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Sortie dans le Pays Basque du samedi 1 er mai au lundi 3 mai Photos et textes de Jacky
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Quelle aventure !!! Avec…
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D epuis une huitaine de jours, nous sommes tous sur des charbons ardents. En effet, nous attendons le premier Mai avec impatience pour notre sortie sur le Pays Basque. Mais malheureusement, la météo n’est guère réjouissante et tous les jours nous nous rendons sur la toile en espérant y trouver une quelconque amélioration.
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L e samedi 1er Mai, nous nous retrouvons sur le parking de l’AFFAC pour le départ. Tout le monde est là pile poil à l’heure, Pierre, Hervé, Catherine, Dom déguisé en homme grenouille, et moi. 7 heures le départ.
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P remière étape Saintes, où nous récupérons Jean-Louis qui par pitié pour nos oreilles a remis ses pots avec silencieux.
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N ous roulons sous un ciel de traîne jusqu'à Mirambeau où nous nous arrêtons le temps de prendre un café. Nous traversons, les vignobles du Blayais et arrêt essence à l’Estalo pour abreuver nos montures.
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E nfin, direction Biarritz où nous arrivons sous un magnifique soleil. Nous posons nos motos, certains quittent leur tenue de scaphandrier…
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… et nous voici à table autour d’une bonne pizza.
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P our faciliter la digestion, une belle promenade sur le front de mer sans oublier le rocher de la vierge.
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C herchez la Vierge !!!
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C e n’est pas le doigt accusateur !!!
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N ous repartons sur le col d’Ibardin pour faire toute sorte de pleins, tabac, chocolat et boire une petite sangria. De là nous nous dirigeons sur le lieu de notre villégiature. En descendant le col d’Ibardin, nous apprécions la vue magnifique sur la baie. Nous passons Ascain et direction Sare…
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… l’hôtel restaurant PIKASSARIA.
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L à, c’est le grand calme, un accueil charmant, une vue magnifique sur les montagnes, et les cloches des brebis qui résonnent dans les pâtures.
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A près avoir rangés nos motos dans le garage, chacun emménage dans sa chambre confortable et sa vue imprenable sur les paysages verdoyant du Pays Basque.
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U ne bonne douche, et nous voici dans la salle de restaurant, Hervé offrant l'apéro afin de nous mettre en bouche.
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A l’issue, un repas succulent nous est servi. U n sacré coup de fourchette le Dom !!!
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D imanche 2 mai, direction le col de la Rhune. Nous sommes tous pleins de bonnes intentions pour notre ligne, monter et descendre pedibus jambus…
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... mais le train c’est tellement mieux, n’est ce pas ?
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A rrivés en haut, c’est l’hiver il fait froid et nous sommes dans les nuages à tel point que Pierre a pu apercevoir des vautours. Jean-Louis dit que ce sont des mouettes, et moi des étourneaux.
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N ous redescendons, toujours par le train, quelques photos de chevaux Pottok, moutons, puis nous arrivons en gare et visite du magasin souvenir.
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N ous reprenons la route vers Saint-Jean-de-Luz…
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… sa plage
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… sa rue piétonne, de la musique traditionnelle…
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… le port…
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… quelques photos souvenirs, petit encas, et direction les piments.
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V ous avez compris, il s’agit d’Espelette.
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U n petit pot sous le auvent d’un bar en attendant qu’une forte pluie passe…
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… visite des commerces…
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… et retour à la bergerie où nous nous retrouvons autour d’une bonne sangria.
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P uis nous passons à table, où le chef cuisinier nous a préparé à nouveau un excellent repas.
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Q uelques blagues, les yeux papillotent et il faut préparer les valises car hélas demain c’est déjà le départ.
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L undi 3 mai, après un bon petit déjeuner, nous remontons par la côte, puis première pause café au Boucau, sous un ciel maussade. Petit resto à Mimizan, et direction le bac de Lamarque qui permet de rejoindre Blaye.
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M ais ce n’est pas comme à la SNCF, soit il est parti à l’heure, soit nous sommes arrivés en retard. Dans les deux cas il nous faut attendre le prochain départ soit une heure et demi de plus.
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E nfin, nous embarquons sous le vent, le froid, et une mer houleuse.
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N ous restons proche de nos chevaux pour les calmer.
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L e débarquement effectué, nous voici repartis mais par pour longtemps, car la Ducat fait des siennes. Bien que Dom ait tout essayé, il faut faire intervenir la dépanneuse, pour certains d’entre nous ceci nous rappelle le Portugal.
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N ous mettons la moto sur la plate forme du camion, et Pierre goûte à la joie de la Bm.
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N ous laissons son bébé dans un garage, Dom mitraille avec l’appareil photos.
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E nfin, nous repartons sur Saintes où nous quittons Jean-Louis, et rentrons sur La Rochelle. J acky
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