Le rapport à autrui dans l’évaluation.  L’évaluateur ne peut pas céder à l’illusion qu’il est l’exécutant docile de règles qui lui seraient extérieures.

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1 Le rapport à autrui dans l’évaluation

2  L’évaluateur ne peut pas céder à l’illusion qu’il est l’exécutant docile de règles qui lui seraient extérieures.  L’évaluateur ne peut céder à l’illusion que l’évaluation est un constat ou une mesure.

3  Si l’évaluation appelle la distance avec l’évalué, elle exige aussi, pour répondre à sa destination, le dialogue avec lui.  L’évaluation ne vaut pas tellement par l’écart qu’elle constate entre les faits et les normes, que par la direction qu’elle propose aux actes humains…

4 Au total, l’évaluation est un acte humainement lourd. Pas seulement une mise en place ou une maîtrise de techniques et de démarches évaluatives

5 Le but ultime de l’évaluation (B. Rey) : N’est pas tant de mettre en cause ou de critiquer tel ou tel aspect des prestations de l’évalué…

6 Le but ultime de l’évaluation : est plutôt de faire partager par l’évalué des considérations sur ce qui est souhaitable ou sur un idéal vers lequel tendre.

7 L’ATTITUDE de l’évaluateur a une incidence directe sur les BUTS de l’évalué Travaux de Archers et Ames

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9  Si des lacunes manifestes apparaissent dans un domaine, la compétence n’est pas validée.  La non-validation d’une compétence déclenche la mise en place d’actions d’aide et de soutien (aide personnalisée, stages de remise à niveau, PPRE…). MENJVA – DGESCO janvier 2011