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Ces chefs d’Etat étaient-il bons à l’école ?

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Présentation au sujet: "Ces chefs d’Etat étaient-il bons à l’école ?"— Transcription de la présentation:

1 Ces chefs d’Etat étaient-il bons à l’école ?
Quels écoliers ont été les Obama, Sarkozy, Poutine ou Merkel et jusqu'où sont-ils allés ? Retour sur leurs études et leurs diplômes. 44 chefs d'Etat

2 Diplômes des chefs d'Etat Les diplômes des chefs d'Etat
Les grands de ce monde étaient-ils studieux quand ils étaient plus petits ? Quels écoliers ont été les Obama, Sarkozy, Putin ou Merkel et jusqu'où sont-ils allés ? Retour sur les études et les diplômes des chefs d'Etats en images.

3 Barack Obama (USA) Doctorat en Droit (Harvard)
Doctorat en Droit (Harvard) Si Barack Obama a passé une partie de sa jeunesse et de ses années de lycéen à Hawaï, c'est bien dans les universités les plus prestigieuses des Etats-Unis qu'il a fait ses études. En 1981, il entre à l'université de Columbia de New York, la 7e mondiale selon le classement de Shanghaï. Il y obtient un diplôme en Sciences politiques et en relations internationales. Après un premier job à Chicago, c'est à Harvard, connue comme la meilleure université du monde, qu'il poursuit ses études à partir de Il y dirigera la prestigieuse revue de droit "Harvard Law Review". Bien que son Doctorat, obtenu avec les honneurs, lui ouvre les portes des grands cabinets d'avocats, il préfèrera retourner à Chicago en tant que travailleur social. On connaît la suite

4 Luiz Inácio Lula da Silva (Brésil)
Pas de diplôme Septième enfant d'une famille de huit frères et sœurs, Luiz Inácio Lula da Silva, le Président du Brésil, a quitté l'école à 10 ans pour aider sa mère seule.  A São Paulo, il a été successivement cireur de chaussures, vendeur de cacahuètes, puis ouvrier. A l'âge de 15 ans, il est tourneur dans une usine automobile. C'est là qu'il se syndicalise et apparaît comme un excellent meneur.  En 1975, alors que d'autres sortent des grandes écoles, il devient président du syndicat brésilien de la métallurgie. Malgré quelques séjours en prison, il entre en politique en 1980 et sera élu 22 ans plus tard à la présidence de la république. Son éducation restreinte ne l'empêchera pas, une fois élu, de recevoir plusieurs titres de Docteur honoris causa aux États-Unis et en Europe.

5 Hu Jintao (Chine) Diplôme d'ingénieur en Hydro-électricité
Diplôme d'ingénieur en Hydro-électricité Hu Jintao doit avant tout sa carrière politique à son ascension dans le parti communiste chinois. Issu d'une famille de commerçants, le chef de "l'Empire du milieu", est souvent décrit comme un lycéen talentueux, passionné par les cours de chant et de danse. Dans les années 1960, il commence ses études supérieures à l'université Tsinghua de Pékin. Un établissement classé dans les 300 premières universités du monde. C'est là qu'en 1964, il rejoint le parti communiste chinois et commence ses nombreux voyages entre la capitale, et les régions plus pauvres de l'ouest. En 1965, à 23 ans, il obtient le diplôme d'ingénieur en Hydro-électricité (équivalent à un bac +5). Il devient immédiatement, et pendant trois ans, instructeur politique à l'université

6 Angela Merkel (Allemagne)
Doctorat en Physique Angela Merkel est une scientifique. Dès le lycée, elle démontre des facultés au dessus de la moyenne pour les mathématiques, et les langues. Rapidement, elle parle couramment le russe et l'anglais. Des facilités qui lui permettent d'obtenir son Abitur (le bac allemand) en 1973 avec la note maximale de 1. En 1973, elle intègre l'université Karl-Marx de Leipzig (dans les 300 premières mondiales) et est diplômée en Physique en 1978. Elle est ensuite admise à l'Institut central de chimie-physique de l'Académie des sciences de Berlin-Est. Sa thèse, achevée en 1986, porte alors sur le "Calcul des constantes de vitesse des réactions élémentaires des hydrocarbures simples". Elémentaire en effet...

7 Hamid Karzaï (Afghanistan)
Diplôme de l'ESJ Lille En 1985, alors que sa famille a fui l'invasion soviétique en Afghanistan, Hamid Karzaï débarque en France avec la "bande des dix". Un groupe de jeunes Afghans invité par le gouvernement Fabius à suivre des études en France, loin du joug communiste. Le groupe étudie l'audiovisuel à l'Ecole supérieure de Journalisme de Lille, d'abord secrètement, puis au grand jour après des fuites dans la presse. Outre un diplôme atypique, l'actuel président de l'Afghanistan  en garde une excellente maîtrise du français. Auparavant, il avait étudié les Sciences politiques en Inde, à l'université de l'État d'Himachal Pradesh. Il en est ressorti en 1982 avec un diplôme équivalent à un bac +4 ou bac +5 en France

8 Michelle Bachelet (Chili)
Doctorat en Médecine et diplôme en Sciences militaires Après avoir fréquenté de nombreuses écoles jusqu'aux Etats-Unis pour suivre son père militaire,  Michelle Bachelet obtient son bac en 1969, finissant première de sa classe dans un prestigieux lycée pour jeunes filles du Chili.  Elle opte ensuite pour des études de Médecine et obtient le meilleur score au concours d'entrée. Capturée avec sa mère dès l'arrivée au pouvoir de Pinochet, elle se réfugie en Australie en 1975. Elle part étudier l'Allemand à l'université Karl Marx de Leipzig puis la Médecine à l'université Humboldt de Berlin.  De retour au Chili en 1979, elle devient finalement chirurgien en Toujours interdite de pratiquer par les militaires, elle obtient tout de même une bourse et se spécialise en pédiatrie et santé publique. Plus tard, elle étudiera la Stratégie militaire à Washington.

9 Kim Jong-Il (Corée du Nord)
Diplôme en Economie politique Difficile d'obtenir des informations précises sur la jeunesse de Kim Jong-Il. Selon la biographie officielle, le chef suprême de la Corée-du-Nord serait né en Un double arc-en-ciel et une étoile seraient apparus dans le ciel pour saluer l'événement.  Pour les occidentaux, sa naissance aurait plutôt eu lieu un an plus tôt, en URSS avant que son père rejoigne la Corée en 1945 pour y mener la révolution. Kim fait ses études primaires et secondaires à Pyongyang. Il suit ensuite des cours dans la toute première université Nord-coréenne, réservée aux enfants de hauts-dignitaires communistes, où il obtient un diplôme en économie politique en Kim Jong-Il aurait aussi étudié  l'anglais lors de ses nombreuses vacances à Malte. Selon d'autres sources, il aurait aussi été formé en République populaire de Chine.

10 Gordon Brown (Grande Bretagne)
Doctorat en Histoire Issu de la banlieue de Glasgow, Gordon Brown passe sa jeunesse dans la ville sinistrée d'Hamilton. Un premier contact avec le chômage et la pauvreté qui éveillera la curiosité du jeune Gordon sur les luttes sociales. A l'université d'Édimbourg, il suit donc des cours d'histoire. Il obtient un Master avec les honneurs en 1972 puis un Doctorat en Sa thèse porte sur le "Parti travailliste et les changements politiques" en Ecosse dans l'entre-deux guerres. Passionné de rugby, il a été privé des terrains après un grave accident en 1967 qui lui fera perdre un œil et manquera de le rendre aveugle.  Autre anecdote sur les études de Gordon Brown : il a été élu recteur et président du conseil d'administration de l'université d'Edimbourg en 1972 grâce au soutien d'un groupe de jeunes femmes surnommées les "Brown Sugars", en référence à un titre des Rolling Stones

11 Mahmoud Ahmadinejad (Iran)
Doctorat en Ingénierie civile et transports Dans les années 1950, en plein exode rural, la famille Ahmadinejad rejoint Téhéran où de nombreux foyers modestes, imprégnés de l'Islam traditionnel, découvrent une capitale moderne et occidentalisée.  Le jeune Mahmoud, lecteur assidu du Coran, est séduit dès l'âge de 7 ans par l'ayatollah Khomeiny. Il se décrit alors comme l'un des meilleurs élèves de l'école. Au concours d'entrée à la faculté, il  raconte avoir saigné du nez et n'être sorti "que" 132e en math sur plus de 400 000 étudiants. Il est admis malgré tout à l'université de Science et de technologie en Immédiatement "révulsé par la débauche et la liberté des mœurs" étudiantes, il s'implique activement dans la révolution islamique. Son Master de Sciences n'est validé qu'en 1986 et son doctorat en 1997. Ce parcours universitaire atypique est aujourd'hui sujet à caution.

12 Hugo Chávez (Vénézuela)
Diplôme de Sciences et Arts militaires Fils de deux enseignants, Hugo Chavez  intègre l'armée dès l'âge de 17 ans, au sein de l'Académie militaire du Vénézuela. Il est diplômé de Sciences et Arts militaires et obtient le grade de lieutenant-colonel en 1975. Toujours dans l'armée en 1983, Hugo Chavez constitue, avec plusieurs autres militaires, le Mouvement bolivarien révolutionnaire. Entre 1989 et 1990, il intègre l'université Simon Bolivar pour y étudier la Science politique, mais abandonne après quelques mois, tournant définitivement la page des études. Moins de deux ans plus tard, il tente son premier coup d'Etat, le 4 février 1992 contre Carlos Andres Perez. Un autre coup de force et des peines de prison médiatiques finiront de forger la réputation de Chavez qui sera élu Président en 1999.

13 Ioulia Timochenko (Ukraine)
Doctorat en Economie Elevée par sa seule mère à Dniepropetrovsk, la troisième ville d'Ukraine, Ioulia Timochenko passe une bonne partie de sa scolarité dans sa région d'origine.  Le futur Premier ministre entre à la faculté d'Economie de la ville en 1979 pour y étudier la "Technologie cybernétique". Elle obtient cinq ans plus tard un diplôme d'honneur dans la discipline et se voit confier, comme chaque étudiant d'URSS arrivé à ce stade, une "tâche" : un travail d'ingénieur économique à l'usine de machines-outils de Dnipropetrovsk. Dans les années 1990, elle fait carrière dans l'industrie gazière, ce qui lui vaut le surnom de "princesse du gaz". En 1999, alors que son parcours déjà brillant, elle valide un Doctorat en Economie intitulé "La régulation du système de taxes par l'Etat". Depuis, elle aurait écrit une cinquantaine d'autres essais.

14 Viktor Iouchtchenko (Ukraine)
Doctorat en Finance Le Président d'Ukraine Viktor Iouchtchenko affiche au compteur des études presqu'aussi fournies que sa rivale Ioula Timochenko. Il est, depuis 1975, titulaire d'un Bachelor de l'institut de Finances et d'Economie de Ternopil, à l'ouest de l'Ukraine. Des études de trois ans qui ont laissé une thèse sur le "Développement de la demande et de l'offre de monnaie en Ukraine". Il effectue ensuite son service militaire dans l'armée soviétique, à la frontière turque. Après avoir exercé le métier de comptable pour la région administrative d'Ivano-Frankivsk, il est employé à partir de 1976 dans un autre secteur et est finalement promu à Kiev. C'est là qu'en 1984, il obtient un Doctorat en Finance et Crédit de l'Institut ukrainien d'Economie et d'Agriculture. A la tête de la Banque nationale d'Ukraine en 1997, il a participé à la création de la hryvnia, la monnaie ukrainienne.

15 Abdelaziz Bouteflika (Algérie)
Baccalauréat de Français et Arabe Né au Maroc en 1937 dans une famille qui avait fui la répression coloniale, le Président algérien commence sa scolarité à Oudja, sa ville natale. A 13 ans, il rejoint la populaire école de Scout d'Hassabnia, le scoutisme au Maroc étant à l'époque assimilé à la résistance au colonisateur. Après en être devenu moniteur, Bouteflika obtient un baccalauréat de Français et d'Arabe l'année de ses 18 ans. Selon sa biographie officielle, il aurait souhaité entamer des études de Philosophie quand, en 1956, le FLN demande aux jeunes de rejoindre le maquis. Abdelaziz Bouteflika intègre alors l'armée de libération nationale algérienne. Il a 19 ans. C'est donc l'instruction militaire qui attend le futur cadre, qui ne participera à aucun combat de la guerre d'Algérie.

16 José Luis Rodríguez Zapatero (Espagne)
 Licence en Droit   Après une scolarité dans divers centres religieux dont le Collège des Disciples de Jesus de León, Luis Rodríguez Zapatero rentre à l'Université de Léon. Son père est à l'époque doyen du collège des avocats de Valladolid. Conformément à la tradition familiale, il opte donc pour le Droit. Si en primaire et secondaire, le futur Premier ministre espagnol est loin au dessus de la moyenne, son niveau à l'université est décrit comme "médiocre". En 1982, il obtient tout de même sa Licence, l'équivalent d'une maîtrise en France. Son mémoire porte alors sur la communauté autonome de Castille-et-León qui obtenait le statut de communauté autonome la même année. Il devient alors professeur de droit constitutionnel. Une nomination trouble qui lui vaudra plus tard d'être soupçonné de favoritisme.

17 Bachar el-Assad (Syrie)
Doctorat de Médecine (ophtalmologie) En devenant malgré lui Président de la Syrie, Bachar el-Assad a raté sa vocation. Après des études à l'école franco-arabe al-Hurriyet de Damas, il se destinait plutôt à la médecine. Passé le Doctorat à l'université de Damas en 1988, il exerce même jusqu'en 1992 à l'hôpital militaire de Tishreen comme ophtalmologiste, puis part à Londres pour peaufiner sa spécialisation au Western Eye Hospital. C'est alors son frère, Bassel, qui doit prendre la succession du patriarche, Hafez el-Assad, à la tête de la Syrie. Mais celui-ci meurt dans un accident de voiture avant que Bachar ait pu achever sa formation. Contraint de revenir en Syrie en 1994, il entre à l'académie militaire de Homs. Il est promu Major en 1995, Lieutenant-colonel en 1997, puis Colonel de la garde présidentielle en janvier Il succèdera à son père 18 mois plus tard.

18 Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire)
Doctorat en Histoire (Sorbonne) Président de la Côte d'Ivoire depuis 2000, Laurent Gbagbo est avant tout un historien. Après avoir obtenu son baccalauréat de Philosophie en 1965 au lycée d'Abidjan, il intègre l'université et obtient une licence d'Histoire en 1969. Un diplôme qui lui permet déjà d'enseigner la discipline au lycée Abidjan Cocody. En 1970, Gbagbo est déjà un syndicaliste actif. Son enseignement, jugé subversif, lui vaut plusieurs années d'emprisonnement. C'est sans doute ce qui le pousse à choisir la France pour sa maîtrise en 1974 à la Sorbonne puis pour sa thèse en 1979 à Paris VII sur "Les ressorts socio-économiques de la politique ivoirienne, ". Gbagbo sera de nouveau contraint à l'exil en France, de 1982 à 1988, avant de pouvoir participer aux élections.

19 Nicolas Sarkozy (France)
DEA en sciences politiques et diplôme d'avocat La scolarité de Nicolas Sarkozy n'a pas été un long fleuve tranquille. Le Président français a d'abord redoublé sa 6e au lycée Chaptal. Il devra d'ailleurs quitter l'établissement pour le Cours Saint-Louis de Monceau. Son bac B en poche en 1973, il étudie le Droit privé à Nanterre et obtient sa maîtrise en 1978. De retour du service militaire, il intègre l'Institut d'études politiques de Paris qui sera un nouveau coup dur pour le chef de l'Etat. Handicapé par l'anglais selon plusieurs sources, il échoue après deux années.  En 1980, retour à Paris X Nanterre avec un DEA de sciences politiques et un mémoire sur le référendum du 27 avril 1969. Peu enclin à rester dans le monde universitaire, il envisage le journalisme puis passe finalement, en 1981, le Certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA). Le barreau sera son premier métier.

20 Álvaro Uribe (Colombie)
Diplôme d'Avocat et Certificat en Administration et Management (Harvard) Le président colombien débute sa scolarité dans des écoles jésuites de Medellin, sa ville natale, et sort diplômé de l'Institut Jorge Robledo à 18 ans.  Ses résultats étaient tellement bons, qu'il fut exempté d'examen final pendant ses deux dernières années lycéennes. Uribe intègre ensuite l'Université d'Antioquia, l'une des plus grandes du pays, où il devient avocat en 1977. Dès lors, il multiplie les postes à responsabilités : directeur de l'Agence Aéronautique Civile, maire de Medellin et enfin sénateur. Une expérience qui lui ouvre les portes d'une spécialisation en Management et Administration à Harvard grâce à un Certificat d'études spéciales. De 1998 à 1999, l'attribution d'une bourse d'études lui permettra de travailler comme professeur agrégé à l'Université d'Oxford.

21 Albert II de Monaco Bachelor en Sciences politiques
Albert II possède l'équivalent d'une licence en Sciences politiques. Après des études secondaires au lycée de son prédécesseur Albert-Ier, il passe son bac en juin 1976. L'orientation est ensuite militaire puisqu'il intègre l'École navale française où il suit une formation d'élève-officier à bord du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc. L'université sera pour plus tard. Albert II opte pour le Amherst College de Boston, classé dans les 150 premières universités mondiales.  Après sa Licence en 1981, il effectue plusieurs stages notamment à chez JP Morgan ou Louis Vuitton... Il a aussi fait de brefs passages à l'université de Bristol (Economie et Management), mais on retiendra surtout de sa jeunesse sa grande passion pour le sport : cross, javelot, handball, squash et surtout bobsleigh pour lequel il a représenté Monaco aux JO d'hiver de 1988 à 2002.

22 Herman Van Rompuy (Belgique)
Licence en Sciences économiques Ses camarades de classe pensaient sûrement qu'Herman Van Rompuy avait de la chance. Le Premier ministre belge est le fils d'un célèbre professeur d'Economie, Vic Van Rompuy, fondateur de Varo, une importante entreprise de bricolage. Après des études secondaires au collège Sint-Jan-Berchmans de Bruxelles, Herman Van Rompuy devient "bachelier" en 1968. Une qualification qui correspond, en Belgique, à  un Bac +2. Il étudie alors la "Philosophie thomiste", inspirée de Thomas d'Aquin. Mais l'économie ne tarde pas à le rattraper. En 1971, il est licencié (Bac +5) avec grande distinction en Sciences économiques de l'université catholique de Louvain, classée dans les 150 premières mondiales.  Toujours éduqué dans des écoles religieuses, il a aujourd'hui une image de conservateur dans le Parti chrétien démocrate flamand.

23 Paul Biya'a (Cameroun) Diplôme de l'Institut des hautes études d'Outre-mer Le Président du Cameroun Paul Barthélémy Biya'a bi Mvondo est le dernier chef d'Etat africain à avoir fréquenté l'Institut des hautes écoles d'Outre-mer. Ecole emblématique de la période coloniale formant, en deux à trois ans, les cadres chargés de l'administration des colonies françaises avant les mouvements d'indépendance. Paul Biya l'a rejoint dans les années 1960, l'école étant ouverte aux Africains à partir de 1956. Il y a obtenu un diplôme équivalent à un bac +5. Auparavant, il avait obtenu une Licence en Droit Public de l'Institut d'études politiques de Paris en 1961. Le président camerounais est aussi passé par l'université de la Sorbonne et le prestigieux lycée Louis le Grand à Paris après ses études secondaires au lycée général Leclerc de Yaoundé.

24 Fidel Castro (Cuba) Doctorat en Droit
Doctorat en Droit Fidel Castro n'a été reconnu par son père qu'à 17 ans, ce qui ne l'empêche pas de vivre toute son enfance dans une famille relativement aisée. Il a étudié chez les jésuites, au collège Belén de La Havane. Entré à l'université de La Havane en 1945, il obtient un diplôme en droit en 1950. Pendant ces années estudiantines, il participe aux Bogotazo, une série d'émeutes à Bogota, menées par des mouvements d'extrême gauche en 1948.  Après ses études, Castro entame une carrière d'avocat spécialisé dans la défense des plus déshérités. Adhérent du Parti "orthodoxe" du peuple cubain (PPC), il en devient le principal leader en 1952 et fonde le Mouvement national révolutionnaire. Il lui faudra encore sept années avant de prendre le pouvoir par la force.

25 Raúl Castro (Cuba) Pas de diplôme
Si son grand frère est docteur en Droit, Raùl Castro, le nouveau chef d'Etat cubain, n'a pas connu un cursus aussi rempli. Scolarisé chez les jésuites à la demande de Fidel, le petit dernier des Castro rejette comme lui les préceptes de l'Eglise et se forge rapidement une idéologie communiste. Une attitude qui le rend turbulent aux yeux de ses enseignants. Moins studieux, mais aussi moins éloquent et moins flamboyant que son frère, Raùl tente sa chance en étudiant les Sciences sociales. Mais il abandonne très vite ses études pour mener la révolution auprès de Fidel. C'est lui qui, dans l'ombre recrutera Ernesto "Che" Guevara et le présentera à Fidel.  Jusqu'à aujourd'hui, il était resté dans l'ombre de son mentor.

26 Zine el-Abidine Ben Ali (Tunisie)
Diplôme militaire de Saint-Cyr Issu d'une famille modeste d'Hammam Sousse, dans le Sahel, Ben Ali effectue ses études, jusqu'à la fin du secondaire, au Lycée des garçons de la ville, avant de rejoindre le parti Néo-Destour.  Ce dernier lutte alors pour libérer la Tunisie du protectorat français. Lorsque la France donne son indépendance au pays en 1956, Ben Ali intègre la jeune armée tunisienne. La réconciliation avec l'ancien colonisateur passe notamment par des formations militaires en France. Ben Ali obtient ainsi plusieurs diplômes de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr et de l'École d'application de l'artillerie de Châlons-sur-Marne. Il suivra aussi, aux Etats-Unis, les enseignements militaires de Fort Holabird (Maryland) et de Fort Bliss (Texas). Il est aussi titulaire d'un diplôme d'ingénieur en électronique.

27 Silvio Berlusconi (Italie)
Doctorat en Droit On connaît autant, ou presque, le Silvio Berlusconi homme politique, que le Silvio Berlusconi homme d'affaires. L'actuel Premier ministre italien a fait sa fortune dans le bâtiment, les médias et l'édition, notamment avec les géants Fininvest et Mediaset. On connait un peu moins le chemin qu'il a pris pour entamer cette brillante carrière. Après avoir bouclé le secondaire au collège Saint François de Sales de Milan, Silvio Berlusconi intègre l'université Statale où il suit des cours de Droit. La vie de juriste intéresse pourtant peu le jeune Berlusconi qui préfère valider, en 1961, une thèse de doctorat sur les aspects légaux de la publicité. Pendant ses années étudiantes, Silvio Berlusconi a aussi été joueur de basse dans un groupe de rock formé avec le futur président de Mediaset.

28 Pratibha Devisingh Patil (Inde)
Master en Sciences politiques et économiques Au collège, Pratibha Devisingh Patil, la Présidente de l'Inde, avait déjà tout d'un leader. Réputée imbattable au tennis de table, elle a gagné de nombreux championnats inter-collèges. En 1962, année de son entrée à l'Assemblée, elle a même été élue "Reine du collège" de Jalgaon, à 300 km au nord de Bombay. Pratibha Devisingh Patil est diplômée d'un Master de Sciences politiques et économiques du Mooljee Jetha College, affilié à l'université du Nord-Maharashtra de Jalgaon. Plus tard, elle obtiendra aussi un Bachelor de Droit du collège gouvernemental de Bombay. Membre du congrès national à 27 ans, pendant ses années étudiantes, elle deviendra ministre-adjoint à l'Education dès 1967. Elle est devenue la première femme présidente de l'Inde en 2007.

29 Mohammed VI (Maroc) Doctorat en Droit
Doctorat en Droit Certificat d'études en 1973 puis bac en 1981 au Collège Royal de Rabat, licence en Droit à la faculté des Sciences juridiques, Certificat d'études supérieures en Sciences politiques, DEA en Droit Public avec mention... Le cursus de Mohammed VI est une véritable bible. Le roi du Maroc a même effectué en 1988 un stage auprès de Jacques Delors, président de la Commission européenne. La dernière escale de ces longues études sera d'ailleurs la France et l'université de Nice Sophia-Antipolis où il obtient la mention "très honorable", pour sa thèse sur "La coopération entre la Communauté Économique Européenne et l'Union du Maghreb Arabe". Chargé dès son plus jeune âge de missions de représentation, "M-6" a également été nommé en 2000 Docteur honoris causa à l'Université George Washington, classée parmi les 300 meilleures universités mondiales.

30 Vladimir Putin (Russie)
Doctorat en Economie La première école de Vladimir Putin, située en face de sa maison à Leningrad, porte le numéro 193. Le futur Premier ministre est alors exclu du Mouvement des pionniers, les jeunesses soviétiques,  pour son mauvais caractère. Le sport, et en particulier le judo, adoucira son tempérament et Putin rêve bientôt d'imiter les héros de l'armée rouge. Suivent des études de Droit à l'université de Leningrad, l'une des plus grandes et plus prestigieuses de Russie, et un mémoire en 1975 sur la politique des États-Unis en Afrique. Il devient alors membre à part entière du Parti communiste. Selon sa biographie officielle, il obtiendra plus tard, en 1997, un Doctorat en Economie de l'Institut des Mines de Saint-Pétersbourg. Après une ultime formation à Moscou, il entre au KGB et passera l'essentiel de son service en Allemagne.

31 Dmitri Medvedev (Russie)
Doctorat en Droit civil L'actuel Président de Russie, Dmitri Medvedev, n'a rien à envier à son mentor (et probable successeur) Vladimir Putin. Fils de deux professeurs vivant aux abords de Saint-Pétersbourg, il est titulaire d'un premier diplôme de Droit civil de l'Université de Leningrad en 1987, puis d'un doctorat en 1990 avec le titre de professeur associé. Sportif comme Vladimir Putin, il est cependant plus porté sur l'haltérophilie, pour laquelle il remporte plusieurs compétitions, que sur le judo. Mais c'est surtout la photographie et la musique qui passionnent le futur chef d'Etat.  Un avantage pour les Etats-Unis : Dmitri Medvedev serait notamment un grand admirateur du groupe de heavy metal "Black Sabbath" emmené par Ozzy Osbourne.

32 Robert Mugabe (Zimbabwe)
Master en Sciences (+6 autres diplômes) Robert Mugabe est souvent présenté comme un chef d'Etat surdiplômé. Après avoir passé une enfance solitaire à la mission catholique de Kutama, il glanera en effet pas moins de sept diplômes universitaires. La majorité par correspondance pendant sa lutte pour transformer l'ancienne Rhodésie du sud Anglaise en Zimbabwe indépendant : un Bachelor d'Histoire de l'université de Fort Hare en 1951 ; un Bachelor d'Administration et un autre d'Education à l'université d'Afrique du Sud en 1957 ; et enfin, à l'université de Londres, un Bachelor et un Master de Droit pendant qu'il est en prison de 1964 à 1974, puis un Bachelor et un Master Sciences lors de son premier mandat de Premier ministre de 1980 à 1987. En plus de tous ses diplômes, le très controversé Mugabe précise aussi à qui veut l'entendre qu'il est "diplômé en violence".

33 Cristina Kirchner (Argentine)
Diplôme d'Avocat On en sait relativement peu sur la scolarité de Cristina Kirchner avant l'université. Il faut dire que tout s'est joué dans les années estudiantines pour celle qui est aujourd'hui l'une des rares femmes à la tête d'un Etat dans le monde. C'est à l'université des Sciences légales et sociales de La Plata qu'elle a obtenu le diplôme d'avocat en 1979. C'est aussi pendant cette période qu'elle adhère au "Parti judicialiste", le parti de gauche, péroniste, argentin. Et c'est aussi sur les bancs de la faculté qu'elle rencontre Néstor Kirchner qui la précédera à la Casa Rosada (l'Elysée argentin). En 2003, c'est lui qui remporte la présidentielle.  Mais la première dame, plus populaire et forte de plusieurs victoires électorales, ne tardera pas à succéder à son mari, quatre ans plus tard.

34 Stephen Harper (Canada)
Master en Economie Stephen Harper a été diplômé sur le tard. Ce n'est qu'à 34 ans qu'il obtient son master en Economie, l'équivalent d'un bac +5. Il faut dire que malgré une scolarité brillante, ses études ont été parsemées d'interruptions. En 1978, il sort premier du Richview Collegiate Institute avec une moyenne de 95 %. Il a même fait partie de l'équipe du collège pour le célèbre jeu télévisé "Reach for the Top". Il commence alors ses études à l'université de Toronto, mais abandonne et s'installe à Edmonton. Il travaille ensuite pour Imperial Oil où il est programmateur informatique. Dans les années 1980, il décide de reprendre ses études à Calgary d'où il sort avec un Bachelor en économie (l'équivalent d'un bac +3). Déjà très impliqué dans le parti conservateur, il n'obtiendra son Master qu'en 1993.

35 Benjamin Netanyahu (Israël)
Master en Management au MIT La famille de Benjamin Netanyahu quitte Israël pour les Etats-Unis quand il avait 14 ans. Le jeune Benjamin suivra ses études à la Cheltenham High School à la périphérie de Philadelphie. A peine sortie du lycée, la guerre des Six jours éclate en 1967, et il rejoint l'armée israélienne où il est fait commandant de compagnie avec les honneurs. Après un bref retour à la vie civile, il reprendra les armes en 1973, pendant la guerre du Kippour. Le Premier ministre israélien intègre ensuite le prestigieux Massachusetts Institute of Technology et obtient un Bachelor en Architecture en 1975 et un Master en Management en 1977. Il étudiera également les Sciences politiques à Harvard avant d'intégrer le Boston Consulting Group. Cette période américaine lui permettra de commencer sa carrière politique à l'ambassade d'Israël à Washington en 1982.

36 Omar Bongo (Gabon) Baccalauréat technique
Omar Bongo, le Président du Gabon, est né en 1935 à la frontière du Congo. Dernier né d'une famille de douze enfants, il est confié à un tuteur après la mort de son père. Celui-ci lui interdit d'aller suivre des études en France, ce qui amène le futur chef d'Etat à partir seul pour le lycée technique de Brazzaville. Une fois diplômé, il devient fonctionnaire aux Postes et Télécommunication de Brazzaville. C'est son service militaire et sa carrière dans l'armée de l'Air qui ouvrent son ascension politique. Après un passage dans les services secrets français, il est affecté au ministère des Affaires étrangères gabonais. En 1962, il devient directeur-adjoint du cabinet du président M'Ba et lui succèdera à sa mort en 1967.

37 Nouri al-Maliki (Irak)
Master en Littérature arabe Premier ministre irakien depuis 2006, Nouri Kamal al-Maliki a fait l'essentiel de ses études à Bagdad dans les années 1960. D'abord avec un Bachelor au Usul al-Din College, puis avec un Master en Littérature arabe à l'université de la capitale. Pendant ses années estudiantines, il rejoint le parti chiite Dawa. Dans les années 1980, ce dernier soutient la révolution islamique en Iran, ce qui pousse le régime de Sadam Hussein à le réprimer durement. Maliki se réfugie alors pendant plusieurs années en Iran, puis en Syrie. Là bas, il prend la tête de la lutte des Irakiens de l'étranger. Son pseudonyme de guerre "Jawad" assure sa popularité et l'a rendu incontournable lorsque les Américains ont décidé de confier le pouvoir aux Irakiens après la chute de Saddam Hussein.

38 Lech Kaczynski (Pologne)
Doctorat en Droit On en sait peu sur leur scolarité. Pourtant, les frères Kaczynski se sont fait connaître très jeunes dans toute la Pologne.  En 1962, l'actuel Président Lech et l'ancien Premier ministre Jaroslaw ont joué dans un film basé sur un conte pour enfant. Ils y incarnaient deux bambins qui s'étaient fixés comme objectif de voler la lune... Dix-huit ans plus tard, Lech poursuit un nouvel astre. Inscrit à l'université, il est devenu un pilier du mouvement anti-communiste et commence son ascension politique. Diplômé en Droit et administration de l'université de Varsovie, il devient docteur en Droit en 1980, à Gdansk. La même année, il est nommé conseiller du mouvement Solidarnosc. Une position flatteuse qui ne l'empêchera pas de poursuivre ses recherches jusqu'en 1990, année où il reçoit son habilitation pour devenir professeur de Droit du travail.

39 Mouammar Kadhafi (Libye)
Diplôme d'officier dans le corps des transmissions Issu d'une famille de paysans bédouins et élevé dans le désert, Mouammar Kadhafi reçoit une éducation très religieuse. Alors qu'il suit les cours de l'école préparatoire de Sebha dans le Fezzan, au sud-ouest de la Libye, il crée, avec des amis, un groupuscule révolutionnaire. Un premier acte politique contre le pouvoir en place qui lui vaut d'être exclu de l'école en 1961. Passionné par l'Egyptien Nasser et son courant panarabe, Kadhafi se dirige alors vers le Droit. A l'université de Libye, il obtient un diplôme dit "de seconde classe", le "2:1 Hons", équivalent à un bac +3. Sa formation est ensuite essentiellement militaire : à l'académie militaire de Benghazi en 1963, où il réactive son mouvement contre la monarchie en place, puis au British Army Staff College en Angleterre, où il obtient, en 1966, le grade d'officier dans le corps des transmissions

40 Evo Morales (Bolivie) Pas de diplôme
Loin des grandes écoles, le Président de la Bolivie Evo Morales a construit sa carrière politique sur le syndicalisme. Issu d'une famille de paysans indiens, il est contraint de quitter l'école très jeune pour subvenir à ses besoins.  Sa biographie mentionne alors une succession de jobs divers comme boulanger, maçon ou même trompettiste.  De retour du service militaire, il rejoint la région du Chapare, composée d'une importante population indienne. Il vit alors comme une injustice la lutte contre les stupéfiants orchestrée par les Etats-Unis qui empêche les paysans locaux de cultiver la coca, leur principale source de revenus. C'est ce combat politique chez les "cocaleros" qui le mènera jusqu'à la présidence en Pendant son mandat, Evo Morales a été fait docteur honoris causa des Universités du Panama, de La Plata et de Moscou.

41 Hosni Moubarak (Egypte)
Diplôme d'instructeur de l'Armée de l'air Comme plusieurs dirigeants africains, Mohammed Hosni Moubarak est passé par des études et une carrière militaire avant d'accéder au pouvoir. Après le lycée, il obtient un premier sésame à l'Académie militaire égyptienne avant d'entrer, en 1950, à l'Académie de l'air. Deux ans plus tard, il reçoit le diplôme d'instructeur, terminant major de sa promotion. Dès lors, il ne cesse de monter en grade  :  commandant de l'Académie de l'Air en 1967, il a la lourde tâche de former de futurs pilotes après la défaite des "6 jours".  Il devient ensuite chef d'Etat major de l'aviation en 1969, commandant en chef puis vice-ministre de la guerre en 1972 et enfin vice-président en 1975.  Au lendemain de l'attentat contre Sadate en 1981, il apparaît comme son logique successeur. Hosni Moubarak a toujours été réélu depuis.

42 Abdoulaye Wade (Sénégal)
Doctorat en Droit Comme beaucoup de chefs d'Etat africains, Abdoulaye Wade a conservé de ses études un lien très fort avec la France. Après un diplôme de fin d'études à l'École normale fédérale William Ponty à Sébikotane en 1947, le Président sénégalais, âgé aujourd'hui de 83 ans, poursuit ses études en métropole. Les Mathématiques élémentaires et supérieures seront sa première discipline phare au lycée Condorcet (Paris), entre 1951 et 1952. Direction l'université de Besançon l'année suivante puis l'université de Grenoble où Abdoulaye Wade valide un doctorat en Droit et Sciences économiques en 1959. Sa thèse est alors baptisée "l'Economie de l'Ouest africain : unité et croissance". Wade exercera le métier d'avocat en France puis à Dakar avant enseigner à l'Université et enfin de se consacrer à la politique.

43 Joseph Kabila Kanambe (RDC)
Pas de diplôme et qualification N’ayant qu’un certificat d’école primaire ,il abandonna ses études secondaire faute de moyen et se convertit pour survivre en taximan, barman et mécanicien dans les villes de Dar-es-salaam et de Kigoma en Tanzanie. Formé comme OR (officier de renseignement) au Centre de formation des services de renseignement de l’armée Rwandaise ,il fut envoyé en Chine par après pour une formation militaire accélérée qui encore une fois de plus n’a pas été achevée, après l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, il le succéda d’une façon controversée et devint le chef de l’Etat de l’un de pays le plus riche du monde: La République Démocratique de Congo.

44 Diplômes retenus Dans ce dossier, a été mis en avant, pour chaque Président ou Premier ministre, le plus haut diplôme obtenu lors de son cursus scolaire et universitaire. Les titres de Docteur honoris causa n'ont pas été pris en compte, relevant plus d'une distinction honorifique accordée après les études que d'un véritable travail d'étudiant. Selon les hommes et femmes de pouvoir, il n'a en outre pas été possible, dans tous les cas, d'établir la liste complète des diplômes obtenus. Enfin, les intitulés des diplômes obtenus à l'étranger ont été régulièrement comparés à un niveau équivalent en France (bac +2, +3 ou +5...), ce qui peut parfois amener à des biais.


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