La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Version de travail non définitive n°1

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Version de travail non définitive n°1"— Transcription de la présentation:

1 Version de travail non définitive n°1
pour Vision et attentes des grandes entreprises à l'égard des experts comptables et des auditeurs EPSY 242, boulevard Jean-Jaurès 92100 Boulogne Billancourt Tel : Fax : EPSY / DCM : SAS AU CAPITAL DE € - RCS NANTERRE B – SIRET – CODE APE 7320Z TVA INTRACOMMUNAUTAIRE : FR

2 RAPPEL DE LA METHODE Rappel du contexte et de la méthode Echantillon

3 1. Rappel du contexte et de la méthode
La première étude réalisée auprès des dirigeants et responsables de grands groupes sur leurs attentes à l'égard de la profession comptable et des auditeurs Rappel du contexte : Denjean & Associés, cabinet d'audit, d'expertise comptable et de conseil spécialisé grands comptes, a souhaité recueillir les attentes des dirigeants des grandes entreprises à l'égard des professionnels de l'expertise comptable et de l'audit. Il a fait appel au cabinet Epsy pour réaliser une enquête auprès des directions financière, comptable et générale.

4 1. Rappel du contexte et de la méthode
Rappel de la méthode : Questionnaire élaboré par le cabinet Epsy, en collaboration avec VP Strat et le cabinet Denjean & Associés. Les cibles du questionnaire sont les directeurs financiers, administratifs et comptables, dans des entreprises de 50 à 2000 salariés et plus. L'administration du questionnaire a été réalisée essentiellement par téléphone auprès des cibles, à l'aide de l'annuaire des directeurs financiers, et également par enquête en ligne (envoi par courriel). Un total de 200 questionnaires ont été remplis (175 entretiens téléphoniques et 25 réponses par l'enquête en ligne). Le terrain s'est déroulé du 22 novembre 2011 au 30 janvier Cette longue durée s'explique par la qualité des répondants : directeurs généraux, directeurs généraux adjoints, directeurs financiers, administratifs ou comptables. Tous les entretiens ont nécessité des prises de rendez-vous par téléphone, en raison de la qualité des interlocuteurs.

5 2. Echantillon A. Fonction de la personne interrogée :
(15 entreprises) (25 entreprises) (67 entreprises) (93 entreprises) Base répondants : 200 Les interviewés occupent exclusivement des fonctions de Direction, qu'il s'agisse de fonction de Direction générale ou fonctionnelle. Pour celles-ci, les Directeurs financiers sont les plus nombreux, suivis des Directeurs comptables ou administratifs.

6 2. Echantillon B. Secteur économique de l'entreprise (présentation selon la nomenclature INSEE) : Base répondants : 200 Les principaux secteurs économiques sont représentés dans l'étude, principalement les services et l'industrie, puis le commerce, la distribution et l'agroalimentaire. Ont été également interrogées des entreprises spécialisées, financières ou encore du BTP.

7 2. Echantillon C. Effectif salarié de l'entreprise :
(73 entreprises) (75 entreprises) (52 entreprises) Base répondants : 200 L'échantillon interrogé représente le tissu des moyennes/grandes entreprises. Chaque segment représente environ un tiers de l'ensemble.

8 2. Echantillon D. Chiffre d'affaires de l'entreprise :
(46 entreprises) C.A. > 100 Millions € : 67,0% (39 entreprises) (soit 134 entreprises) (49 entreprises) (27 entreprises) C.A. < 100 Millions € : 33,0% (20 entreprises) (soit 66 entreprises) (19 entreprises) Base répondants : 200 Les entreprises interrogées, pour les deux tiers d'entre elles (67,0%), génèrent un chiffre d'affaires supérieur à 100 millions d'euros et pour un tiers un chiffre d'affaires inférieur à 100 millions d'euros.

9 PRESENTATION DES RESULTATS DE L'ENQUÊTE
L'image du métier d'expert comptable La réglementation de la profession comptable Le métier d'auditeur et de commissaire aux comptes L'externalisation Les relations entre clients et cabinets La pluridisciplinarité L’attractivité du métier d’expert-comptable

10 1. L'image du métier d'expert comptable
1. Vous choisissez un expert-comptable en fonction (plusieurs réponses possibles) : En % des répondants

11 1. L'image du métier d'expert comptable
2. Vous avez connu votre expert-comptable en raison de (plusieurs réponses possibles) : En % des répondants

12 1. L'image du métier d'expert comptable
Le choix de l'expert comptable : Le principal critère de sélection d'un expert-comptable est, pour plus de huit répondants sur dix (82,0%), son expertise et la compétence de ses équipes. Viennent ensuite les tarifs (44,5%) et la capacité à communiquer avec le commissaire aux comptes (23,4%). L'indépendance et la signature ne sont cités chacun que par 14,8% des répondants. Et la capacité à externaliser des effectifs ne constitue qu'un critère de choix très mineur (9,8%). Il y a peu de différences dans les réponses en fonction du chiffre d'affaires. La connaissance de l'expert comptable : Pour une majorité de répondants, ils n'ont pas choisi leur prestataire comptable ; 53,1% déclarent qu'il s'agit du conseil historique de la société. Toutefois, pour ceux ayant eu le choix, c'est la recommandation et/ou prescription qui a amené à connaître l'expert comptable (30,8%). La réputation ne représente que 14,0% des réponses. A noter la très faible part des outils de communications (plaquette, site internet, publicité…), qui ne représentent que 0,7% des réponses. Le recours à la communication pour la profession n'en est encore qu'à ses balbutiements. Le montant du chiffre d'affaires n'a pas d'influence dans les réponses. A noter qu'un certain nombre de sondés (72 pour la première question et 57 pour la seconde) se sont déclarés ne pas être en mesure de répondre à ces questions car n'ayant pas la main (choix sur liste limitée par les holdings) ou ne faisant appel qu'à des cabinets d'audit.

13 1. L'image du métier d'expert comptable
Enfin pour bien comprendre les résultats de l'enquête, il convient d'avoir présent à l'esprit le mode de fonctionnement des clients des cabinets. Plus l'entreprise est importante et plus les périmètres d'intervention des directions sont limités, alors que dans les plus petites, le ressort de compétence est plus large. Aussi en fonction de la nature de l'entreprise, les interviewés seront impliqués de manière différente aux questions posées.

14 2. La réglementation de la profession comptable
3. Est-il important pour vous que le cabinet avec lequel vous travaillez appartienne à une profession réglementée (ordre professionnel) ? En % des répondants Total "Important" : 90,1% (174 entreprises) Total "Pas Important" : 9,9% (19 entreprises) Base répondants : 193

15 2. La réglementation de la profession comptable
En % des répondants Base répondants : 196 Base répondants : 196 Base répondants : 193

16 2. La réglementation de la profession comptable
L'appartenance à l'ordre professionnel : Neuf répondants sur dix (90,9%) jugent important que le cabinet avec lequel ils travaillent appartienne a une profession réglementée (dont 52,3% : "Très important"). L'interdiction du recours aux professionnels non réglementés est bien connu dans l'ensemble (76,5%). Le professionnel appartenant à une profession réglementée apparait de fait comme "capable", "compétent", "digne de confiance", "référent". Le montant du chiffre d'affaires n'a pas d'influence dans les réponses pour cette série de questions. L'assurance recours : Celle-ci est légèrement moins connue, même si son existence en cas de travail avec un professionnel réglementé est connue pour près des deux tiers des répondants (65,3%). Toutefois, près des trois quarts des répondants (73,1%) ne demanderont pas à l'avenir à leurs conseils s'ils ont ce type d'assurance, pour la simple raison qu'ils la considèrent implicitement incluse dans la prestation de conseil fournie par le professionnel réglementé. Ils ne conçoivent pas de travailler avec un prestataire qui n'offrirait pas de protection, et incluent cette assurance recours dans un package d'ensemble.

17 2. La réglementation de la profession comptable
En % des répondants Base répondants : 191 Base répondants : 195

18 2. La réglementation de la profession comptable
Les réformes de la profession comptable : Les répondants se déclarent très peu concernés par ces réformes (17,3%), et la proportion est encore moindre concernant les personnes déclarant avoir déjà été "démarchées" par un expert comptable (13,3%). Ceci peut être imputable au fait que les démarcheurs comptables doivent la plupart du temps faire face à un voire plusieurs filtres avant d'atteindre leur interlocuteur, qui n'en est pas averti (mail, téléphone, courrier). D'autre part, la pratique du démarchage dans la profession comptable serait encore assez minoritaire. Les entreprises ayant le niveau de chiffre d'affaires le plus bas se déclarent un peu plus concernés par l'évolution de la profession comptable que les autres.

19 3. Le métier d'auditeur et de commissaire aux comptes
En % des répondants Base répondants : 200 Base répondants : 200 Base répondants : 200

20 3. Le métier d'auditeur et de commissaire aux comptes
Le co-commissariat aux comptes : La préconisation de ne pas choisir un "big" comme co-commissaire aux comptes est jugée par une courte majorité de répondants comme une bonne chose (50,0%). Pour 38,0% d'entre eux, cette préconisation ne présente pas d'intérêt. A noter ici que cette préconisation a reçu des critiques de la part d'une minorité d'interviewés, dans la mesure où un cabinet de taille modeste n'aura pas forcément la capacité à traiter la demande d'un client de grande dimension. Cette mesure serait donc incompatible avec les besoins de certaines entreprises. La séparation entre l'audit et le conseil : Celle-ci constitue une bonne chose pour trois quarts des répondants (75,0%). Ils évoquent la nécessité de ne pas être juge et parti pour justifier cette séparation.

21 3. Le métier d'auditeur et de commissaire aux comptes
Les mandats des CAC : La limitation des mandats de commissariat aux comptes est une bonne chose pour huit répondants sur dix (80,5%). Actuellement cette durée en France est de 6 ans. Certains jugent cette durée encore trop longue, et souhaiteraient la voir ramenée à 3 ans, voire à renouveler chaque année, évoquant les exemples de législation étrangère (Angleterre, Canada) en la matière. Cela amènerait une concurrence accrue entre les cabinets et une remise en question qui apporterait une plus value par rapport à l'obligation que représente le recours aux commissaires aux comptes. Mais pour une minorité de répondants, une durée de mandat revue à la baisse ne permettrait pas une collaboration approfondie entre le cabinet de CAC et l'entreprise. La collaboration sur le long terme favorise la bonne connaissance de l'entreprise, nécessaire au bon déroulement du travail des CAC.

22 4. L'externalisation 12. Dans votre entreprise, les services administratifs et comptables sont-ils externalisés ? En % des répondants (soit 35 entreprises) (soit 165 entreprises) Base répondants : 200

23 4. L'externalisation En % des répondants Base répondants : 194

24 4. L'externalisation 14. A l'instar d'autres secteurs, auriez-vous recours : En % des répondants Base répondants : 166 Base répondants : 166

25 4. L'externalisation Une externalisation rare :
17,5% des responsables interrogés déclarent avoir externalisé leurs services administratif et comptable. Ce pourcentage dépasse les 20% pour ceux qui dirigent des entreprises de moins de 99 millions d'euros de chiffre d'affaires. Trois répondants sur quatre (75,3%) se disent "choqués" à l'idée que leur expert comptable puisse commercialiser d'autres produits et prestations (assurances, fournitures de bureau, services d'huissier, domiciliation, placements de produits financier) : "À chacun son métier". Ils justifient leur réponse par une crainte que la qualité du service comptable ne se détériore en cas de diversification d'activité. A noter que certaines directions coiffent ou englobent les achats et peuvent être sensibles à la proposition. Plus l'entreprise est importante et moins les responsables se disent choqués. La délocalisation des équipes comptables à l'étranger est jugée choquante (67,3%), mais moins que la diversification d'activité. La proximité avec le cabinet comptable est avancée ici pour justifier cette réponse, de même que la nécessité d'une bonne connaissance de la fiscalité du pays de l'entreprise cliente. Si les rapports et la qualité de la prestation restent intacts, les répondants seraient prêts à l'accepter, mais ne croient pas que cela soit possible, d'où leur choix de se déclarer "choqué" à l'idée de la délocalisation des équipes de l'expert comptable.

26 4. L'externalisation Ni les plateformes d'achat par internet (8,4%) ni les services achat d'intérim (9,0%) ne constituent des vecteurs de sélection d'un expert comptable pour les répondants, arguant le plus souvent qu'ils préfèrent ne pas passer par un tiers et faire usage de recommandation pour choisir et contacter un expert-comptable.

27 5. Les relations entre clients et cabinets
En % des répondants Base répondants : 144 Base répondants : 151 Base répondants : 137

28 5. Les relations entre clients et cabinets
Dans l'ensemble, les répondants se montrent satisfaits des relations avec leur expert comptable et son équipe : Près de huit répondants sur dix (79,2%) déclarent pouvoir être assistés par leur expert comptable sur une problématique internationale, et lorsque ce n'est pas le cas, c'est souvent car celle-ci ne s'est pas posée. Le turnover, décrit comme assez fréquent par les répondants, ne pose en majorité (58,9%) pas de problèmes. Mais pour 41,1% des répondants, les problèmes décrits dans ce turnover renvoient à la répétition d'un processus d'apprentissage des rouages de l'entreprise, jugé chronophage. Ce n'est pas la préoccupation des directeurs, mais plutôt de leur équipe. La qualité de prestation fournie par les experts comptables est supérieure à celle fournie par les sociétés d'intérim pour une très large majorité des répondants (92,0%), qui font le distinguo entre un partenaire privilégié sur le moyen/long terme, et un partenaire occasionnel et avec qui le relationnel n'est pas aussi approfondi.

29 6. La pluridisciplinarité
19. Souhaiteriez-vous à moyen terme que les métiers d'experts-comptables, de juristes et de conseils, soient regroupés dans la même profession ? 20. Ce serait (une seule réponse possible) : En % des répondants En % des répondants Base répondants : 192 Base répondants : 199

30 6. La pluridisciplinarité
Le regroupement de métiers : Deux répondants sur trois (65,6%) ne souhaitent pas voir les métiers d'experts comptables, de juristes et de conseils regroupés dans la même profession, évoquant le risque de perte de compétence au travers d'une demande de polyvalence trop élevée. Certains, toutefois, affirment que c'est déjà plus ou moins le cas, au sein des entreprises, par le biais de différentes entités juridiques regroupées sous la même enseigne, ou sous des enseignes différentes au sein d'un même groupe. S'ils ne souhaitent pas voir ces trois professions regroupées, c'est principalement parce que cela représente un risque car on concentre trop de d'activités dans la même main (63,8%). Mais un quart des répondants (25,1%) verrait ce regroupement d'un bon œil car cela permettrait moins d'intervenants, ce qui fluidifierait les process. Toutefois, il convient de noter que nombre de répondants font part de l'existence de pratiques de fonctionnement regroupé. A noter que 11,1% ne se sentent pas concernés par les problèmes de ces professions.

31 7. L’attractivité du métier d’expert-comptable
21. Pensez-vous qu'au bout de 5 ans, un jeune expert comptable gagne davantage : En % des répondants Base répondants : 164 Base répondants : 161 Base répondants : 161

32 7. L’attractivité du métier d’expert-comptable
L'expert comptable par rapport… Au jeune diplômé d'une école de commerce justifiant de 5 ans d'expérience : pour 79,2% des répondants, l'expert comptable ne gagnera pas plus, et même souvent moins. A l'ingénieur justifiant de 5 ans d'expérience : même tendance, avec 74,5% de répondants estimant que le jeune expert comptable ne gagnera pas plus. A un diplômé d'université justifiant de 5 ans d'expérience : ici, de l'avis majoritaire des répondants (72,0%), le jeune expert comptable gagnera plus. L'expérience n'est pas ici mise en cause, c'est la nature du diplôme, celui de l'expert comptable, l'inscrivant dans l'ordre professionnel réglementé des experts comptables. Le diplômé d'université n'aura pas forcément d'équivalence aussi valorisante. Selon les répondants, le jeune expert comptable est relativement moins payé comparativement à ses compétences, et sa rémunération peut varier selon plusieurs facteurs : S'il travaille en cabinet en tant que collaborateur ou s'il est associé (cas de figure plus rare pour les jeunes expert comptables), S'il s'agit d'un cabinet dit "big" ou d'un cabinet de taille plus modeste. Pour cette série de questions, il n'y a pas beaucoup de différences selon la tranche de chiffre d'affaires.

33 7. L’attractivité du métier d’expert-comptable
22. Inciteriez-vous votre enfant à suivre des études d'expertise-comptable afin de travailler dans un cabinet d'expertise comptable ? : En % des répondants Base répondants : 194

34 7. L’attractivité du métier d’expert-comptable
L'incitation à exercer le métier d'expert comptable : Une majorité de répondants (55,2%) se déclarent enclins à inciter leur enfant à suivre des études d'expertise comptable afin de travailler dans un cabinet d'expertise comptable. Deux lectures qui se confondent peuvent être opérées sur ce chiffre : "Oui, j'inciterai spontanément mon enfant à faire des études d'expertise comptable", "Oui, j'encouragerai mon enfant à suivre des études d'expertise comptable s'il y manifeste de l'intérêt", sous-entendu "Pourquoi pas ?". Pour le "Oui" comme pour le "Non" à cette question, les répondants ayant par le passé travaillé dans des cabinets d'expertise comptable ont souvent mis en avant leur expérience pour motiver leur réponse. Les uns mettaient en avant un métier porteur et très formateur sur le milieu financier, les autres évoquaient la nécessité d'un fort investissement dans ce métier, au détriment de la vie personnelle, certains allant même jusqu'à qualifier la voie de "sacerdoce". Tous s'accordaient sur la nécessité d'une certaine appétence pour les chiffres.


Télécharger ppt "Version de travail non définitive n°1"

Présentations similaires


Annonces Google