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Réalisé par : Oualata abdelhak Université Hassan II – Mohammedia Faculté des Sciences Ben M'Sik Faculté des Sciences Ben M'Sik Casablanca Casablanca D.

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1 Réalisé par : Oualata abdelhak Université Hassan II – Mohammedia Faculté des Sciences Ben M'Sik Faculté des Sciences Ben M'Sik Casablanca Casablanca D é partement de Biologie

2 Plan Introduction Partie 1 : Diabète sucré *Historique *Généralités Partie 2 : Régime alimentaire des diabétique *Chez l’adulte *Chez l’enfant *Cas particuliers Conclusion Plan Introduction Partie 1 : Diabète sucré *Historique *Généralités Partie 2 : Régime alimentaire des diabétique *Chez l’adulte *Chez l’enfant *Cas particuliers Conclusion

3 INTRODUCTION En quelques décennies, une évolution profonde s’est opérée dans le traitement du diabète et la prescription du régime.En quelques décennies, une évolution profonde s’est opérée dans le traitement du diabète et la prescription du régime. Autrefois l’alimentation du diabétique, faite d’interdits et de contraintes, difficiles à appliquer avec régularité mettait le malade en marge de sa famille et de sa vie professionnelle, sans pour autant apporter tous les résultats escomptés sur le plan de l’équilibre alimentaire, du contrôle de la maladie, ni sur celui de la prévention d’éventuelles complications vasculaires.Autrefois l’alimentation du diabétique, faite d’interdits et de contraintes, difficiles à appliquer avec régularité mettait le malade en marge de sa famille et de sa vie professionnelle, sans pour autant apporter tous les résultats escomptés sur le plan de l’équilibre alimentaire, du contrôle de la maladie, ni sur celui de la prévention d’éventuelles complications vasculaires.

4 Partie 1 : Diabète sucré * Historique 1 er siècle avant Jésus-Christ: Cappadoce décrit le diabète. 1869: Paul langerhans décrit les ilots du pancréas endocrine. 1873: Bouchardât publie son régime. 1857: description des biguanides. 1979: l’insuline est fabriquée par génie génétique 1990-2000: développement des insulines analogues.

5 *Généralités DEFINITION (DIABETE SUCRE) : Le diabète dit sucré est une maladie liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la glycémie.Le diabète dit sucré est une maladie liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la glycémie.maladieglycémiemaladieglycémie Cependant, les causes du diabète dans la grande majorité des cas n'ont pas encore d'explication logique.Cependant, les causes du diabète dans la grande majorité des cas n'ont pas encore d'explication logique.

6 En pratique on distingue 2 types de diabète sucrée : Les diabètes insulinodépendants(diabète de type1) et les diabètes de types non insulino dépendants (diabète de type 2)

7 DIABETE DE TYPE 1 - Cause : destruction des cellules du pancréas qui produisent l'insuline - Apparition : en général brutale, chez le sujet jeune - Symptômes : soif, urines abondantes, amaigrissement, fatigue - Traitement : injections d'insuline - Fréquence : environ 10% des diabètes - Cause : destruction des cellules du pancréas qui produisent l'insuline - Apparition : en général brutale, chez le sujet jeune - Symptômes : soif, urines abondantes, amaigrissement, fatigue - Traitement : injections d'insuline - Fréquence : environ 10% des diabètes

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10 DIABTE DE TYPE2 - Cause : * cause génétique + surpoids et sédentarité. - Cause : * cause génétique + surpoids et sédentarité. * La production d'insuline est inadéquate par rapport aux besoins. * La production d'insuline est inadéquate par rapport aux besoins. * Les cellules résistent à la pénétration du glucose - Apparition : le plus souvent après 40 ans - Symptômes : très peu, voire aucun avant l'apparition des conséquences - Traitement : hygiène de vie avant tout. Eventuellement, médicaments. Plus rarement : insuline - Fréquence : le diabète le plus fréquent (environ 90% des cas) * Les cellules résistent à la pénétration du glucose - Apparition : le plus souvent après 40 ans - Symptômes : très peu, voire aucun avant l'apparition des conséquences - Traitement : hygiène de vie avant tout. Eventuellement, médicaments. Plus rarement : insuline - Fréquence : le diabète le plus fréquent (environ 90% des cas)

11 L’ORIGINE DU DIABETE L’ORIGINE DU DIABETE Représente un véritable fléau lié aux modifications du mode de vie et au vieillissement de la population.Représente un véritable fléau lié aux modifications du mode de vie et au vieillissement de la population. La survenue du diabète de type 2 est fortement liée à notre mode de vie.La survenue du diabète de type 2 est fortement liée à notre mode de vie. il se developpe progressivement avec l'âge et préférentiellement chez les personnes en surpoids ou obèses. il se developpe progressivement avec l'âge et préférentiellement chez les personnes en surpoids ou obèses. Une alimentation trop riche en sucres et en graisses, le manque d'exercice physique et un surpoids sont autant de facteurs prédisposant.Une alimentation trop riche en sucres et en graisses, le manque d'exercice physique et un surpoids sont autant de facteurs prédisposant.

12 LES CONSEQUENCES DU DIABETE SUCRE effet toxique sur les artères des :effet toxique sur les artères des : *des yeux : c'est la rétinopathie, qui se manifeste par des troubles visuels et peut rendre définitivement aveugle. *des reins : c'est l'insuffisance rénale chronique qui survient tardivement et nécessite à terme la dialyse, voire la transplantation.

13 grosses artères, avec la formation de plaques d'athérome au niveau:grosses artères, avec la formation de plaques d'athérome au niveau: * Cœur (artères coronaires) : la crise cardiaque (infarctus du myocarde). * Cerveau (artères carotidiennes) : l'attaque cérébrale (accident vasculaire cérébral ou AVC). * des jambes : l'artérite (artériopathie oblitérant des membres inférieurs). Sur les nerfs :Sur les nerfs : c'est la neuropathie diabétique, responsable de douleurs dans les jambes, difficiles à soulager. Associée aux atteintes des petits vaisseaux, elle peut entraîner des plaies du pied pouvant conduire à l'amputation. c'est la neuropathie diabétique, responsable de douleurs dans les jambes, difficiles à soulager. Associée aux atteintes des petits vaisseaux, elle peut entraîner des plaies du pied pouvant conduire à l'amputation.

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15 QUAND DEPISTER UN DIABETE

16 Partie 2 : Régime alimentaire des diabétiques. *Chez l’adulte Vise à : combler les besoins nutritionnels combler les besoins nutritionnels contrôler le glucose sanguin contrôler le glucose sanguin Prévenir l’hypoglycémie Prévenir l’hypoglycémie Réduire l’oxydation Réduire l’oxydation atteindre un poids et des taux de lipides sanguins adéquats atteindre un poids et des taux de lipides sanguins adéquats Prévenir les MCV Prévenir les MCV prévenir les complications de la maladie. prévenir les complications de la maladie.

17 Contrôle de la glycémie En contrôlant les apports glucidiques.  Les glucides sont présents soit naturellement (fruits, produits laitiers..) ou sont ajoutés aux aliments (sucre, glucose, miel..)  Privilégier les aliments contenant des glucides présents naturellement.  Ne pas consommer plus de 10 % de ses calories totales sous forme de glucides ajoutés.

18 Comment déterminer les apports glucidiques?  Les glucides totaux doivent représenter environ 55 % des calories de la journée. Par exemple, une femme diabétique avec un besoin calorique quotidien de 1 800 calories a besoin d’environ 248 g de glucides par jour ((1800 calories X 0,55)/4=248).  Notion d’équivalent : 1 équivalent de glucides vaut environ 5 g de glucides. Ex.: ½ banane contient 3éq = 15g de glucides.

19 Pour un besoin de 248 g de glucides par jour : - 5 portions de fruits : 15 équivalents (75 g de glucides) - 7 portions de féculents (riche en fibres alimentaires idéalement) : 21 équivalents (105 g de glucides) - 6 portions de produits laitiers : 6 équivalents (30 g de glucides) - 2 portions de légumes riches en glucides : 4 équivalents (20 g de glucides) + 3 équivalents maximum de sucres ajoutés ou concentrés (15 g de glucides) NB : Répartir les différents groupes d’aliments assez également dans la journée.

20 Repas du matin - 2 portions de féculents : 1 rôtie de pain de grain entier 2/3 tasse de céréale de son d’avoine - 1 portion de fruit : 1 orange - 1 portion de produit laitier : ¾ tasse de yogourt nature - 30 g de protéine : 1 c. à table de beurre d’arachide naturel Collation du matin : 1 petite pomme et 8 amandes

21 Repas du midi - 2 portions de féculents : 2/3 tasse d’orge cuite - (90 g) de protéine : de poulet sans la peau - 1 portion de légumes riches en glucides : ½ tasse de carottes cuites - 1 portion de produit laitier : 1 tasse de lait écrémé Collation d’après-midi : ½ pamplemousse

22 Repas du soir - 2 portions de féculents 1 petite pomme de terre 1 tranche de pain de grain entier - 90 g de protéines 90 g de veau haché - 1 portion de légumes riches en glucides ½ tasse de pois verts Collation du soir : - 1 portion de substituts au produit laitier 1 tasse de boisson de soya nature (faible en sucre) - 1 portion de féculent ½ muffin au son d’avoine

23  NB : Augmenter les fibres alimentaires solubles. Les fibres solubles permettent de réduire le taux de glucose en ralentissant l’absorption des glucides. * Meilleures sources de fibres solubles Avoine, son d’avoine, gruau Sarrasin Orge Légumineuses Graines de lin Pomme, poire

24 Prévenir les maladies cardiovasculaires - Réduire l'apport en lipides et privilégier les bons gras. - Augmenter l'apport en oméga-3 d'origine marine. *Sources de bons gras :  Huile d’olive extra vierge  Huile de sésame  Huile de noisette

25  Teneur en oméga-3 de quelques poissons : - 150 g Maquereau bleu : 3 450 mg - 150 g Saumon de l'Atlantique (élevage) : 2 870 mg - 150 g Truite grise : 2 400 mg - 150 g Sardines en conserve (dans l'huile) : 980 mg - 150 g Crevettes :717 mg

26 NB : les fibres alimentaires solubles diminuent le taux du LDL-C

27 Réduire l’oxydation : En augmentant l’apport en antioxydants, qu’on trouve principalement dans les fruits et les légumes.

28 Prévenir l’hypoglycémie Peut être causée par : la prise d’insuline ou d’une trop forte dose de médicament favorisant la production d’insuline;la prise d’insuline ou d’une trop forte dose de médicament favorisant la production d’insuline; le retard d'un repas ou d'une collation;le retard d'un repas ou d'une collation; une quantité insuffisante de nourriture au repas ou à la collation;une quantité insuffisante de nourriture au repas ou à la collation; une activité physique imprévue.une activité physique imprévue.

29 Que faire en cas d’hypoglycémie? ½ tasse (125 ml) de jus de fruits non sucré ou de boisson gazeuse sucrée½ tasse (125 ml) de jus de fruits non sucré ou de boisson gazeuse sucréeou 5 pastilles de dextrosol5 pastilles de dextrosolou 3 sachets de sucre3 sachets de sucre

30 *Chez l’enfant  Le diabète sucré est une maladie métabolique chronique souvent insulinoprive touchant une tranche d’âge de 0 à 15 ans.

31 REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE  PRINCIPE DU REGIME: 1.Doit permettre une croissance staturo- pondérale normale:  ENERGIE (AGE): 1 à 3 ans 1360 kcal 4 à 6 ans 1830 kcal 7 à 9 ans 2190 kcal 10 à 12 ans ♂ 2600 kcal ♂ 2600 kcal ♀ 2350 kcal ♀ 2350 kcal

32 REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE  LES PROTIDES: oPrésentent 15% de l’apport énergétique total /j. o50% sous forme de protides animaux(viande, poisson, œufs,produits laitiers). o50% sous forme de protides végétaux.  LES LIPIDES: o représentent 30 à 35 % de l’apport énergétique /j. oPrédominance des graisses poly insaturées.

33  LES GLUCIDES: oReprésentent 50 à 55 % de l’apport énergétique / j. REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE

34 2.Doit prévenir les incidents hypoglycémiques et hyper glycémiques: oL’alimentation doit être fractionnée et à heures régulières. 3Principaux repas + goûter et collation à 10 h. oRépartition de l’alimentation ↔ liaison avec l’insulinothérapie (type d’insuline et l’heure d’injection). REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE

35 3.L’enfant ne doit pas sauter de repas et ne doit pas grignoter entre les repas: oEn cas de refus alimentaire après une injection d’insuline → alimentation mixée ou liquides riches en glucides. oLe grignotage entre les repas → déséquilibre métabolique. REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE 4. Prévenir les complications athéromateuses: oÉviter les graisses d’origine animale au profit des PI d’origines végétales.(viandes poissons ↔ huiles végétales).

36 5.Diminuer les sucres simples à absorption rapide → sucre complexes: Sucres simples: sucreries, bonbons, confiserie, miel, confiture, pâtisseries.Sucres simples: sucreries, bonbons, confiserie, miel, confiture, pâtisseries. Sucres complexes: féculents, amidon, pain pomme de terre, riz, pâtes.Sucres complexes: féculents, amidon, pain pomme de terre, riz, pâtes. REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE

37 REGIME CHEZ L’ENFANT DIABETIQUE Des systèmes de parts glucidiques interchangeables comportant des rations de glucides permet de varier le régime.

38 REGIME DE LA FEMME ENCEINTE DIABETIQUE  Existe 2 types:  Le diabète est connu avant la grossesse → normalisation de la glycémie.  Diabète gestationnel :la découverte d’un trouble de la glycorégulation jusqu’à présent méconnu au cours d’une grossesse. Celui-ci apparaît généralement à la fin du deuxième trimestre vers le 7e mois

39 REGIME DE LA FEMME ENCEINTE DIABETIQUE  Diagnostic après 1 h de la prise de 50g de glucose → la glycémie >1.40 g/l.  La diététique :  L’apport calorique Poids normal : l’apport énergétique est celui habituel avec une ↑ de 100 à 150 cal/j.Poids normal : l’apport énergétique est celui habituel avec une ↑ de 100 à 150 cal/j. L’apport calorique normal est de 30 à 32 kcal/kg.L’apport calorique normal est de 30 à 32 kcal/kg. Surpoids : correction des apports nutritive.Surpoids : correction des apports nutritive.

40 REGIME DE LA FEMME ENCEINTE DIABETIQUE  La ration glucidique au sein de l’apport : o 40 à 50 % de l’apport énergétique. o 2000cal/j o3 repas + 2 collations(7h, 12h, 19h, collation 10h; 16h). ∆ - Hyperglycémie post prondiale du petit déjeuner. - Hypoglycémie suite aux vomissements. - Hypoglycémie suite aux vomissements.

41 REGIME DE LA FEMME ENCEINTE DIABETIQUE  Les autres nutriments lipido-protidiques: oSont des compléments de la ration calorique. oApport excessif en lipides → source dinsulino résistance. oCarence en protéines → diabète de type II.  Thérapie: oInsulino thérapie. oHypoglycémiants oraux.

42 Sujets âgés diabétiques  Régime alimentaire ressemblant à celui d’une personne adulte.  Tient compte: oDifficultés de oDifficultés de mastication dues à l’appareil dentaire. o oHabitudes alimentaires, souvent + mauvaise que bonne. oModicité des ressources

43 Sujets âgés diabétiques  Recommandations: oApport de la viande maigre hachée ou filet de poisson. oApport des protides par les œufs( moins chers). oProduits laitiers (apportent du calcium). oLes fruits en cas de mauvaise dentition, sont remplacés par des compotes.

44 conclusion  Le diabète est une maladie chronique qui peut être à l’origine de plusieurs complications, rendant la vie moins confortable.  Un régime alimentaire adéquat est le pélier du traitement de cette maladie.

45 MERCI POUR VOTRE ATTENTION ATTENTION


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