Réussir sa présentation PowerPoint

Présentation au sujet: "Réussir sa présentation PowerPoint"— Transcription de la présentation:

1 Réussir sa présentation PowerPoint
Par Stéphane Boutin

2 Plan de la séance Efficacité du message Efficacité du message Lecture
Thème Points à retenir Procédures et techniques Police Fonds images Conclusion Efficacité du message Lecture Procédures et techniques Conclusion

3 Efficacité du message Si l’on ne devait retenir qu’ 1, 2 ou 3 points de votre exposé Quels sont-ils ? Écrivez-les clairement pour vous tout d’abord Ces points doivent figurer sur vos diapositives Au minimum dans votre conclusion

4 Efficacité du message Annoncez la couleur dès l’introduction
Vous devez expliquer ces point de façon convaincante Vous insistez sur les points clés dans votre conclusion

5 Efficacité du message Exprimer une idée par diapositive Lecture
Définir le message à transmettre Être clair S’adapter à l’auditoire Structurer l’exposé Lecture Structure claire : La structure de la présentation prédomine : sans cette structure, votre style personnel, votre élocution et votre matériel visuel n’auront aucun impact. Simplicité : «Simple» ne veut pas dire «simpliste». La simplicité est un but parfois difficile à atteindre, mais votre auditoire vous en sera reconnaissant. La simplicité requiert plus de réflexion et de planification de votre pat, parce que vous devez décider ce qui doit faire partie de votre présentation et ce qui doit en être exclu. Prise en compte de l’auditoire : Avant d’élaborer le contenu de votre présentation, vous devez vous poser plusieurs questions afin de devenir présentateur possible pour cet auditoire. Vous devez obligatoirement répondre aux questions : Qui, Quoi, Pourquoi, Où et Quand ? S’adapter à l’auditoire : De quel type d’exposé s’agit-il? : Exposé bibliographique (analyse d’article), exposé de recherche, … Quel sera l’auditoire ? Nombres de personnes, niveau, homogénéité, … Quelles sont les circonstances? Exposé d’équipe, congrès, …

6 Lecture à proscrire «Préparer et présenter un sujet devant un public est un art. Malheureusement, cet art n’est pas maîtrisé que par bien peu de personnes si je me fie à ce que je vois depuis des années. Ce n’est pas parce qu’on sait se servir de PowerPoint qu’on sait faire une présentation. Faire une présentation, c’est entrer en contact avec son auditoire pour lui communiquer un message et non lire à haute voix ce qui est écrit à l’écran!»

7 Procédures et techniques
Modèles de conception Couleurs Typographie Images Tableaux et schémas Transitions Animations

8 Modèles de conception Un seul modèle de conception par présentation
Cohérence entre le modèle choisi et l’objet de la présentation

9 Modèles de conception (suite)
Attention aux images d’arrière-plan Rendre le texte difficile à lire Texte illisible

10 Choix des couleurs Ceci est un bon choix de couleurs. Lisible!
Ceci est un mauvais choix de couleurs. Faible contraste. Illisible! Ceci est un bon choix de couleurs. Lisible! Ceci est un mauvais choix de couleurs. Éviter des couleurs trop brillante sur fond blanc. Illisible!

11 Choix des couleurs Ceci est un bon choix de couleurs. Lisible!
Ceci est un mauvais choix de couleurs. Lumière sombre. Illisible! Ceci est un bon choix de couleurs. Lisible! Ceci est un mauvais choix de couleurs. Trop forte de luminosité > Lettres vibrent. Illisible!

12 Choix des couleurs (suite)
Choisir des couleurs qui s’harmonisent entre elles Se limiter à 3 couleurs par diapositive Couleurs complémentaires Éviter l’arc-en-ciel

13 Type de fonds Fonds unis ou dégradés Fonds dégradés multi-couleurs
Une seule couleur dégradée Fonds dégradés multi-couleurs À proscrire Fonds avec image À éviter

14 Typographie : type de police
Police sans empattement Police avec empattement Titres ou sous-titres Arial Tahoma Verdana Texte long Cambria, Times New Roman, Book Antiqua, Rockwell, … En typographie les empattements (ou serifs en anglais) sont les petites extensions qui forment la terminaison des caractères dans certaines polices. Une police de caractères sans empattement est dite sans serif. Il est communément admis que les polices à empattements sont plus lisibles sur papier (les empattements formant une sorte de guide pour l'œil du lecteur), alors que les polices sans empattements sont plus agréables à lire sur un écran d'ordinateur. Pour d'autres, les écritures avec empattement sont plus lisibles pour les longs textes alors que celles sans sont plus lisibles pour les éléments isolés. Dans un souci de lisibilité des textes il est plus aisé de lire une police sans serif en tout petits caractères qu'une police avec empattements du fait de la place que peut prendre l'empattement une fois en petite taille. Lorsque vous choisissez des polices, tenez compte des points suivants : Les polices que vous choisissez affectent la manière dont votre message est reçu. Choisissez une police plus posée telle que Times New Roman pour un public conservateur ou des messages sérieux, et une police plus amusante telle que Comic Sans MS pour les messages au ton plus léger. Les polices Serif (telles que Times New Roman et Bookman) sont plus faciles à lire lorsqu'il y a beaucoup de texte, mais les polices sans Serif (telles que Arial et Verdana) sont plus nettes et sont généralement mieux adaptées aux titres et aux sous-titres. Lorsque vous concevez des diapositives destinées à être visionnées en ligne, utilisez des polices qui se lisent facilement via un navigateur. Les polices Verdana, Tahoma et Bookman ont été spécialement conçues pour cela. Arial et Times New Roman sont également appropriées dans ce cas. Nous vous conseillons de contraster nettement les couleurs des polices avec l'arrière-plan pour une meilleure lisibilité. N'utilisez le gras et l'italique que pour mettre en évidence (en banalisant leur usage vous en réduisez l'efficacité). Chaque police a une personnalité, la cohérence est donc importante. Si vous changez souvent de police, le message que vous offrez à votre public risque de manquer de cohérence. Évitez d'utiliser plus de trois à quatre polices différentes dans une présentation.

15 Typographie : style (attribut)
Caractère en gras Pour mettre l’emphase sur un mot Caractère en italique Pour une citation ou un exemple NE PAS UTILISER LES LETTRES MAJUSCULES

16 Titre > 38 à 44 points Typographie : taille
Sous-titre et texte > 24 à 32 points Jamais moins de 24 points pour le texte Uniformiser la taille du contenu dans la présentation Diminuer la taille des noms d’auteurs cités Bonjour - Bonjour - Bonjour – Bonjour – Bonjour - Bonjour

17 Typographie : disposition du texte
Titres originaux et brefs liés au contenu Règle du «36» Maximum 6 lignes par acétate En moyenne 6 mots par ligne Utiliser les exemples de mise en page proposées dans les modèles

18 Typographie : listes et puces
Utiliser Les Puces et les listes Avec Discernement Et intelligence. Sinon Elles Peuvent Vous Nuire et alourdir Votre Présentation.

19 Typographie : disposition du texte (suite)
Aligner le texte à gauche Éviter de justifier le texte Conserver le même alignement Préférer les idées courtes Aérer les idées Limiter le texte en bas de l’écran

20 Définition «Une couleur primaire ou élémentaire est une couleur dont le mélange avec ses homologues permet de reproduire une grande palette de couleurs — théoriquement l'ensemble des couleurs visibles. Pour la synthèse additive, les couleurs primaires sont le rouge, le vert et le bleu ; pour la synthèse soustractive, il s'agit du magenta, du cyan et du jaune.»

21 Images Utiliser les images lorsque nécessaire
Ajouter des images significatives Image récurrente dans le masque de l’acétate (cohérence) Prudence dans la taille et le nombre des images Une image représente une idée

22 Images : disposition Les zones de texte sont explorées avant les images « De nombreuses études ont montré cet effet. La lecture est un réflexe. En présence de texte on ne peut s'empêcher de lire. De plus, les images utilisées sur Internet n'ont souvent aucune signification, elles sont donc mises en deuxième niveau de lecture par les utilisateurs. » Source : Lergonome.org

23 Image (suite) Éviter d’afficher des documents numérisés
Mettre l’emphase sur le texte Fournir une copie papier

24 Tableaux et graphiques
Prévoir un titre Identifier les colonnes et les axes Porter une très grande attention à la lisibilité Varier les couleurs ou les styles pour attirer l’attention sur un aspect précis Utiliser le style de graphique selon vos données (histogramme, courbe, barre, ligne) Pointes de tartes : Utilisez pour illustrer des pourcentages Limitez le nombre de pointes à 4 – 6 Mettre la pointe la plus importante en évidence Histogramme : Illustrer les changements de volume dans le temps Limité le nombre de barres de 4 – 6 Barres horizontales: Utilisé pour comparer des quantités Exemple : comparer les chiffres de vente en quatre région d’une compagnie Courbes : Utilisé pour illustrer une tendance Exemple : Courbe démontrant que les ventes par région ont augmentées

25 Tableaux et graphiques (suite)

26 Schémas Prévoir un titre Porter attention à la lisibilité
Varier la couleur ou le style pour attirer l’attention Envisager un affichage progressif pour faciliter la compréhension (animations)

27 Schémas (suite) Envisager l’affichage progressif pour faciliter la compréhension (animation personnalisée) Chaîne alimentaire

28 Schémas : exemple Geneviève Nault (2002) Lourdes responsabilités (travail) Lourdes responsabilités (personnel) dévelop pement profes sionnel des novices Peu de soutien offert Pratiques connues Pratiques courantes Pratiques maîtrisées Choc de la réalité

29 Double tension chez le futur maître
Schémas : exemple Geneviève Therriault (2003) Double tension chez le futur maître Il doit maîtriser des savoirs disciplinaires, mais aussi développer des compétences professionnelles (Baillauquès, 2001; Cifali, 2001; Lang, 1999) Il doit revisiter ses rapports aux savoirs dans une perspective socioconstructiviste (Jonnaert, 2001; MEQ, 2001b)

30 Schémas : exemples Deux épistémologies dominantes dans l’enseignement secondaire et la formation initiale à l’enseignement secondaire Rapports aux savoirs Épistémologie positiviste Épistémologie constructiviste et socioconstructiviste Rapports aux savoirs Geneviève Therriault (2003)

31 Transitions Utiliser la transition de façon intelligente
Transition sobre, sauf pour attirer l’attention Toujours tester vos transitions en mode diaporama Trop de transition perd l’attention de votre auditoire

32 Animations Utiliser l’animation de façon modérée
Préférer une animation sobre, sauf pour attirer l’attention Prévoir votre ordre d’animation Tester vos animations en mode diaporama Animation «Machine à écrire» à proscrire

33 Effets sonores Utiliser les effets sonores de façon modérée
Utiliser pour attirer l’attention Trop d’effets sonores nuit

34 Attention vs Durée

35 Conclusion Favorisez la simplicité
Limitez l’utilisation de listes à puces Utilisez l’animation et la transition avec parcimonie Adoptez un thème visuel Faites bon usage de la couleur Choisissez les polices de caractères judicieusement

36 Pour en savoir plus … Daniel Lafrenière : Garry Reynolds : Bill Condon :

37 Pour en savoir plus … Université de Miami : Roland Picard : Joseph A. Gallian :

38 Pour en savoir plus … Geneviève Nault et Geneviève Therriault : John A. Cagle: Daltonien design :

39 Pour en savoir plus … Microsoft PowerPoint en sept leçons
Microsoft Office PowerPoint 2003 Tutorial sur PowerPoint