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PRODUITS DE CONTRASTE EN RADIOLOGIE X
Frank Boudghene Hopital Tenon Université Paris 6
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Quels sont les contrastes naturels en imagerie conventionnelle par Rayons X ?
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CONTRASTE en IMAGERIE Contraste naturel en radiologie X
Air, Graisse Os, Tissus mous Nécessité de contraste artificiel pour Viscères creux Vaisseaux, Voies urinaires autres
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Quels sont les produits de contraste que vous connaissez ?
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CONTRASTE en IMAGERIE Rayons X: Radiologie et TDM contraste digestif
air, baryum, iode, eau, graisse contraste uro-vasculaire iode, CO², Gadolinium, lipiodol
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OPACIFICATION
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Historique des Produits de Contraste
1895: découverte des RX 1896: Baryum pour la radiologie digestive 1929: molécule benzénique mono-iodée (UIV) 1952: molécules triiodés hyrosolubles (vasculaire) 1973: TDM et contraste tri iodé non ionique intrathécale (neuroradiologie) 1976: contraste « hypo osmolaire » injection artérielle non douloureuse
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CONTRASTE en IMAGERIE Contraste positif Contraste négatif
Plus absorbant que le milieu environnant (numéro atomique élevé : iode, baryum) Contraste négatif Moins absorbant que le milieu environnant Double contraste : association
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Quels examens conventionnels nécessitent l’utilisation d’un produit de contraste ?
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CONTRASTE en IMAGERIE UIV, Pyélographie, Uréthro-cysto rétro
TOGD, Transit du grêle, Lavement colique UIV, Pyélographie, Uréthro-cysto rétro Angiographie: artériographie et phlébographie Hystéro-salpingographie Sialographie, Fistulographie Arthrographie, Lymphographie Cholangiographie orale et intraveineuse Myélographie et Saccoradiculographie
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Comment opacifier les viscères creux ?
Estomac, Grêle et Colon
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CONTRASTE du TUBE DIGESTIF
NEGATIF: Gaz (air +++) POSITIF: Sels insolubles de sels lourds (sulfate de BARYUM): non absorbés, adhérence +++ Hydrosolubles iodés (Télébrix, gastrographine) si risque de passage péritonéal (perforation, sutures récentes, post-biopsie) si hémorragie aiguë, urgence: préopératoire ?
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CONTRASTE du TUBE DIGESTIF
SIMPLE contraste DOUBLE contraste +++ TOGD Transit du grêle Lavement Colique
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TOGD A JEUN ++ CONTRASTE simple ou double POSITION
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TOGD
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TRANSIT DU GRELE TECHNIQUE CONTRASTE MODIFICATEURS DU TRANSIT
Standard ou Entéroclyse CONTRASTE simple ou double MODIFICATEURS DU TRANSIT Eau glacée Primpéran, Buscopan
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Transit du Grêle Standard Entéroclyse
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Transit du Grêle Standard Mésentère commun
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LAVEMENT BARYTE PREPARATION COLIQUE+++ CONTINENCE ! CONTRASTE: simple
double +++ = pariétographie fine + distension par air
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CONTRASTE: Colon Simple double
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Lavement baryté en simple contraste
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Lavement baryté en double contraste
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COMPLICATIONS Perforation BARYTEE: (cou, médiastin, rétropéritoine)
Inflammation majeure Réaction fibreuse très rapide Granulome à corps étranger Adhérence: occlusion sur bride Infection fréquente associée
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PERFORATION BARYTEE
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CONTRASTE DIGESTIF EN TDM
Contraste positif Baryte diluée Iode Contraste négatif Air Eau
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CONTRASTE NEGATIF : AIR
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CONTRASTE NEGATIF : EAU
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CONTRASTE DIGESTIF en TDM
Positif Négatif JO J4
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CONTRASTE DIGESTIF en TDM
Positif Négatif JO tardif J4 artériel
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TDM au LAIT
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FILIERE LARYNGEE
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PRODUITS CONTRASTE IODES URO-VASCULAIRES
1895: découverte des RX 1922: Iodure de Na (iode minéral) : traitement syphilis premiers clichés d ’UIV 1929: Molécule benzénique mono-iodée (iode organique) pour UIV Augmenter le pouvoir opacifiant: Produits di-iodés (excrétion tubulaire: seuil) Produits tri-iodés à filtration glomérulaire: 1952
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PRODUITS CONTRASTE IODES URO-VASCULAIRES
1952: Molécules triiodés hyrosolubles ioniques Urologie et vasculaire (Seldinger) 1973: Produit de contraste tri iodé non ionique. Injection intrathécale (neuroradiologie) et TDM 1976: PCI « hypo osmolaire » (mais ionique); injection artérielle non douloureuse PCI hypo osmolaire et non ionique
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Molécule triiodée hydrosoluble
COO/H I I R1 I R2 I
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MOLECULE TRI-IODEE HYDROSOLUBLE
Diatrizoate (Radiosélectan;Schering) Ioxitalamate (Télébrix; Guerbet) de sodium et de méthyl-glucamine Molécule acide ionique = CI en intrathécale Hyperosmolaire : déshydratation cellulaire, diurèse osmotique, chaleur, douleur
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MOLECULE TRI-IODEE HYDROSOLUBLE
Evolution = diminuer l’osmolalité dimère ionique monomère non ionique pour diminuer les réactions secondaires
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Dimère (hexa-iodé) ionique
COO - R1 R2 R2
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Dimère (hexa-iodé) ionique
Acide Ioxaglique (Hexabrix; Guerbet) osmolalité diminuée le moins cher des « hypoosmolaires » CI en intra-thécal +++ (convulsions, decès)
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Monomères non ioniques
Iopamidol (Iopamiron; Schering) Ioversol (Optiray; Guerbet) Iohexol (Omnipaque; Nycomed) Iopromide (Ultravist; Bracco) hypoosmolaires mais plus osmolaires que Héxabrix neuroradiologie +++ (non ionisables)
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Dimère (hexa-iodé) non ionique
= C NH R1 R1 R2 R2 N N OH COCH3 COCH3 IODIXANOL
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Dimère (héxa-iodé) non ionique
Iodixanol (Visipaque; Nycomed) molécule non ionique : intrathécale quasi Iso Osmolalité : prix comparable à l’Hexabrix
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PCI et OSMOLALITE Osmolarité = nombre de particules osmotiquement actives (Plasma: 300 mOsmol/Kg d’H²O) Osmolalité = force exercée par les particules sur les parois semi-perméables qui entourent le produit; proportionnelle à la concentration
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PARTICULES IONIQUES COOM COO- R2 + R2 Na+ Meg+ R3 R3
DISSOCIATION EN 2 PARTICULES La particule organo-idée est un ion : les HOCM sont ioniques SEL ORGANO-IODE
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EFFET IMMEDIAT DE L' OSMOLALITE
HYPERVOLEMIE H2O H2O DIFFUSION INTERSTITIELLE APPEL D'EAU : EXPANSION VOLEMIQUE
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PCI HYPEROSMOLAIRES Conséquences de l’hypervolémie (si >600 mOsmol/Kg)
DANS LES VEINES système Capacitif CHALEUR DANS LES ARTERES système résistif DOULEUR
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PCI HYPEROSMOLAIRES Vasodilatation Surcharge Volémique
rougeur, chaleur Surcharge Volémique + 8 % avec LOCM + 20 % avec HOCM OAP sur terrain fragile, hémodilution
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PCI HYPEROSMOLAIRES Modification cellulaire
Globules Rouges : crise drépanocytaire endothelium : augmentation de la perméabilité capillaire
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OSMOLALITES COMPAREES (mgI/mL)
TELEBRIX (Guerbet) XENETIX (Guerbet) 695 OMNIPAQUE (Nycomed) 690 IVEPAQUE (Nycomed) 640 OPTIRAY (Mallinckrodt)) 630 IOPAMIRON (Schéring) 616 ULTRAVIST IOMERON (Bracco) HEXABRIX (Guerbet) 560 VISIPAQUE (Nycomed) 290
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PCI: pharmococinétique
Pas de métabolisme Pas de passage de la BHE Elimination: Filtration glomérulaire (95 %) Excrétion biliaire (+++ si insuf rénale) Elimination salivaire (parotidite)
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PCI: pharmococinétique
MODE BICOMPARTIMENTAL PLASMA COMPARTIMENT n°1 1 CELLULES INTERSTITIUM COMPARTIMENT N°2 2 3 URINES
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Contre indications des produits de contraste Uro-Vasculaires iodés ?
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CONTRE-INDICATIONS DES PCI
Allergie sévère Insuffisance rénale et diabète Insuffisance cardiaque sévère Myélome (insuf rénale) Diabète et Metformine
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POUR RECEVOIR UNE INJECTION DE CONTRASTE IODE ?
TOLERANCE des PCI FAUT - IL ÊTRE A JEUN POUR RECEVOIR UNE INJECTION DE CONTRASTE IODE ? POURQUOI ?
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TOLERANCE des PCI Mortalité: 1/ 150 000 injections
Accident majeur: 89/ injections Classification: allergique: dose indépendante toxique: dose dépendante
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CHOC ANAPHYLACTIQUE Anesthésiques 24,5 % Venins hymenoptères 17,5 %
Analgésiques 14,5 % (AINS et aspirine) P.C.I % Antibiotiques 9 % (Etude rétrospective de 1050 dossiers, réa. Pitié-Salpétrière)
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FAUX ALLERGIQUES ! De nombreux patients « allergiques » ne sont pas allergiques aux Produits de contraste iodé
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PCI et ALLERGIE Réaction allergique: 4,7 %
3,3 % mineures (rash, urticaire) 1,4 % moyennes (Quincke, hypotension, bronchospasme, urticaire généralisé) 0,07 % sévères (choc, arrêt cardiaque, œdème)
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PCI et ALLERGIE Facteurs de risque
Réaction allergique vraie à l ’iode (récurrence 17 à 35 %) Terrain allergique: Asthme, Rhinite allergique alimentaire: fraises, crustacés Examen de substitution ? +++ Informer le patient ++
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PCI et ALLERGIE Salle avec matériel +++ Prémédication
O², masque, aspiration Drogues non périmées Prémédication antihistaminique, anxiolytique, corticoïdes Bonne voie d ’abord Non ionique ?
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TOLERANCE des PCI Io= ionique; R = Patient à risque
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TOLERANCE des PCI Ioniques/non ioniques
Rôle +++ du stress : malaise vagal Non ioniques hypoosmolaires = mieux tolérés (chaleur, nausées, cardiovasculaires) Néphrotoxicité ? Réactions allergiques ? Conversion souhaitable mais coût + élevé
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ACCIDENT GRAVE ! Quelque soient les patients
(allergiques ou non, prémédiqués ou non) Quelque soit le type de produit (Hypo ou hyperosmolaire, ionique ou non)
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PCI et EXTRAVASATION Angio TDM: injecteur automatique avec grands volumes à débit élevé Gravité: volume total concentration, hyperosmolaire site d’injection
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PCI et THYROIDE Hyperthyroïdie exceptionnelle retardée (goitre sur insuffisance d’apport) Hypothyroïdie pour fœtus Blocage pendant 10 jours : Scintigraphie thyroïdienne traitement par iode radio actif ++++
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PCI et CALCIUM Pouvoir complexant du Calcium Interférence pour
Hémostase: anticoagulant Activité cardiaque hypocalcémie diminue contractilité bradycardie et BAV
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PCI et COEUR Hypervolémie: insuffisance cardiaque si terrain fragile
Hyper osmolaire + 20 % Hypo osmolaire + 8 % HypoTA par vasodilatation Bradycardie lors de coronarographie
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PCI et DIABETE DID: problème à jeun DNID: Si insuffisant rénal
- METFORMINE ? (Glucophage, Glucinan, ….) - Arrêt 48 h avant, reprise après 48 h
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PCI et REIN Patient normal créatinine monte dès J1, Pic vers J3 -J5
niveau de base vers J10 Insuffisant rénal pic plus élevé (dialyse temporaire) retour niveau de base plus élevé parfois dialyse définitive
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PCI et REIN IR liée à l ’iode: 1/3 des IRA à l ’hôpital
Facteurs de risque concentration et volume injecté IR préexistante : risque exponentiel diabète
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PCI et INSUFFISANCE RENALE
Patients à risque Volume les plus faibles Dialyse préventive inutile Basse osmolalité /haute osmolalité ? PDC alternatifs ... CO² Gadolinium
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INTERACTIONS MEDICAMENTS
1) METFORMINE DIABIPHAGE, GLUCOSULFA, GLUCOPHAGE, STAGID, GLUCINAN. P.C.I INSUFFISANCE RENALE METFORMINE ACIDE LACTIQUE 2) B BLOQUANTS INEFFICACITE DE L'ADRENALINE UTILISEE EN CAS DE CHOC ANAPHYLACTIQUE 3) DIURETIQUES ILS ELIMINATION D'EAU DESHYDRATATION P.C.I. : DIURESE OSMOTIQUE INSUFFISANCE RENALE ACIDOSE LACTIQUE
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INTERACTIONS MEDICAMENTS
4) I.E.C ANGIOTENSINE VASOCONSTRICTION RENALE PLUTOT PROTECTEURS 5) I.C RISQUE D'HYPOTENSION 6) A.I.N.S ANTIPROSTAGLANDINES : PERFUSION RENALE P.C.I. : IDEM RISQUE D'INSUFFISANCE RENALE 7) PAPAVERINE VASODILATATEUR EN VASCULAIRE, ELLE PRECIPITE IN VITRO AVEC HEXABRIX; MAIS 1 CAS AVEC IOPAMIRON
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Produits de contraste iodés hydrosolubles injectables
UIV! Angiographie: - artérielle ou veineuse - diagnostique ou thérapeutique TDM (angioscanner)
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UROGRAPHIE INTRA-VEINEUSE
Diminuer la diurèse = + d’iode dans - d’eau Diète hydrique (réabsorption H2O/Na+ tubules) PCI Hypoosmolaire (hyper : diurèse osmotique) Concentration Iodée Maximale : en général mg d ’iode par ml (Hexabrix 320) rarement gr d ’iode pour 100 ml (Télébrix 38)
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UROGRAPHIE INTRA-VEINEUSE
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TDM: PCI hydrosolubles
Injection IV: système cave supérieur Cœur droit et A Pulmonaire 15 s Passage artériel s Tissulaire s Retour veineux s
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TDM: PCI hydrosolubles
Parenchyme rénal corticale (glomérules) 20s tubulaire s Veine rénale s Excétion calicielle 3 min (pyélon, uretères, vessie)
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Temps veineux Sans IV
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Temps artériel
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PCI liposolubles: huiles iodées
Lipiodol : première myélographie en 1921 Lymphographie Hystérographie ou fistulographie Arrêt de l ’utilisation de ces produits sauf artériographie hépatique (CHC)
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CHC Lipiodolé
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PCI à élimination biliaire
Par voie orale biloptine lipophile Par voie veineuse biligraphine hydrosoluble
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PCI biliaire par voie Veineuse BILIGRAPHINE
Caractère hydrosoluble Fixation sur la sérum albumine Elimination hépatique: pas de glycuro-conjugaison Concentration biliaire Produits allergisants +++
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CHOLANGIOGRAPHIE VEINEUSE
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PCI biliaire par voie Orale BILOPTINE
Caractère lipophile Résorption intestinale passive Fixation sur la sérum albumine Elimination hépatique: glycuro-conjugaison Concentration biliaire
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CHOLECYSTOGRAPHIE ORALE
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CONTRASTE en ANGIOGRAPHIE
Iode +++ (depuis 1950) CO² ( depuis 1970) Gadolinium (depuis 1990)
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CONTRASTE VASCULAIRE Artériographie
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ANGIOSCANNER ANEVRYSMES AORTE ABDOMINALE
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ANGIOGRAPHIE au CO² Avantage
Absence de néphrotoxicité Pas de réaction allergique Coût minime du contraste. Quantité illimitée « mais espacée » Dissolution rapide: 1er passage
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ANGIOGRAPHIE au CO² Inconvénients
Matériel stérile (coût par patient) Injection pénible (douleurs/distension) Remplissage incomplet (distalité médiocre) Dissolution rapide (fragmentation colonne)
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ANGIOGRAPHIE au CO² Inconvénients
Injections espacées de 5 à 10 min Eviter volumes excessifs < 50 ml IV et IA Injecteur dédié :coût éviter contamination air ambiant +++ éviter une injection explosive
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ANGIOGRAPHIE au CO² Inconvénients
Apprentissage ++ injection manuelle: manipulations dissolution rapide: distalité position du patient - TC, AMS et AMI +++ - Art Rénales et lombaires +/-
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ANGIOGRAPHIE au CO² Risques
Désamorçage cardiaque (CO² piégé dans CD) Ischémie (exceptionnelle) digestive (volume) NEUROTOXICITÉ +++ (convulsion): Pas d’injection IA sus diaphragmatique Voie IV : reflux dans les FAV ?, CIA et CIV ?
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ANGIOGRAPHIE au GADOLINIUM
Physique Absorption liée au Nombre atomique (K edge) Gadolinium: 64 (52 keV) Iode: (33 keV) Mais atténuation moindre car concentration Magnévist : 0,5 mmol/ml = 78 mg Gado/ml Iohexol 350 : 2,7 mmol/ml = 350 mg iode/ml
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ANGIOGRAPHIE au GADOLINIUM Avantage
Injecteur Iode et Gado Tolérance parfaite IV Viscosité (<4 fois iode): injection manuelle Indépendante de la position Injection carotidienne possible
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ANGIOGRAPHIE au GADOLINIUM Inconvénients
Coût : x 5 PCI basse osmolalité Volume limité Contraste plus faible
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CONTRASTE VASCULAIRE CO² et Gadolinium
Carence autres techniques insuffisantes (doppler, IRM) CI à l ’IRM (Pace Maker) Contre indications formelles à l ’iode
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CONTRASTE VASCULAIRE CO² et Gadolinium
Indications sélectionnées phlébo et fistulographie non dialysés angioplastie rénale chez I Rénaux artériographie chez diabétique I Rénal
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CAVOGRAPHIE au CO²
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