De l’honneur face à la « gueuse »! L’honneur …. un bien grand mot…. mais qui dans le dérisoire nous rend plus grand que les Dieux!

Présentation au sujet: "De l’honneur face à la « gueuse »! L’honneur …. un bien grand mot…. mais qui dans le dérisoire nous rend plus grand que les Dieux!"— Transcription de la présentation:

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2 De l’honneur face à la « gueuse »!

3 L’honneur …. un bien grand mot…. mais qui dans le dérisoire nous rend plus grand que les Dieux!

4 La mort gagne à tous les coups dans ce jeu pipé d’avance, mais l’honneur de l’homme, contraint et forcé, est de pouvoir dire: « Je proteste » (phrase implicite (!) prononcée par l’écuyer, Gunnar Bjornstrand dans la dernière scène du film le 7 ième sceau, )

5 •..A Palerme le cri d’un protestataire inconnu, répond aux toiles intemporelles de Brughel, de Van Gogh ou de Picasso….

6 Picasso

7 Brughel

8 • A Palerme, au détour de ruelles étroites, décrépies…

9 Dans un musée, l’ ancien palaccio Batellis (bombardé en 1943, restauré en 1954) : là, le choc d’une fresque étonnante de 6 mètres, en 4 panneaux… d’un artiste inconnu du XV ième siècle.

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13 •On pense que cette allégorie fut réalisée suite aux épidémies de peste, foudroyantes, qui emportaient tous, manants, seigneurs et évèques sur son passage…. •Les virus, jamais vaincus, savent muter et changer de visage… le titre de la toile serait comme pour Brughel, le »Triomphe de la Mort »..

14 La mort à cheval fauche les vies, renverse tout sur son passage…. …

15 Inconscients de cette vague, certains croient pouvoir être épargnés!

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18 •. « Femmes de soie et de fourrure terrassées, riches transpercés, à la gorge, au cœur, invalides épargnés, musiciens en gloire ».

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23 Mais pas à celui qui sait voir dans le ciel la cavale sauvage…..

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28 • « Quelque chose d'effroyable avait eu lieu là. Partout à l'horizon s'élevaient des flammes dans un grand effort d'arrachement pourpre, ainsi que des cris. Nous avons atteint les premières fermes, dont les murs calcinés étaient méconnaissables. •…•… Brughel

29 • Ce texte fait tellement penser à celui de Rimbaud « Being Beautous » ou les humains tirent sur leur propre mère, à coups de mitraillette ou autres… ce poème, prophétique, qui m’ a saisi à mes 24 ans.. • « Devant une neige Un Etre de Beauté de haute taille. des sifflements de mort et des cercles de musique sourde font monter, s'élargir et trembler comme un spectre ce corps adoré. • Des blessures écarlates et noires éclatent dans les chairs superbes. …les sifflements mortels et les rauques musiques que le monde, loin derrière nous, lance sur notre mère de beauté, elle recule, elle se dresse… »

30 Le calme avant la tempête……

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33 Le triomphe de la Mort

34 Dans une autre salle du musée, le buste tranquille d’Eléonore d’Aragon (F.Laurana).

35 Tout a une fin… Balladophilorama de Bernard GEORGES. Août 2010