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Publié parPauline Henri Modifié depuis plus de 10 années
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AGENCE REGIONALE DE SANTE AUVERGNE AGENCE REGIONALE DE SANTE AUVERGNE
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PRESENTATION 3e PLAN AUTISME 2013-2017
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3e plan autisme : pourquoi ? Lautisme a été reconnu comme un handicap en 1996 par la loi « Chossy » La Haute Autorité de Santé (HAS) a estimé, sur la base des études internationales, qu1 nouveau-né sur 150 serait concerné par lautisme et les troubles envahissants du développement.
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3e plan autisme : pourquoi ? ¬2010 : 75 000 personnes avec autisme ou autres TED étaient diagnostiquées et prises en charge dans le secteur médico-social moins de 20% dentre elles bénéficiaient dun accompagnement au sein dune structure dédiée. ¬Forte progression du diagnostic pour les enfants efforts importants à réaliser en termes de dépistage et de mise en place dun accompagnement adapté pour les adultes.
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3e plan autisme : pourquoi ? ¬Recommandations de bonnes pratiques de la HAS et de lAgence Nationale de lEvaluation et de la qualité des Etablissements et Services sociaux et Médico-sociaux (ANESM) très lentement diffusées peu denfants autistes bénéficient des interventions recommandées ¬Scolarisation : renforcement des dispositifs existants pour une scolarisation en milieu ordinaire dès le plus jeune âge
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Propositions ¬Le plan vise à proposer aux personnes, à tout les âges : des interventions évaluées et contrôlées en renforçant la coopération entre la recherche, le secteur sanitaire, le secteur médico-social et lEducation nationale, une nouvelle forme de gouvernance qui associe les personnes elles-mêmes et leurs familles.
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5 axes dintervention ¬le diagnostic précoce, ¬laccompagnement tout au long de la vie depuis lenfance, ¬le soutien aux familles, ¬la recherche, ¬et la formation de lensemble des acteurs de lautisme.
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Diagnostiquer et intervenir précocement Une prise en charge précoce et intensive Des pôles régionaux dinterventions très précoces associés au réseau de diagnostic complexe. Des unités denseignements en maternelle associant enseignants et professionnels médico-sociaux.
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Diagnostiquer et intervenir précocement Un repérage et un diagnostic sur trois niveaux : Un réseau dalerte avec le repérage des troubles par les professionnels de la petite enfance, les membres de la communauté éducative et les acteurs de la médecine de ville Un réseau de diagnostic « simple » avec au moins une équipe pluridisciplinaire de diagnostic de proximité par département Un réseau de diagnostic complexe par région sappuyant sur les Centres Ressource Autisme associés à au moins une équipe hospitalière experte en CHU
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Accompagner tout au long de la vie Transformer et renforcer les établissements et services médico-sociaux existants. Pour garantir lévolution des pratiques professionnelles vers une meilleure application des recommandations de bonnes pratiques produites par la HAS et lANESM Création de 1 500 places nouvelles pour mettre fin aux situations dinadéquation existantes qui se répartissent entre : 500 places de Maisons dAccueil Spécialisées (MAS) 1 000 places pour des FAM, la médicalisation des foyers de vie et des SAMSAH
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Accompagner tout au long de la vie ¬Organiser les parcours : mise en œuvre d un schéma dorganisation fonctionnelle au niveau régional continuité des parcours en soutenant la coopération entre les différents dispositifs ¬Renforcer et harmoniser les services rendus par les Centres Ressource Autisme ¬Soutenir la scolarisation adaptée en milieu ordinaire ¬Favoriser linclusion sociale et professionnelle
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Soutenir les familles ¬Garantir un accueil, des conseils et une formation de qualité aux parents dans les centres de ressources autisme ¬Harmoniser les pratiques et informer les familles comme le grand public : déploiement dune formation des aidants familiaux ¬Offrir des solutions de répit pour les familles Création de 350 places supplémentaires daccueil temporaire, à raison de 15 places par région
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Poursuivre la recherche ¬Développer la recherche sur les origines et les mécanismes de lautisme ¬Renforcer les capacités de diagnostic précoce ¬Assurer le développement de prises en charge fondée sur lévidence scientifique ¬Favoriser linclusion sociale en faisant progresser la connaissance des altérations de la cognition sociale et en renforçant la recherche linguistique structuration de la recherche sur lautisme et les troubles envahissant du développement centrage de la recherche autour les cohortes
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Sensibiliser et former lensemble des acteurs de lautisme ¬Former les professionnels de santé ¬Former les travailleurs sociaux et les professionnels du secteur social et médico social ¬Former la communauté éducative ¬Adapter et poursuivre la formation de formateurs ¬Développer les formations dans lenseignement supérieur
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Centre de ressources autisme ¬Les CRA ont un rôle central dans le cadre du déploiement des mesures prévues au nouveau plan national ¬Le dispositif autour du diagnostic et de lintervention précoces sera décliné en région sous légide des CRA ¬Le positionnement des CRA sera réaffirmé, harmonisé et consolidé missions daccueil et de conseil aux personnes et à leur famille, organisation de linformation à lusage des professionnels et des familles formation
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Centre de ressources autisme ¬Organisation fonctionnelle et graduée de loffre : équipes ayant des pratiques conformes aux recommandantions de bonnes pratiques ¬Participation des familles au fonctionnement des CRA ¬Mise en place dun comité des usagers au sein des CRA
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Recommandations de bonnes pratiques ¬Le plan autisme sappuie très fortement sur les recommandations de bonnes pratiques ¬Le plan prévoit un renforcement de lévaluation externe des ESMS et de la certification des établissements de santé prise en compte de lapplication des recommandations
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Gouvernance du plan ¬Pilotage politique du Plan Ministre déléguée aux Personnes handicapées ¬Mise en oeuvre assurée par le Secrétariat général du Comité interministériel du handicap (SG CIH) ¬Suivi de lavancée et des modalités de mise en oeuvre : partagé avec les associations, les acteurs impliqués dans laccompagnement des personnes concernées ainsi quavec les personnes elles-mêmes ¬Trois instances nationales suivront la mise en œuvre du plan
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Gouvernance du plan ¬Niveau local : déclinaison par les Agences Régionales de Santé (ARS) Elaboration dun Plan daction régional pour lautisme en cohérence avec les schémas régionaux (PRS, SROMS, SROS,…) et conformément aux orientations du plan national
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ENGAGEMENTS FINANCIERS Un engagement significatif au niveau national : 3 400 places créées 1 273 postes créés 205,5 millions d
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ENGAGEMENTS FINANCIERS Unités denseignement en maternelle (part des plateaux techniques) : 700 places pour 28 millions d Unités denseigenment en maternelle (part Education nationale) : 100 postes pour 6 millions d SESSAD : 850 places pour 25,5 millions d Services hospitaliers de dépistage complexe régional : 3 millions d CRA, CAMSP et CMPP : 350 postes
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ENGAGEMENTS FINANCIERS MAS, FAM et SAMSAH : 1 500 places pour 68,5 millions d Accueil temporaire : 350 places pour 14 millions d Formation des personnels en ESMS : 1 million d Renforcement des ESMS : 823 postes pour 41,1 millions d Recherche : 0,5 million d
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PLAN DACTIONS ¬Réactivation du CTRA ¬Conforter le rôle du CRA ¬Poursuite déploiement formation formateurs autisme ¬Analyse des besoins + travaux CREAHI : focus autisme
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PLAN DACTIONS ¬Mise en place de groupes de travail : Interventions précoces dès 18 mois jusquà 3 ans Scolarisation des enfants et adolescents avec TED Evolution du secteur médico-social : de lenfance aux adultes, quelles réponses aux besoins ? Liens avec les schémas régionaux dont le SROMS 2012-2016
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