réalisées ce mois-ci, la production céréalière mondiale est encore inférieure de 1,8 pour cent (47,4 millions de tonnes) au niveau record de 20171. Selon les prévisions actuelles, l’utilisation mondiale des céréales en 2018‑2019 devrait s’établir à 2,657 milliards de tonnes, soit 45 millions de tonnes (1,7 pour cent) de plus qu’en 2017‑2018 et 8 millions de tonnes de plus que prévu en décembre. Cette hausse par rapport au mois de décembre s’explique par la révision à la hausse de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale (principalement en Australie) et de l’utilisation industrielle des céréales secondaires, majoritairement le maïs et l’orge. L’utilisation mondiale de blé en 2018‑2019 devrait atteindre près de 743 millions de tonnes, soit 3 millions de tonnes de plus que prévu en décembre et 5,6 millions de tonnes (0,8 pour cent) de plus que le niveau estimé pour 2017‑2018. Cette augmentation concerne surtout l’utilisation du blé dans l’alimentation animale, en particulier en Australie, où un climat sec a entraîné une diminution des zones de pâturage et où il a donc fallu utiliser du blé pour nourrir le bétail. Ailleurs, la légère augmentation prévue de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale dans l’Union européenne est largement compensée par la baisse dans la Fédération de Russie, où, selon certaines sources, les producteurs de volaille remplacent le blé par le maïs pour nourrir leurs animaux. Les prévisions de la FAO concernant l’utilisation totale de céréales secondaires en 2018‑2019 ont été portées à 1,405 milliard de tonnes, soit 4,7 millions de plus qu’en décembre. À ce niveau, l’utilisation mondiale de céréales secondaires serait supérieure de quelque 34 millions de tonnes (2,5 pour cent) au niveau estimé pour 2017‑2018, l’utilisation dans l’alimentation animale atteignant un record de près de 786 millions de tonnes, soit une hausse de 2,7 pour cent par rapport au niveau estimé pour 2017‑2018, les plus fortes augmentations en glissement annuel concernant la Chine, le Mexique et les États-Unis. L’utilisation mondiale de riz devrait atteindre 509 millions de tonnes en 2018‑2019, soit une hausse annuelle de 1,1 pour cent, qui s’explique principalement par la hausse de la consommation alimentaire en Asie et en Afrique. Les stocks mondiaux de céréales devraient reculer de 45 millions de tonnes (5,6 pour cent) par rapport à leurs niveaux records d’ouverture pour s’établir à 772 millions de tonnes, soit environ 10 millions de tonnes de plus que ce qui était prévu en décembre. À ce niveau, le rapport stocks-utilisation de céréales au niveau mondial se maintiendrait à un niveau relativement confortable de 28,5 pour cent, malgré une légère baisse par rapport au niveau de 2017‑2018, qui était de 30,8 pour cent, le plus haut depuis 2000‑2001. La révision à la hausse des prévisions pour ce mois-ci en ce qui concerne les réserves mondiales de céréales est principalement à mettre au compte de la révision à la hausse (7,2 millions de tonnes) des stocks mondiaux de céréales secondaires, en particulier les stocks de maïs, qui, selon les prévisions actuelles, devraient atteindre 274,7 millions de tonnes à la clôture des campagnes de 2019, mais reculer de quelque 38 millions de tonnes (12,2 pour cent) par rapport à leurs niveaux d’ouverture. Cette hausse par rapport au mois de décembre devrait être essentiellement imputable à l’accumulation des stocks prévue dans l’Union européenne, d’autres augmentations importantes étant à souligner en Argentine, au Nigéria et aux États-Unis.  Les prévisions de la FAO concernant les stocks de blé (clôture en 2019) ont été relevées de 2,4 millions de tonnes par rapport à décembre, en raison de révisions à la hausse au Canada, dans la Fédération de Russie et aux États-Unis. Les stocks de blé devraient, selon les prévisions actuelles, atteindre près de 267 millions de tonnes, mais baisser tout de même de 10 millions de tonnes par rapport à leurs niveaux d’ouverture, car les prélèvements effectués dans plusieurs pays ont largement compensé l’augmentation des stocks en cours en Chine. Les stocks mondiaux de riz à la clôture des campagnes 2018‑2019 devraient atteindre 178 millions de tonnes, soit une hausse de 2,9 pour cent en glissement annuel principalement imputable à l’augmentation des reports en Chine, en Inde, en Indonésie et aux Philippines. Les échanges mondiaux de l’ensemble des céréales devraient avoisiner les 416 millions de tonnes en 2018‑2019, soit un recul de 5,7 millions de tonnes (1,4 pour cent) par rapport au volume record de la campagne précédente. Les échanges de toutes les principales céréales, à l’exception du maïs, devraient reculer en 2018‑2019. 

9 Marchés Internationaux (suite: Prévisions d’importation)
TOTAL CEREALS trade position Total magnitude of imports 2019/20 import requirement compared to 2018/19 2019/20 import requirement compared to avg Nigeria net importer 7 - 8 million higher slightly higher higher: more than 10 percent Cote D'ivoire million slightly higher: percent Senegal similar: less than 4 percent Ghana million similar Guinea million Burkina Faso million Niger Mauritania million Liberia million Mali million Benin Sierra Leone million Togo million Gambia < 0.3 million Chad Guinea-Bissau < 0.2 million Cabo Verde < 0.1 million Regional Food Security & Nutrition Working Group Situation satisfaisante sur les marchés des céréales en Les premières tendances indiquent que la production de blé devrait croître en 2019 Selon les dernières prévisions de la FAO pour 2018, la production mondiale de céréales devrait s’établir à 2,611 milliards de tonnes, soit une légère hausse par rapport aux estimations de décembre, qui s’explique par les révisions à la hausse pour le maïs, le blé et le riz. La production mondiale de riz devrait progresser de 1,6 pour cent pour s’établir à 514 millions de tonnes, soit une hausse de 1,2 million de tonnes par rapport aux prévisions antérieures. Cette révision s’explique principalement par l’amélioration des rendements en Chine. En outre, comme les superficies plantées sont plus étendues que prévu, les estimations concernant la production pour le Pakistan ont été relevées alors que les prévisions de production pour les Philippines ont été revues à la baisse en raison des pertes causées par la dépression tropicale Usman et de la perspective d’un temps plus sec. Malgré les révisions à la hausse réalisées ce mois-ci, la production céréalière mondiale est encore inférieure de 1,8 pour cent (47,4 millions de tonnes) au niveau record de 20171. Selon les prévisions actuelles, l’utilisation mondiale des céréales en 2018‑2019 devrait s’établir à 2,657 milliards de tonnes, soit 45 millions de tonnes (1,7 pour cent) de plus qu’en 2017‑2018 et 8 millions de tonnes de plus que prévu en décembre. Cette hausse par rapport au mois de décembre s’explique par la révision à la hausse de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale (principalement en Australie) et de l’utilisation industrielle des céréales secondaires, majoritairement le maïs et l’orge. L’utilisation mondiale de blé en 2018‑2019 devrait atteindre près de 743 millions de tonnes, soit 3 millions de tonnes de plus que prévu en décembre et 5,6 millions de tonnes (0,8 pour cent) de plus que le niveau estimé pour 2017‑2018. Cette augmentation concerne surtout l’utilisation du blé dans l’alimentation animale, en particulier en Australie, où un climat sec a entraîné une diminution des zones de pâturage et où il a donc fallu utiliser du blé pour nourrir le bétail. Ailleurs, la légère augmentation prévue de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale dans l’Union européenne est largement compensée par la baisse dans la Fédération de Russie, où, selon certaines sources, les producteurs de volaille remplacent le blé par le maïs pour nourrir leurs animaux. Les prévisions de la FAO concernant l’utilisation totale de céréales secondaires en 2018‑2019 ont été portées à 1,405 milliard de tonnes, soit 4,7 millions de plus qu’en décembre. À ce niveau, l’utilisation mondiale de céréales secondaires serait supérieure de quelque 34 millions de tonnes (2,5 pour cent) au niveau estimé pour 2017‑2018, l’utilisation dans l’alimentation animale atteignant un record de près de 786 millions de tonnes, soit une hausse de 2,7 pour cent par rapport au niveau estimé pour 2017‑2018, les plus fortes augmentations en glissement annuel concernant la Chine, le Mexique et les États-Unis. L’utilisation mondiale de riz devrait atteindre 509 millions de tonnes en 2018‑2019, soit une hausse annuelle de 1,1 pour cent, qui s’explique principalement par la hausse de la consommation alimentaire en Asie et en Afrique. Les stocks mondiaux de céréales devraient reculer de 45 millions de tonnes (5,6 pour cent) par rapport à leurs niveaux records d’ouverture pour s’établir à 772 millions de tonnes, soit environ 10 millions de tonnes de plus que ce qui était prévu en décembre. À ce niveau, le rapport stocks-utilisation de céréales au niveau mondial se maintiendrait à un niveau relativement confortable de 28,5 pour cent, malgré une légère baisse par rapport au niveau de 2017‑2018, qui était de 30,8 pour cent, le plus haut depuis 2000‑2001. La révision à la hausse des prévisions pour ce mois-ci en ce qui concerne les réserves mondiales de céréales est principalement à mettre au compte de la révision à la hausse (7,2 millions de tonnes) des stocks mondiaux de céréales secondaires, en particulier les stocks de maïs, qui, selon les prévisions actuelles, devraient atteindre 274,7 millions de tonnes à la clôture des campagnes de 2019, mais reculer de quelque 38 millions de tonnes (12,2 pour cent) par rapport à leurs niveaux d’ouverture. Cette hausse par rapport au mois de décembre devrait être essentiellement imputable à l’accumulation des stocks prévue dans l’Union européenne, d’autres augmentations importantes étant à souligner en Argentine, au Nigéria et aux États-Unis.  Les prévisions de la FAO concernant les stocks de blé (clôture en 2019) ont été relevées de 2,4 millions de tonnes par rapport à décembre, en raison de révisions à la hausse au Canada, dans la Fédération de Russie et aux États-Unis. Les stocks de blé devraient, selon les prévisions actuelles, atteindre près de 267 millions de tonnes, mais baisser tout de même de 10 millions de tonnes par rapport à leurs niveaux d’ouverture, car les prélèvements effectués dans plusieurs pays ont largement compensé l’augmentation des stocks en cours en Chine. Les stocks mondiaux de riz à la clôture des campagnes 2018‑2019 devraient atteindre 178 millions de tonnes, soit une hausse de 2,9 pour cent en glissement annuel principalement imputable à l’augmentation des reports en Chine, en Inde, en Indonésie et aux Philippines. Les échanges mondiaux de l’ensemble des céréales devraient avoisiner les 416 millions de tonnes en 2018‑2019, soit un recul de 5,7 millions de tonnes (1,4 pour cent) par rapport au volume record de la campagne précédente. Les échanges de toutes les principales céréales, à l’exception du maïs, devraient reculer en 2018‑2019. 

10 LIENS UTILES SUR LES PRIX INTERNATIONAUX
Marchés Internationaux (suite) LIENS UTILES SUR LES PRIX INTERNATIONAUX Regional Food Security & Nutrition Working Group Mise a jour de SAN Situation satisfaisante sur les marchés des céréales en Les premières tendances indiquent que la production de blé devrait croître en 2019 Selon les dernières prévisions de la FAO pour 2018, la production mondiale de céréales devrait s’établir à 2,611 milliards de tonnes, soit une légère hausse par rapport aux estimations de décembre, qui s’explique par les révisions à la hausse pour le maïs, le blé et le riz. La production mondiale de riz devrait progresser de 1,6 pour cent pour s’établir à 514 millions de tonnes, soit une hausse de 1,2 million de tonnes par rapport aux prévisions antérieures. Cette révision s’explique principalement par l’amélioration des rendements en Chine. En outre, comme les superficies plantées sont plus étendues que prévu, les estimations concernant la production pour le Pakistan ont été relevées alors que les prévisions de production pour les Philippines ont été revues à la baisse en raison des pertes causées par la dépression tropicale Usman et de la perspective d’un temps plus sec. Malgré les révisions à la hausse réalisées ce mois-ci, la production céréalière mondiale est encore inférieure de 1,8 pour cent (47,4 millions de tonnes) au niveau record de 20171. Selon les prévisions actuelles, l’utilisation mondiale des céréales en 2018‑2019 devrait s’établir à 2,657 milliards de tonnes, soit 45 millions de tonnes (1,7 pour cent) de plus qu’en 2017‑2018 et 8 millions de tonnes de plus que prévu en décembre. Cette hausse par rapport au mois de décembre s’explique par la révision à la hausse de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale (principalement en Australie) et de l’utilisation industrielle des céréales secondaires, majoritairement le maïs et l’orge. L’utilisation mondiale de blé en 2018‑2019 devrait atteindre près de 743 millions de tonnes, soit 3 millions de tonnes de plus que prévu en décembre et 5,6 millions de tonnes (0,8 pour cent) de plus que le niveau estimé pour 2017‑2018. Cette augmentation concerne surtout l’utilisation du blé dans l’alimentation animale, en particulier en Australie, où un climat sec a entraîné une diminution des zones de pâturage et où il a donc fallu utiliser du blé pour nourrir le bétail. Ailleurs, la légère augmentation prévue de l’utilisation de blé dans l’alimentation animale dans l’Union européenne est largement compensée par la baisse dans la Fédération de Russie, où, selon certaines sources, les producteurs de volaille remplacent le blé par le maïs pour nourrir leurs animaux. Les prévisions de la FAO concernant l’utilisation totale de céréales secondaires en 2018‑2019 ont été portées à 1,405 milliard de tonnes, soit 4,7 millions de plus qu’en décembre. À ce niveau, l’utilisation mondiale de céréales secondaires serait supérieure de quelque 34 millions de tonnes (2,5 pour cent) au niveau estimé pour 2017‑2018, l’utilisation dans l’alimentation animale atteignant un record de près de 786 millions de tonnes, soit une hausse de 2,7 pour cent par rapport au niveau estimé pour 2017‑2018, les plus fortes augmentations en glissement annuel concernant la Chine, le Mexique et les États-Unis. L’utilisation mondiale de riz devrait atteindre 509 millions de tonnes en 2018‑2019, soit une hausse annuelle de 1,1 pour cent, qui s’explique principalement par la hausse de la consommation alimentaire en Asie et en Afrique. Les stocks mondiaux de céréales devraient reculer de 45 millions de tonnes (5,6 pour cent) par rapport à leurs niveaux records d’ouverture pour s’établir à 772 millions de tonnes, soit environ 10 millions de tonnes de plus que ce qui était prévu en décembre. À ce niveau, le rapport stocks-utilisation de céréales au niveau mondial se maintiendrait à un niveau relativement confortable de 28,5 pour cent, malgré une légère baisse par rapport au niveau de 2017‑2018, qui était de 30,8 pour cent, le plus haut depuis 2000‑2001. La révision à la hausse des prévisions pour ce mois-ci en ce qui concerne les réserves mondiales de céréales est principalement à mettre au compte de la révision à la hausse (7,2 millions de tonnes) des stocks mondiaux de céréales secondaires, en particulier les stocks de maïs, qui, selon les prévisions actuelles, devraient atteindre 274,7 millions de tonnes à la clôture des campagnes de 2019, mais reculer de quelque 38 millions de tonnes (12,2 pour cent) par rapport à leurs niveaux d’ouverture. Cette hausse par rapport au mois de décembre devrait être essentiellement imputable à l’accumulation des stocks prévue dans l’Union européenne, d’autres augmentations importantes étant à souligner en Argentine, au Nigéria et aux États-Unis.  Les prévisions de la FAO concernant les stocks de blé (clôture en 2019) ont été relevées de 2,4 millions de tonnes par rapport à décembre, en raison de révisions à la hausse au Canada, dans la Fédération de Russie et aux États-Unis. Les stocks de blé devraient, selon les prévisions actuelles, atteindre près de 267 millions de tonnes, mais baisser tout de même de 10 millions de tonnes par rapport à leurs niveaux d’ouverture, car les prélèvements effectués dans plusieurs pays ont largement compensé l’augmentation des stocks en cours en Chine. Les stocks mondiaux de riz à la clôture des campagnes 2018‑2019 devraient atteindre 178 millions de tonnes, soit une hausse de 2,9 pour cent en glissement annuel principalement imputable à l’augmentation des reports en Chine, en Inde, en Indonésie et aux Philippines. Les échanges mondiaux de l’ensemble des céréales devraient avoisiner les 416 millions de tonnes en 2018‑2019, soit un recul de 5,7 millions de tonnes (1,4 pour cent) par rapport au volume record de la campagne précédente. Les échanges de toutes les principales céréales, à l’exception du maïs, devraient reculer en 2018‑2019. 

11 Tendances sur les Marchés de l’Afrique de l’Ouest
Regional Food Security & Nutrition Working Group Tendances sur les Marchés de l’Afrique de l’Ouest

12 Market Monitoring in West Africa
One month comparison of key staple foods (June May 2019) Annual comparison of key staple foods (June 2019 – June 2018) 5-year comparison of key staple foods (June 2019 – 5 year average) Sur 1 mois, les prix sont globalement stables dans la région. Des baisses de prix sont au sud-est du Niger et dans certaines régions du Burkina. Le démarrage précoce de la campagne agricole et la régularité des pluies dans cette zone conformément aux prévisions saisonnières d’Agrhymet peuvent expliquer cette tendance baissière. Les commerçants et les producteurs mettent sur les marchés leurs stocks en prévision d’une bonne campagne agricole. Cela augmente l’offre et réduit les prix aux consommateurs. La région de Kayes au Mali et une partie de centre et de l’est du Sénégal peinent à se remettre des hausses de prix induites par le Ramadan. Le Niger, le Burkina et le Mali affichent des prix des céréales de base en dessous des niveaux de l’année passée au mois de Juin. Au Tchad, les baisses sont encore plus marquées avec -58% dans les régions de Tandjile et de Biltine. Les perspectives de la bonne campagne agricole mais aussi la baisse des marges bénéficiaires au Tchad expliquent cette situation. Les hausses de prix constatées sur les céréales locales (Sorho, mil, riz local) se maintiennent au Sénégal et en Mauritanie. En Sierra Leone, la baisse du cours de la monnaie locale entraine une hausse de 13% à 18% du prix du riz importé. La Centrafrique est confrontée à une hausse de plus de 50% du prix du maïs (préfectures de Nana-Gribizi et Lobaye) du fait de la substitution de la demande. Le Sahel dans sont ensemble affiche une stabilité voire une baisse des prix des céréales de base par rapport à la moyenne quinquennale, à l’exception de la Mauritanie où les baisses de production continuent à entrainer des hausses des prix du riz local La chute de la valeur du dollar libérien et du Leone (Sierra Leone) continue à entrainer de fortes inflations dans ces pays. Selon les chiffres du bureau des statistiques libériens, l’indice des prix à la consommation qui évalue l’évolution des prix d’un panier représentatif de biens et services s’est encore accru de 6,7% par rapport au mois de mai 2019 et de 30% par rapport à juin 2018. Le prix du maïs ne baisse toujours pas baisser au sud du Ghana malgré le début de la campagne agricole

13 Impact sur la Sécurité Alimentaire
Regional Food Security & Nutrition Working Group Impact sur la Sécurité Alimentaire

14 Regional Food Security & Nutrition
Situation alimentaire dans la région Nigeria : EFSA Avril 2019 Méthodologie Cette enquête a été conduite en avril 2019 sur la base d’un échantillon de ménages couvrant les états de Borno, Yobe et Adamawa. Points Saillants 42% des ménages de Borno, 26% de Yobe et 14% Adamawa sont en insécurité alimentaire Causes de l'insécurité alimentaire : insécurité civile (aussi conflits entre agriculteurs et éleveurs), accès limité à la terre, sécheresse, hausses des prix des denrées alimentaires, etc. Résumé Exécutif de l’EFSA se trouve sur le lien suivant /download/?iframe Regional Food Security & Nutrition Working Group

15 2nd administrative level STATE
Total population CURRENT SITUATION: JUNE - AUGUST 2019 Total population in Phase 1 Total population in Phase 2 Total population in Phase 3 Total population in Phase 4 Total population in Phase 5 Total population in Phase 3 to 5 ADAMAWA 4,821,369 3,439,130 1,103,633 263,664 14,942 - 278,606 BORNO 5,296,821 1,525,578 1,845,263 1,488,831 261,312 1,750,143 YOBE 3,882,432 1,411,973 1,524,985 800,582 144,892 945,474 TOTAL 6,376,681 4,473,881 2,553,077 421,146 2,974,233

16 Regional Food Security & Nutrition
Situation alimentaire dans la région La tendance générale de l'insécurité alimentaire en cette période de soudure (Juin-Août 2019) est à la baisse par rapport à la soudure de 2017, exception faite des zones du Bassin du Lac Tchad, Liptako Gourma et la zone frontalière Sénégal-Mauritanie-Mali. Juin - Août 2019 – Situation Projetée (+ mise à jour CH Juin Nigeria) Regional Food Security & Nutrition Working Group

17 Situation alimentaire dans la région
Liptako Gourma : Cadre Harmonisé & ACLED Evènements Violents Janvier 2018 – 18 Mai 2019 Augmentation de l’insécurité civile dans le Liptako Gourma (Evènements violents, déplacement)  Augmentation de l’Insécurité Alimentaire 1.32M 0.68M 0.53M 0.67M 1.09M 0.87M Regional Food Security & Nutrition Working Group Source : Cadre Harmonisé, mise à jour Mars 2019 Source : ACLED, mis à jour 18 Mai 2019

18 Regional Food Security & Nutrition
Tendances de l’insécurité en Afrique de l’Ouest 2016 2017 Regional Food Security & Nutrition Working Group 2018 Source: Armed Conflict Location & Event Data Project (ACLED). Violent events include battles between government and non-state actors, between two or more non-state actors, remote violence (IEDS, bombs), and violence against civilians. Violent events

19 Tendances de l’insécurité au Sahel
Événements violents ont doublé chaque année depuis 2016  Au Niger et au Burkina Faso, les incidents violents au cours des cinq premiers mois de dépassent le nombre total d'incidents en 2018. Le risque d'insécurité gagne du terrain vers le sud (Bénin, Togo, Ghana) Regional Food Security & Nutrition Working Group

20 Regional Food Security & Nutrition
Mise a jour de la situation alimentaire et nutritionnelle pour la période de soudure(Juin-Aout) Bien que les marchés soient bien approvisionnés et les prix relativement stables , la situation alimentaire et nutritionnelle demeure préoccupante et est exacerbée par la persistance de la crise sécuritaire et des conflits intercommunautaires au Nord et dans la région du Lac au Tchad, à l’Est et l’Ouest du Niger, au Nord et à l’Est du Burkina Faso, au Nord et au Centre du Mali: Environ 9,7 millions de personnes( dont près de 5M au Nigeria y compris plus de 2,9M dans les trois états du Nord est ) sont en phase de crise à la phase d’urgence reparties principalement au Nigéria, au Niger, au Burkina, en Mauritanie, au Tchad, au Mali, au Sénégal, en Guinée et en Sierra Léone.  Ces personnes sont dans un état d’extrême précarité et par conséquent des  actions immédiates et appropriées sont nécessaires pour leur venir en aide. La situation nutritionnelle reste préoccupante en Afrique de l’Ouest, bien que les tendances des admissions soient stables par rapport aux années précédentes. Dans les zones de conflits , où les conditions d’accès aux services sociaux de base sont très réduites, plus de 2 millions d’enfants sont à risque de Malnutrition Aigüe. Regional Food Security & Nutrition Working Group

21 Regional Food Security & Nutrition
Situation alimentaire dans la région Evaluations VAM à venir Vous trouverez ici notre nouveau VAM NEWSLETTER pour plus d’informations sur les évaluations VAM Cameroun : EFSA Août/Septembre Chad : ENSA Octobre Ghana : CFSVA 2019 Gambie : Prehavest Assessment Août Mali : ENSAN Septembre Mauritanie : FSMS Août Niger : EVIAM Octobre Sierra Leone : FSMS Septembre Regional Food Security & Nutrition Working Group


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