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FLG et littérature jeunesse au cycle 2

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Présentation au sujet: "FLG et littérature jeunesse au cycle 2"— Transcription de la présentation:

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2 FLG et littérature jeunesse au cycle 2
Un rapide historique Des outils pour analyser un récit Le Festival, académique, de Littérature Genèse

3 Les débuts de la littérature jeunesse

4 Esope représenté dans une édition allemande des Fables de 1479.
On sait peu de choses sur Esope. Il aurait vécu au VIème ou VIIème siècle avant JC. Plutarque parle de lui comme d’un esclave laid et boiteux. Esope en grec signifie : pieds inégaux. Platon(Vè-IVè siècle av JC), ayant banni Homère de sa République, y a donné à Esope une place très honorable. Il souhaite que les enfants sucent ses fables avec le lait de leur nourrice. Esope représenté dans une édition allemande des Fables de 1479.

5 Esope Du Corbeau et du Renard. Un Corbeau s'était perché sur un arbre, pour manger un fromage qu'il tenait en son bec. Un Renard qui l'aperçut, fut tenté de lui enlever cette proie. Pour y réussir et pour amuser le Corbeau, il commença à le louer de la beauté de son plumage. Le Renard voyant que le Corbeau prenait goût à ses louanges : " C'est grand dommage, poursuivit-il, que votre chant ne réponde pas à tant de rares qualités que vous avez. " Le Corbeau voulant persuader au Renard que son chant n'était pas désagréable, se mit à chanter, et laissa tomber le fromage qu'il avait au bec. C'est ce que le Renard attendait. Il s'en saisit incontinent, et le mangea aux yeux du Corbeau, qui demeura tout honteux de sa sottise, et de s'être laissé séduire par les fausses louanges du Renard. Reprise de la fable quelques siècles plus tard, au Moyen Age, par un des auteurs anonymes du roman de Renart( XIIème siècle). Les fables font partie d’un genre, les bestiaires, très courants au moyen âge. Disparition de la mise en rapport du plumage et du ramage, mais célébration des talents vocaux du père de Tiercelin le corbeau. La Fable conserve le principal du récit mais adopte une mise en forme et des références liées à la société où vit l’auteur. Dans le roman de Renart, la fable est au service d’une satire sociale, alors qu’avec la Fontaine, nous avons une forme plus classique, plus épurée.

6 Esope et La Fontaine Jean de La Fontaine rend hommage à Ésope dans une de ses fables : "À Monseigneur le Dauphin": Je chante les héros dont Ésope est le père, Troupe de qui l'histoire, encore que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons : Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes ; Je me sers d'animaux pour instruire les hommes. [...] Le nom d'Ésope est rattaché à un palindrome en langue française : « Ésope reste ici et se repose ».

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8 COMENIUS Comenius et son « didactica magna » qui préconise l’éducation pour tous. Il publie en 1658 Orbis sensualium Pictus (le monde des choses sensibles en images). Premier livre d’images à but éducatif. Comenius est l’un des premiers à écrire à destination des enfants considérés comme lecteurs.

9 Orbis Pictus,

10 Charles Perrault Charles Perrault est l’ingénieur d’une transformation culturelle à la fin du XVII ème. Il inaugure une littérature populaire en français alors que le latin dominait. Il adapte son écriture au jeune lecteur : langue simple et dépouillée, formules magiques, détails pittoresques. Littérature de jeunesse longtemps étroitement liée à l’idéologie de l’enfance. Rôle essentiellement éducatif jusqu’au XIXème : récits édifiants et moralisateurs

11 Parution des contes de Perrault en 1697
Parution des contes de Perrault en Issus plus ou moins de la tradition orale. Les contes de Grimm ne paraîtront que 1 siècle plus tard, début 19 ème. Au XIX une version paraît illustrée par gustave Doré. Ces contes sont aussi lus en salon entre adultes.

12 De nombreux albums revisitent les contes de Perrault en de joyeux mélis-mélos de contes. EX Dans la forêt profonde, allusion à Boucle d’or (la maison au fond de la forêt, Le petit chaperon rouge, Hans et gretel, Jack et le haricot magique).

13 Quelques repères 1533 Pantagruel de F. Rabelais
1697 Charles Perrault, les contes de la mère l’oye 1719 Daniel Defoe, Robinson Crusoé 1726 Jonathan Swift, Les voyages de Gulliver 1820 Contes des frères Grimm 1833 Loi Guizot oblige les communes à avoir une école 1757 Jeanne Marie Leprince de Beaumont publie Le Magasin des enfants avec la belle et la bête. Elle le présente comme un recueil de morales avec des contenus encyclopédiques. Elle publiera par la suite un magasin des ados, des pauvres et un manuel de la jeunesse. (cf :La littérature de jeunesse dans tous ses écrits. CRDP Créteil. Jean Paul Gourévitch)

14 « Un des plus célèbres contes des frères Grimm où se mêlent, dans une forêt immense, une marâtre, une sorcière, une maisonnette à croquer, des perles et des pierres précieuses, et le bonheur retrouvé »

15 Quelques repères 1835 Contes d’Andersen (Petite fille aux allumettes, La petite sirène) 1838 Oliver Twist de Charles Dickens 1862 Jules Verne, Cinq semaines en ballon 1865 Lewis Caroll, Alice… 1881 Jules Ferry et Pinocchio de Carlo Collodi, L’île au trésor de Stevenson.

16 « Alice commençait à se sentir lasse de rester assise à côté de sa soeur... " c'est alors qu'un lapin blanc passe en courant tout près d'elle. curieuse, Alice décide de le suivre, pénètre dans son terrier et découvre le pays des merveilles imaginé par Lewis Carroll, où rien ne se déroule vraiment comme au pays des hommes. pour vous baigner dans une mare de larmes, prendre le thé avec un chapelier fou, jouer du croquet avec les flamands roses... suivez alice dans le terrier du lapin blanc ! »

17 Quelques repères 1883 Gustave Doré illustre les contes de Charles Perrault. 1894 Rudyard Kipling et les livres de la jungle 1905 Bécassine (BD), parue dans « la semaine de Suzette » 1907 Selma Lagerlof, le Merveilleux voyage de Nils Holgerson 1912 Louis Pergaud la guerre des boutons En Bd, on retrouve little Nemo chez Ponti dans le château d’Anne Hiversaire… ou chez Maurice Sendak.

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19 Quelques repères 1924 Ouverture de « l’heure joyeuse » 1ère bibliothèque pour enfants 1929 Naissance de Tintin 1931 1ers albums du « Père Castor » 1937 Tolkien et Bilbo le Hobit 1939 les contes du chat perché, Marcel Aymé 1943 Le Petit Prince de Saint-Exupéry 1977 Création du livre de poche pour les enfants.

20 Accélération du phénomène éditorial dans les années :parution aux Etats-Unis de « Max et les Maximonstres » de Maurice Sendak : parution du livre de Tomi Ungerer   « Les trois brigands » Scandale car trop opposé aux canons de la création pour l’époque

21 « Les 3 brigands » surprend par son dépouillement, ses contours vifs et son étrange propos : des bandits riches, sans scrupule, mais jamais vraiment heureux rencontre une petite fille orpheline qui donne un sens à leur vie. Achat d’un château pour accueillir tous les orphelins et création d’un phalanstère à la Fournier.

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23 Deux attitudes extrêmes à éviter
Le non-interventionnisme : « la lecture des livres est de l’ordre de l’intime, ça ne regarde personne d’autre que l’enfant » La scolarisation à outrance du livre considéré comme un excellent outil pédagogique à « utiliser jusqu’à plus soif ». thèse de Christian Poslaniec: Attitude 1 fait le terrain où l’illettrisme peut s’enraciner Attitude 2 l’enfant s’en détourne

24 Des outils pour analyser un récit
On peut distinguer : L’histoire, c’est l’objet du récit. Le récit, c’est le discours qui présente l’histoire. La narration prend en charge les choix comme le type du narrateur ou l’ordre dans lequel l’histoire est racontée. Un peu la même distinction qu’entre langue et langage.

25 De multiples points de vue dans cette histoire
De multiples points de vue dans cette histoire. Cette mosaïque permet de porter un regard sur la société dans son ensemble.

26 La relation texte/image
« Au-delà d’une sensibilisation ou d’une formation esthétique, elle rend concrets des procédés littéraires comme l’allusion, la citation, la stylisation, l’ironie, la polysémie ou la métaphore; lire l’image dans l’album revient moins à l’interpréter qu’à prendre conscience qu’elle interprète le texte, et donc à comprendre la notion même d’interprétation. » Tauveron

27 Images redondantes au texte (illustratives)
Les illustrations jouent un rôle descriptif, pour certains passages du texte. La difficulté pour l'enfant est de repérer la place de la séquence illustrée dans le déroulement narratif du texte. images complémentaires du texte L'image assure avec le texte la continuité narrative : elle prend en charge certains éléments qui n'apparaissent pas dans le texte. La mise en relation du texte et de l'image est indispensable à la compréhension. Images redondantes rares dans la littérature jeunesse de qualité, voir livres C3, mais pas dans les albums

28 Exemple d’album où image et texte sont intimement liés :A
Exemple d’album où image et texte sont intimement liés :A. Browne nous présente un personnage qui transforme son décor avec son crayon magique. Ourson intervient sur le décor hostile grâce à son crayon magique : il s’invente des scies pour briser les barreaux, des portes pour s’enfuir, des peaux de bananes et des clous pour retarder les poursuivants, une nature pacifique pour s’ébattre sans ennemi.

29 Le texte lui-même devient image
Images divergentes Les images orientent la compréhension du texte (point de vue particulier de l'auteur, du narrateur, d'un personnage, du lecteur…interprétation particulière du texte…). Les images peuvent même être en contradiction avec le texte. Effet de dérision, de dramatisation ou de mise à distance, de double lecture…parfois difficile à percevoir par le jeune enfant. Images autonomes Les images racontent une ou plusieurs histoires apparemment indépendantes du texte. Tout le problème pour le jeune lecteur est alors de découvrir les liens implicites entre ces images et le texte qui devraient faire sens. Le texte lui-même devient image La typographie suggère ou énonce une interprétation, l'espace d'écriture s'insère dans l'image elle­même : écriture en spirale, en vague, calligramme etc.… Le texte devient image dans le petit homme de fromage, la table des matière s’effondre…

30 « L’Afrique ! L’Afrique ! »
Les deux passagers sont réveillés en sursaut par les cris de Zigomar. « Là ! Un éléphant ! » s’exclame Zigomar. « regardez ses défenses ! » « Tu es sûr que c’est un éléphant ? » dit la grenouille. « Je ne voyais pas ça comme ça ! » « Moi non plus ! » dit le souriceau. Dans ce livre, on apprend au lecteur à ne pas suivre les yeux fermés les personnages. Les images en contradiction totale avec le texte permettent une prise d’indices pour comprendre ce qui se passe réellement : le Pôle nord en guise d’Afrique ! C’est parce que les mots disent le contraire des images que l’Afrique de Zigomar nous fait rire.

31 Le choix des textes

32 Quels textes choisir ? Il faut lire des « textes résistants »
Soit des textes « réticents » qui posent des problèmes de compréhension au lecteur Soit des textes « proliférants », qui sont polysémiques et posent des problèmes d’interprétation Plaisir de lire, de remplir des blancs laissés entre les pièces, « le lecteur a le rôle de l’orpailleur qui découvrant un petit grumeau de sens creuse à nouveau pour voir si la pépite ne s’étend pas en un filon » Italo Calvino. Rôle aussi du tisserand qui jongle entre les fils imposés par le texte et ceux importés par le lecteur. Rôle enfin de l’archéologue qui met à jour dans une seule histoire toutes les histoires déposées en strates et qui lancent des clins d’œil complices.Tauveron

33 Texte résistant car la fin est ouverte
Texte résistant car la fin est ouverte. C’est au lecteur de clore l’histoire. Débat d’interprétation car fin ouverte Le loup au lapin je t’aime comme tu es… symétrie et opposition présente dans le texte et dans l’image. Faut-il faire confiance au titre ? A-MIAM-I ( Rascal anagramme de Lascar) Décalage entre le sens véhiculé par le texte et celui qui naît de l’observation de l’image.

34 dispositifs de présentation des textes
Présentation d’un texte seul - lecture in extenso la plus répandue - dévoilement progressif permettant d’émettre et de vérifier des hypothèses - lecture puzzle - lecture avec ou sans : le titre, les illustrations Les mises en réseaux lecture puzzle : notamment dans le cadre d’un travail sur le rapport texte/image

35 Les mises en réseaux Catherine Tauveron propose de distinguer deux types de réseaux : Des réseaux pour faire découvrir ou structurer le socle des référence culturelles communes (genres littéraires, symboles, mythes et légendes, personnages-types) Des réseaux pour faire identifier des singularités ( singularité d’une reformulation, d’un procédé d’écriture, d’un auteur) Policier, conte, roman historique, autobiographique … Eau, feu, eau, couleurs, saisons Fondateurs de notre société et présents en filigrane dans la lit jeunesse(Icare, Ulysse, Jonas …) Le loup, l’ours, la sorcière Réseaux hypertextuels, clins d’œil et référence au texte source, variations, recréations : les 3 ours Notion de point de vue, place et rôle du narrateur, structure répétitive (conte en randonnée)

36 Les mises en réseaux Le réseau littéraire est compris comme un ensemble ouvert de textes que l’on peut rapprocher, comparer selon un angle de lecture qui souligne les analogies, les parentés, les emprunts les variations, les oppositions, les écarts … L’objectif de la mise en réseaux est de faciliter la compréhension, l’interprétation, l’appréciation. C’est un moyen privilégié de construire une culture littéraire

37 Quelques exemples « La chasse à l’ours »
appropriation de l’idée et du comportement d’anticipation « Le voyage d’Oregon »/ « c’est un papa » réseau autour d’un auteur De « Boucle d’or » à« La revanche des trois ours » Variations autour d’un texte source

38 « La chasse à l’ours » Nous sommes dans un réseau de livres en randonnée : dans ces trois livres, le héros va faire des rencontres successives et l’on va observer des répétitions dans le texte. Les enfants, au bout de 2 ou 3 rencontres vont être capables d’anticiper les événements de la chasse à l’ours « il va encore écrire : nous allons à la chasse à l’ours, nous allons en attraper un très gros. »Y. Chenouf

39 « Le voyage d’Orégon »/ « c’est un papa »
2 albums écrits par Rascal et illustrés par Louis Joos. Dans ces 2 albums, « Rascal dit la dureté de la société pour qui est différent ou faible, mais sans brutalité, informant ses lecteurs sans les traumatiser » Y. Chenouf. Points communs entre les 2 albums ·         les illustrations : on retrouve le même ours, le même style de maison… ·         les mêmes référents culturels autour des tableaux de grands peintres (van Gogh, Monet..) ·         un thème fort de société dans le voyage d’Oregon, ils évoquent l’exclusion, le handicap. C’ un voyage initiatique, celui de la quête d’identité Récit écrit sous forme de flash back, d’analepse (du grec ana : en arrière) Beaucoup d’écrits sur le voyage d’Orégon ex: lectures expertes n° 1 (AFL), « c’est un papa » traite de la séparation des parents vue du côté du père. Lien texte/image très fort : on partage l’attente, les angoisses et le trouble de ce papa qui ne voit ses enfants que le week-end. « On raconte que c’est un monstre » lit-on sur la première double page du livre. Qu’en pensent les enfants ?

40 Variations autour d’une histoire
Exemple de démarche proposée dans  « aux petits enfants les grands livres »: Partir de la version ancienne de Boucle d’or (père castor), accueillir les versions apportées par les enfants. Finir de bien installer le conte avec la version de Galdone, les trois ours. Installer ensuite l’écart avec la version de Guarnaccia, où l’auteur se focalise sur les meubles et la vaisselle d’art ( origine des œuvres en pages de garde). La maison est issue de « mon oncle » de jacques Tati. Nourrir les reformulations avec l’album de Rascal, en noir et blanc, sans texte. Enfin, proposer une suite humoristique avec « la revanche des trois ours ». On y voit les trois ours planifier une vengeance qui tourne court pour cause de méprise sur le propriétaire de la maison qu’ils saccagent : ce n’est pas la maison de Boucle d’Or, mais celle du Loup. Et d’ailleurs, le voilà.

41 Interprétation des textes
L’appropriation des œuvres littéraires appelle un travail sur le sens. Elle interroge les histoires personnelles, les sensibilités, les connaissances du monde, les références culturelles, les expériences de lecture. Echanger ses impressions, élaborer des jugements esthétiques, éthiques, philosophiques, remettre en cause des préjugés.

42 De la lecture des œuvres à l’écriture
Le plaisir d’écrire vient naturellement prolonger celui de lire. Tous les genres rencontrés peuvent faire l’objet d’un travail d’écriture. Pas de règles formelles pour le point de départ. C’est au moment où il écrit que l’enfant peut comprendre comment fonctionnent les systèmes énonciatifs des œuvres qu’il a lues. Quels sont les points de vue défendus dans le texte, dans l’image et dans leur relation. Il est possible de prolonger l’écriture par une mise en livre (typographie et mise en page). Ne pas oublier la création ludique (type OULIPO) ni l’utilisation possible de situation inductive à partir d’une image.

43 De la lecture des œuvres à l’écriture
Production d’écrit : de nombreuses pistes sur le site du FLG (22 fiches d’aide) : Bande dessinée, affiche, galerie de portraits, dépliant touristique, portrait chinois, 4ème de couverture… Story-board, interview, article de presse, critique littéraire, Changement de point de vue… Jeu de l’oie, de 7 familles, calligramme, oulipo… Histoires croisées, correspondance fictive …

44 Festival littérature Genèse

45 Un thème, une forme littéraire
Le festival s’adresse aux classes de cycle 2 et aux classes de cycle 3, de 6ème et de SEGPA des Alpes-Maritimes et de Monaco ; il leur propose d'élire « le livre de l'année » en argumentant leur choix. En , ce livre sera recherché : -Pour les classes de cycle 2 et de SEGPA parmi les fictions présentant un personnage d'ours. -Pour les classes du cycle 3, de 6ème et de SEGPA parmi les récits en "je".

46 Une lecture en réseau Dans un premier temps, en s'appuyant, s’ils le souhaitent, sur les outils bibliographiques mis à leur disposition (menu Productions), les élèves devront chercher dans les B.C.D., les bibliothèques municipales, sur Internet, chez les libraires les ouvrages qui se rapportent à la structure ou au genre qui les concernent. Après lectures et débats argumentés, il leur faudra choisir le "coup de foudre" de la classe.

47 1ère production, décrire le réseau le parcours de lecture
Une première étape consistera, tant pour le cycle 2 que pour le cycle 3 et les 6è, à décrire le parcours de lecture qui a conduit la classe à fixer son choix au travers, soit : -D’une galerie de portraits. -D’un jeu de l'oie. -D’un carnet de bord. Exemples d’un jeu de l’oie et d’un carnet de bord lauréats des années précédentes et fiche d’aide à la production galerie de portraits : à retrouver sur le site du FLG

48 2ème production sur un livre choisi
Au cours de la deuxième étape, la classe devra compléter son travail en illustrant sa sélection sous l’une des formes suivantes : Pour le cycle 2 (1 seul choix) -Une affiche publicitaire. -Une bande dessinée. -Un document fiction. Exemples d’affiche et de BD lauréates et fiche d’aide document fiction

49 Des règles Ces deux productions se feront sous forme de fichier texte, avec illustrations et ne devront pas comporter de sons ou d’animations ; chacune d’entre elles ne dépassera pas deux pages (menu" Productions"). Utilisation indispensable de l’ordi pour scanner, mettre en page…. Et courrier

50 Envoyer au MAI Une fois réalisés, ces documents « anonymés » seront transmis par chaque classe par fichiers joints aux I.E.N. de la circonscription dont elle relève et ils seront mis en ligne par les M.A.I. sur le site de la circonscription. En résumé, vous envoyez quatre pages en version numérique.

51 Ce n’est pas fini ! Le travail des classes ne s'arrête pas là. Après avoir été « productrices » de documents, elles deviendront « classes jury » et ainsi, lectrices expertes du travail des autres ; elles devront alors, aidées par des fiches guides pour l’évaluation (menu" Classes Jury"), apprécier le travail des autres classes participantes selon un planning et des modalités que leur fixera le comité de pilotage. Nous avons donc Deux fiches remplies par la classe et notées sur 20. Grille simple à remplir en débat.

52 CLASSES FINALISTES L’évaluation des productions permettra, par la prise en compte conjointe des deux productions réalisées par chaque classe, de retenir trois classes finalistes par circonscription (une classe de cycle 2, une classe de cycle 3, une classe de 6ème et une classe de SEGPA). À l’occasion du Festival de Littérature Genèse, « le livre de l’année » des élèves des Alpes-Maritimes sera également sélectionné ; sera retenu pour cela et pour chacun des trois cycles, le livre qui aura été plébiscité par le plus grand nombre de classes participantes.

53 CLASSES FINALISTES Les 30 classes ainsi retenues participeront alors activement à l’un des festivals de Littérature Jeunesse des Alpes-Maritimes selon des modalités qui seront ultérieurement portées à la connaissance des équipes enseignantes. Elles recevront également des lots de livres offerts par l’Inspection Académique et par les professionnels du livre. Les productions de ces 30 classes (cette fois identifiées) seront mises en ligne sur le site de l’Inspection Académique des Alpes-Maritimes.

54 CALENDRIER Pré-inscription possible jusqu’à fin 2008
Inscription en ligne des classes Menu Inscription sur le site du FLG : Calendrier à distribuer

55 bibliographie Lire la littérature à l’école, Catherine Tauveron, Hatier, 2004. Aux petits enfants les grands livres, AFL 2007. Activités de lecture à partir de la littérature jeunesse, Christian Poslaniec, Hachette éducation, 2002 Document d’application 2002, Une culture littéraire à l’école.

56 En guise de conclusion « Grâce à la conjonction du choix concerté de textes séduisants mais résistants et de dispositifs d’approche inventifs, qui donnent la part belle à l’initiative et à la réaction propre des enfants, on peut espérer construire didactiquement, et non simplement donner, le goût de lire. » C. Tauveron Car, comme le dit Sartre : « Un livre sans lecteur n’est qu’un petit tas de feuilles mortes. »


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