Se soutenir mutuellement dans le deuil. La Fédération internationale de L’Arche qui compte plus de 120 communautés a été fondée en 1964 en France par.

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1 Se soutenir mutuellement dans le deuil

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3 La Fédération internationale de L’Arche qui compte plus de 120 communautés a été fondée en 1964 en France par Jean Vanier. Poursuivant la vision de Jean Vanier, qui appelle à créer des communautés de compassion dans lesquelles des personnes avec des origines et des dons variés peuvent s’épanouir en partageant des vies chargées de dignité et de sens, le premier foyer de L’Arche au Canada a ouvert ses portes à Toronto en 1969.

4 Aujourd’hui, il y a deux communautés dynamiques dans la région de Toronto dans lesquelles sont engagées des personnes aux histoires variées. Des personnes ayant une déficience intellectuelle et des « assistants » partagent leur vie ensemble. Cette vie partagée comprend le deuil des amies qui sont décédés. Ce qui suit est une partie de notre expérience et la sagesse acquise à travers ces expériences.

5 « N’ayez pas peur de pleurer vos pertes. Elles sont les panneaux indicateurs de nos vies ; après elles, nous ne sommes plus jamais les mêmes ». Joan Chittister, Gospel Days

6 Qu’est-ce qui peut être utile avant la mort d’une personne ? •Créer un groupe de soutien qui sera là pour cette personne.

7 •Travailler sur un livre racontant l’histoire de sa vie ou sur d’autres formes de bilan. •Encourager chacun à prendre soin de la personne malade. •Faire des visites à l’hôpital ou à l’unité de soins palliatifs.

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9 Greg rendant visite à sa mère à l'hôpital, peu avant la mort de celle-ci.

10 •Encourager les gens à exprimer leurs inquiétudes et leurs angoisses, ou à poser des questions dans un cadre approprié. •Aider la personne malade à donner des indications sur ce qu’elle souhaite pour ses funérailles. •Aider les gens à trouver une manière de dire au revoir.

11 Qu’est-ce qui peut être utile au moment de la mort? •La nouvelle est annoncée dans les foyers par les membres à long terme les plus désignés pour cette tâche, qui disent aux personnes ce qui est arrivé de manière simple, mais avec honnêteté. •Les personnes se rassemblent rapidement pour entendre encore une fois la nouvelle de la mort et pour prier, raconter des histoires, rire et pleurer ensemble.

12 •Être ensemble. •Faire preuve d’inventivité pour impliquer les personnes dans la veillée funèbre et dans la célébration des funérailles.

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14 Comment peut-on se soutenir mutuellement après la mort de quelqu'un ? -Aller se recueillir sur la tombe/ célébrer les anniversaires. -Donner à chacun la permission de parler de la personne décédée et d’exprimer ses sentiments ; permettre aux autres de vous soutenir.

15 - Réfléchir à la possibilité d’un groupe de soutien dans le deuil s’il s’agit d'une perte majeure. - Continuer à nommer les dons de la personne décédée et à raconter des histoires qui lui sont liées. - Aider les personnes à acquérir des stratégies d'adaptation qui leur conviennent et auxquelles elles pourront recourir lorsqu'elles vivront d'autres pertes.

16 « Souvent, la perte peut être le premier pas vers quelque chose de meilleur – aussi bien autour de nous qu’à l’intérieur de nous ». Joan Chittister, Gospel Days

17 Merci d’avoir écouté notre témoignage.