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Formation Qualiroutes

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Présentation au sujet: "Formation Qualiroutes"— Transcription de la présentation:

1 Formation Qualiroutes
Module 6 Plan Qualité François Timmermans Version

2 Evolution du cahier des charges type
Introduction Combien de fois apparait le mot « qualité » dans le document « Qualiroutes_2019_01 »? Evolution du cahier des charges type Avant 1980 Routes et autoroutes relèvent du pouvoir fédéral 1953 CCT TB252 1961 CCT TB108 (bleu) 1967 CCT TB108 (rouge) 1972 CCT TB108 et ses suites 1978 CCT 150 Après 1980 Réforme de l’état - pouvoirs aux régions et communautés 1982 CCT réseau des petites voiries 1991 CCT W10 - routes régionales et autoroutes 1999 CCT RW99 2004 CCT RW99 – 2004 2012 CCT Qualiroutes Faire une recherche en direct sur le document Qualiroutes_19 (pas oublier d’enlever le nombre de page car le mot « qualité » apparait en entête de chaque page) 1662 résultats – 1441 pages = 221 fois. « Plan qualité » apparait 8x et « Qualiroutes-A-1 » 22x. Comme il sera montré plus loin, le terme qualité apparait de manière implicite dans le chapitre K. Evolution des versions à montrer sur le site Qualiroutes

3 Déroulement Formation
Composer 3 à 5 équipes de 3 à 7 personnes Élaboration des questions  en équipe : au moins une de ces questions doit être factuelle au moins une des autres questions doit être ouverte, permettant des réponses divergentes. Première session de quizz  : sans note et sans se parler. Inviter les participants à prendre des notes! Élaboration des questions  : Demander aux participants de chaque équipe de comparer leurs notes, de discuter de ce qu’ils ont entendu pendant le segment de conférence, et d’établir une série de questions : au moins une de ces questions doit être factuelle, c’est-à-dire ne doit faire appel qu’à la mémorisation pure avec une réponse sans ambiguïté au moins une des autres questions doit être ouverte, permettant des réponses divergentes. Bien que cette question repose sur ce que vous avez dit, la question doit aller plus loin que la simple mémorisation. Deuxième session de quizz  : avec notes et concertation.

4 Site de mise à disposition
Supports de référence Site de mise à disposition

5 Philosophie générale Plan Qualité (PQ) ou Plan d’assurance qualité (PAQ) Document spécifiant quelles procédures et ressources associées doivent être appliquées par qui et quand, pour un projet ou un contrat particulier. Dans le domaine du bâtiment et des travaux publics : Document de base qui définit l'organisation spécifique mise en place sur le chantier par l'entreprise et que remet l'entreprise au représentant technique du client (le maître d'œuvre) ou bien au client (maîtrise d'ouvrage ou pouvoir adjudicateur) Wikipédia – plan qualité

6 Evolution du nombre de certificat ISO 9001 dans le monde
Philosophie générale 1924 (États-Unis) : Walter A. Shewhart (1891 – 1967) 1940 (États-Unis) : William Edwards Deming (1900 – 1993) 1950 (Japon) : amélioration de la qualité devient un impératif national 1987 (Monde) : Naissance des normes de la série ISO 9000 1999 (Wallonie) : Document de référence RW 99-A-1 Deming Shewhart Evolution du nombre de certificat ISO 9001 dans le monde Pendant la seconde guerre mondiale William Edwards Deming a utilisé ces méthodes pour la fabrication de munitions et d'autres produits d'importance stratégique La roue de Deming est un moyen mnémotechnique qui permet de repérer avec simplicité les étapes à suivre pour améliorer la qualité dans une organisation. Il ne faut pas faire comme ce vice-président d'une société d'ingénierie qui pensait que le sigle PDCA signifiait please don't change anything (« prière de ne rien changer »). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart (1924), c'est le statisticien William Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle de Shewhart (the Shewhart cycle). ISO par Organisation internationale de normalisation D’après les chiffres Roue de Deming - PDCA (plan-do-check-adjust) (1950)

7 Obligation de résultats
Philosophie générale Anciens articles 1137 et 1147 du code civil Obligation de moyens Obligation de résultats Lorsque le débiteur est tenu d’apporter les soins et diligences normalement nécessaires à l’obtention d’un résultat qu’il n’a pas promis Lorsque le débiteur a promis de parvenir à un résultat déterminé En réalité, la nature de l’obligation a « seulement » un impact sur la charge de la preuve en cas d’inexécution. Équilibre: Plan Qualité Responsabilisation de l’entrepreneur (yc pour les non conformités) « Bien faire les choses » et « Faire les choses biens ». En droit, le terme débiteur désigne la personne ayant une obligation à l'égard d'une autre, appelée le créancier. Cette obligation peut notamment porter sur le paiement d'une somme d'argent (une dette) ou l'exécution d'une prestation. En clair, qui devra prouver quoi si l’obligation n’est pas exécutée telle qu’elle a été convenue : dans le cas d’une obligation de moyens, celui qui devait « recevoir » la prestation devra non seulement prouver que celle-ci n’a pas été exécutée comme prévue, mais encore que la partie exécutante n’a pas mis en œuvre les moyens qui auraient été nécessaires pour y parvenir et qu’elle a donc commis une ou plusieurs faute(s); dans le cas d’une obligation de résultat, la partie victime peut se contenter de prouver que les prestations fournies ne correspondent pas à ce qui a été prévu. La faute de la partie exécutante est présumée. A elle, dans ce cas, de prouver que la mauvaise exécution est due à la faute d’un tiers ou à des circonstances imprévisibles si elle veut s’exonérer de sa responsabilité.

8 Philosophie générale Comment?
Repositionner les rôles respectifs du pouvoir adjudicateur et de l’adjudicataire → l’adjudicataire n’est plus un simple exécutant mais un partenaire à part entière Comment? Responsabiliser les entreprises Définir les contrôles à réaliser par l’entreprise et par le pouvoir adjudicateur Etablir des plans qualité (Envisager le recours à des entreprises certifiées)

9 Philosophie générale - Qualiroutes
Qui fait quoi? Contrôles – Essais Unité de production → chantier PQ (ENTR.) « Coups de sonde » (ADM.) vérification appl. PQ (ADM.) → réception a posteriori (ADM.) (voir Chapitre A AR 14 janvier 2013 – art.43) Unité de production = plant tarmac ou centrale béton par exemple Art 43 : réception technique à posteriori

10 Philosophie générale - Qualiroutes
SPW DGO1.51.CQ Présentation PQRH 24/8/2009 Philosophie générale - Qualiroutes Autocontrôles Résultats Non conformités ‘Vérifications’ CQ / Contrôleurs Visuel - Mesurage ir Th Godfroid

11 Philosophie générale - Qualiroutes
Le pouvoir adjudicateur doit s’assurer : Que le PAQ sont effectivement mis en pratique Que les documents de contrôle et de suivi ne sont pas complétés in fine Que les contrôles sont réalisés et interprétés au fur et à mesure des travaux Que les anomalies sont détectées, enregistrées et traitées (fiches de non-conformité) → la présence du pouvoir adjudicateur aux étapes clefs (points d’arrêt) reste indispensable! Inviter l’adjudicataire à une plus grande responsabilisation.

12 Philosophie générale - Qualiroutes
Document de base : QR-A-1 Disponibles dans le CDR « Documents Qualiroutes » « Mise en place d’un système de gestion de la qualité lors de l’exécution des marchés de travaux » Compléments QR-A-1/1: pour les revêtements bitumineux  QR-A-1/2: pour les revêtements en béton QR-A-1/3 : pour les fondations en béton maigre QR-A-1/4: pour les ouvrages métalliques (en atelier et sur site) QR-A-1/5: pour application des marquages routiers QR-A-1/6: pour sous-fondation de type granulaire

13 Philosophie générale

14 « Documents Qualiroutes »
Document QR-A-1 Disponible dans le CDR « Documents Qualiroutes » Remarquer les 3 parties du contenu du PQ

15 Document QR-A-1 – 2. Principes généraux
Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.34 Document d’engagement à signer et à annexer à l’offre Rédaction d’un plan qualité Collaboration !

16 Document QR-A-1 – 2. Principes généraux
Contrôles a réaliser lors de l’exécution des marchés de travaux

17 Document QR-A-1 – 3. Respect de l’adjudicataire
Chapitre A – AR 18 avril 2017 – art.78 Document d’engagement à signer et à annexer à l’offre Modèle de document est donné à l’annexe 1 du document QUALIROUTES-A-1

18 Document QR-A-1 – 3. Respect de l’adjudicataire
Les 2 documents ne sont pas identiques! Il y la différence entre le formulaire d’engagement du soumissionnaire repris au CCT Modèle (et qui met en avant l’article 34 – et donc toute une série d’obligations pour les OA) et celui repris en annexe du Document de réf. QR-A-1.   DGQ = Disposition Générale en matière de Qualité Modèle de document repris à l’annexe 1 du document QUALIROUTES-A-1 -> Modèle d’offre

19 Document QR-A-1 – 4.1 Rédaction du PQ
Responsabilité de l’adjudicataire sur les PQ des sous-traitants Pouvoir adjudicateur s’intègre dans le PQ pour ses missions (organisation du contrôle extérieur et confirmation des points critiques et d’arrêts) Mode de rédaction, présentation et de classement du PQ efficace et utile Chaque révision à soumettre au pouvoir adjudicateur Si adjudicataire est ISO 9001, le PQ en tiendra compte Concernant les sous-traitants, voir aussi Chapitre A – AR 14 janvier 2013– art.12 (Qualiroutes_19 page 28) Une certification ne dispense pas le fait d’établir un PQ particulier. Tout au plus, on peut y faire référence.

20 Document QR-A-1 – 4.2 Contenus du PQ
Le PQ comprend : Note d’organisation générale Procédures d’exécution et de contrôle Documents de suivi d’exécution et de contrôle

21 Document QR-A-1 – 4.2 Contenus du PQ
1. Note d’organisation générale Renseignements généraux Règles relatives à la gestion du PQ Maîtrise des documents Liste des documents de référence Organisation fonctionnelle des travaux Moyens matériels Conditions générales d’exercice du contrôle intérieur Liste des points critiques et des points d’arrêt Liste des procédures d’exécution Gestion des non-conformités (actions correctives et préventives)

22 Document QR-A-1 – 4.2 Contenus du PQ
2. Procédures d’exécution et de contrôle (Sous forme de fiche) Travail concerné Liste des documents de référence Moyens humains et matériels Matériaux et fournitures utilisés (origine et certification) Caractéristiques des produits (fiches techniques et conditions de mise en œuvre Modes opératoires pour l’exécution de la tâche Conditions d’exercice (nature et fréquence) du contrôle intérieur Critères de conformité Gestion des non-conformités Maîtrise des documents

23 Document QR-A-1 – 4.2 Contenus du PQ
3. Documents de suivi d’exécution et de contrôle Procès verbaux d’étalonnage et de réglage du matériel Fiches de suivi journalier (autocontrôle d’exécution) Résultats de l’autocontrôle de conformité Fiches de non-conformité (actions correctives) Fiches d’amélioration (actions préventives) QR-A-1 point 4.2.3 Remarque : Si résultats conformes : possibilité de validation par des contrôles complémentaires éventuels réalisés par le contrôle extérieur

24 Document QR-A-1 – 5. Dossier pour la RP
Etablissement d’un dossier regroupant une mise à jour de : Note d’organisation générale Procédures d’exécution et de contrôle Documents de suivi d’exécution et de contrôle

25 Document QR-A-1 – 6. Documents et délais
7. Annexes reprenant au Point 7.2. un guide pratique pour la rédaction d’un PQ

26 Document QR-A-1

27 Plan Qualité dans Qualiroutes
Mise en place d’un système de gestion de la qualité Chapitre A – AR 18 avril 2017 – art.32 Chapitre A – AR 18 avril 2017 – art.78 On ne parle pas de « plan qualité » mais de « système de gestion de la qualité » 2 premiers encadrés sont dans l’AR passation. Les suivants sont dans l’AR exécution. Chapitre A – AR 14 janvier 2013– art.12

28 Plan Qualité dans Qualiroutes
« dans les limites » signifie donc que l’information se trouve dans les chapitres concernés !? Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.34

29 Plan Qualité dans Qualiroutes
Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.36 Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41 Dans les clauses administratives (chapitre A), tout est prévu pour faire appliquer correctement le système de gestion de la qualité. Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.45

30 Plan Qualité dans Qualiroutes
F Exécution Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? Faire des retours en arrière sur la dia reprenant l’art.34 du chapitre A. Parcourir le Qualiroutes dans les chapitres en question. Faire remarquer les similitudes des textes : document Qualiroutes-A-1/x; de plus de 1000 m² « QR-A-1/3 : pour les fondations en béton maigre » n’existe pas encore mais c’est prévu dans la numérotation G Fabrication, transport et mise en œuvre Contrairement à l’art.34 chap. A, pas de distinction revêtement béton discontinu et béton armé continu dans Qualiroutes_2019_01 !

31 Plan Qualité dans Qualiroutes
G Préliminaires G Préliminaires Remarquer la différence de limite à 500 m² pour la signalisation horizontale L Mise en œuvre

32 Plan Qualité dans Qualiroutes
G Evaluation de la conformité Pas repris dans l’art. 34 du chapitre A de Qualiroutes_2019_01 Devrait être intégré dans l’art.34 ! Pas repris dans l’art. 34 du chapitre A de Qualiroutes_2019_01 J Vérifications

33 Plan Qualité dans Qualiroutes
Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? « Plan qualité »? K Clauses techniques – Spécifications - Vérifications Connaissance de la NBN EN et son complément NBN B !! Voir notamment § 4.3 (dont Tableau 1 à 3) et Annexe B A noter une petite phrase insidieuse reprise au chapitre K : « la classe d’exécution est minimum 2 selon les normes d’exécution» car ces normes d’exécution NBN EN NBN B imposent pas mal d’autocontrôle – voir §4.3. des normes y compris Tableau 1 à 3 : par exemple rapport de contrôle exigé! NBN B Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR)

34 Plan Qualité dans Qualiroutes
K Description K Exigences de base concernant la composition du béton K Description et spécifications B dans Qualiroutes : définition de ce qu’est un fossé! Il n’aurait pas fallu mettre un espace entre le B. et le 2.4.1 B page 20 du document QR-C-2 (Annexe à la circulaire n° – application des normes NBN EN (2001) et NBN B (2004) Annexe 2 page 66 -> Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR)

35 Plan Qualité dans Qualiroutes
Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? « Plan qualité »? K Mise en œuvre de la postcontrainte Connaissance du référentiel CWA !! CEN WORKSHOP AGREEMENT 14646 Difficulté d’accéder au référentiel CWA > affaire de spécialiste Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR)

36 Plan Qualité dans Qualiroutes
K Exécution QUALIROUTES-A-1/4 Connaissance de la norme NBN EN !! Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR)

37 Plan Qualité dans Qualiroutes
Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? K Clauses techniques Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR)

38 Plan Qualité dans Qualiroutes
& Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? K Description -> Problème : peu de dossier généraux sont actuellement approuvés sur le site (octobre 2019 Dans le dossier technique particulier, il faut y retrouver notamment les plans d’exécution et le diagramme de pose en fonction de la température K Description Dossier général et dossier particulier = plan Qualité au sens de Qualiroutes_2019_01 ?

39 Plan Qualité dans Qualiroutes
K Considérations générales Délai « Au moins 30 jours » est supérieur au délai du document QR-A-1 qui est de 15 jours pour les procédures d’exécution K plan d’assurance qualité à remettre pour l’ensemble du chapitre K? K Description K Vérifications

40 Plan Qualité dans Qualiroutes
Limites art.34 chap. A ? Donc valables pour tous les cas ? N Généralités Connaissance de la PTV 560!! Prescriptions techniques pour entreprises qui effectuent des travaux de réparation et de protection du béton carbonaté par voie manuelle ou mécanique Catalogue des documents de référence Qualiroutes (CDR) Voir notamment le § L’expérience montre que le signalement au BCCA est souvent « oublié » et donc actuellement la certification des entreprises de réparation est peu efficace. Les entreprises certifiées par BCCA doivent leur signaler leurs chantiers afin de permettre à l’organisme de contrôle extérieur de venir effectuer des contrôles !

41 Plan Qualité dans Qualiroutes

42 Réception technique préalable
Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41 Objectif Vérifier que les caractéristiques des produits fournis correspondent aux spécifications prescrites dans les documents du marché Fiche technique ≠ Réception technique préalable (RTP) Marquage CE et/ou certification volontaire peuvent être valorisés La fiche technique reprend les caractéristiques du produit permettant de présumer de sa conformité La RTP vérifie la conformité du produit.

43 Réception technique préalable
Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41 Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.42 Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.42

44 Réception technique préalable
Contrôle des documents 3 types de contrôles : Contrôle organoleptique et dimensionnel Contrôle complémentaire La plupart des produits possèdent le CE et/ou Benor, Copro,… conduisant à limiter la RTP à un simple contrôle de documents. Mais ces documents devraient normalement être transmis via la demande écrite de RTP suivant le modèle repris à l’annexe 1 du QR-A-3!! Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41

45 Réception technique préalable
Contrôle des documents Contrôle organoleptique et dimensionnel Contrôle complémentaire Eventuellement si : bons de livraison : mentionner qu’il existe des explications (mentions obligatoires, …) sur base d’exemple de BL commenté sur la fiche produit 2.1 pour les armatures et sur la fiche produit 2.3 pour les bétons prêt à l’emploi

46 Réception technique préalable
A charge de qui? Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41 Tableau annexe 3 du document QR-A-3 Dans les chapitres de Qualiroutes (programmes de RTP) Dans le csc Combien? Aide qc.spw.wallonie.be/fr/qualiroutes/doc/RTP.xls Les coûts repris dans le tableau ont été étudiés par le Département des Expertises techniques en collaboration avec les organismes de certification pour s’assurer qu’ils sont supérieurs au prix de la certification du produit. Ces coûts ont été validés par les groupes techniques de Qualiroutes. En principe, la récupération des frais NE DEVRAIT PAS ETRE NECESSAIRE: le système devrait être assez dissuasif pour conduire le soumissionnaire à choisir un produit certifié. Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.41

47 Marquage CE – Certification volontaire
Obligatoire S’il existe une spécification technique européenne harmonisée Système d’évaluation et de vérification de la constance des performances (EVCP) Défini dans l’annexe ZA des normes (décroissant de 1+ à 4) Déclaration de performances (DoP) Engagement du fabricant sur la constance des performances déclarées Certification Réglementaire CE = conformité européenne (et pas china export comme la rumeur le dit) Le fabricant peut se délivrer lui-même le marquage CE sans qu’il n’y ait de  contrôle d’aucune autorité (européenne ou autre) en la matière. Il s’agit dans ce cas d’une simple attestation « de bonne foi »

48 Marquage CE – Certification volontaire
Système d’évaluation et de vérification de la constance des performances (EVCP) 7 exigences fondamentales : Transposées pour chaque produit dans l’annexe ZA de norme harmonisée Le fabricant est tenu d'assurer une maîtrise interne permanente de la conformité de la production. Ce système de maîtrise est appelé ‘Maîtrise de la production en usine’, ‘Factory Production Control’ (FPC) en anglais. OC : Organisme de certification OI : Organisme d’inspection L : laboratoire F : fabricant

49 Marquage CE – Certification volontaire
CE doit seulement couvrir les spécifications techniques harmonisées N’aborde pas nécessairement toutes les propriétés pertinentes pour la qualité CE est apposé par le fabricant sous sa seule responsabilité Marquage CE = carte d’identité d’un produit de construction ≠ diplôme en vue d’une utilisation Utilisateur doit vérifier au cas par cas si le produit peut être appliqué ou non. Exemple : Il convient de choisir le bon type de chaussure pour l’activité souhaitée

50 Marquage CE – Certification volontaire
Valeur ajoutée par rapport à la marque CE Donne confiance à l’utilisateur dans la conformité d’un produit à des spécifications en vigueur : Aux normes (NBN EN, NBN) Aux prescriptions techniques (PTV) Et aux performances déclarées par le fabricant Permet d’éviter de faire procéder à des réceptions par lots Certification Volontaire Produits Niveau national Niveau européen Normés Marques volontaires Marquage . Innovants ou non normés Agréments techniques BENOR (conformité aux NORmes BElges) 01234

51 Marquage CE – Certification volontaire
Par exemple pour la performance des enrobés : Sorte de certification approuvée par le SPW Validité 5 ans En rouge – périmé depuis 1 an

52 Réception technique préalable Marquage CE – Certification volontaire

53 Application au revêtement bitumineux
Principales étapes TROIS niveaux de contrôle Etude préliminaire Etudes de formulations – Etudes des performances Le marquage CE du producteur 1 2 Contrôles en cours d’exécution Le PAQ de l’entrepreneur Contrôles de réception « a posteriori » La réception par l’Administration 3 Similitude avec top chef : 1- Cuisinier élabore une recette et va choisir ses ingrédients dans le garde-manger et choisit des bons produits 2- Il cuisine et goute au fur et à mesure ses préparations. Les chefs passent vérifier l’avancement et goute de temps en temps les préparations pour s’assurer que c’est bon (coup de sonde) 3- Le plat est terminé et les chefs goutent les préparations.

54 Application au revêtement bitumineux 1. Etude préliminaire
Chapitre G.2 : Revêtements bitumineux Voir Formation Module 4 Description Clauses techniques Spécifications Vérifications Paiement 2.1 Matériaux 2.2 Dénomination et composition types 2.3 Spécifications des mélanges 2.4 Etude préliminaire 2.5 Vérification de l’étude préliminaire 2.6 Documents avant la mise en œuvre 2.7 Fabrication 2.8 Mise en œuvre Présentation actuelle Table des matières chapitre G2 Qualiroutes_2019 Remarque « Spécifications » en G et en G.2.3 et idem pour « Vérifications ». En G.2.2.3, il s’agit de donner des valeurs pour créer un mélange (au labo) En G.2.3., il s’agit de donner des plages de valeurs pour vérifier l’enrobé en vrac et l’enrobé mis en œuvre sur revêtement terminé. Rappel Formation module 4 Voir Formation Module 4

55 Application au revêtement bitumineux 1. Etude préliminaire
PHASE 1 G Par qui ? Par le producteur (marquage CE2+) Squelette sableux Squelette pierreux EME Etude de composition théorique G Choix granularité Choix teneur en liant G G de type « logiciel CRR Prado Win » ( Vérification du mélange Labo du fabricant Labo accrédité Labo reconnu par ADM à la teneur en liant choisie sur 3 éprouvettes Essais : - % de vides - sensibilité à l’eau Autres en fonction du type G Comparaison avec les spécifications Aux exigences générales Aux exigences empiriques G G

56 Application au revêtement bitumineux 1. Etude préliminaire
PHASE 2 G Par qui ? Par le producteur (marquage CE2+) Note justificative Annexes à joindre impérativement - certificat de marquage CE de l’unité de fabrication (2+) - étiquette CE du produit (2+) - éventuellement document attestant d’une certification volontaire (1+) sur base des résultats conformes obtenus en phase 1 G Fiche technique de l’enrobé G Fiche technique des matières premières G A transmettre au moins 15 jours cal. avant la pose G

57 Application au revêtement bitumineux 1. Etude préliminaire
PHASE 3 G Par qui ? Par la Direction des Techniques routières Vérification technique Vérification administrative Modification éventuelle Si l’étude préliminaire a été réalisée par le labo du fabricant ou un labo non reconnu : G Labo de l’ADM Labo accrédité Labo reconnu par ADM A l’initiative et au frais du fabricant G Voir document de référence Qualiroutes-G-2 G Le fabricant fournit tous les matériaux nécessaires à la fabrication des mélanges bitumineux et fabrication des éprouvettes pour les essais Montrer les exemples Colas

58 Application au revêtement bitumineux 2. Contrôles en cours d’exécution
G.2.4.2 Il ne suffit pas d’avoir un enrobé performant. Encore faut-il bien le mettre en œuvre et veiller à son adhérence au support Par qui ? Par l’entrepreneur (PAQ – Contrôle interne) Contrôle (extérieur) par « coups de sonde » Par l’Administration Contrôle avant la mise en œuvre Contrôles lors de la mise en œuvre G G Sur vracs, Couche de collage, température, compactage, épaisseur, régularité de surface,… Comparaison avec les spécifications G G.2.3.

59 Application au revêtement bitumineux 3. Contrôles a posteriori
A charge de qui ? De l’Administration (réception contractuelle) Vérifications intermédiaires possibles En fonction de la « performance » du contrôle interne de l’entreprise et des coups de sonde réalisés, l’Administration réalise après chaque phase, sur carottes, un ou plusieurs essais Chapitre A – AR 14 janvier 2013 – art.43

60 Application au revêtement bitumineux 3. Contrôles a posteriori
A charge de qui ? De l’Administration (réception contractuelle) Vérifications finales obligatoires sur revêtement complètement terminé G Contrôle du % de vides sur carottes prélevées Contrôle de l’épaisseur Contrôle de la compacité relative Caractéristique de surface G G Comparaison avec les spécifications G

61 Application au revêtement bitumineux

62 Questions - Liens – Contacts utiles
Générale Comité de gestion du CCT Qualiroutes : Particulière au plan qualité Ressources Qualiroutes :


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